Chapitre 3 : Le retournement de Mathilde
Corinne remonte auprès de son employée qui lui semble nettement plus détendue. Il faut dire qu’Isabelle sait détendre ses clientes stressées. Ses attouchements font toujours leurs effets.
– Alors, ma chérie, comment vous sentez-vous ?
– Je ne sais comment vous remercier Madame. Je ne sais si je dois vous le dire mais…hum…j’ai… j’ai
– Elle eut un magnifique orgasme, grandiose même.
– Oh, vous m’en direz tant. Que voilà une très agréable nouvelle.
– Madame…
– Oui ma petite Mathilde.
– Voudriez-vous souper en ma compagnie ? Enfin si vous m’autorisez à utiliser votre carte.
– Vous savez quoi, j’allais vous le proposer, histoire de vous voir dans une sublime tenue de ville et de mieux vous connaitre, ma petite Mathilde. Je reviens, ma petite. Isabelle…
Madame se penche à l’oreille d’Isabelle et lui chuchote une demande très précise, faire encore jouir une ou deux fois sa secrétaire, tout en glissant un autre billet de cent entre les seins de l’esthéticienne. Isabelle approuve plutôt deux fois qu’une. En bas, elle retrouve Sylvie et lui demande de lui préparer une tenue de ville sexy à souhait mais toujours sans trop dévoiler.
– Bas, dessous, jupe fendue à droite, chemisier rose pâle, talon de 15 et pour les bas, les 126… et pis non, les 148, c’est ça, les 148. Le tailleur assorti et ce sac à main. Tiens, mets en moi deux, ma chérie. Pour les dessous, tu te rappelles ce petit ensemble fendu pour la culotte et ces délicieux trous sur les bonnets ?
– J’en ai encore, je crois même en avoir deux à la taille de ta secrétaire, un noir et un…Oh, fuchsia. Je te mets les deux ma chérie ? Madame acquiesce. Ça marche ! Dis-moi, quand est-ce qu’on se refait une petite sortie entre salopes ?
– Laisse-moi trois petites semaines, ma douce. Là, en ce moment, avec les vacances d’été qui arrive, je suis un peu serrée de partout. Oui, donne-moi jusqu’en août, disons à la mi-août.
– Tu emmènerais cette femme avec nous ?
– Et comment ! À ce propos, Isabelle la faite jouir et elle est en train de la faire jouir encore. Je remonte, ma chérie. Oh, tu sais quoi, quand elle va redescendre, nous allons l’habiller, toi et moi, ensemble comme nous l’avions fait pour cette Marguerite, tu te souviens ?
– Oh que oui, un grand moment d’anthologie ma salope.
En haut, Corinne peut entendre les gémissements de bonheur de sa secrétaire. En se penchant un peu, elle sourit en voyant ces deux femmes couchées ensemble sur l’étroite table et en plein ébat amoureux.
– Oh pardon Madame, je…
– Chuuut, ma chérie, vous étiez si magnifique pendant votre orgasme que je m’en veux terriblement d’avoir troubler ce moment hautement saphique. Je file.
Mathilde se lève brusquement. Dans un mouvement d’humeur, elle att**** la manche de Madame, la retourne pour l’embrasser vigoureusement à pleine bouche. Madame n’en attendait pas tant, elle l’enlace et lui rend son baiser de feu. Isabelle s’éclipse en remettant sa blouse.
– Ma chérie, votre baiser, il ne pouvait me faire plus plaisir.
– Madame, je suis désormais votre débitrice. Exigez et je serai vous satisfaire, Madame.
– Je n’en attendais pas moins de vous, ma chère Mathilde. Dites-moi, entre nous, aviez-vous déjà aimé une femme auparavant ?
– Oui Madame. Répond Mathilde en rougissant, la tête baissée. C’était dans un club échangiste les premières années après mon mariage, bien avant que mon mariage ne coule.
Madame découvre une autre facette de Mathilde, une facette qui lui était totalement inconnue. À vrai dire, pour Madame, cette découverte lui procure une douce satisfaction.
– Oh ma douce, vous m’aviez caché votre libido débridée. Comme vous me plaisez, ma chérie. Venez, je vais vous doucher moi-même. Après quoi, je vous habille et nous irons nous taper la cloche dans un bon resto.
– Permettez-moi de vous aider.
– M’aider ?
– Eh bien à vous dévêtir si vous voulez me doucher !
– Ah oui, où avais-je la tête, vous me troublez tellement, ma chérie.
Mathilde retire les vêtements de sa patronne. Dès qu’un bout de chair se dénude, apparait, Mathilde l’embrasse, le lèche avec une dévotion sans faille, entrainant Madame dans un tourbillon de petits orgasmes sans fin. Nue maintenant, Madame Corinne pousse tendrement sa secrétaire sous l’eau délicieusement tiède. De ses mains, d’un peu de savon, elle lave son employée, la masse, n’hésitant pas à embrasser là où cela procure du plaisir, caresser et lécher là où la vie prend forme, là où l’orgasme devient une réalité somptueuse. Quand Madame passe derrière Mathilde, que sa langue et ses doigts s’insinuent entre ses fesses, Mathilde s’appuie de toutes ses forces contre le mur et jouit longuement. Corinne exulte derrière cette femme de presque 25 ans.
– Ma belle, mon amour, de t’entendre jouir, de sentir ton corps vibrer de bonheur, rien ne pouvait me faire plus plaisir.
– Madame, je ne sais comment…
– Non, ne me remercie pas, tu viens tout juste de le faire en jouissant. Viens que je sèche ton corps, ma belle.
– Madame, vous me troublez en me parlant de la sorte. J’ai peur de ce que je ressens, j’ai peur de nous.
– Alors, prends ton temps, ne brusque surtout rien. Rappelle-toi seulement que si t’as le moindre petit souci, le plus petit embarras, le plus petit chagrin, j’exige que tu viennes m’en parler, c’est tout ce que j’exige de toi pour l’instant, ma belle et douce Mathilde.
– Madame, je vous apprécie énormément depuis que vous avez repris les rênes de l’entreprise, je vous admire même. Mais pour ce qui est de vivre une histoire d’amour avec Madame, je ne sais pas si je suis prête. C’est que j’aime Madame et…
– Et pourtant, je sais qu’au fond de toi tu en crève d’envie, ton orgasme me le prouve.
– Je le confesse Madame. Je vous aime depuis longtemps, trop peut-être.
– Non, ce n’est jamais trop quand on aime. Voilà, tu es sèche, ma chérie. Donne-moi ta main, nous allons t’habiller avec Sylvie.
Mathilde croise même ses doigts avec ceux de Madame. Dans son cœur, il est vrai qu’elle aime Madame depuis bien avant le jour où elle s’assit dans le fauteuil de directrice. Mais elle ne l’aime pas comme l’aimerait une personne dite (normale). Non, elle l’aime si profondément que c’est tout juste si elle ne vénère pas Madame. Oui, Mathilde ne peut plus se voiler la face, elle vénère cette femme au point de lui obéir en tout si Madame venait à l’exiger.
Au premier, devant Sylvie, Mathilde se sent un peu gênée d’être plus nue que nue. Deux femmes commencent à vêtir son corps avec tendresse et délicatesse. Autour de Mathilde, tout n’est que douceur, c’est comme si on dansait une valse lente, les gestes sont gracieux, voluptueux, concupiscent et si tellement luxurieux. Tour à tour, les vêtements s’enfilent sur son corps, sans que Mathilde n’ait d’autres choses à faire que de s’abandonner pour ne jouir que de l’instant présent. Des bouches baisent sa chair qui frémit superbement à chaque fois. Enfin, proche d’un nouvel orgasme, elle quémande la grâce de ces deux femmes dont la fougue s’apaise. La touche finale vient des chaussures, juste après un doux baiser sur cette chair gainée de soie de qualité. Campée sur ces talons aiguilles de 12 centimètres, Mathilde a l’impression de dominer le monde. Fière de parvenir à marcher sans peine, Mathilde exulte, explose de bonheur, encense sa patronne, l’embrasse à pleine bouche, embrasse Sylvie comme sa patronne. Elle se sent revivre. Un renouveau qu’apprécie tout particulièrement sa patronne. La joie de vivre de Mathilde est contagieuse, Sylvie trouve tous les prétextes pour caresser de près Mathilde. Puis, très lentement, les esprits se calment, s’apaisent, on se boit un thé et on bavarde tranquillement. La note réglée, dernières effusions lascives avant de se rendre dans un bon restaurant, Mathilde laisse le soin à sa directrice de le choisir.
– Tu sais, de te voir si heureuse, cela me fait réellement un immense plaisir, ma chérie.
– Madame, si vous saviez ce que vous venez de provoquer en moi, dans ma tête, mon corps. Je…je vous aime, Corinne.
– Moi aussi, ma chérie. Si tu savais ce que j’ai souffert de te voir dépérir depuis ton divorce.
– C’est terminé, n’y pensez plus, amour de patronne. Mathilde se lâche, se confie, se libère enfin.
À table, dans le plus huppé et le plus renommé des restaurants de cette cité, Mathilde se voit confier la carte et le choix des deux menus.
– Tu choisis tout ce que tu veux pour nous deux, je te fais entièrement confiance comme depuis que tu travailles pour nous. Si, en revanche, tu pouvais arrêter de me vousoyer quand nous sommes entre-nous, cela me ferait un immense plaisir, ma chérie.
– C’est que je n’y parviens pas. J’ai beau essayé, mais…je ne parviens pas à vous tutoyer, cela m’est impossible.
– C’est moi qui te fais rougir de pareille manière ?
– Oui Madame, vous me semblez si intouchable quand vous êtes dans votre bureau que parfois, quand je viens vous remettre les rapports, j’ai…
– Dis-moi tout, ma chérie.
– J’ai envie de… Surtout, ne riez pas, je vous en supplie. En ce moment, je n’ai qu’une envie celle de me jeter à vos pieds pour vous les embrasser et vous gazouiller tout mon amour.
– Je ne vais pas rire, mais alors pas du tout, ma douce colombe. Si tu savais ce que ton aveu signifie pour moi, c’est…si…oui, si inespéré. Veux-tu devenir ma petite chose, ma chérie. Je te veux en tant que ma soumise, ma petite douceur, mon bijou. Je veux faire de toi la fière femme que tu dois être mais aussi, celle qui se donnera corps et âme à ma personne.
– Madame veut me dominer, faire de moi son esclave ?
– Oui, si on veut.
– Alors…c’est oui, Maîtresse. J’accepte, je vous dois tout ce que je suis depuis peu. Je…je vous dois tout. Ce que j’aimerai tellement vous faire en ce moment, c’est baiser vos pieds, les lécher, les…
– Chuuut, ma chérie, pas si fort. Et puis tu te répètes ma belle amie.
– Je m’en moque, je veux vous dire combien je vous suis attachée. J’en ai rêvé de ce moment. Si Madame savait ce qu’elle me procure comme excitation. Maîtresse, dorénavant, ne demandez plus, exigez tout de moi.
– … Je ne sais que te dire, amour de femme. Si, je sais, on mange et puis nous allons prendre le dernier chez moi, ça te va ?
– Tout ce que ma Maîtresse désirera, sonnera à mes oreilles, à mon cœur, comme un ordre dont on se doit d’obéir sur le champ.
– D’accord, masturbe-toi !
– Bien Maîtresse.
La main de Corinne se pose tendrement dans celle de son employée dévouée. Sans plus aucune pudeur, l’autre main de Mathilde glisse sous sa jupe, dans sa culotte et, sans quitter Madame des yeux, se caresse intimement. Il ne lui faut guère de temps pour ressentir les bienfaits de cette masturbation. Il ne lui faut guère de temps pour retirer sa main de celle de Madame et se la mordre en jouissant, les yeux dans les yeux.
– C’est une magnifique preuve que tu viens de me donner ma chérie. Veux-tu aller plus loin encore ?
– Madame, sur les pavés brulants de l’enfer si c’est là le chemin sur lequel ma Maîtresse veut me conduire.
Après un somptueux repas, diaboliquement excitée, Corinne entraine Mathilde dans sa belle et grande maison, sur les hauts de la ville.
– Ma chérie, si tu passes cette porte, es-tu prête à m’obéir en tout ?
– Ordonnez, Maîtresse, je serai vous donner la preuve de ma dévotion.
– Entre, retire tes vêtements et vas m’attendre à genou, c’est droit devant toi.
– Bien Maîtresse.
Pendant que Mathilde obtempère avec zèle, se mettant à quatre pattes pour entrer, Corinne s’en va se changer, mettre quelque chose de plus léger, de plus vaporeux. Devant Mathilde soumise à souhait, Corinne repense à une partie de sa jeunesse, soumise à un homme sévère, parfois terriblement sadique, trop sadique. Elle ne veut pas reproduire les mauvais traitements reçus de cette époque malheureuse sur sa secrétaire. Derrière Mathilde, ses mains vagabondent sur le corps de sa nouvelle soumise. Gémissantes, Mathilde s’abandonne corps et âme, prête à tout pour servir sa Maîtresse, lui donner du plaisir. Une petite tape sur sa joue, elle relève son visage, regardant sensuellement sa Maîtresse, un tendre sourire amoureux illuminant son visage.
– Tu es un amour de femme. Je savais que tu étais une soumise au fond de toi. Je l’ai su quand j’ai lu le compte rendu de ton divorce que m’a prêté Sidonie, ta belle amie Sidonie. Cependant ce qui a tout déclenché, c’est Isabelle qui me demandait si tu étais ma soumise. Là, en choisissant tes sous-vêtements, tout m’est devenu tellement limpide. Oui, j’ai réalisé que tu étais déjà une soumise
– C’est ce que je suis, en effet. Je regrette juste que Madame ne m’ait pas imposé sa volonté avant. Je serais alors devenue sa chienne, sa Kajira, celle qui vit sous son bureau, nue, entravée, prête à exécuter ses ordres à la lettre.
– Il n’est jamais trop tard, ma chérie. Bien, maintenant, occupe-toi de mes pieds.
– Ô divine Maîtresse, ça, c’est avec un plaisir incommensurable, Maîtresse adorée. J’aime, j’adore vos pieds, amour de Maîtresse.
De tout son corps, elle se dévoue sur ces pieds qu’elle désirait depuis bien longtemps. Elle lèche, suce, embrasse la moindre parcelle de ces divins pieds. Même l’odeur ne la dérange pas, au contraire puisque c’est celle de sa Maîtresse. Puis, suave, Mathilde remonte très lentement le long des jambes de Madame, léchant encore, embrassant à tout va, sensuelle jusqu’au bout des ongles. Madame se laisse convaincre, écarte ses jambes si bien modelées. Son corps ressent tous les bienfaits charnels que lui procure Mathilde. Mathilde qui s’insinue entre les cuisses de sa Maîtresse, qu’elle caresse tendrement en venant embrasser le saint graal, la source de la vie, le berceau du plaisir.
Cette dernière frémit de bonheur quand la langue de sa soumise lèche, suce son petit bouton d’amour, qui vient de sortir lentement de sa cachette. Alors, pour Corinne, les gémissements laissent leur place à des râles de félicitées, de petits cris de bonheur. Et enfin, l’apothéose, Corinne achève son orgasme par un très long beuglement d’enchantement. Son orgasme est si violent qui lui semble sans fin, comme s’il rebondissait à l’intérieur de son corps. Mathilde ne s’arrête pas pour autant, relevant les jambes si douces de sa Maîtresse. Poussant sa langue plus loin encore, elle l’enfonce lentement dans l’anus de sa Maîtresse qui jouit à nouveau. Traitant sa soumise de pire salope que la terre puisse porter, Madame jouit encore, comme si c’était sans fin. Pour Mathilde, c’est un compliment qui la touche au plus profond de son âme damnée de soumise. Sur sa croupe, une ceinture de cuir vient s’abattre sans grande v******e, Mathilde relève son postérieur, l’offrant ainsi à la vindicte de Madame :
– Frappez fort Maîtresse, si vous m’aimez, frappez aussi fort que vous le pouvez !
Et Madame frappe plus fort, forçant sa soumise à compter malgré sa langue qui alterne entre le sexe et le cul de sa Maîtresse. Les coups pleuvent, parfois, une douce caresse remplace cette ceinture punisseuse. Madame qui jouit à nouveau n’a plus la force et encore moins l’envie de frapper cette soumise si merveilleusement dévouée. D’une main, c’est à peine si elle parvient à se saisir de son téléphone. Elle appelle Sylvie chez elle, afin de lui annoncer que leur weekend ne sera pas à la mi-août, mais le weekend à venir. Sylvie exulte de joie à l’autre bout de la ligne. D’autant plus qu’elle apprend que Mathilde s’est déclarée à son amour de toujours.
– Ma petite salope, Sylvie t’embrasse et se dit impatiente que tu lui broutes le fion !
– Que Mademoiselle Sylvie ne se fasse aucun souci. Je serais l’épuiser de plaisir jusqu’à lui faire rendre gorge.
– Oh, ma chérie, je ne me fais aucun souci. Mais c’est à toi de t’en faire. Sylvie est une femme autrement plus exigeante que moi.
– Il ne manquerait plus que demoiselle Isabelle pour m’achever, Maîtresse.
– Ouiii, pourquoi pas après tout. L’idée est même excellente. Écoute-moi attentivement, demain matin, à l’ouverture de la boutique, tu iras y prendre ce que j’ai commandé pour toi. Je veux aussi que tu remercies ces deux femmes en te donnant corps et âme.
– Avec plaisir Ô ma Maîtresse, voilà des ordres comme je les aime, venant de ma divine Maîtresse, ma tendre et sublime amante.
– Attends, ce n’est pas tout ! Es-tu réellement prête à devenir ma petite chose adorable ?
– Comment pourrait-il en être autrement dorénavant, Ô divine Maîtresse, je suis folle d’amour pour vous !
– Bien, alors, vers les onze heures quand tu en auras terminé à la boutique, tu te rendras à cette adresse et tu y feras exactement ce qu’on te dit de faire sans discuter. Ensuite seulement, tu viendras me rejoindre dans mon bureau. À ce propos, afin d’avoir toujours un œil sur toi, je vais faire placer ton bureau dans le mien, près de l’étagère du fond. Là, personne ne te verra si tu ne te manifestes pas. Aussi, tu seras vêtue de manière très courte pour travailler, presque entièrement nue.
– Bien Madame. Je suis aux ordres de ma Maîtresse vénérée. Pour vous, je voudrais vivre enchainée à Madame en permanence.
– Très bien, maintenant, tu me suis en prenant tes vêtements. Il nous faut prendre du repos… Attends, tu m’as bien dit vouloir être menottée… et enchainée à moi ?
– Oui, je ne veux plus quitter ma Maîtresse, être prête à répondre à la moindre sollicitation de ma Maîtresse comme à celle de Madame.
– Mmmh, continue, ma chérie, tu me plais, tu me plais bien au-delà de ce que j’attendais de toi, il y a à peine cinq heures.
Prenant la main de sa soumise, Corinne l’entraine dans l’escalier. En haut, dans une vaste chambre, trône un lit démesuré. Madame tend ses mains à sa soumise. Celle-ci la rejoint, s’enlace entre ces bras accueillants. À ce moment précis, Corinne n’a plus envie de la dominer, seulement l’envie d’Aimer cette femme. Très vite, la chambre se remplit d’exclamation de joie, de bonheur avant que ses orgasmes qui les font encore beugler, clamer l’amour que chacune porte pour l’autre. Puis, les corps et les esprits se calment, blotties l’une contre l’autre, les deux femmes s’endorment, épuisées par cette journée harassante.
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