Caged man 11
Ce soir je saurai….
Les 6 mois d’esclavage , de brimades , d’humiliations, de pleurs, de douleurs seront bientôt terminés.
Florence ne me laisse aucun indice.
M’aura t elle pardonné ? Reprendrons nous notre vie d’avant ?
Pour l’heure rien ne me l’indique, elle est toujours aussi distante , aussi méprisante.
Ce matin en visitant un client, j’ai croisé une belle dame qui m’a souri chaleureusement en me saluant de la main.
Elle sortait de commerce quand j’y rentrai, j’ai eu du mal à la reconnaitre au premier abord et j’ai répondu d’un sourire et d’un geste de la tête poli.
J’ai réalisé ensuite que c’était Madame Clélia.
En ressortant de mon rendez vous , je l’ai aperçue, attablée en terrasse du café voisin et me suis approché d’elle.
–Pardonnez moi Madame, je ne vous avais pas remise. Il faut dire que vous êtes bien différente de la fois ou nous nous sommes vus.
— Tu es tout excusé, toi aussi tu as une autre tenue, me répondit elle d’une risette découvrant des dents d’une blancheur immaculée.
Avec sa permission , je me suis attablé à ses côtés et nous avons bavardé de choses et d’autres comme les meilleurs amis du monde.
Elle me tutoyait toujours, je n’osais que lui dire » vous «
Le moment passé à ses côtés fut le meilleur épisode de mes tristes dernières semaines.
Il me permit, également, de la voir sous un nouveau jour.
Je connaissais la Maîtresse, la propriétaire du sauna, je découvris la femme, délicieuse, intelligente, belle qu’elle était en plein jour.
Quand le moment vint de nous séparer elle me dit soudain
— As tu repensé à ce que je t’ai dit ?
— Bien sur mais je ne vois toujours pas..
— Cherche et tu trouveras…
Le soir est venu, je suis à la maison, nu comme Florence l’exige et je l’attends anxieusement.
Elle arrive enfin, joviale, détendue.
— Je vais prendre mon bain, nous parlerons après…
La rencontre avec Madame Clélia me revient subitement en tête , je ne sais pas ce qui me prend mais je me mets à chercher.
Son téléphone est posé sur la table du salon, je m’en empare et je cherche et je lis les textos, et j’ouvre ses mails.
Soudain mon monde s’écroule, j’ouvre les yeux…
Tout n’était que comédie , coup monté, faux semblants.
Annie avait tout fait pour me faire faire le faux pas, Florence n’avait pas eu de mal à la convaincre.
Leur correspondance était on ne peut plus claire…
Le but ultime ? Me quitter en y trouvant le maximum d’avantages.
Oui mais voilà, j’avais résisté bien au delà de leurs espérances.
Florence s’en plaignait, détaillait ce qu’elle me faisait subir pour m’humilier, me faire craquer.
Ce soir, elle envisageait de me dire qu’il lui fallait 6 mois de plus pour réfléchir, espérant ainsi me faire abandonner définitivement la partie et obtenir le divorce à mes torts exclusifs.
Mon sang ne fait qu’un tour… Je fais des copies de tous les échanges et je les envoies sur une adresse personnelle..
Je sais ou est la clé de ma cage, en un tour de main je suis enfin libre.
Quand Florence sort de la salle de bain , prête pour son laïus, elle me retrouve habillé, confortablement installé sur le divan, sirotant un bon whisky.
Le carcan que je portais depuis si longtemps est en évidence sur la table basse.
— Qu’est ce que tu fais comme ça ? Tu crois que tu es pardonné ? Tu as osé te libérer sans ma permission ? Tu vas en prendre pour 6 mois de plus !! Claironne t elle encore enveloppée dans son drap de bain
Sans dire un mot, je me lève, m’approche d’elle et lui balance la plus formidable paire de baffes jamais donnée à une salope de son espèce.
Elle ne s’y attendait pas, elle est suffoquée..
Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits je lui assène la vérité.
Je sais tout.. Annie, le coup monté, les mails, les textos. J’ai les preuves en lieu sur.
Elle semble perdue..
Sur le coup la serviette est tombée. Elle est nue devant moi.
Je ne sais pas ce qu’il me prend, je ne me contrôle plus.
Toutes mes frustrations remontent. Une érection me vient.Je la tire par les cheveux et la penche vers mon sexe.
— Tu vas me sucer.
Elle murmure un faible » non » qui lui attire une autre baffe.
Rétive mais vaincue elle prend ma bite tendue en bouche et se met à l’ouvrage…
P…. ! Que c’est bon !!! Je ne me retiens pas et toute la semence accumulée lui gicle dans la bouche.
Elle manque de s’étouffer devant la quantité qui lui arrive dans le bec.
— Avale tout !
Elle a du mal à déglutir mais pas une goutte ne s’échappe.
— Je n’en ai pas fini avec toi..
Elle tente de s’excuser, de se justifier. Je m’en fiche.
J’ai repris le contrôle de moi. Je sais très bien ou je veux aller, ce que je veux faire d’elle , comment je vais me venger.
Je la tire par les cheveux et , malgré ses cris et suppliques, je l’enferme dans un placard.
Au tour de sa salope de copine maintenant.
Je prends son téléphone et j’envoies un sms à Annie.
— Viens tout de suite à la maison…
La réponse est immédiate : j’arrive .
Effectivement, 10 minutes après, un coup de sonnette annonce son arrivée.
J’ouvre la porte et me cache derrière pour la laisser passer. Confiante elle s’avance sans me voir.
Je referme d’un coup de pied pendant que je lui saisi le bras que je tords violemment en arrière.
Surprise, elle crie de douleur et je la fais avancer..
— Ta copine et toi vous croyais me baiser .! Maintenant vous allez payer !
Vestiges d’un temps révolu ou je chassais, j’ai ressorti mon fusil. Il n’est pas chargé mais elle n’en sait rien.
Je la menace de mon arme.
— A poil, tout de suite !
— Mais Bruno, pardon, je n’y suis pour rien, c’est Florence qui m’a obligée. Ne me fais pas de mal je t’en prie, je ferai ce que tu voudras.
— ne me prends pas pour un con ! J’ai tout découvert ! A poil et vite.
Sous mes yeux amusés, Annie se déshabille .
Merde ! Elle est moche ! Comment j’ai pu la baiser cette pute ?
Elle est totalement nue, en mon pouvoir.
— Mains sur la tête !
Elle s’exécute. Ses seins flasques tombent, sa cellulite m’écoeure.
Je lui tends une paire de menottes .
— Attaches toi les mains dans le dos
Elle a du mal mais y arrive tout de même .
— A genoux !
Elle obéit .
— Ouvre la bouche !
Elle s’exécute.
Je sors mon engin et me sers d’elle comme d’un urinoir ! Elle ferme les yeux, crache, je lui en mets partout.
— Tu chlingues comme une grosse truie. Vas te passer sous l’eau , je n’en ai pas fini avec toi !
Elle a vite compris que l’heure était à l’obéissance. Sans dire un mot elle file vers la salle de bain.
Elle s’installe sous la baignoire mais, bien sur , ne peut pas ouvrir l’eau.
J’ouvre en grand le robinet d’eau froide. Elle sursaute , tremble, pleure quand je la douche à l’eau glacée.
J’arrête enfin la laissant grelotter , nue, piteuse mais propre.
J’ouvre le placard, ma femme en sort comme une furie
— T’es un grand malade ! Qu’est ce que tu as fait à Annie ? Je te préviens on va appeler les flics !
— je te le conseille vivement.. J’ai récupéré toutes les preuves de tes tortures, j’aurai même tous les témoignages que je voudrai, celui de Madame Clélia en tête.
Elle se sait en position de faiblesse.
— Qu’est ce que tu veux nous faire ? Fous nous la paix.
— Ah non , ce serait trop facile.. Je vais vous proposer un marché !
Et je la pousse vers la salle de bain ou Annie tremble toujours.
— Voilà.. Cette nuit je fais ce que je veux avec vous deux. A 6 heures du matin vous serez libérées.. Si vous voulez partir avant , pas de problème mais je porterai plainte contre vous.
Si vous tenez jusque là, tu auras la journée pour préparer tes affaires et te casser de chez moi.
On divorcera, tu ne seras pas à plaindre. A prendre ou à laisser ..
— On a pas le choix !!
— Et moi ? Je l’ai eu ?
Et finalement elles acceptent…
La suite de la soirée risque d’être divertissante….
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