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une vengeance douloureuse

une vengeance douloureuse



une vengeance douloureuse

la chance de résider à la campagne, c’est de profiter de la nature et de ses grands espaces.
D’un tempérament très voyeur, je suis à l’affut du linge qui sèche à l’extérieur pendant mes promenades et si par bonheur de la lingerie flotte au vent, j’imagine leurs propriétaires dans le plus simple appareil, ce qui provoque de fortes érections dont je savoure chaque minute.
Un soir d’été, je terminais ma randonnée un peu après que le soleil est disparu et c’est entre chien et loup que je finis proche de la maison d’une voisine récemment arrivé, ma mère m’avait dit qu’elle était célibataire et travaillait de nuit dans le corps médical.
Je restais de longues minutes surveillant un quelconque signe de vie et comme il n’en était rien je passais vite à l’action, la barrière de la clôture passée, je me dirigeais vers la corde à linge qui pliait sous le poids des draps blancs, et là, entre deux rangés de drap, le saint Graal, des culottes blanches et des brassières du même coloris, je passais ma main sur toute la longueur de la corde, la douceur du coton fit raidir ma bite instantanément, je décrochais une culotte et me branlais frénétiquement dans le coton jusqu’a délivrer mes couilles de tout leurs contenus, l’excitation était telle que je mis du temps à reprendre mes esprits et ne sachant pas quoi faire de la preuve de mon méfait, je gardais la sainte relique avec moi
Le lendemain matin, je questionnais ma mère au sujet de cette voisine.
<< je ne la connais pas mais je sais qu’elle poursuit des études de médecine en parallèle de son travail, on la voit pas souvent, la boulangère est plus informée que moi, c’est elle qui m’a dit tout ça >> me dit elle
J’avais au moins une occupation pour le reste de mes vacances, espionner cette mystérieuse voisine pour mettre une silhouette sur l’imaginaire que je m’en étais fait.
Je passais régulièrement devant la maison, les fenêtres étaient toujours fermées, et si du linge séchait je faisais mon escapade nocturne pour me branler dans ses sous-vêtements.
Je désespérais de l’apercevoir, trois semaines de surveillance et aucun résultat, ma collection de culotte commençait à faire pâlir un rayon lingerie de supermarché.
Et la chance me sourit, si on peut dire, un soir elle m’apparut sortant de derrière une rangée de drap, le canon d’un fusil à pompe braqué sur moi.
<< On peut savoir ce que vous faite là >> me lance t’elle
Je restais tétanisé, ma bite dans une main et une culotte couvrant ma bouche de l’autre.
<< j’appel la police ou on arrange ça à l’amiable >> poursuit elle; étant incapable de sortir le moindre mot pour justifié ma présence, j’opinais doucement de la tête
<< oui quoi…. la police ? >>
<< non >> je fini par dire << on peu s’arranger ? >>
Elle s’avança vers moi et poussa la culotte dans ma bouche avec le canon du fusil.
<< très bien, c’est par là , je vous suis >> dit elle, indiquant la direction d’un signe de tête.
je sentais le canon me pousser à plusieurs reprise, m’indiquant de presser le pas.
J’entrais dans la maison, la lumière était éteinte, le canon du fusil me poussa une dernière fois.
<< A poils en commençant par le haut >> dit elle calmement
Je crachais la culotte et la glissais dans ma poche << Vous voulez pas que….>>
<< T’as gueule >> me coupe telle sèchement << n’oubli pas que c’est moi qui suis en position de force >>
Je m’exécute et retire mon t-shirt, porte mes mains à la ceinture, elle me stop et m’ordonne de mettre mes mains derrière le dos et les lies fortement avec une cordelette.
<< Je vais pas pouvoir enlever…….>>
<< TA……GUEULE, c’est clair …!!!! >>
Elle dégrafa ma ceinture et en un éclair mon pantalon se trouva en bas de mes chevilles, sort la culotte de la poche de mon pantalon et me l’enfonce dans la bouche avant de me la scotcher puis me passe un collier
Une faible lumière éclaire enfin la pièce et laisse entrevoir un matelas par terre et une chaine posée dessus.
<< C’est ton lit >> dit elle en me poussant dessus et relis la chaine au collier puis enlève mon pantalon et mon boxer.
<< Comme ça tu peu pas t’enfuir, elle t’excite pas cette situation, non….. pourtant tout à l’heure c’était le cas >> dit elle en saisissant mon prépuce pour secouer ma bite.
<< on va jouer tout les deux, hein…, tu es voyeur… fétichiste des petites culottes on dirait, et les miennes en particulier, combien de culottes tu m’as pris pour te branler dedans …. huit ou dix je dirais, c’est quoi qui te rend dingue….. c’est la culotte ou d’imaginé ce qu’il y a dedans >>.
J’étais complètement prostré, honteux et incapable de réaction.
<< Comme je vais pas passée mon temps à refaire mon stock de sous vêtements, je vais t’aider un peu…. alors poils ou chatte rasée, peu être un piercing … bon je suis brune et la y’a pas de mystère, mes petites lèvres sortent ou ma vulve est bien fermée, mes lèvres sont bien roses ou plutôt brunes, je vois que mes paroles te font de l’effet, ton gland viens d’éclore.
Elle se mise a me malaxer les couilles tout en poursuivant.
<< tu me baisais bien au moins j’espère, violemment ou tendrement, éjaculais tu sur mes seins…. non sur mes fesses et tu regardais le sperme couler et rentrer dans mon trou du cul que ta bite avait pilonné, mettais tu les culottes que tu me volais pour te masturber en pensant moi…..tiens regarde.
Elle déboutonna sa jupe et la fit glisser le long de ses jambes, pris une chaise pour s’assoir face à moi, écarta ses jambes et se mise à frotter sa culotte blanche.
<< Tout ce dont tu rêvais, ça te plait….. oui ta bite à retrouvé sa vigueur…… mais j’y pense, tu veux peu être aussi voir mes seins, que je me présent entièrement nu.
Elle déboutonna son chemisier et laissa apparaitre une brassière blanche.
<< Mmmmm ça devient torride tu trouve pas, pour la suite je vais devoir t’entraver les jambes, ça va mettre du piquant tu va voir.
Mon gland était tellement gros que le frein me faisait mal, quand elle eut fini de m’attacher les jambes de part et d’autre d’un grand bâton, elle m’attacha par les poignets en croix.
<< Voila c’est mieux comme ça…….mais !!!!! quelle personne mal élevé je suis, on n’a même pas fait les présentations…. enchantée moi c’est marine et toi… à oui « ta gueule » …..le voyeur et voleur de culotte, c’est joli comme nom et puis c’est pas courant.
Elle me tend la main.
<< Suis je sotte, t’as pas de mains >> dit elle et s’empare de ma bite pour la serrer vigoureusement.
<< Alors enchantée moi c’est Marine >> et elle ricane, se penche et embrasse mon gland.
<< je suis plus bisous >> fini t’elle par dire et enfonce ma bite bien raide dans sa bouche et me plante un doigt dans le cul
<< Voila ça c’est fait aussi; a oui j’ai pas pris ta température, c’est ma spécialité.
Elle revient avec un plug anal rose de bonne taille qu’elle suce pour le lubrifier.
<< Attention la locomotive entre en gare, c’est ce que je dit aux enfants, ça marche toujours >>.
J’hurle à l’insertion du plug qui prend sa place après deux ou trois ma et vient dans mon anus.
<< Allons allons c’est pas la mer à boire, le rose te va bien….. on continu ? oui, voila je me remet face à toi pour que tu en perde pas un miette, mes seins ou ma chatte en premier ? le meilleur pour la fin >>.
Otant sa brassière, deux magnifiques seins aux tétons fins s’offre à mes yeux.
<< Tu va me dire, cette fille est pas pudique, elle se déshabille devant moi sans que je lui demande ou alors elle est folle, un peu des deux, on a tous nos travers….. tu aime mes seins ? ils sont comme tu l’imaginais >>.
Je fit oui de la tête et contractais mon sexe violemment à plusieurs reprise; puis elle se leva de la chaise, se retourna, fit glisser sa culotte dans la raie de ses fesses avant de les écartées de ses mains, des poils d’un noir intense que le coton blanc ne cachait plus couvrait son entre jambe et le pourtour de son anus; ma bite se mise à couler d’un long fils gluant. elle fit volt face et enleva complètement sa culotte et inspecta le gousset.
<< Oulala ….. j’ai bien vécu, elle est toute souillé….. regarde comme elle est bien sale, c’est comme ça que tu aurais aimé les trouver sur la corde linge … toute sale et odorante de ma chatte.
Elle s’approcha de moi et plaqua la culotte sur mon visage.
<< Sent moi ça, quelle odeur divine, tu veux lécher ma culotte dis moi, gouter ce qui coule de ma chatte, regarde, moi aussi j’aime sentir ma chatte et lécher le gousset.
N’en pouvant plus, je secouais frénétiquement la tête en poussant des cris étouffés par mon bâillons.
<< Non, tu va pas lécher ma culotte, tu va bien me nettoyer la chatte avec ta langue >>
Elle retira le scotch de ma bouche et j’expulsais la culotte aussitôt.
<< Pas un mot, si tu dit un mot je te bâillonne…. compris ?
Je fit oui de la tête et au point où j’en étais ce n’étais pas le moment de flancher. Elle approcha sa chatte de mon visage et une odeur d’urine me pris à la gorge.
<< Lèche moi bien, nettoie bien tout ça, suce bien les poils, rentre bien ta langue…. oui…. elle est bonne ma chatte…. hein… ça fait trois jours quelle n’a pas été lavé, c’est pour toi, c’est bon hein, tu bande j’espère….. une bonne chatte odorante dont tu rêvais….. lèche bien ma chatte et mon cul >>
J’étais proche d’éjaculer mais je maintenais mon sexe contracté au maximum pour ne pas jouir et puis sa mains saisi mes cheveux et tira ma tête en arrière.
<< C’est mieux qu’une culotte pour se masturber ça … hein …. je vais jouer aussi maintenant, encore une chose et on sera quitte >>
Elle me détache les poignets et m’ordonne de me mettre en levrette, tire sur le plug anal pour le sortir a mon grand soulagement, s’éloigne et revient avec un god ceinture déjà en position.
<< Il a une chose que j’adore, c’est d’enculer les mecs >>.
Elle crache dans sa main et saisi la prothèse qui lui tiens lieu de sexe pour le branler de sa salive.
<< Cambre toi, ça fait pas mal regarde je rentre deux doigts sans problème, c’est quoi la sentence….. on dit une minutes par culotte volée… et ben ça fait dix minutes ça, dix minutes à te pilonner le cul >>.
Le god pénètre mon anus, je râle et tente de l’extraire d’un mouvement de bassin et une violente claque s’abat sur mes fesses.
<< Alors on assume pas, un arrangement à l’amiable, je t’ai donné ma chatte à bouffer contre ton cul à défoncer, c’est quand même plus agréable que la police …. hein …. allez on bouge son cul plus vite >>.
Je serrais les dents, les poings et crispais mon visage a chaque coup de ses reins, sa main saisi ma bite qui était redevenu molle depuis que mon cul se faisait maltraité et la branlait en faisant claquer mes couilles contre sa main.
<< Encore cinq minutes, mon dieu que le temps passe vite tu trouve pas, ton trou du cul est bien ouvert tu sais…. je me demande si je vais pas y mettre la main >>.
A peine avait elle fini sa phrase que sa main forçait le passage en faisant des clapotis et après une dizaine de tentative, sa main s’immobilisa dans mon cul avant de reprendre de lent va et vient, son poing fermé elle tentait vainement de le faire sortir dilatant encore plus mon anus douloureux.
<< Si ça c’est pas de l’enculage, tu te souviendra de mes petites culottes qui volent au vent >>
Elle libera mon cul de sa main dans un bruit de succion et vida sa vessie dans le trou béant .
<< ça c’est cadeau, c’est pour moi, si si ça me fait plaisir et la prochaine fois viens me voir si tu veux une culotte, y’a toujours moyen de s’arranger, à l’amiable.

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