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Toute une nuit

Toute une nuit



J’ai 20 ans, je fréquente la même fille depuis 3 ans déjà. Avec elle, je baise à chaque week-end. J’ai délaissé mes aventures avec les hommes. Mon oncle est décédé, Alex a disparu, Yves est lui aussi décédé depuis plus d’un an. Ma blonde vit dans le quartier Outremont, donc assez loin de chez moi.

À cette époque, je vais encore à l’école le soir et le jour j’ai un travail peu payant. Alors quand je vais voir ma blonde, j’y vais donc en métro et autobus, un trajet de 45 minutes environ. Mais voilà que le transport en commun est en grève, il y avait juste le métro qui fonctionnait, mais il fallait se rendre à une bouche de métro. Cette grève durait déjà depuis 3 semaines. Il n’était pas question de faire de l’autostop avec ma blonde et un taxi était beaucoup trop onéreux. Alors je me déplaçais en faisant de l’autostop. Durant cette grève les gens étaient tout de même charitable. Parfois on était plusieurs autostoppeurs dans la même voiture.

On était tard en automne, milieu novembre je crois et il commençait à faire froid. Partir tard le soir, ma blonde n’aimait pas cela et je couchais sur le divan, mais je détestais ça. Ce samedi soir-là, j’ai décidé de partir vers les 9: 00 du soir. On annonçait de la pluie et je voulais partir avant et de toute façon j’avais plus de chance pour l’autostop.

Je me revois sur Côte-Sainte-Catherine le pouce en l’air. Il faisait froid et humide. Les autos n’arrêtent pas et comble de malheur, il commence à pleuvoir. La pluie s’intensifie, je suis mouillé jusqu’aux os. Je ne trouve pas ça très drôle. Je me dis encore un cinq minutes et si ça marche pas, je vais retourner chez ma blonde. Puis, une grosse voiture blanche arrête. J’ouvre la portière et je m’engouffre dedans. Je me foutais où le gars allait je voulais me réchauffer. Je lui demande s’il va près d’une bouche de métro, il me dit que non mais qu’il va m’y conduire.

Le type devait avoir 50 ans au moins. Il était bien habillé, il cadrait bien dans sa voiture de luxe. Il sentait bon aussi, un parfum suave et surement cher. Il ne semblait pas corpulent, il avait un visage doux avec des cheveux poivre et sel bien coiffé, on aurait dit un homme d’affaires ou un acteur de cinéma. Il me dit qu’il se rendait dans une broîte de nuit en ville et par curiosité je lui demande laquelle et il me répond le Montmartre. Je savais que cette broîte était pour les gays et lesbiennes, c’était comme nouveau dans le paysage de la ville. Une broîte qui affichait ses couleurs. Je me dis « oups! Un homo!» Il me demande si je connaissais cette broîte je lui dis que non! Il me demande où que je me rendais comme ça et je lui ai raconté que j’étais chez ma blonde et je rajoute que j’en avais assez de la grève car on n’avait pas baisé depuis 1 mois. Il a rit d’un rire niais. Il eu un long silence et je me demandais si j’avais bien fait de lui projeter que j’étais hétéro. Au fond de moi-même l’idée d’une bonne baise avec un homme ne m’aurait pas déplu. Ça faisait longtemps que je n’avais pas sucé une bonne queue.

Il s’est aperçu que je grelottais. Il a mis sa main sur ma cuisse brièvement et il me dit que j’étais tout trempé et que ce n’était pas très bon pour ma santé. Il me dit que si je voulais, on pourrait aller chez lui, afin de prendre un breuvage chaud, faire sécher mon linge et pourquoi pas de prendre un bain chaud. Je le voyais venir avec ses gros sabots mais je me disais qu’il savait que je n’étais pas homo, alors j’ai vu que de la générosité. Je lui ai dit que ce n’était pas nécessaire mais l’idée d’un bon bain chaud et des vêtements secs me plaisais beaucoup.

On est arrivé devant un immeuble à appartement 10 minutes plus tard. Une porte de garage s’est ouverte et la voiture a descendu. Un coup garé, nous sommes entrés dans un ascenseur. J’étais frigorifié. L’homme était silencieux et me semblait un peu timide. Je le trouvais bien de sa personne et il avait des souliers fraîchement cirés, ce qui m’a fait sourire car mon père me disait en cirant ses chaussures « un homme avec des souliers propres est homme propre qui prend soin de lui! ».

Arrivé à son appartement, j’ai été impressionné par le vaste appartement et les meubles modernes. L’homme devait avoir de l’argent. Au salon, des grands divans meublaient l’espace avec une bibliothèque qui contenait téléviseur et système de son haut de gamme. Il m’a indiqué la salle de bain et il m’a dit qu’il ferait couler un bain, je lui ai dit qu’une douche chaude serait suffisante. La salle de bain était vaste. J’ai laissé mes vêtements trempés parterre et je me suis engouffré dans la douche. L’eau chaude était vraiment bonne. J’ai attendu frapper et l’homme m’a dit qu’il prenait mes affaires pour les faire sécher. Il pouvait voir ma silhouette au travers du rideau mais sans plus.

Là, des idées me traversent l’esprit. J’étais seul avec un homosexuel qui devait surement me désirer. J’avais faim de sexe et l’idée de manger une bonne queue et me faire sodomiser me faisait bander. Je me demandais si l’homme était pour tenter de me séduire ou pas. Je suis sorti de la salle de bain avec une serviette enroulée autour de la taille. À cette époque, j’étais mince et bien fait. J’avais les cheveux aux épaules et j’avais encore mon visage d’adolescent. Sur une table à café du salon fumait une tasse de chocolat.

Il m’a indiqué de m’asseoir. J’ai bu une gorgée de chocolat et il m’a demandé si je voulais quelque chose de plus fort. Il m’a proposé un scotch. J’ai dit oui. Il semblait un peu surpris. Il m’a donné un verre avec glaçons. J’ai bu une bonne rasade et j’en ai failli m’étouffer. Ce qui l’a bien fait rire. Il m’a tendu la main et il a dit « Antoine» je lui ai dit mon nom et il m’a dit «enchanté». Un pan de ma serviette laissait voir ma cuisse dénudée, je n’ai rien fait pour me cacher. J’ai remarqué son regard qui s’est attardé sur ma cuisse. On parlait au début de tout et de rien. Puis, il m’a servi un autre verre. La conversation a tourné au sexe comme je m’y attendais. Il m’a dit qu’il vivait avec un homme avant mais il était maintenant célibataire. Il m’a demandé si cela me choquait ou me dérangeait qu’il était homosexuel. Je lui ai répondu que non. Il m’a avoué qu’il aimait beaucoup les jeunes hommes et que bien souvent il payait pour coucher avec de jeunes hommes. Il semblait peiné de ça.

Il s’est levé pour servir un autre verre et de s’asseoir plus près de moi. Il m’a dit de ne pas me choquer mais que j’étais son genre de jeune homme. Et il m’a posé une question «As-tu déjà eu des relations sexuelles avec un homme? Tu n’es pas obligé de me répondre!» J’ai hésité un peu avant de répondre et j’ai dit oui que cela était arrivé et plus d’une fois. Je voulais l’attiser et cela a marché. Il a fait «hoooo! Je suis encore plus enchanté!» Et il caressait ma cuisse avec son bout d’ongle. Il m’a demandé, avec hésitation, s’il pouvait aller plus haut et plus loin. Je n’ai pas répondu mais j’ai ouvert ma cuisse un peu plus. Il s’est collé plus près de moi et sa main s’est posée à plat sur ma cuisse. Il montait sa main doucement et il a tenté de m’embrasser. Je me suis détourné et je lui ai dit qu’il pouvait tout me faire sauf ça. Il a dit «au moins c’est clair!». Sur un ton un peu frustré. J’avais déjà embrassé des hommes, mais ça faisait longtemps. Sous la serviette, sa main s’est posé sur mon sexe qui gonflait.

Doucement, sans gestes brusques, il a retiré ma serviette. J’ai soulevé mes fesses pour lui rendre la tâche plus facile. J’étais nu et il a dit « mon Dieu que tu es beau!» J’étais un peu engourdi par le scotch, mais ce compliment m’avait excité, ma queue était bandée à me faire mal. Il m’a demandé si je pouvais me lever, il voulait me regarder nu. À cette époque, je pesais à peine 170 lbs, une taille de 28, j’étais loin d’avoir honte de mon corps. Je suis imberbe, aucun poil sur mon corps, sauf les jambes et mon pubis. Je me suis levé et je me suis placé devant lui verre à la main. Il avait la bouche bée. Sans qu’il me le demande, j’ai fait un tour lentement sur moi-même pour bien m’exhiber. Des souvenirs avec mon oncle me revenaient à la mémoire. Il m’a saisi doucement par les hanches et il a répété que j’étais vraiment beau en me flattant le ventre. Puis, il m’a bécoté le ventre et la base de mon sexe. Il a dit «mon Dieu! Mon Dieu! Mon Dieu que c’est beau!». Il a saisi ma queue et il a fait surgir doucement mon gland luisant de mouille. Il a embouché ma queue jusqu’à son nez s’écrase sur mon bas-ventre.

Il a sorti ma queue doucement de sa bouche en étirant ma longue peau de prépuce en faisant un «haaaaa! que tu goûtes bon!» Puis, il m’a demandé si je voulais passer à la chambre, j’ai dit que bien certain. Il m’a conduit à sa chambre en me caressant les fesses en marchant. Sa chambre était somptueuse et grande. Il m’a dit de m’installer qu’il était pour revenir. Durant son absence, je pensais à tout ce qu’il pouvait me faire et s’il oserait répondre à mes fantasmes. Je me caressais doucement la queue, perdu dans mes pensées cochonnes, j’étais à demi ivre. Il est entré en robe de chambre en satin bleu marin. Il avait deux verres de scotch, je n’avais pas terminé le mien que j’ai bu d’un trait. Je voulais avoir du plaisir, je voulais juste penser à moi et mes désirs. Antoine ne savait pas à qui il avait affaire et il n’était pas pour le regretter.
Il a ouvert sa robe de chambre et il l’a retirée. Il avait toute une belle queue toute raide. Pas longue mais grosse et large. Il avait un très gros gland rose. J’étais ravi. Il avait un peu de poil poivre et sel sur le torse mais rien de fourni. Il avait aussi de jolies fesses blanches, toutes petites mais rondes. Il avait un beau cul pour un homme de son âge. Il a tamisé la lumière. Il est venue s’étendre sur moi. Je l’ai accueillie cuisse ouvertes. Nos queues se touchaient et se caressaient. Il a encore tenté de m’embrasser mais je lui ai donné mon cou. Il avait le souffle court, ce qui me démontrait qu’il était vivement excité. Il se lovait sur moi et l’excitation montait. Il a mis sa queue entre mes cuisses et son gros gland mouillé se caressait sur mes couilles. Je me suis cambré et son gland frottait sur mon anus. C’était une invitation. Il a glissé sur moi et avec son visage, il me caressait la queue.

Je lui ai indiqué que j’étais chargé à bloc et que je ne mettrais pas longtemps à venir mais de ne pas s’en faire car j’étais bon pour plusieurs fois. Il m’a répondu en me bécotant le sexe que lui aussi il était bon pour plusieurs fois. C’était génial, j’étais pour avoir une baise du tonnerre, mais je ne savais pas encore à quel point. Il a pris ma queue en bouche et il se mit à me sucer. Il était bon suceur, en plus il aimait les queues non circoncises. J’allais et venais vivement dans sa bouche et ouf! Que je suis venue. Il avalait mon jus avec des lamentations de délectation.

Il s’est couché sur le dos et c’était mon tour de le sucer. Je caressais son gland mouillé avec ma joue et j’ai embouché ce gros gland. Je goûtais le salin de sa mouille, c’était délicieux. Il se lamentait et cela m’excitait encore plus. Il l’avait dit qu’il était dû et ça été l’éruption de sperme chaud dans ma bouche. Ça faisait plus d’un an que je n’avais pas dégusté un si bon sperme et d’une abondance généreuse. J’ai tout avalé comme un glouton et je pressais son gland pour lécher les dernières gouttes. Il m’a dit que j’étais un cadeau, une surprise des dieux. J’ai continué à bécoter son gland et le lécher. Il devenait un peu mollet alors je me suis placé en 69 sur lui pour continuer à lécher sa queue et ses couilles. Je voulais lui mettre bien en vue mon petit cul que je savais excitant.

Il avait ma queue dans sa bouche et il me tenait par les fesses qui serraient et tapaient. Puis, sa langue est venu s’enfouir dans mon anus. Tout en le suçant, je tenais mes joues de fesses bien écartelées. Il était excité et très bandé, c’est ce que je voulais. Je lui ai remonté les cuisses sous mes bras et je léchais, à mon tour, son anus. Il se lamentait très fort, il me bouffait le cul et moi aussi le sien. On s’est sucé et bouffé le cul très longtemps, c’était vraiment agréable. Puis, il a commencé à me doigter le cul et moi aussi je lui faisais la même chose tout en se suçant. On est devenu très excité et on est venu une seconde fois presque en même temps.

On s’est couché sur le dos haletant et il m’a dit que j’étais une bombe. Et il a voulu en savoir plus sur moi. Tout en parlant, on se caressait nos queues un peu molles et encore mouillées. J’ai tout raconté à propos de mon oncle, d’Yves et son père, de nos aventures avec Alex, bref je lui ai tout raconté mes aventures d’adolescent. Il était impressionné et il aurait bien voulu me connaître à ce moment-là, car il aimait aussi les jeunes vicieux. De son côté il avait été débauché par les Pères Blancs lorsqu’il était au collège comme pensionnaire. Un autre, je me suis dis en moi-même. Il avait été la petite pute du collège jusqu’à son départ. Puis, il a eu des aventures avec des garçons de son âge. Il avait aussi fréquenté des filles, mais il n’était pas bien. Il avait compris qu’il était homosexuel. Par la suite, il a eu de nombreuses conquêtes masculines. Il m’a raconté qu’il avait déjà séduit son neveu et qu’il le voyait encore même s’il était marié. Il m’a demandé si j’aimerais le connaître et faire une partouse avec eux. Je ne sais pas si cela était vrai, mais ça m’a excité.

On a bu encore du scotch et fumé une couple de cigarettes tout en parlant du passé. Je lui ai parlé longuement de mon oncle. Ça l’Intriguait et il a dit qu’il a été chanceux de m’avoir. Puis, il m’a demandé si je fumerais un joint de pot avec lui. Je n’ai pas refusé. Au bout d’une demie heure on était stone. Je me sentais bien. Il se mit à me caresser longuement, il trippait sur mon corps. Il a approché sa bouche de la mienne. Je ne l’ai pas repoussé. Je ne sais pas si c’était le pot ou l’alcool, mais il embrassait bien. Il embouché ma queue molle, c’était agréable de sentir sa langue sur mon gland sensible. Puis, il a mouillé son doigt et il m’a doigté avec. Il allait et venait doucement dans mon cul. Puis, il a mis du lubrifiant sur ses doigts et il me forniquait le trou. J’allais et venais sur ses doigts. Il m’a dit «t’aimes ça petit cochon, tu es tout ouvert!» Je lui ai dit que je voulais sa queue en moi. Mais on était tous les deux débandés. À force de me faire jouer dans cul et de parler cochon, j’ai recommencé à bander et lui aussi. Il s’est placé en 69 sur le côté et il a continué à me doigter et moi aussi je le doigtais. On se suçait tout en forniquant nos trous dilatés.

J’étais sur le flanc et lui aussi. Il allait doucement avec ses doigts dans mon cul. Il bandait lui aussi ,je le masturbais et suçais. J’allais et venais sur ses doigts, j’étais dilaté et prêt. Je lui ai redemandé de me mettre sa queue dans mes fesses. Il m’a dit qu’il n’avait pas de condom, je lui ai dis que ce n’étais pas grave. Il m’a parlé de maladie, je lui ai dis que j’étais en santé et qu’il semblait lui aussi en santé.

Il s’est donc placé entre mes cuisses et mes cuisses par-dessus les siennes et il a mis du lubrifiant sur sa queue. J’ai senti son gland sur mon anus, j’ai relevé le bassin et je me suis comme assis dessus. J’étais largement écartelé et son gland est entré dans mon cul doucement. C’était gros pour ne pas dire énorme et cela faisait longtemps que je n’avais pas eu une queue dans mon cul. Il m’a demandé si j’avais mal, j’ai fait signe que non. Il continuait sa pénétration en se lamentant. J’ai passé ma main sous moi et je lui caressais les couilles. J’ondulais du bassin et je me baisais moi-même sur sa queue. Il me masturbait en me baisant. Il m’a dit qu’il était pour venir. J’ai arrêté et lui aussi. Il était en moi et on ne bougeait pas. Je sentais sa queue tout au fond de moi qui avait des spasmes.
Je me suis défait de lui et je me suis placé à quatre pattes le cul bien offert. Il m’a caressé les fesses et il a plongé sa figure dans mes fesses. Il me mangeait le cul comme un affamé. Il m’a dit que j’avais le tour de me faire aimer. Il a remit du lubrifiant et il m’a planté sa queue entre mes fesses et là il m’a donné l’enculade que je méritais. C’était vraiment bon et fort. Je donnais des coups de fesses pour que ce soit plus fort et plus violent. Il allait rapidement, puis, il allait lentement et creux. Il me rendait dingue. Il a crié fort et il est venu dans mon cul et moi sans me toucher j’ai joui aussi. J’avais des courants électrique qui me passaient du ventre au rectum. Peu d’hommes m’ont fait jouir de la sorte. Je ne sais si c’était le scotch, le joint ou tout simplement que ça faisait longtemps que je n’avais pas baisé avec un homme, ou tout ça en même temps, en tout cas ça été très bon et je m’en souviens encore.

Après ça, j’ai comme perdu conscience. Je me suis endormi. Durant la nuit, je crois qu’il m’a sodomisé de nouveau mais c’est vague dans mon esprit. J’étais ivre et stone. Au petites heures du matin, je me suis réveillé. J’avais un bras qui m’enlaçait le corps et j’avais mes fesses collées sur son sexe. Je me suis défais doucement pour ne pas le réveiller et j’ai été à la toilette. Je me suis rappelé comment cette baise avait été bonne. J’ai senti ma queue gonflée. Je suis retourné au lit, il dormait sur le dos. J’ai passé ma main sous les couvertures et j’ai commencé à lui caresser la queue. Il bandait. Je me suis glissé la tête sous les couvertures. Il avait une odeur de sperme, cela me rappelait mon oncle que suçais sa queue le matin après avoir baisé, ça m’a excité. Et j’ai embouché son gland qui goûtait bon le sperme. J’étais excité juste à la pensée que son gros gland était dans mon cul quelques heures avant.

Je le suçais et sa main est venue me caresser la nuque, il était éveillé. J’ai sorti de sous les couvertures et je me suis mis à cheval sur sa queue. Il ne disait rien et il me regardait l’air incrédule. J’ai pris le lubrifiant sur le meuble de chevet et j’en ai mis sur sa queue et ma raie. J’ai pris sa queue raide et je me suis empalé dessus. J’avais l’anus un peu endolori. Je me suis mis à m’enculer sur son manche tout en me masturbant. L’enculade a été intense mais brève. Il a éjaculé et moi aussi. Fidèle à mes habitudes, j’ai léché, sucé son gland et son ventre. J’ai tout nettoyé avec ma langue et ma bouche. Il m’a dit que j’avais une façon originale de réveiller les gens.

Après s’être douché ensemble et malgré les caresses sous l’eau chaude, rien ne levait. On était lui et moi assez satisfait. Je me souviens d’avoir revenu chez moi dans la matinée, je me souviens aussi d’avoir dit à ma blonde que j’étais arrivé tard chez moi et très trempé et que j’étais pour demeurer chez moi et que je la verrai le lendemain. Antoine m’avait demandé de le revoir, j’ai dit oui, mais je ne le l’ai jamais revu. Il m’a conduit à un coin de rue de chez moi, je ne voulais pas qu’il ait mon adresse et je lui ai donné un faux numéro de téléphone. Il a été super et ça été une nuit extra mais je ne voulais plus d’hommes dans ma vie. J’avais eu du plaisir ça été gentil mais pour moi c’était fini. Il va se passer un peu de temps par la suite avant que je suce une queue, mais là, c’est une autre histoire.

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