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7 péchés : luxure (5/7)

7 péchés : luxure (5/7)



Cette histoire fait suite à « 7 péchés : Envie », « Avarice », « Paresse » et « Colère » () et n’est pas une histoire érotique comme les autres puisqu’elle vous propose d’en être le héros, à la manière de ces livres-jeux que certains d’entre vous ont peut-être connu dans leur jeunesse.
Pour jouer, rien de plus simple : au lieu de lire ce récit du début à la fin, ne lisez que le premier paragraphe pour commencer. Un choix vous sera alors proposé qui vous guidera vers un autre paragraphe… et ainsi de suite jusqu’au dénouement de ce récit (si tout se passe bien, il devrait vous amener vers le prochain chapitre « Gourmandise »).

Amusez-vous bien et n’hésitez pas à me laisser vos commentaires et vos critiques !

1.
Pour la première fois vous vous présentez devant le petit hôtel particulier à la façade sculptée où habite Henri. Jusqu’ici vous aviez l’habitude de le recevoir dans l’appartement qu’il avait mis à votre disposition et vous êtes un peu intimidée par la haute porte en bois sombre, le luxe discret du hall d’entrée et l’obséquiosité de la soubrette en uniforme qui vous fait pénétrer dans ces lieux en vous demandant d’attendre que « Monsieur » vous rejoigne dans le petit salon.
Vous osez à peine vous asseoir sur le luxueux sofa qui orne la pièce, mais déjà votre amant vous rejoint en arborant un large sourire : « Cela me fait plaisir que tu sois venue aussi vite. Je vais avoir une question importante à te poser, mais avant cela je voulais ne garder aucun secret pour toi, que mon passé et mon parcours jusqu’à aujourd’hui soient totalement transparents. L’histoire de ma vie, et surtout de mes amours tumultueuses, sera sans doute longue et j’espère que je ne vais pas te lasser trop rapidement. »
Vous tentez de protester en disant que vous ne risquez pas de vous ennuyer en l’écoutant parler, mais d’un geste il vous arrête et commence son récit.
« Je suis né et j’ai grandi dans une famille riche où je n’ai jamais manqué de rien. Mon père étant souvent absent pour ses affaires, j’ai principalement été élevé par ma mère de manière extrêmement stricte. De ces débuts dans la vie, j’ai gardé quelques traits de caractère que tu devines sans doute, maintenant que l’on se connaît un peu mieux. Pour en venir au vif du sujet, cette année-là je passais mes vacances dans la maison de campagne familiale avant de m’éloigner pour débuter mes études et c’est là que je l’ai rencontrée. Mathilde était à peine plus âgée que moi et venait d’être engagée comme bonne par mes parents. J’ai tout de suite éprouvé un sentiment très fort pour cette belle blonde à la poitrine opulente, sentiment qu’à l’époque j’ai bien évidemment pris pour de l’amour alors qu’il ne s’agissait que d’un désir sexuel des plus banals. J’étais timide alors et j’ai longtemps hésité sur la meilleure manière de lui avouer ce que je ressentais. »
Il tente alors maladroitement de la séduire > 38
Il prend sur lui pour mettre sa timidité de côté et s’impose à Mathilde > 22

2.
« Je tentais quelques approches maladroites auprès de Charlotte, qui ne semblait pas totalement insensible à mon charme. Elle résista un peu à mes avances pour la forme avant d’accepter de se laisser embrasser. Elle était totalement inexpérimentée dans ce domaine et apprécia beaucoup ce premier baiser prolongé, même quand je glissais ma langue dans sa bouche. Après avoir longuement pratiqué au cours de cette même journée, et voyant qu’elle prenait confiance, je m’enhardis à toucher ses seins ronds et fermes à travers ses vêtements. Elle me laissa faire et quelques minutes plus tard je lui avais enlevé son soutien-gorge et je la pelotais ouvertement. Nous aurions sans doute été plus loin tous les deux si la voix de sa mère, qui la cherchait, ne s’était pas fait entendre dans la pièce voisine. Charlotte se rhabilla à la hâte et disparu en rougissant.
Le soir tard dans ma chambre, je me demandais comment j’allais pouvoir faire pour attirer Charlotte dans mon lit. Rien que le souvenir de ses seins sous mes mains me faisait bander douloureusement et je m’apprêtais à me soulager tout seul lorsque la porte s’ouvrit et que je vis ma cousine entrer sans faire de bruit. S’approchant de moi, elle ouvrit sa robe de chambre et la laissa tomber à terre, dévoilant son corps entièrement nu. Allongée près de moi, nous avons commencé à nous caresser mutuellement, explorant chaque recoin de nos corps enfiévrés. N’y tenant plus, et alors que je venais de faire pénétrer un doigt dans sa fente serrée et moite, elle me supplia de la prendre. Sans hésiter, je la positionnais sur le dos, écartais ses jambes et posait ma bite contre sa chatte. Je la pénétrais lentement, voyant que cette première fois était un peu douloureuse pour elle. Je commençais ensuite de lents mouvements de va et vient, la laissant s’habituer à ma queue en elle. Soufflant et gémissant, j’accélérais peu à peu le rythme tandis qu’elle se mordait les lèvres pour ne pas crier. Je manquais autant d’expérience que d’endurance à cette époque et finalement cela ne dura qu’un court instant avant que je ne me retire précipitamment et gicle sur son ventre et ses cuisses. Ce soir-là nous nous sommes quittés quelque peu déçus par cette expérience et s’en fut fini de mes jeux avec Charlotte. » > 52

3.
« Mademoiselle Massot, une de nos enseignantes parmi les plus jeunes et attirantes, avait eu dès le début de l’année un grand succès auprès des étudiants. Cela étant du plus à la profondeur vertigineuse de ses décolletés et à ses jupes minimalistes qu’à la qualité de ses cours. Elle n’hésitait pas à flirter un peu avec nous et il était difficile de savoir si elle était sérieuse ou juste joueuse. Certains de mes camarades se vantaient d’ailleurs d’avoir eu l’occasion de coucher avec elle, mais j’avais toujours pris leurs affirmations pour de la vantardise… Jusqu’à ce que je la surprenne en pleine action dans un amphi désert. Elle était à moitié nue et, appuyée contre le bureau, elle se faisait prendre vigoureusement en levrette par un étudiant de troisième année que je connaissais de vue. Il la tenait par ses longs cheveux bruns et la pilonnait avec enthousiasme en lui claquant le cul. Entre deux gémissements de plaisir, elle ouvrit les yeux et m’aperçut. Sans s’étonner de ma présence, elle me lança « Si tu veux tu pourras me passer dessus après. Ça ne devrait pas être long maintenant. » Et, en effet, son partenaire s’activa encore quelques instants avant de jouir puis de se retirer de sa chatte trempée. Il se rhabilla et me laissa la place avec un sourire complice. Le temps de le dire je sortais ma queue, déjà dure après le spectacle auquel je venais d’assister et me plaçait derrière la belle prof. Un peu dégoûté à l’idée de passer dans sa chatte immédiatement après mon prédécesseur, j’écartais ses fesses et l’enculais. Elle poussa un cri de surprise, mais ne chercha pas à me faire changer d’avis. Bien enfoncé dans son anus, je commençais des mouvements de plus en plus profonds et rapides. Elle se mit à gémir, m’encourageant à lui défoncer le cul encore plus fort. Il ne fallait pas me le demander deux fois, et je m’acharnais à lui donner entière satisfaction en la ramonant à toute vitesse. Elle finit par jouir en beuglant des insanités avant de retirer ma bite de son cul martyrisé. Cela avait été tellement intense que mes jambes me portaient à peine. Elle me fit asseoir sur le bureau et s’accroupit entre mes jambes, puis prit ma queue – qui sortait tout droit de son cul – dans sa bouche pulpeuse. Elle la goba en entier sans difficulté, me montrant toute l’étendue de son savoir-faire en matière de fellation et de gorge profonde. Je ne tardais pas à jouir une grande quantité de sperme qu’elle avala immédiatement avec gourmandise.
Je vécus avec elle une année sexuellement très riche en aventures et en expériences inédites (elle ne disait jamais non pour se faire baiser quel que soit le moment, l’endroit ou la position proposée) qui me laissa complètement épuisé ! » > 4

4.
« Mes études se poursuivirent sans événement notable et je fus diplômé quelques années plus tard. Je rentrais immédiatement dans la société que mon père possédait, marchant dans ses traces ainsi qu’il l’avait toujours prévu. Je restais en contact avec certains de mes anciens camarades d’université, notamment Hervé qui avait été mon meilleur ami pendant cette période. Nous nous voyions régulièrement et, au cours d’une soirée chez lui j’ai revu sa sœur Adeline que j’avais déjà eu l’occasion de rencontrer quand j’étais étudiant. Elle n’avait pas beaucoup changé, toujours aussi vive et drôle qu’autrefois et je suis tombé sous son charme. Nous nous sommes revus plusieurs fois, puis fréquentés officiellement. Les choses ont suivi leur cours et nous avons fini par nous marier deux ans plus tard. »
Leur nuit de noce a été plutôt sage et classique > 10
Il s’est montré inventif pour que leur nuit de noce soit le plus excitant possible > 18

5.
« Notre mariage a été vraiment réussi : nous avons eu droit à une belle cérémonie, suivie d’une fête formidable entourés de tous nos amis et de notre famille. Alors que la plupart des invités s’amusaient encore sur la piste de danse, je me suis éclipsé avec Adeline et nous avons rejoint notre chambre dans un luxueux hôtel situé à quelques kilomètres de là. Elle m’avait expliqué qu’elle n’avait que peu d’expérience en matière de sexe et cette nuit-là je me suis rendu compte que c’était en dessous de la vérité. Nus dans le lit, je la caressais longuement sans parvenir à la déstresser. Je la guidais ensuite vers ma bite et elle la prit en bouche bien volontiers mais sans aucun savoir-faire. Elle me pompa mécaniquement et pour la première fois je me fis sucer sans en retirer de réel plaisir. J’écourtais donc cette séance décevante et lui demandais de se mettre à quatre pattes sur le lit. A peine avais-je commencé à la pénétrer, enfonçant avec délectation ma bite dans sa petite chatte serrée, qu’elle voulut changer de position, jugeant que la levrette était une posture trop humiliante pour elle. A mon grand regret je dus poursuivre cette nuit de noce calamiteuse par un très classique missionnaire. A peine avais-je éjaculé que je me retirais de mon côté du lit pour dormir…
Le lendemain matin Adeline était sous la douche lorsque l’on frappa à la porte de notre chambre. Une jeune femme blonde très avenante venait nous apporter notre petit déjeuner. Pendant qu’elle installait le plateau, je ne pus m’empêcher de détailler ses seins lourds qui tendaient l’étoffe de son chemisier et sa chute de reins vertigineuse. »
Cédant à la tentation il propose à la serveuse de coucher avec lui > 57
Il préfère ne pas prendre ce risque > 26

6.
« Ressentant la même chose que moi, Carole fut en fait plutôt soulagée quand je lui proposais de mettre un terme à notre mariage. Nous nous sommes séparés à l’amiable et encore aujourd’hui c’est un vrai plaisir pour moi de la croiser et de bavarder de tout et de rien en amis. » > 20

7.
« Je refusais catégoriquement de payer le maître-chanteur, convaincu que ma fermeté l’empêcherait d’exécuter sa menace. Et j’avais tort, car quelques jours plus tard Adeline reçut une enveloppe contenant une série de photographies où on me voyait clairement baiser la belle pute que m’avait fait rencontrer Hervé. La scène qui suivit fut très désagréable et rien de ce que je pus dire ne fit changer d’avis ma femme qui demanda le divorce peu de temps après. » > 20

8.
« Excité par ce spectacle, je décidais de rester caché là où j’étais et de jouer les voyeurs. Le jardinier pilonnait toujours Mathilde avec autant de vigueur, sa grosse bite s’enfonçant sans répit dans la chatte de la belle blonde. J’empoignais la mienne, déjà dure et commençais à me branler en suivant le même rythme soutenu qui était imposé à la pauvre Mathilde. Agréablement malmenée par son partenaire, elle poussait des sortes de petits miaulements de plaisir qui allaient en s’intensifiant. Elle finit par atteindre un orgasme violent et je constatais, de là où je me trouvais, qu’elle tremblait littéralement de la tête aux pieds. Mais il n’en n’avait pas fini avec elle et il la força à se mettre à genoux devant lui et à engouffrer sa queue. Lui tenant fermement la tête, il poussa sa bite aussi loin que possible dans sa gorge, la faisant hoqueter les yeux révulsés. Après un court instant de ce traitement de choc il la libéra et elle put reprendre sa respiration tandis qu’il frottait son sexe luisant de salive sur le beau visage de Mathilde, laissant des traînées gluantes sur ses joues et son front. Elle le reprit alors en bouche, le suçant avec beaucoup de professionnalisme. A ce moment j’aurais tout donné pour être à la place de ce veinard ! Me branlant toujours aussi vite et fort je ne tardais pas à gicler abondamment tandis qu’elle finissait de le pomper. Je restais encore un moment à les observer, juste le temps pour Mathilde de faire jouir son amant et d’avaler son sperme jusqu’à la dernière goutte…
Je passais bien entendu les nuits suivantes à rêver de ce spectacle qui m’avait tant excité et à me soulager en fantasmant sur le cul de Mathilde, mais un événement allait modifier l’objet de mes rêveries érotiques. En effet, nous avons reçu quelques jours plus tard la visite de ma tante Pauline et de sa fille Charlotte, venues passer quelques jours chez nous.
Ma tante, une grande et très belle femme toujours élégante avait toujours eu une réputation un peu sulfureuse. On lui prêtait des mœurs légères et de nombreux amants, y compris du temps où elle était encore mariée. Le fait qu’elle ait divorcé n’avait pas augmenté sa popularité dans ma famille, mais j’avais depuis longtemps été proche d’elle, enviant sa liberté supposée. Quant à sa fille… Hé bien, disons seulement qu’elle avait bien grandi depuis que nous nous étions vus la dernière fois. Charlotte qui avait sensiblement le même âge que moi avait pris des formes très féminines et bien à mon goût. Entre la mère et la fille mon coeur balançait. »
Il succombe au charme de sa cousine Charlotte > 2
Il s’intéresse plutôt à Pauline > 58

9.
« J’étais conscient qu’Hervé avait déjà marqué des points avec Estelle et que je me lançais dans cette compétition avec une longueur de retard, mais j’avais bon espoir de retourner la situation à mon avantage. »
Il compte avant tout sur son charme pour séduire Estelle > 47
Il tente d’acheter son affection en lui faisant de nombreux cadeaux > 25

10.
Si Henri et Adeline ont déjà couché ensemble quand il était étudiant > 48
Sinon > 5

11.
« J’ai cherché à éviter une confrontation gênante avec Carole toute la soirée, mais au moment où je pensais être tiré d’affaire nous nous sommes retrouvés face à face. Elle me scrutait d’un air mauvais et un silence pesant commençait à s’instaurer, lorsque une jeune femme m’enlaça par surprise en disant « Te voilà ! Je te cherchais partout ! » avant de me rouler une pelle maladroite et passionnée. Surpris, il me fallut un instant pour reconnaître Adeline, la sœur d’Hervé et je ne protestais pas lorsqu’elle m’entraîna à l’écart en me prenant la main. En riant je la remerciais de m’avoir tiré de ce mauvais pas et je lui demandais comment j’allais bien pouvoir lui rembourser cette dette. En rougissant Adeline m’avoua que je ne lui devais rien mais que si cela me disait, elle voulait bien coucher avec moi. Trouvant sa proposition charmante, je l’accompagnais jusqu’à une chambre vide où nous nous sommes déshabillé rapidement avant de tomber ensemble sur le grand lit qui s’y trouvait.
J’ai commencé à la caresser doucement avant de glisser lentement un doigt dans sa chatte serrée. Elle s’est laissé faire et je l’ai doigtée un long moment, la sentant frissonner de tout son corps, jusqu’à ce qu’elle jouisse. Je l’ai alors guidée pour que son visage se retrouve à la hauteur de ma bite qui était bien dure et je lui ai expliqué ce que j’attendais qu’elle fasse. Timidement, Adeline a posé ses lèvres puis sa langue sur ma queue et mes couilles avant de la prendre dans sa petite bouche. Elle m’a sucé avec une maladresse désarmante, faisant malgré tout de son mieux pour me donner du plaisir. Je l’allongeais ensuite sur le lit, écartais ses longues jambes fines et posais mon gland contre sa fente. Après quelques instants d’attente, je la pénétrais enfin, entrant lentement dans sa chatte. Elle se mordait les lèvres pour ne pas crier, mais ne put se retenir bien longtemps et bientôt ses cris de plaisir emplirent la pièce. Je la baisais en prenant mon temps, profitant du plaisir que me procurait l’étroitesse de son sexe sans doute vierge et je la menais jusqu’à un second orgasme qui la laissa haletante et tremblante. Je la limais encore quelques minutes puis me retirais finalement pour gicler sur son ventre. Après une toilette rapide, Adeline se rhabilla rapidement et me murmura un timide merci avant de sortir. » > 4

12.
« Nous avions un peu trop bu ce soir-là, Hervé et moi, et alors que nous errions dans des rues désertes à la recherche de ma voiture, j’ai commencé par jeu à lui faire des avances très explicites. Il a malheureusement pris cela au sérieux et le ton est rapidement monté entre nous au point que nous avons failli en venir aux mains. Nous nous sommes séparés fâchés, mais j’ai rapidement mis de côté cet incident en pensant que les choses s’arrangeraient d’elles-mêmes. Ce n’est que petit à petit que j’ai compris que quelque chose n’allait pas. Nos amis communs me regardaient d’un air étrange, parfois réprobateur et je sentais partout où j’allais que l’on murmurait derrière mon dos. J’ai fini par apprendre qu’Hervé avait raconté ce qui s’était passé cette nuit-là et qu’il répandait la rumeur de ma supposée homosexualité. J’ai fait l’erreur de prendre cela à la légère et puis Adeline a entendu ces histoires et n’a pas voulu croire mes explications. Les choses se sont envenimées entre nous et tout cela s’est terminé par notre divorce sans que je comprenne réellement comment j’en étais arrivé là. » > 20

13.
« Sonia m’écouta patiemment, mais refusa de changer d’avis. La conversation se prolongea fort tard et, peu à peu, je compris ses motivations et finis même par partager son opinion. Je prenais subitement conscience de tout le mal que mon comportement égoïste avait pu causer aux nombreuses femmes qui avaient croisé mon chemin et que j’avais utilisé pour mon seul plaisir avant de les rejeter. J’étais bien décidé à me racheter et à avoir une conduite irréprochable, à abandonner ma quête perpétuelle du plaisir, et même à me consacrer à une vie d’abstinence. Et puis je t’ai rencontré et j’ai immédiatement oublié mes bonnes résolutions auxquelles j’avais pourtant réussi à m’accrocher pendant tant d’années. Mes vieux et agréables démons sont revenus en ta présence et depuis que je te connais, je ne maîtrise plus mon désir… Comme je te l’ai dis j’ai une question importante à te poser, mais avant je voulais tout te dire sur moi et ma vie passée pour que tu saches vraiment qui je suis. Maintenant que je t’ai livré mon passé et ce qui m’a construit tel que je suis aujourd’hui, j’aimerais savoir si tu accepterais de devenir ma femme… »
Surprise par cette demande inattendue, et peut-être encore un peu sous le choc de tout ce qu’Henri vous a révélé sur son passé, vous hésitez un moment avant de lui répondre.

A suivre dans le prochain chapitre, « Gourmandise ».

14.
« J’engageais la conversation avec Adeline, qui se révéla beaucoup plus drôle et vive que je ne l’avais imaginé. Peu à peu notre discussion pris un tour plus intime et la jeune fille m’avoua que, contrairement à la plupart de ses amies, elle était toujours vierge et que cela la travaillait beaucoup, car elle avait l’impression que les garçons ne s’intéressaient pas à elle. Je tentais de la rassurer en la complimentant sur son charme indéniable et, visiblement sans réfléchir, elle me mit au défi de coucher avec elle. Avant qu’elle ne puisse changer d’avis, je sautais sur l’occasion et l’entraînais dans une chambre vide. Nous nous sommes déshabillés fébrilement et j’ai commencé à la caresser doucement avant de glisser lentement un doigt dans sa chatte serrée. Elle s’est laissé faire et je l’ai doigtée un long moment, la sentant frissonner de tout son corps, jusqu’à ce qu’elle jouisse. Je l’ai alors guidée pour que son visage se retrouve à la hauteur de ma bite qui était bien dure et je lui ai expliqué ce que j’attendais qu’elle fasse. Timidement, Adeline a posé ses lèvres puis sa langue sur ma queue et mes couilles avant de la prendre dans sa petite bouche. Elle m’a sucé avec la plus grande maladresse malgré mes conseils et mes encouragements et je mis fin rapidement à ce calvaire. Je l’allongeais sur le lit, écartais ses longues jambes fines et posais mon gland contre sa fente. Après quelques instants d’attente, je la pénétrais enfin, entrant lentement dans sa chatte. Elle se mordait les lèvres pour ne pas crier, mais ne put se retenir bien longtemps et bientôt ses cris de plaisir emplirent la pièce. Je la baisais en prenant mon temps, profitant du plaisir que me procurait l’étroitesse de son sexe et je la menais jusqu’à un second orgasme qui la laissa haletante et tremblante. Je la limais encore quelques minutes puis me retirais finalement pour gicler sur son ventre. Après une toilette rapide, Adeline se rhabilla rapidement et me murmura un timide merci avant de sortir. » > 4

15.
« Au cours des semaines qui suivirent j’eus une relation passionnée et très charnelle avec Mathilde. Je profitais de la moindre occasion pour me faire sucer par la jolie blonde. D’ailleurs je faillis me faire surprendre une fois par ma mère qui rentra inopinément dans la salle à manger pendant que Mathilde était accroupie sous la table, heureusement cachée par la nappe, ma bite dans la bouche. Bien que ma chambre fut notre terrain de jeux favori, nous avons dû tester pratiquement toutes les pièces de la maison : de la cave, où j’explorais pour la première fois à grands coups de bite son cul magnifique tandis qu’elle s’appuyait de son mieux à un mur humide, au grenier où elle m’initia aux plaisirs partagés du 69… En y repensant, je n’ai sans doute jamais autant baisé que cet été là ! Mais les meilleures choses ont une fin et il fut temps pour moi de quitter à nouveau la maison pour reprendre mes études. » > 31

16.
« J’attirais la serveuse dans une autre pièce sous prétexte de lui demander son aide et, une fois seuls, lui proposais de tirer un coup vite fait à l’abri des regards. Sans aucune hésitation la jolie brune me répondit qu’elle n’avait rien contre cette idée… à condition que je lui offre un « pourboire » généreux. Arrivés à un arrangement qui nous satisfaisait tous les deux, je me suis vite retrouvé la bite entre ses seins volumineux. Elle m’a offert une fantastique branlette espagnole entre ses obus bien fermes, alternant par moments avec une fellation délicieuse. Elle savait vraiment y faire et j’ai eu peur un moment de ne pas pouvoir me retenir et de gicler directement sur sa poitrine ou son visage. Mais elle-même en voulait plus et elle a eu vite fait de se retrouver à quatre pattes, la jupe retroussée, sa petite culotte baissée et ma queue dans sa chatte humide. A chacun de mes coups de boutoir puissants elle poussait un bruyant cri de plaisir et, ayant peur que quelqu’un l’entende et nous surprenne dans cette position, j’y allais vite et fort. Mes couilles venaient taper en cadence contre sa peau nue et je lui claquait le cul à plusieurs reprises, ce qui eut pour effet de la faire gueuler encore plus fort. Je la besognais vigoureusement de la sorte pendant de longues minutes en haletant, avant de l’informer que je n’allais pas tarder à jouir. Elle se retourna alors et sans plus de manières elle avala ma queue et se mit à la pomper jusqu’à ce que j’éjacule abondamment dans sa bouche. Elle joua un moment avec mon sperme tel un œnologue goûtant un grand cru, puis avala le tout en souriant. Elle se rhabilla rapidement et me quitta pour poursuivre son service interrompu après avoir reçu l’argent que je lui avais promis. > 31

17.
« Dans les semaines qui ont suivi, j’ai mis en œuvre le programme du parfait amoureux romantique. Je lui ai écrit des poèmes, envoyé des bouquets de fleurs, j’ai tenté de l’inviter dîner dans un restaurant chic de la ville… Mais rien à faire, Carole ne jurait que par les études et rien d ce que j’ai pu faire ne l’en a détournée. Il m’a donc fallu admettre que j’avais perdu ce pari… » > 4

18.
« Notre mariage a été vraiment réussi : nous avons eu droit à une belle cérémonie, suivie d’une fête formidable entourés de tous nos amis et de notre famille. Alors que la plupart des invités s’amusaient encore sur la piste de danse, je me suis éclipsé avec Adeline et nous avons rejoint notre chambre dans un luxueux hôtel situé à quelques kilomètres. Ma jeune épouse avait acheté de la lingerie très sexy et, rempli de désir, je me suis appliqué à tout lui retirer avant de l’allonger sur le lit. Elle aussi était très excitée et elle me suppliait de venir la prendre sans attendre plus longtemps. J’écartais ses cuisses et plongeait ma bite en elle. Pour ne pas la brusquer j’allais et venais lentement dans sa chatte trempée, mais elle me murmura entre deux gémissements de ne pas me retenir et de la baiser plus fort. Il ne fallait pas me le dire deux fois et je me mis à la pilonner vigoureusement, lui arrachant des cris de plaisir. Après un long moment de ce traitement, elle finit par jouir en criant mon nom et, juste après, je me vidais les couilles en soupirant de contentement.
Adeline partit se nettoyer dans la salle de bain et j’en profitais pour appeler le room-service et commander du champagne. Adeline venait de revenir, drapée dans une serviette, quand on frappa à la porte. Une jeune femme blonde et avenante en uniforme nous apportait notre commande et je prétextais le fait de devoir aller prendre de la monnaie pour le pourboire pour proposer en aparté à Adeline de pimenter quelque peu notre nuit de noces… Ayant parfaitement compris ce que je voulais dire, elle jeta un regard en coin à la blonde pulpeuse qui attendait patiemment et, à ma grande surprise, accepta ce que je proposais. Il ne me fallut pas longtemps pour convaincre la soubrette de participer, moyennant un gros billet, et c’est ainsi que je me suis retrouvé à la prendre en levrette pendant qu’elle léchait la chatte d’Adeline. Cette dernière semblait d’ailleurs énormément apprécier ces petits coups de langue rapides qui alternaient avec un léchage en profondeur. En entendant les deux filles gémir à l’unisson je me sentis plus excité que jamais et je bourrais la blonde avec vigueur et en profondeur. Elles changèrent ensuite de position pour se retrouver en 69 et je l’enculais sans relâche tandis qu’Adeline faisait passer sa langue de sa chatte à mes couilles. N’en pouvant plus, je jouis abondamment et lorsque je me retirais un flot de sperme épais dégoulina hors de la fente de la bonne pour se répandre sur le visage de ma femme.
Les jours qui suivirent furent moins mouvementés, occupé que nous étions avec les derniers préparatifs de notre voyage de noce. J’avais offert à Adeline une croisière sur un luxueux paquebot et elle attendait le départ avec une impatience toute enfantine. »
Il se montre fidèle tout au long de la croisière > 34
Il profite de la première occasion pour tromper sa femme > 55

19.
« Il y avait cette nouvelle secrétaire, Myriam, qui venait d’être embauchée au bureau, pleine de charme et toujours très classe. Je me suis rapidement rendu compte qu’elle était aussi très ambitieuse et j’ai décidé de jouer là-dessus. Je l’ai convoquée un soir et lui ai expliqué que j’étais très satisfait de son travail et envisageais de lui offrir une promotion… Si elle se montrait suffisamment motivée. Elle comprit tout de suite où je voulais en venir et sans plus attendre me fit profiter d’un lent strip-tease très sensuel avant de se pencher sur mon bureau, ne portant rien d’autre que ses chaussures à hauts talons et en me proposant de tester sa « motivation » sur le champ. Passant derrière elle j’assénais une claque sonore sur son cul magnifique avant de commencer à la prendre par-derrière comme une chienne. Ses gémissements de plaisir étaient sans doute en partie simulés, mais j’étais suffisamment excité pour lui pardonner de chercher à me convaincre à tout prix que j’étais un excellent amant. Elle mouillait énormément, ce qui fournit un excellent lubrifiant quand je décidais de me retirer de sa chatte pour pénétrer son anus. Une fois dans son cul je m’en donnais à coeur joie et je la pilonnais sans retenue, ce qu’elle sembla apprécier, jusqu’à ce que je jouisse. Je me retirais alors, laissant une coulée de sperme jaillir de son petit trou et se répandre jusqu’au sol.
Myriam eu sa promotion et je continuais à la baiser très régulièrement, d’abord au bureau, puis dans un petit appartement que je lui avais trouvé – ce qui devrait te rappeler quelque chose – qui me permettait de la sauter le soir en prétextant des réunions tardives. J’étais parfaitement satisfait de ces petits arrangements avec la morale, mais elle en voulait plus et au bout de quelques mois elle commença à me demander de quitter Adeline pour vivre avec elle. »
Il accepte de quitter sa femme > 27
Il refuse > 42

20.
« Au cours des années qui ont suivies, j’ai passé mon temps à enchaîner les relations sans lendemain, profitant tout d’abord d’une liberté retrouvée puis m’habituant peu à peu à vivre sans entraves et à profiter des plaisirs qui s’offraient si facilement à moi. Et puis je t’ai rencontrée dans les circonstances que tu sais. Au début j’ai pensé que cela ne serait pas différent des autres femmes avec qui j’avais eu des liaisons, mais j’ai appris à te connaître peu à peu et j’ai changé d’idée sur ce que pourrait être mon avenir, car je suis tombé amoureux fou de toi. Comme je te l’ai dis j’ai une question importante à te poser, mais avant je voulais tout te dire sur moi et ma vie passée pour que tu saches vraiment qui je suis. Maintenant que je t’ai livré mon passé et ce qui m’a construit tel que je suis aujourd’hui, j’aimerais savoir si tu accepterais de devenir ma femme… »
Surprise par cette demande inattendue, et peut-être encore un peu sous le choc de tout ce qu’Henri vous a révélé sur son passé, vous hésitez un moment avant de lui répondre.

A suivre dans le prochain chapitre, « Gourmandise ».

21.
« Ce jour-là j’avais organisé un petit 5 à 7 avec une des « filles » d’Hélène, Natacha, une grande blonde aux seins magnifiquement refaits. Comme à mon habitude je lui avais donné rendez-vous dans un petit hôtel discret situé non loin de mon bureau et nous étions tous les deux nus sur le lit. J’étais en train de la besogner violemment en levrette en la tenant par les cheveux et en lui claquant le cul. Elle poussait des petits cris très excitants qui me motivaient pour la pénétrer encore plus fortement et profondément. Tout à mon affaire, je ne remarquais pas immédiatement que la porte de la chambre venait de s’ouvrir. Adeline fit alors irruption dans la pièce en hurlant, hystérique et incontrôlable. Elle gifla Natacha qui réagit aussitôt en se jetant sur elle toutes griffes dehors, telle une chatte en furie. Amusé, je laissais les deux femmes rouler au sol en échangeant des coups maladroits et en se tirant les cheveux. J’en profitais pour me rhabiller rapidement puis je les séparais enfin. Je congédiais la pute blonde qui ramassa ses affaires et sortit en jetant un dernier regard noir en direction d’Adeline. Celle-ci, ayant épuisé toute son énergie, se contenta de me regarder fixement sans un mot avant de s’enfuir à toute vitesse. Je pensais la retrouver chez nous le soir-même, mais elle ne vint pas et ne se montra pas plus les jours suivants. Elle semblait avoir totalement disparue et je me posais beaucoup de questions sur ce qu’elle avait bien pu devenir. »
Il la recherche activement > 37
Il décide d’abandonner et de passer à autre chose > 20

22.
« Le moment idéal se présenta pendant l’après-midi deux jours plus tard. Mes parents étaient sortis je ne sais plus où et, traversant le salon, je découvris Mathilde en train de passer l’aspirateur. Inconsciente de ma présence, elle se dandinait et se penchait parfois en avant, m’offrant une vue parfaite sur les courbes attirantes de son corps. Pris d’une impulsion soudaine, je m’avançais et lui mis une main au cul. Surprise, mais loin d’être effarouchée par ce contact inattendu, elle se retourna en souriant et me demanda si elle pouvait faire quelque chose pour moi. Prenant sa main et la posant sur la bosse que formait mon sexe dans mon pantalon, je lui avouait que je me sentais « tendu » et qu’elle pourrait peut-être m’aider à me relaxer. Un instant plus tard, j’étais au paradis : Mathilde, à genoux devant moi, me pompais la queue avec application. Elle m’avala jusqu’aux couilles dans une démonstration de gorge profonde parfaitement maîtrisée. S’étranglant à moitié sur ma bite bien dure, elle finit par la ressortir afin de reprendre sa respiration. Désirant par-dessus tout ne pas jouir trop vite je lui proposais de changer de position et me calmais un peu pendant qu’elle se mettait à quatre pattes. Je m’enfonçais d’un coup dans sa chatte humide et commençais alors à la prendre en levrette en tenant d’une main ses longs cheveux blonds et en claquant son cul rebondi de l’autre. Ses cris de plaisir de plus en plus intenses m’excitaient terriblement et je ne pus résister bien longtemps : je me retirais précipitamment et arrosais ses fesses et son dos de mon sperme. Cette première expérience sexuelle fut pour moi extraordinaire… »
Encore plus amoureux de Mathilde, il prolonge sa relation avec elle > 15
Ayant obtenu d’elle ce qu’il voulait, il passe à autre chose > 52

23.
« Valérie venait de sortir dans le jardin en titubant, sans doute à la recherche d’un peu de fraîcheur. Je la suivis sans que personne ne fasse attention à moi et je retrouvais la belle rouquine affalée près d’un arbre. Elle essayait sans succès d’enlever ses escarpins à hauts talons, visiblement trop ivre pour y arriver. Je me montrais et lui proposais mon aide, qu’elle accepta en pouffant de rire. Je jetais dans l’herbe ses chaussures et embrassais effrontément ses magnifiques pieds nus, ce qui déclencha chez elle un nouvel accès d’hilarité. Ma bouche se posa ensuite sur ses chevilles, puis sur ses genoux… Quand j’atteignis sa culotte elle ne riait plus et sa respiration s’était faite haletante. Je me relevais et sortis ma queue de mon pantalon, à hauteur de son visage. Sans hésiter Valérie la prit dans sa bouche et commença à me sucer. Ses lèvres entourant ma bite me mettaient dans un tel état que n’importe qui aurait pu nous surprendre sans que je m’en aperçoive. Elle me pompa pendant de longues minutes sans faire mine de vouloir s’arrêter, mais je n’avais pas envie de jouir dans sa belle bouche. Non, j’avais d’autres projets pour elle. Je me retirais alors et la mis visage contre terre et le cul dressé vers moi. Je baissais sa petite culotte, me positionnais et pénétrais son anus. Elle ne protesta même pas et me laissa l’enfiler jusqu’à ce que mes couilles viennent taper contre son cul constellé de tâches de rousseur. Je l’enculais d’abord doucement, prenant le temps de m’habituer à son petit trou, puis j’accélérais le mouvement, la faisant pousser de petits cris de douleur et de plaisir mêlés. Encouragé par son attitude, je me mis à la pénétrer encore plus vite et plus fort, me déchaînant dans son cul. Je finis par jouir, enfoncé en elle, ma semence débordant sur ses fesses. Elle avait dessaoulé et gémissant encore elle récupéra sa culotte et ses chaussures avant de repartir d’une démarche peu assurée. » > 31

24.
« J’avais repéré le manège de l’un des serveurs qui avait passé la soirée à mater la poitrine et le cul de toutes les femmes présentes. Je le retrouvais dehors où il faisait une pause cigarette et lui proposais de se joindre à moi pour baiser Noémie. Il ne se fit pas prier et me suivit jusqu’à ma chambre où nous attendait la jeune fille qui n’avait pas perdu de temps et étais déjà entièrement nue. Elle ne perdit pas de temps et se mit vite à genoux pour nous sucer à tour de rôle, passant avec gourmandise d’une bite à l’autre. Tout en nous pompant elle se doigtait doucement et bientôt elle exigea que l’ion vienne la baiser. Je m’allongeais sur le lit et Noémie se jeta sur moi pour venir me chevaucher sauvagement, impatiente de prendre du plaisir. Notre compagnon se positionna derrière elle, écarta sans ménagement ses fesses et pénétra lentement son anus serré. Cela la fit crier et elle arrêta même de monter et descendre sur ma bite, le temps que l’autre soit profondément insérée dans son petit cul étroit. Une fois en place, nous nous en sommes donnés à cœur joie, baisant vigoureusement Noémie qui, toute timidité disparue, nous encourageait à la défoncer encore plus violemment en poussant de véritables râles de plaisir. Nous avons continué à la prendre en double pénétration sans ménagement, nos deux bites la remplissant totalement. Nous avons jouis pratiquement en même temps tous les trois, puis Noémie nous a nettoyé à petits coups de langue, léchant le sperme et la sueur qui couvraient nos queues. Epuisés mais comblés nous avons fait une toilette rapide avant de rejoindre les autres invités qui ne se doutaient pas de ce que nous venions de vivre. » > 31

25.
« Je dépensais sans compter pour séduire Estelle, lui offrant fleurs, bijoux et week-ends romantiques. Hervé se trouva rapidement dépassé et constata, beau joueur, qu’il n’avait plus ses chances avec elle. Cela n’empêcha pas qu’au fil du temps notre rivalité initiale se transforme en amitié et nous sommes restés proches lui et moi pendant de nombreuses années. Quant à la belle Estelle, elle s’offrit à moi après un bain de minuit sur une plage déserte. Je me montrais moins romantique et gentleman à cette occasion que ce que je lui avait laissé penser auparavant. Je la traitais comme la femme vénale qu’elle était, considérant que j’avais suffisamment payé pour avoir le droit d’user d’elle comme bon me semblait. Je la baisais donc sans ménagement à quatre pattes comme une chienne en la tenant par les cheveux et en lui claquant le cul avant de l’enculer profondément à sec. Pour finir je giclais sur son beau visage, la laissant humiliée et salie. Il va sans dire que ce fut notre dernier rendez-vous… » > 4

26.
« Il ne se passa donc rien ce jour-là. Et pas grand-chose non plus dans les semaines qui suivirent. Au lit, Adeline continuait d’être maladroite et en fait peu intéressée par le sexe. Je me lassais rapidement de cette situation et regrettais déjà de m’être marié si vite sans percevoir sa véritable personnalité. »
Il décide donc de la tromper avec sa secrétaire > 19
Il va se plaindre à son beau-frère, qui est toujours son meilleur ami > 64
Il abandonne l’idée de changer Adeline et la quitte > 27

27.
« Ma relation de couple avec Adeline en était donc arrivée à un point où je ne nous voyais plus d’avenir commun. Je décidais donc de la quitter et de refaire ma vie. »
Il a une liaison avec Myriam, sa secrétaire > 50
Il a une liaison avec Sonia, sa belle-sœur > 56
Il n’a personne d’autre dans sa vie pour le moment > 20

28.
« Je multipliais donc les aventures extraconjugales sans que mon épouse ne se doute un seul instant du nombre de femmes avec qui je couchais au bureau, en déplacement ou lorsque je sortais sans elle soi-disant pour passer du temps avec des amis. Mon entreprise florissante et ma fortune personnelle faisaient également que j’étais régulièrement convié à des événements mondains. Et c’est à l’occasion d’un gala de charité donné pour je ne sais plus quelle cause humanitaire que je croisais la route de Monica. Cette célèbre actrice d’origine italienne était le genre de femme que l’on a du mal à regarder dans les yeux tant sa poitrine opulente capte le regard. Nous avons bavardé un long moment et elle a eu la politesse de rire à mes plaisanteries et de faire semblant de me trouver captivant. Nous avons fini la soirée dans sa luxueuse suite dans un palace proche et, à peine avions nous franchi la porte de sa chambre qu’elle se jetait sur moi telle une tigresse en chaleur. Ce qui suivit tint plus de la lutte sauvage que des préliminaires et, nos vêtements enlevés à la hâte et sa petite culotte arrachée, je me retrouvais la tête entre ses magnifiques cuisses en train de laper avidement sa chatte soigneusement épilée. Elle gémissait en m’encourageant de sa voix un peu rauque et si sensuelle. Je m’en donnais à cœur joie et bouffais sa fente moite de ses grandes lèvres jusqu’au plus profond de son intimité. Elle jouit en poussant un long cri et en m’aspergeant le visage, révélant ainsi sa nature insoupçonnée de femme fontaine. Je la retournais sur le lit et la pénétrais par-derrière d’un coup puissant. Ma bite bien dure se fraya un passage dans le fourreau humide de son sexe et sans attendre je commençais à y aller et venir de plus en plus rapidement. Pouvoir baiser une femme aussi belle m’aurait déjà beaucoup excité en temps normal, mais savoir en plus qui elle était augmentait réellement le plaisir que je pouvais avoir à la pénétrer en lui imposant un rythme soutenu. Elle gémissait de plus en plus fort en prononçant des paroles incohérentes et je sentais qu’elle n’était pas loin de jouir une nouvelle fois. Voulant faire durer le plaisir, je m’arrêtais plusieurs fois juste au moment où elle était sur le point d’atteindre l’orgasme. Et elle finit par m’insulter en italien tout en m’ordonnant de cesser de jouer et d’enfin la faire jouir. J’accédais à sa demande de bonne grâce et après quelques coups de bite violents elle inonda à nouveau les draps de son plaisir. Les cheveux défaits et le maquillage coulant sur son beau visage elle me fit m’allonger sur le dos avant de venir s’asseoir sur moi. La sensation de son petit trou serré autour de ma bite fut fantastique et je dus me retenir pour ne pas exploser immédiatement. Monica me chevaucha lentement, penchée en avant pour que je puisse prendre à pleines mains ses seins lourds et parfaits. Je l’enculais ainsi pendant de longues minutes avant de gicler tout au fond de son cul sublime.
Cette nuit fut aussi torride qu’inoubliable et, à ma propre surprise, elle ne fut pas la dernière que je passais en sa compagnie. Il y eu de nombreuses autres occasions où je pus m’envoyer en l’air avec la brûlante Italienne et je devins complètement accro à ses courbes affolantes. Mais il y avait une ombre au tableau : Monica se montra rapidement extrêmement jalouse et me reprocha bientôt de passer trop de temps avec ma femme. Comme je ne manifestais aucune envie de voir cette situation changer, elle décida de prendre les choses en main et informa Adeline de notre liaison. J’eus droit de la part de mon épouse à toute une série de scènes éprouvantes qui se terminèrent par un divorce douloureux. »
Il profite alors de sa liberté retrouvée pour demander à Monica de partager sa vie > 30
Il en veut à l’actrice d’avoir gâché sa vie conjugale et rompt aussi avec elle > 29

29.
« J’expliquais à Monica que je ne pourrais jamais lui pardonner d’avoir fait voler en éclat mon mariage et que je ne désirais plus jamais avoir affaire à elle. La volcanique Italienne tomba des nues, surprise et furieuse de ma réaction et m’offrit une scène terrible et outrancière, m’insultant de tous les noms en italien avant de briser un vase en le lançant dans ma direction. Incapable de la calmer, je l’attrapais par les poignets et l’attirais vers le canapé. De force je l’allongeais alors sur mes genoux, soulevais sa robe tandis qu’elle se débattait et je commençais à fesser son magnifique postérieur. Après seulement quelques claques bien sonores appliquées sur son cul elle cessa de lutter et se mit à gémir, visiblement excitée par le traitement que je lui infligeais. Cette situation m’excitait moi aussi terriblement et je guidais bientôt sa tête vers mon entrejambe. Sans se faire prier, elle déboutonna mon pantalon et en sortit ma bite déjà raide qu’elle avala en entier. Elle entreprit de me pomper comme si sa vie en dépendait, aspirant ma queue profondément dans sa gorge. Elle me suça ainsi jusqu’à ce qu’elle soit obligée de me relâcher pour reprendre sa respiration. J’en profitais pour la biffler à plusieurs reprises. Elle me reprit ensuite en bouche, sa langue agile jouant avec mon gland quelques instants avant de me reprendre en gorge profonde. Je plaquais son visage contre moi pour l’obliger à me prendre en entier, ce qu’elle fit avec cette facilité déconcertante qu’elle avait toujours eu. J’étais à deux doigts de jouir, mais je me retins jusqu’à ce qu’elle doive à nouveau faire sortir ma bite pour respirer. A ce moment je lâchais tout et arrosais abondamment son visage et son décolleté.
Une fois sous la douche, et sachant bien qu’elle y resterait très longtemps, je me rhabillais et m’éclipsais subrepticement, n’ayant pas changé d’avis sur la nécessité de mettre un terme à notre relation. » > 20

30.
« J’avais donc perdu Adeline mais je me dis que je pouvais gagner au change en m’installant avec Monica. Ma vie commune avec la volcanique Italienne a été une succession de délices. Nous formions un couple très libre, toujours prêts à profiter de la moindre occasion de profiter des plaisirs de la vie, sans engagement ni jalousie. Nous finissions de toute façon toujours par nous retrouver pour de très chaudes séances de sexe, parfois même accompagnés de ma dernière conquête en date ou de son amant du moment. Malheureusement j’ai eu de plus en plus de mal à accepter tout ce temps qu’elle passait au quatre coins du monde pour ses tournages et je me suis lassé de ne faire qu’attendre son retour. Nous nous sommes retrouvés dans une impasse, car elle ne voulait bien évidemment pas abandonner sa carrière pour moi et nous avons fini par nous séparer. Nous sommes restés malgré tout de très bons amis et il nous est arrivé parfois de coucher à nouveau ensemble, sans rien attendre de plus qu’un bon moment de plaisir partagé. » > 20

31.
« L’heure de la reprise des cours avait malheureusement sonné après ces vacances riches en émotions et en expériences. Je quittais donc mes parents pour rejoindre la prestigieuse école de commerce dans laquelle j’étudiais. C’est là qu’un nouveau défi s’offrit à moi. »
Il essaye de convaincre Estelle, la plus belle fille de l’école qu’elle a besoin d’aide pour « réviser » > 39
Il accepte le pari lancé par un de ses amis d’arriver à mettre dans son lit Carole, une intello uniquement intéressée par ses études > 45
Il tente de séduire une de ses profs dans l’idée de gonfler ses notes > 3

32.
« Je n’avais jamais été très proche de mon cousin Francis, mais quand je le pris à part pour lui parler de la proposition indécente que venait de me faire Noémie, il se montra enthousiaste et reconnaissant que j’ai pensé à lui. Quelques minutes plus tard nous étions tous les trois dans ma chambre et nos habits étaient répandus à travers la pièce. Nue, Noémie était plutôt séduisante finalement, son corps pâle constellé de tâches de rousseur présentant des formes agréables à l’oeil. Francis et moi bandions déjà fort et Noémie ne tarda pas à se retrouver à genoux devant nous pour nous sucer en passant de l’un à l’autre avec gourmandise. Elle avait bien plus d’expérience en la matière que ce que j’avais imaginé et la jeune fille timide se transforma rapidement en une suceuse de bites avide de sexe. Tout en nous pompant elle se doigtait doucement et bientôt elle exigea que l’on vienne la baiser. Francis s’allongea sur le lit et Noémie vint s’empaler sur lui avec un long soupir de contentement. Avant même que je vienne les rejoindre elle commença à monter et descendre sur sa queue, impatiente de prendre du plaisir. Je passais derrière elle et la forçais à se pencher en avant pour exposer son adorable petit cul. J’écartais ses fesses, posais mon gland contre sa rondelle étroite et la pénétrais lentement. Tendue par cette pénétration anale, elle arrêta de bouger sur Francis le temps que je sois bien entré en elle. Ses cris de plaisir intenses ne laissèrent aucun doute sur le fait qu’elle apprécia grandement cette double pénétration que nous lui offrions. J’essayais tant bien que mal de la limer sur le même rythme que mon cousin, mais à plusieurs reprises ma queue jaillit de son cul et il me fallut la pénétrer à nouveau. Noémie atteignit un orgasme puissant avant de s’effondrer sur Francis en tremblant de tous ses membres. Nous nous sommes alors retirés de ses orifices malmenés et nous nous sommes branlés au-dessus d’elle avant d’arroser ses seins et son visage de longs jets de sperme. Epuisés mais comblés nous avons fait une toilette rapide avant de rejoindre les autres invités qui ne se doutaient pas de ce que nous venions de vivre. » > 31

33.
« Hervé était bien connu pour son caractère de joyeux fêtard et ce soir-là encore il avait organisé une fête mémorable où se retrouvaient toutes les plus belles filles qu’il connaissait. Je me souviens qu’il était quand même un peu énervé, car sa petite sœur, Adeline, s’était incrustée au dernier moment et il n’avait aucune envie de passer son temps à la surveiller pour éviter qu’elle ne boive trop, consomme des substances illicites ou se fasse sauter dans un coin… »
Profitant de l’ambiance, Henri drague tout ce qui passe à sa portée > 54
Il propose à son ami de garder un œil sur Adeline… avec l’idée de coucher avec elle > 14
S’il a déjà couché avec Carole, l’intello de la promo > 41

34.
« En fin de compte, ce voyage de noces se révéla plutôt ennuyeux et malheureusement assez révélateur de ce qu’allait être notre vie de couple. Dans les mois qui suivirent nous nous sommes installés dans une routine bien peu excitante. Je ressentais bientôt le besoin de trouver du changement et de l’excitation dans ma vie devenue un peu morne. Je résistais quelque temps à la tentation puis décidais de laisser libre cours à ma nature et de tomber dans l’infidélité. »
Il trompe sa femme avec :
Sa secrétaire > 19
La meilleure amie de sa femme > 35
Son meilleur ami (pour tester quelque chose de nouveau…) > 12

35.
« Gwenaëlle avait été témoin d’Adeline à notre mariage et nous l’avions reçue régulièrement chez nous depuis. Cette jeune femme un peu ronde avait le don de s’amouracher d’hommes qui n’étaient pas faits pour elle et ses histoires sentimentales s’achevaient toujours de manière catastrophique. Ce qui était pour elle l’occasion de venir pleurnicher devant Adeline. Elle venait justement de rompre avec un homme qui avait disparu après qu’elle lui ait confié toutes ses économies pour l’aider à réaliser un projet qui allait fatalement les rendre riches… et il se trouve que j’étais seul à la maison quand elle est venue sonner à notre porte pour s’épancher. Une idée perverse derrière la tête, je tentais de la calmer et de la rassurer sur ses capacités à réussir sa vie. Tout en parlant, je me rapprochais d’elle et me fis plus tactile. Gwenaëlle réagissant bien à mes attouchements de plus en plus explicites, je l’embrassais à pleine bouche sans qu’elle cherche à me repousser. Quelques minutes plus tard nous étions nus tous les deux et, conscients que ma femme pouvait revenir inopinément, nous sommes passés directement aux choses sérieuses sans nous attarder sur des préliminaires. Allongée sur le dos à même le sol, elle écartait ses grosses cuisses en m’incitant à venir la prendre. Je plongeais donc ma bite raidie par l’excitation dans sa chatte et débutais par quelques mouvements rapides, allant taper le plus profondément que je pouvais. Elle lâcha totalement prise et se mit à pousser de bruyants couinements de plaisir, les yeux fermés. Je la bourrais sauvagement à grands coups rapides, ma bite s’enfonçant dans sa chatte humide en clapotant. En même temps je jouais avec ses gros seins aux tétons durcis par l’excitation, léchant, embrassant et mordillant pour son plus grand plaisir. Avec une vulgarité que je ne lui connaissais pas elle m’incitait à la baiser plus fort encore et à l’insulter en la traitant de salope, de chienne et de putain. Après de longues minutes de ce traitement éprouvant, Gwenaëlle hurla sa jouissance avant de retomber mollement, épuisée et en sueur. Je lui ordonnais d’ouvrir grand la bouche et je me finis en me branlant au-dessus. Plusieurs jets éclaboussèrent son visage avant de couler sur le sol. Je la forçais à les nettoyer avec sa langue, à quatre pattes, pendant que je l’encourageais en claquant gentiment son gros cul luisant.
J’entretins une liaison irrégulière avec Gwenaëlle pendant plusieurs semaines très excitantes et je m’amusais à tester ses limites en lui imposant de baiser dans des lieux où nous risquions d’être surpris et en exploitant au maximum son caractère soumis. Les choses prirent un tournant désastreux quand, prise de remords tardifs, elle finit par tout avouer à Adeline. Celle-ci me fit une scène épouvantable et rien ne put réparer les dégâts que j’avais causés. Finalement, notre divorce fut prononcé et je me retrouvais à nouveau seul et libre. » > 20

36.
« Etant d’assouvir tous mes besoins sexuels en compagnie de Maya, je finis par me montrer distrait et négligent. Un soir en rentrant du bureau j’oubliais que j’avais son string dans la poche de ma veste, souvenir d’un petit coup vite fait dans les toilettes des hommes à l’heure du déjeuner. Bien sûr Carole mis la main dessus et je dus subir une scène faite de cris et de larmes. Lorsqu’elle fut un peu calmée, je pus enfin faire valoir mes arguments en lui exprimant mon insatisfaction sexuelle chronique et en lui reprochant de ne faire aucun effort dans ce domaine. La discussion se prolongea tard dans la nuit et je vis que j’avais touché un point sensible, Carole semblant se ranger peu à peu à mon avis et oublier les reproche qu’elle aurait pu légitimement me faire.
J’étais cependant loin d’imaginer ce qu’elle allait faire pour tenter de régler cette crise. Le lendemain en rentrant à la maison j’eus la grande surprise de trouver ma femme en grande conversation avec Maya dans notre salon. Carole avait décidé d’inviter ma secrétaire pour faire connaissance et visiblement ces deux-là s’entendaient déjà à merveille. En mon absence elles s’étaient même mis d’accord sur la possibilité de me « partager » et pour sceller cette complicité toute récente, elles me proposèrent directement de les accompagner dans notre chambre à coucher. Allongé sur le lit je les regardais se déshabiller mutuellement, Maya sûre d’elle et entreprenante tandis que Carole était plus timide et toute rougissante. Une fois nues, leurs bouches se joignirent dans un long baiser passionné, ce qui faillit bien me faire jouir immédiatement. Elles me rejoignirent sur le lit et entreprirent de partager ma bite. Deux bouches, deux langues et quatre mains sur ma queue et mes couilles : je n’étais pas loin du paradis ! Je découvrais à cette occasion une nouvelle facette de mon épouse qui se révélait pour l’occasion entreprenante et gourmande. Maya m’offrit ensuite une de ces gorges profondes dont elle avait le secret pendant que Carole me léchait les couilles puis glissait une langue timide entre mes fesses. C’en fut trop pour moi et j’explosais dans la bouche de la belle brune. Celle-ci fit sortir ma bite de sa bouche avant de partager mon sperme avec ma femme au cours d’un baiser langoureux. Mes deux partenaires passèrent le temps qu’il me fallut à me remettre de mes émotions à se gouiner passionnément dans un long et sensuel 69. Lorsque j’eus retrouvé un peu de vigueur j’enfourchais Maya, qui se trouvait alors sur Carole, et l’enculais lentement. Une fois bien au fond de son cul accueillant je la limais sans ménagement pendant que Carole continuait à s’activer sur sa chatte à coups de langue. Ma belle secrétaire ne tarda pas à jouir en gueulant de plaisir et je la rejoignis quelques instants plus tard. Je retirais ma bite et un flot de sperme s’écoula jusque sur le visage rayonnant de bonheur de ma femme…
Je pensais bien sûr être à l’aube d’une nouvelle partie très excitante de mon existence, mais je déchantais vite quand Carole m’informa que dorénavant elle préférait les femmes et qu’elle allait vivre avec Maya qui avait su lui révéler sa vraie nature. »
Suite à cette expérience troublante, il devient cynique sur les femmes et leurs motivations > 66
Malgré tout, il reste optimiste quant aux relations entre hommes et femmes > 20

37.
« Je passais beaucoup de temps à rechercher Carole qui semblait avoir totalement disparu. Personne n’avait de ses nouvelles, ou ne voulait me dire où elle se trouvait. Les mois passant sans résultat, je finis par abandonner mes recherches sans parvenir à oublier totalement mon épouse. Et puis, alors que je m’y attendais le moins, je la retrouvais dans des circonstances improbables : j’avais été invité à une soirée libertine en dehors de la ville et elle promettait d’être très animée. Me mêlant aux différents groupes qui s’activaient dans toutes les pièces d’un petit manoir et le grand parc qui l’entourait, je baisais successivement une quadragénaire blonde aux seins parfaitement refaits, une jeune asiatique amatrice de double pénétration anale et une grande rousse au physique quelconque mais à l’ardeur insatiable. Un peu fatigué par tous ces ébats, je m’installais sur un sofa moelleux pour déguster un verre de vin tandis qu’une jolie brune à lunettes me suçait avec application. Elle avait déjà dû se faire gicler dessus à plusieurs reprises au cours de la soirée, car ses carreaux étaient mouchetés de petites salissures. Elle peinait un peu à me faire bander de nouveau, mais ne se décourageait pas et me pompait en me fixant de ses grands yeux clairs. Profitant de ce moment de détente, je laissais mon regard se tourner vers les scènes d’orgie qui m’entouraient ; ça et là les corps entremêlés d’hommes et de femmes se livraient à la luxure sans aucune retenue et dans toutes les positions imaginables (et même dans quelques-unes tout à fait inimaginables). Soudain, je reconnus Carole qui, une bite dans chaque trou, se faisait baiser sauvagement par trois jeunes hommes vigoureux ! Un air de pur extase illuminait son visage alors qu’ils lui pilonnaient la chatte, le cul et la bouche. Ils se retirèrent après l’avoir malmenée encore quelques longues minutes et la couvrirent d’une épaisse couche de sperme. Ne voulant pas qu’elle puisse s’éloigner et disparaître dans la foule avant que j’ai eu l’occasion de lui parler, je sortis ma bite de la bouche de ma jolie myope, me branlais rapidement puis giclais dans mon verre que je lui laissais en main avant de tenter de rejoindre Carole. Du coin de l’oeil je surpris ma partenaire avaler avec gourmandise le mélange de vin et de sperme…
Carole parut surprise et heureuse de me voir lorsque je l’abordais enfin. Elle était dans un triste état, couverte des pieds à la tête de sueur et de sperme, mais elle l’assumait crânement. Nous accordant quelques minutes de pause au milieu de ce débordement de sexe, je pus enfin lui parler. Elle m’avoua avoir très mal vécu la révélation de mon infidélité, mais le fait d’avoir pris de la distance lui avait fait prendre conscience de son besoin de vivre et d’assumer une sexualité sans limites. Du temps avait passé et sa rancoeur avait peu à peu diminué. Elle ne m’en voulait finalement plus autant qu’au début et elle me proposa d’officialiser notre séparation et de divorcer dans les formes pour que nous puissions retrouver notre liberté d’agir comme bon nous semblait. Je me rangeais à son avis et acceptais sa proposition. » > 20

38.
« C’est en rougissant et sans oser la regarder droit dans les yeux (en fait j’avais du mal à détourner le regard de ses gros seins mis en valeur par un chemisier presque transparent) que j’ai avoué mon amour à Mathilde. J’avais encore une idée ridiculement romantique de toutes ces choses et ce qui devait arriver arriva. Elle éclata de rire et, me parlant comme à un enfant un peu limité, elle m’expliqua que je n’aurai jamais aucune chance avec elle, car elle préférait les hommes plus âgés et expérimentés. Vexé par sa réaction, je bredouillais une excuse avant de m’enfuir. Malgré cette humiliation, je ne parvins pas à oublier Mathilde et son corps voluptueux continua à occuper mes fantasmes et mes séances fébriles de masturbation nocturne… Je fis tout mon possible pour éviter de la croiser pendant les jours qui suivirent, jusqu’au moment où je la surpris dans un recoin isolé du jardin. Elle appuyait ses deux mains contre le tronc d’un arbre et se tenait bien cambrée, sa jupe relevée et sa culotte jetée dans l’herbe, offrant sa croupe splendide aux assauts féroces du jardinier. La voir se faire prendre vigoureusement comme une chienne par cet homme au physique quelconque et qui avait plus que l’âge d’être son père me fit un choc. Mais, une fois cet accès de jalousie passée, je fus gagné par une grande excitation, accentuée par les gémissements rauques de plaisir que poussaient la belle Mathilde à chaque fois que la bite bien dure de son amant venait taper au fond de sa petite chatte étroite et trempée. Je décidais donc… »
…de rester caché et de me soulager discrètement en jouant les voyeurs > 8
…d’intervenir et de les menacer de révéler leur comportement indécent à mes parents > 44

39.
« Estelle était vraiment une fille magnifique : grande, de longs cheveux blonds vénitiens, et surtout des yeux d’un bleu très clair qui rendaient son regard quasiment hypnotique. Toujours sexy sans jamais être vulgaire elle était le centre de l’attention de nombreux garçons et en était totalement consciente sans en abuser. Il m’avait fallu du temps pour trouver le courage de l’aborde

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