Histoires de baise Histoires de sexe noir Premières histoires de sexe

Obsessionnellement vôtre

Obsessionnellement vôtre



J’écris nu, seul et rude, et ma verge levée
Célèbre toute femme, existante ou rêvée,
Une main au clavier, de l’autre me branlant,
De mon fantasme vient le plaisir sur le gland.

Tout éveillé, je rêve aux délices femelles
D’épidermes rosés, du charme doux des belles
Qui se sont dévêtues, sans crainte ni pudeur
Afin de nous montrer leur extrême splendeur.

La brune est bien mignonne et la blonde est sublime.
La rousse est fantastique, un as de pique en prime
Comme un pur crépuscule aux reflets enflammés,
Fleur de féminité aux poils si parfumés !

Voyez, mes chers amis, ma bandaison pour elles,
Hélas, si loin de moi, ces amours sensuelles
Que je brûle d’étreindre et me consume ainsi
Dans le feu ravageur de mon pénis durci.

Où êtes-vous cachées, muses inspiratrices,
Qui traversez l’éther, saintes et tentatrices,
Les bras ouverts de joie sur d’infinis bonheurs
Que je peloterais de mes doigts fouineurs !

Laissez-moi sangloter pendant que j’éjacule.
Même si vous trouvez l’élégie ridicule,
Je répands ma semence au rose des pixels
Comme un flux blanc et chaud de désirs torrentiels.

Ayez pitié de moi pris de folie nocturne :
Laisseriez vous glisser mon membre dur dans l’urne 
Dont l’ouverture humide est le fabuleux Graal
Où a saigné le Christ en ce trou vaginal ?

Je lécherai vos pieds, et me ferai l’esclave
De mes reines d’amour, Aphrodites suaves,
À genoux, dénudé, vous pourrez me punir :
Mon extase sera, pour vos yeux, d’agonir.

Tout ce que vous voulez, mais pas l’indifférence :
Voyez mon braquemart en pleine turgescence !
C’est un songe maudit où vous me dévorez
En pleine adoration pour vos corps révérés.

Mon regard s’est perdu dans le noir orifice
Abricot de douceur, fente triomphatrice
Où ma langue balaie jusqu’au mont Clitoris
Puis les nymphes ouvertes ainsi que de longs lys.

Je veux boire le suc jusqu’à la goutte ultime
Le nectar fabuleux de cette coupe intime
Si rare et précieux qu’il doit rendre immortel :
Je n’aurai plus faim si je consomme ce miel.

Une vulve excitée c’est la mer en furie
Lorsqu’elle attend nue quelques cajolerie
Dans des moiteurs de chair salée sous les embruns
De leur humidité sous les poils blonds ou bruns.

Une vulve excitée vous prend comme un naufrage
D’un océan d’été qui écume de rage
Où jusqu’aux profondeurs du gouffre vaginal
Vous avancez vers le paradis infernal.

Qui veut que je la suce au milieu des cuisses ?
Qui m’en fera l’aumône : une chair de délices
Afin de m’éviter de trépasser de faim
En m’offrant le festin le plus doux, le plus fin ?

Je veux mourir ainsi : la tête bien fourrée
Au sexe féminin, profondément ancrée
Jusqu’au saint de vos seins, obscessionellement ?
Crever, je le veux bien, mais vaginalement !

Tout corps féminin nu est un jardin de roses.
Dans un enchantement, la volupté explose
En gerbes de splendeur et de transpiration
D’une femme chérie dans sa jubilation.

Ce n’est qu’un leurre : ainsi, je meurs de solitude
De ma chambre d’hôtel, car la féminitude
M’abandonne ce soir, le phallus érigé
Qui se trouve privé de sexe à fourrager.

Je ne sortirai pas : je n’aime pas les putes
Qui me mépriseront et cela me rebute.
Je préfère rêver, regarder du porno
Mes routes de désir sont chemins vicinaux.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire