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Argent et famille (11)

Argent et famille (11)



L’organisation de la soirée m’aura pris une bonne partie de la journée, mais je n’étais pas mécontent de ce que j’avais plannifié. La soirée présente un budget conséquent, mais j’étais bien décidé à en mettre plein la vue à Marion pour la destabiliser.
Plutot que de prendre ma voiture, j’avais décidé de louer les services d’une société de véhicules de prestige avec chauffeur. C’est une Bentley qui se présenta en bas de chez moi vers 18h30. Il me conduisit en bas de chez mon père. Une jeune fille brune attendait, je reconnus rapidement Marion, d’après les photos que j’avais vu sur son profil facebook, et sur lesquelles, sa mère et moi, nous étions masturbés.
Elle jeta un oeil à la voiture, aux vitres fumées, puis regarda au loin car d’autres voitures arrivaient. Le chauffeur sortit du véhicule, s’approcha de Marion, qui fut très surprise, et avança du coup vers le véhicule. Le chauffeur lui ouvrit la porte arrière, elle se pencha, et nos regards se croisèrent. Je lui fis un grand sourire, l’invitant à venir s’assoir.
– Bonjour Marion.
Elle répondit à mon salut, avec un beau sourire. Le chauffeur tenait la porte. Elle s’engouffra dans le véhicule et vint s’assoir à coté de moi. Il y avait la place pour une autre personne entre nous deux. L’espace interieur était spacieux. Tandis que le chauffeur ferma la porte, elle me dit :
– C’est le grand luxe…
– Je pense qu’avec ce stress actuel, une soirée de détente vous fera le plus grand bien.
– oh oui vous avez raison, répliqua t-elle.
Elle portait une jupe et un chandail noir, ainsi que des collants. Elle portait un petit haut gris sous son chandail. Ses cheveux bruns étaient détachés, lui tombaient jusqu’au milieu du dos, et elle portait de petites lunettes de soleil rondes relevées sur la tête.
Le véhicule se remit à rouler, et je commençais la conversation.
– On a le même age je crois, à quelques choses près… Je vous donne quoi… 21 ans….? Peut être que c’est plus simple si on se tutoie tout de suite ?
– Oui oui absolument. Et c’est mon age en effet.
Déjà une information exacte révélée la veille par sa mère.
– Est-ce que tu as de bonnes nouvelles concernant les recherches ?
– Non, rien du tout… L’enquête piètine, et comme je t’ai dit, l’affaire a été confiée à quelqu’un d’autre.
– D’où l’interet de faire appel à une agence de détectives. Ils travailleront jour et nuit pour retrouver ta mère.
– C’est très gentil de faire cette offre. J’avoue que ça me soulage beaucoup et me redonne confiance. D’autant que…
Elle ravala sa salive, je voyais qu’elle hésitait un peu. Je la mettais à l’aise en lui disant qu’elle pouvait me livrer le fond de sa pensée.
– Et bien, en voyant votre train de vie, et le fait que vous ayez donné de l’argent à maman, je pense de plus en plus qu’elle a pris le large. Ton père est gentil mais… je ne sais pas si c’était un homme pour elle… Il est hésitant… Il a beaucoup de dettes… Je pense qu’elle s’est offert une seconde chance. J’y crois de plus en plus.
– J’espère effectivement que c’est le cas. Je pense que c’est la piste la plus probable. Il faudrait juste qu’elle te contacte, pour te rassurer…
– Oui voilà. Un coup de fil. Ou un courrier. Je peux comprendre son choix.
La voiture approchait de la periphérie de la ville, et s’engageait sur la route menant aux marina.
– On va vers le port ? demanda t-elle.
– Oui. Tu n’as pas le mal de mer ?
– Non … heu ? On va sur un bateau ?
Je fis un petit sourire espiègle.
– Surprise, marmonnais-je.
Elle me retourna le sourire espiègle, regarda la fenêtre, et fit :
– Et bien toi alors…
Le vehicule longea les quais, et s’arrêta au niveau d’un Sunseeker, un grand yacht sur trois étages, faisant une trentaine de mètres. Le chauffeur sortit, et se précipita pour ouvrir la porte de Marion, puis la mienne. Tandis que nous sortions, deux membres d’équipage, en tenue blanche, descendirent de la passerelle jusqu’au quai pour nous saluer.
– Bienvenue Mademoiselle, bienvenue Monsieur.
– Bonsoir, fit chaleureusement Marion.
– Si vous voulez bien monter à bord, nous sommes prêts à lever l’ancre.
Marion se tourna vers moi à cette annonce et claque dans les mains, en me faisant en grand sourire. Elle allait de surprises en surprises.
– J’ai l’impression d’être dans un rêve, fit-elle en marchant sur le bateau. Nous étions sur une grande terrasse en bois, sur laquelle était amenagé un salon conforable, avec un buffet à disposition, et une grande table sur laquelle se trouvaient deux couverts.
Une femme, en tenue d’équipage, s’approcha de nous, et nous demanda si nous souhaitions boire quelque chose. Elle proposa différents types de cocktails. Marion et moi demandèrent un mojito. Le reste de l’équipage s’activait à détacher les amarres et à amorcer les manoeuvres de départ. Elle jeta un oeil à l’interieur du bateau. Un autre salon, très luxueux, se trouvait là, dans une lumière assez tamisée.
– Il y a quoi au dessus ?
– Principalement la passerelle, on ira la voir tout à l’heure. Je te ferai la visite.
– C’est magique, murmura t-elle.
– En plus on a de la chance, il fait beau. On va diner dans la rade. Le coucher de soleil est superbe depuis la mer.
L’hotesse revint avec nos cocktails, et se plaça à l’arrière du buffet, où se trouvaient divers toasts.
– Tu fais quoi dans la vie ?
Marion fut presque génée.
– Je travaille chez un fleuriste. Je suis vendeuse. Et puis je m’occupe de l’agencement du magasin.
– Je te vois bien parmis les fleurs.
Marion me jeta un regard, je fis plisser mes yeux d’un air taquin et séducteur. Elle rougit légèrement.
– Je ne pourrais jamais me payer tout ça, continua t-elle.
– J’ai eu de la chance. J’ai gagné au loto. Le hasard a bien fait les choses.
– C’est gentil à toi de m’en faire profiter en tout cas.
– C’est avec plaisir. Je suis juste désolé que l’on se rencontre dans ces circonstances.
Elle hocha la tête, et regarda le bateau faire sa manoeuvre pour sortir lentement du port.
– Je crois beaucoup au hasard, lui dis-je.
– Moi aussi.
Il fallut trente minutes au bateau pour atteindre la rade. Nous avions une vue parfaite sur la cote, les premières lumières de la ville, et sur le coucher de soleil.
– C’est un décor de rêve, fit Marion.
– C’est encore mieux en ta compagnie.
Marion rougit encore à nouveau, demanda un troisième mojito. Le commandant de bord descendit peu après pour nous saluer et nous souhaiter un bon appetit. Il nous rappella que tout l’équipage était à notre disposition, et nous souhaita encore la bienvenue à bord. On alla s’assoir à table, et on nous servit, devant le coucher de soleil, un diner digne des grands chefs. Marion était vraiment sous le charme des saveurs, du cadre, et semblait vraiment apprécier ma compagnie. Je la voyais regulierement regarder autour d’elle, comme pour admettre qu’elle était bien là en ce moment, et en capter un maximum de souvenirs.
Le diner se termina vers 23h. On nous apporta du café. La nuit était tombée depuis longtemps, et on contemplait les étoiles dans le ciel. Nous étions bercés par le bruit des vagues. J’avais convaincu Marion de rester une semaine de plus en ville, quitte à lui payer l’hotel si l’hebergement chez mon père la génait.
Comme promis, je lui fis visiter le bateau. On traversa le grand salon interieur, très luxueux. On prit l’escalier interieur vers le deuxième étage, on put voir une salle de sport d’un coté, et une autre salle avec un grand écran et un long fauteuil, pour regarder des films. On se dirigea vers la passerelle. Le commandant de bord nous présenta différents appareils, nous expliqua le sonar, nous dit la capacité incroyable en carburant du navire. Il nous parla de quelques traversées insolites qu’il avait traversé. Marion se montra fan de ces petites anecdotes et riait de bon coeur. Je l’enlaissais par la taille, et elle me laissa faire, sans rien dire. Elle se colla d’elle même un peu plus à moi.
On descendit au niveau le plus bas. Sur l’arrière se trouvaient les quartiers de l’équipage, ainsi que la machinerie. A l’avant, il y avait une grande cabine luxueuse, avec grandes baies pour une vue panoramique sur l’exterieur. La pièce était décorée avec gout. Une salle de bain était adjacente.
– J’espère que tu as passé une bonne soirée.
– Merveilleuse… La plus belle de ma vie… Tellement magique…
Je m’approchais contre elle.
– Je rêve de t’embrasser.
– J’en rêve aussi, répliqua t-elle. Cette fois-ci, point de rougeur, elle était sure d’elle.
J’approchais mes lèvres des siennes, et nous partageons un premier et long baiser.
– Je me sens tellement bien… murmura Marion.
– On a deux possibilités qui s’offrent à nous. Je dois prévenir le commandant. Soi nous rentrons à quai, et je te ramène…
Marion hocha la tête.
– Soi on passe la nuit ici, et nous rentrons demain matin.
Doucement, Marion retira son chandail, qu’elle posa sur une chaise. Puis, elle retira son haut gris, dévoilant un soutien gorge Cacharel rose et gris.
Je la regardais, pris le téléphone, et fit le « 1 » pour appeler la passerelle. Le commandant répondit immédiatement.
– Commandant, nous restons.
– Bonne nuit Monsieur, à demain.
Je raccrochais. Marion fit glisser sa jupe, dévoilant une culotte assortie, aux dentelles transprentes sur le devant, laissant apercevoir sa toison, à priori épilée en triangle, comme me l’avait précisé Sandrine la veille. Elle me faisait face, debout à coté du lit, en lingerie et collants noirs.
– Je te plais, demanda t-elle.
Je retirai ma chemise en lui adressant un sourire. J’enlevais mes vêtements rapidement, puis, completement nu, m’approcha d’elle. Elle se laissa tomber sur le lit. Je m’allongeais sur elle. J’écartais un peu sa culotte, toucha sa fente lisse, au dessus de laquelle elle avait un petit triangle de poils. Au contact de mes doigts, je pus sentir qu’elle était toute mouillée. J’approchais ma queue, et la glissa en elle. Elle poussa un long soupir tandis que je rentrais en entier dans sa chatte. Je me mis à aller et venir, et à la culbuter, assez vigoureusement. Elle s’attendait sans doute à un peu plus de douceur. Mais elle écarta bien ses cuisses pour m’accueillir malgré tout. Je lui dégrafais son soutien gorge, faisant jaillir ses seins, si fermes, si généreux. J’embrassais ses mamelons. Puis, je descendis ma bouche, sortit ma queue, et approcha ma bouche de sa chatte. Je lui descendis sa culotte en même temps, la lui retira, et plongea ma langue dans sa fente. Elle poussa un long soupir, tandis que je lui écartais la chatte avec mes doigts, et lui léchais le clitoris avec passion. Puis, je lui mis deux doigts dans la chatte, et commença à la doigter très vite, en tapant bien au fond. Marion se cambra, écarta les cuisses, puis attrappa mon poignet « doucement, doucement », fit-elle en rigolant, « tu es fou ».
Je continuais à aller aussi vite. Marion fut un peu mal à l’aise au début, puis s’abandonna. Sa chatte coulait tant qu’elle pouvait. Un petit jet de mouille sortit à un moment, qui la surprit énormement. Je me ralongeais sur elle, et me remit à la piloner. Puis, je l’invitais à changer de position, et de venir s’assoir sur moi. Elle vint me chevaucher, et aller et venir sur ma queue en gémissant.
– Tu jouis ? Tu aimes ? lui demandais-je.
– Ohhh oui je jouis… J’ai déjà joui… Et encore… et toi ?
– Tu me laisserais te la mettre derrière ?
Marion se figea un peu.
– C’est pas trop mon truc…
– Moi ça me fait jouir… Si j’y vais doucement ?
– Très doucement…
Marion se redressa, se mit à quatre pattes sur le lit, me tendant sa croupe. J’avais une vue imprenable sur sa fente, et sur ses fesses, que je lui écartais de mes deux mains, afin de dévoiler son anus. Je présentais mon gland couvert de mouille, et commença à l’enfoncer doucement dans ses fesses. Je pensais à sa mère, à ce que je lui faisais tous les jours.
– Doucement, doucement, fit-elle.
J’avais à peine entré mon gland. Je faisais de petits allers et retours avec mon corps. Ma queue s’enfonça progressivement. Jusqu’à disparaitre complètement dans son cul. Je la sortis aux 3/4, puis la re-entra à nouveau. Je commençais à la sodomiser. Je pus constater qu’elle se masturbait en même temps. Je l’attrappais par la taille, et commença à lui donner de violents coups de queue dans le cul. Elle me laissa faire en gémissant. Au bout de deux minutes, je la fis changer de position sur le lit, lui remit ma queue dans le cul, et l’encula à nouveau. Puis à nouveau dans une autre position, dans un autre coin du lit, allongée sur le dos, à lui plonger ma queue dans la chatte, puis à nouveau dans le cul.
Je changeais d’angle de vue au maximum. Car j’avais demandé que soient installées différentes cameras dans la chambre. Et je voulais visionner cette séquence de sexe torride aux cotés de Sandrine.
Je sentais que j’allais bientôt jouir. Je me dressais, et fis signe à Marion de se mettre à genou sur le lit. Je mis ma queue devant son visage.
– Branle moi, et carresse toi en même temps.
Marion passa une main entre ses cuisses, et se masturba de l’autre. Il fallut peu de temps pour qu’un long jet de sperme vienne arroser le visage de Marion. Elle me regarda, pour voir si j’étais satisfait, et je lui envoyais deux autres jets de sperme dessus.
– Fais toi jouir… N’arrête pas de te carresser tant que tu n’as pas joui…
Marion, le visage ruisselant de foutre, continuait de s’activer les doigts sur la chatte. Ca dura une petite minute, au bout de laquelle elle poussa un long gémissement, et s’écroula sur le coté.
Elle murmura « bon sang… tu es un dieu du sexe en plus ».
Elle alla se prendre une douche, et, vétue d’un épais peignoire blanc, revint se coucher à mes cotés. Elle se colla contre moi, sous les draps, entièrement nue. Elle s’endormit rapidement.
Ma soirée était une complète réussite. J’imaginais déjà la suite.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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