Sophie (première suite, après le jeu exhibitionniste dans le bois avec Sophie, elle me propose de l’emmener chez elle)
S’installant sur le siège passager et tout en bouclant sa ceinture
«C’est pas loin, tu sors du bois et tu te diriges vers l’Avenue Louise »
Je démarrais donc et commençais à rouler dans la direction mentionnée
« Je dois t’avouer que c’est la première fois que j’ai eu une réaction positive à mon annonce et que je ne m’attendais pas du tout à cette tournure des événements, merci pour ça »
« Je dois t’avouer que moi non plus et là tout de suite j’ai envie de davantage que de regarder, mais dans une voiture, c’est pas assez discret »
« Vu le plaisir que j’ai pris, je ferai ce qu’il faut pour te satisfaire »
Me souriant malicieusement : « tout ce qu’il faut ? »
« oui, tu as une idée ? »
« mmmm… oui j’en ai une mais je sais pas si tu seras partant »
« dis toujours »
« Tu accepterais de faire tout ce que je veux pendant la rencontre ? De me faire tout ce que je veux ? »
Il ne me fallut qu’un court instant pour être certain que ma réponse était ce que je voulais, elle était trop désirable et son tempérament était trop excitant pour ne pas jouer le jeu, d’ailleurs mon sexe commençait déjà à gonfler lentement dans mon bermuda,
« Oui madame »
« mmmmmmm j’aime ça, j’espère que tu seras bien obéissant mon petit chien »
« vos désirs seront des ordres madame »
Je stationnais la voiture à quelques mètres de la maison en question, un grand immeuble de bureau à priori vide. Elle me racontait qu’elle s’occupait de la maintenance du bâtiment pour la société en question qui allait le réaménager, mais en attendant, elle faisait en sorte qu’il soit chauffé, reste sec, reste présentable pour de futurs locataires/acheteurs ,
« De cette manière je suis certaine que nous ne serons pas dérangés »
Elle me précédait dans les escaliers en tortillant du cul de manière intentionnelle, j’avais envie de le lui bouffer tant il était appétissant moulé dans le jean,
Elle s’arrêta brusquement
« Stop, tu restes là et tu regardes »
Je m’arrêtais, à 60 cm de son cul magnifique, ses mains commencèrent pas déboutonner le devant lentement, puis elles glissèrent vers ses fesses qu’elle massait ou plutôt pétrissait à la manière d’une double boule de pâte, c’était appétissant au possible et l’envie de me toucher l’entrejambe se faisait grandissante
« Tu aimes ? Tu en veux plus ? »
« Oui madame, beaucoup plus »
« Mmmm alors supplies moi »
Mon hésitation fut brève
« madame, montrez moi votre cul s’il vous plait »
« mieux que ça, je veux que cela m’excite »
je cherchais un instant la meilleure manière de lui répondre en caressant mon sexe qui déformait à présent le tissu de mon bermuda
« Je vous en prie madame, dévoilez moi si je le mérite votre cul si appétissant que j’ai envie d’embrasser et lécher comme le chien affamé que je suis »
Pour toute réponse je voyais ses doigts glisser entre le jean et ses fesses et lentement le faire descendre, dévoilant peu à peu un sillon des plus appétissant, arrivé à mi fesses, elle s’arrêtait et se penchait en posant ses mains sur le mur et la main courante de l’escalier
« Viens renifler et lécher mon chien »
Ordre auquel je m’empressais de répondre en la saisissant par les hanches et en venant glisser mon nez dans le sillon fessier, je m’attendais à une forte odeur mais finalement, même si elle sentait un peu la femme en chaleur, un petit parfum dont je ne saisissait pas l’origine me flattait les narines et me permettait de prendre de grandes respirations nasales, chatouillant Sophie qui pouffait en tortillant du cul
« Mieux que ça mon chien, si tu vas plus loin et que tu fouilles avec ta langue, je continuerai à baisser le jean pour l’ôter totalement »
Je m’empressais alors de venir enfoncer ma langue dans le sillon en reniflant bruyamment, ma langue ne pouvait atteindre son anus du à la distance mais je la dirigeais en la faisant onduler en lapant dans sa direction,
« Mmmmm, beaucoup mieux, fouille moi mon chien »
Elle faisait lentement descendre le jean sur ses fesses, prenant le temps de savourer mon jeu de langue affamé, petit à petit ma langue se rapprochait de son œillet étoilé et j’entendais au gémissements de Sophie qu’elle savourait ce moment, jusqu’au moment oui je pu enfin atteindre l’objectif et commençait à le stimuler avec appétit, arrachant un long gémissement de la part de Sophie
« Mmmmmmm, biiieeeennnn voiiiilaaa mon chien, lèèèèche bien au fooooond »
Ses mots déclenchèrent en moi une montée d’excitation et comme un fou je me mettais à fouiller l’orifice de ma langue, alternant poussées brutes et jeux d’assouplissement du sphincter qui lentement se dilatait
« crache …mmmmm… dedans mon chien… ha… puis lèche… encore »
je ne me faisais pas prier et m’exécutais, mes mains écartant fortement ses globes fessiers je visais son anus palpitant et crachait dessus, puis je venais jouer avec ma langue pour récupérer ma salive
« MMMmmmm ouiiiii vas y fouuiille moi, encore, encoooore mmmm haaaaa, ouiiii »
La montée de mon excitation aidant, je posais mes deux mains sur le bas de son dos, au niveau des reins et tirait vers moi en la forçant à se baisser davantage, ce qui eu pour effet de la faire se cambrer davantage, ses cuisses légèrement disjointes permettaient alors au lèvres vaginales de m’apparaître, luisantes de mouilles, je venais y plaquer ma bouche avide et lapait goulûment, mon nez s’écrasant sur son anus, m’empêchant de respirer
« rhaaaaaa salauuud, ouiiii, bouffe moi, bouuuuuffe moiiii aaaaahhhh »
j’enfonçais encore plus ma langue et finissais par venir caresser son bourgeon coincé entre ses lèvres trempées de mouille, il était gonflé et sensible, à chaque fois que ma langue le frôlait cela déclenchait une onde électrique et Sophie se cambrait davantage
Manquant d’air, je tentais de reprendre ma respiration mais sa main droite me saisi par les cheveux et m’écrasait le visage contre son cul, elle se mit à trembler et ses jambes à agir de manière désordonnées tandis qu’elle exprimait sa jouissance fulgurante alors que j’avais l’impression que j’allais mourir étouffé entre ses fesses
« MMMMMMouuiiiiiii puutaiinnnn c’est booooonnnn, aaaaahhhrrrr ouiiiii ouiiiiiiiiiii »
Elle se laissait tomber à genoux sur les marches et j’en profitais pour reprendre ma respiration, la moitié de mon visage couvert d’un mélange de salive et de mouille, ma barbe luisante de ses sécrétions intimes, je sentais la jouissance féminine et j’adorais ça
Je sortais ma bite et me branlait furieusement en faisant glisser mon gland entre ses fesses lubrifiées, je voulais la posséder maintenant, mais je savais que ce n’était pas comme cela que cela devait se dérouler, une initiative comme celle là risquait de compromettre l’après midi
« pitié madame, j’ai envie de vous baiser là tout de suite, dites moi que je peux pitié »
« Non pas maintenant, attend »
La bite à la main, brûlante de l’envie de la baiser comme un sauvage je jouais malgré tout le jeu, non sans une grande frustration,
« Viens, on va dans la chambre »
Je la suivais donc, queue à la main, me paluchant lentement en matant son cul jusqu’à atteindre la chambre
Une grande pièce, au plafond haut et orné de grandes moulures craquelées par les années, les murs en partie orné par des boiseries travaillées, un ou deux meubles ou traînaient du matériel de nettoyage, des chiffons et divers autres objets, un grand matelas au sol et quelques sacs posés au sol par ci par là
« c’est ici que se déroulera la suite, je veux que tu me dises que tu vas obéir à tout ce que je te demanderai de faire, que tu deviennes mon chien, si tu fais ça je te promets une jouissance encore meilleure que celle de tout à l’heure »
Nous autres hommes avons la fâcheuse tendance à ignorer les signaux de danger une fois que nous sommes guidés par un féroce appétit sexuel, nous ne nous laissons alors guider que par l’envie d’assouvir à tout prix nos besoins primaires
« Je ferai tout ce que vous voudrez madame »
« bien mon chien, va dans le sac et sors ce que tu y trouves »
La suite prochainement, si toutefois vous en voulez plus ^^
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