Je fus réveillé par un chien aboyant dans la rue, mon réveil indiquait dix heures. Encore endormi, je me demandais si je n’avais pas imaginé la scène d’hier… Je revis alors Maria, accroupi face à mon sexe en érection, le branlant frénétiquement pour en extirper la moindre goutte.
J’allumai la lumière de la chambre et regardai le sol, je n’avais pas pensé à nettoyer le sperme tombé sur le parquet. Ce n’était donc pas un rêve. Mon sexe gonfla lorsque je repensai à ses mots « j’espère que demain tu seras plus en forme que ça ! » Que voulait-elle de moi ? Mon cerveau divagua et je me mis à l’imaginer nue sur mon lit, entièrement offerte… Ma première fois… Je voulais offrir ma virginité à Jessica, mais avec ce que Maria avait vu, avais-je vraiment le choix ?
Mon érection devenait de plus en plus grosse. Résolu à calmer la pression, je courus vers les w.c. Le souvenir de Maria léchant mon sperme sur ses doigts me fit jouir en à peine quelques secondes. Je me trouvais assez honteux de cette expérience, il faudra que je sois plus performant quand elle reviendra !
Je descendis prendre mon petit déjeuner, la maison était vide. Un mot de mon oncle m’attendait sur la table.
« James, Maria viendra cette après-midi de 14 à 16, pense à mettre un caleçon.
Je pensais l’inviter à diner un soir avec sa fille, ça pourrait être ton occasion !
On en reparle ce soir.
Arthur. »
Je restai assis dans le canapé jusqu’à 14 h, incapable de penser à autre chose. Un diner avec elles ? Le feu me montait aux joues… J’entendis enfin la porte s’ouvrir.
« C’est Maria ! Arthur, vous êtes là ?
— Il n’y a que moi, répondis-je timidement. »
Maria posa son sac sur la table et vint à ma rencontre, elle m’embrassa sauvagement.
« Salut le voyeur, j’espère que t’es en forme ! »
Sa main droite caressait déjà mon entrejambe.
« Maria, je…
— Tu quoi ? m’interrompit-elle. Interdiction de te défiler. Tu ne voudrais quand même pas que je raconte à tout le village ce que j’ai vu hier, pas vrai ?
— Non…
— Alors c’est réglé. Va dans ta chambre et déshabille-toi. »
Sa voix était autoritaire, j’avais devant moi une personne totalement différente de celle que j’avais connue jusque-là.
Je m’exécutai sans protestation, à la fois craintif et excité de ce qu’il allait se produire.
J’étais nu, assis sur mon lit. J’entendais Maria dans la salle de bain, elle fredonnait paisiblement.
Lorsque je la vis arriver, elle portait une guêpière noire transparente, des collants et des talons hauts. Maria, quarante-cinq ans, quatre-vingt kilos de formes généreuses.
Elle me désigna son entrejambe parfaitement rasé.
« J’ai fait ça pour toi, ma fille m’a dit que c’est ce qu’elle faisait pour ses copains. »
Instinctivement, je me levai du lit pour m’approcher d’elle. Mon sexe bandait comme jamais auparavant.
« Je vois que ça te plait, petit pervers ! »
Sans répondre, j’attrapai ses deux gros seins et les malaxai tendrement, je les fis sortir de la guêpière et pinça ses tétons durcit par l’excitation.
« Moins fort imbécile, cria-t-elle en me repoussant.
— Désolé…
— Mets-toi à genoux maintenant. »
J’obéis sans opposer de résistance, mon visage se trouvait à hauteur de son vagin, j’enlevai sa culotte transparente et contemplai pour la première fois de ma vie un vagin, quelle merveille ! Je fis glisser mes doigts autour, dessus, entre les lèvres… Je n’avais aucune idée de ce que je devais faire et pourtant, ma main agissait. Je m’hasardai à y glisser un doigt, l’intérieur était doux et chaud, agréable, j’imaginai déjà glisser mon sexe à l’intérieur… J’entrepris d’y mettre un deuxième doigt et de faire quelques mouvements du poignet, d’abord de haut en bas, puis sur les côtés. Un petit liquide visqueux commençait à couler tandis que la respiration de Maria accélérait. Maria me donna un nouvel ordre.
« Bouffe-la-moi. »
Je retirai mes doigts aussitôt, lui arrachant un petit cri. Puis, approchant mon visage, je sentis un léger parfum de vanille, je plaquai mon visage contre ses deux lèvres rougies d’excitations. J’aspirai ce liquide visqueux au gout étrange mais pas désagréable, ma langue fouillait l’intérieur de son vagin. D’une main, je me mis à me branler tandis que de l‘autre j’allai trouver ses fesses rebondies. Je glissai un doigt dans la fente de ses fesses mais elle retira ma main.
« Pas aujourd’hui trésor. »
Ma main alla donc caresser son clitoris, pas aujourd’hui mais peut-être une autre fois, pensai-je.
Ma langue lui procurait du plaisir, je la sentais frémir et vibrer à chaque mouvement, elle émettait maintenant de petits gémissements. Je continuai et très vite, un liquide vint inonder mon visage, surpris, je m’écartai.
« Pas mal pour un débutant, petit pervers ! La prochaine fois, ouvre bien grand la bouche.
— D’accord, dis-je en me relevant.
— à mon tour maintenant ! »
Elle me jeta sur le lit. Les jambes écartées et le sexe pointant vers le plafond, je reprenais mon souffle. Je sentis sa main saisir ma verge, un frisson de plaisir parcourut tout mon corps.
« T’en as envie, pas vrai ? demanda-t-elle en commençant de lents va-et-vient. Je continue ou j’arrête ?
— Continue, murmurais-je.
— Continuez, me reprit-elle en serrant mon sexe, on va imposer quelques règles, d’accord ?
— D’accord… »
Elle mit une pichenette sur mon gland, l’effet était loin d’être désagréable.
« Premièrement, c’est un rappel de ce que je t’ai dit hier, ce qu’il se passe reste entre nous.
— D’accord. »
Seconde pichenette, sur le testicule gauche cette fois-ci.
« Deuxièmement, tu m’appelleras madame, ou mieux encore, maîtresse.
— D’accord… maîtresse. »
Je m’attendais à recevoir une troisième pichenette, au lieu de cela je sentis sa langue glisser le long de mon sexe.
« Troisièmement, ce jouet n’appartient qu’à moi. »
Je me crispai, qu’à elle…
« Mais…
— Aucun « mais » qui tienne ! »
La troisième pichenette arriva sur mon testicule droit. Elle reprit ses mouvements du poignet.
« Si tu ne respectes pas ces trois règles, je parlerai de toi à ma fille, et à ton oncle, puis à chaque personne que je croiserais. Tu n’en as pas envie, pas vrai ?
— Non, maîtresse…
— Bon garçon, tu es à moi, petit pervers. Et puis je te donne du plaisir, non ? »
Elle m’en donnait, bien plus que je ne pouvais l’espérer… Sa langue glissa de nouveau sur ma verge et s’enroula sur mon gland.
« Tu aimes ça pas vrai ? Dis-le !
— Oui, maîtresse… J’aime ça.
— Bien, alors il n’y a aucune raison pour que tu ailles voir ailleurs, on est d’accord ? »
Maria suçota mon gland du bout des lèvres avant d’avaler mon sexe entièrement, ma première fellation.
« Oui maîtresse, j’accepte les trois règles. »
Certainement heureuse de me l’entendre dire, elle mit plus d’entrain à sa fellation, j’étais aux anges, sa langue glissait sur mon pénis. De temps à autre, elle allait lécher mes testicules en continuant une masturbation ferme et rapide. C’était si intense… J’aurais aimé que cela dure des heures, mais, après une dizaine de minutes de ce traitement, je sentis la pression monter dans mon urètre.
« Je vais jouir, maîtresse.
— Ah non ! »
Elle se retira, me laissant sur le bord de l’orgasme… Elle resta là, à quatre pattes sur mon lit, admirant mon gland rouge sang faire de petits sursauts.
« Retiens-toi ! ordonna-t-elle. »
Je fis de gros efforts pour me contenir, mais la pression était trop forte. Dans un dernier spasme, mon sperme se déversa hors de mon sexe.
La respiration haletante, je reprenais mon souffle en fixant le plafond, ça avait été intense, bien plus que la masturbation. Je sentais mon sexe rétrécir, Maria n’allait pas être satisfaite…
« Tu ne m’as pas écouté, gronda-t-elle, tu dois être puni ! Ne bouge pas et garde la bouche ouverte. »
Je m’inquiétais de ce qu’elle voulait me faire, puis je sentis sa langue sur mon bas-ventre, elle léchait le sperme. Mon gland, encore sensible, me procurait des petits sursauts à chaque passage de sa langue dessus. Elle n’en perdait pas une goutte.
Immobile, comme elle l’avait ordonné, je la vis se placer à califourchon sur moi, puis elle approcha son visage de moi. Je vis ses yeux remplis de vices fixer avec convoitise ma bouche gardée ouverte, elle agrippa mon menton pour que je la garde ainsi, elle n’allait pas…
Elle ouvrit sa bouche et laissa se déverser tout mon sperme dans la mienne, c’en était trop pour moi. Je voulus me retirer, mais je ne parvenais pas à la faire bouger. Je paniquai tandis qu’elle bloquait ma mâchoire de sa main. J’étais d’accord pour le reste, mais pas pour ça ! Je me débattais, voulant recracher ce liquide visqueux, mais rien n’y faisait, elle ne lâchait pas son emprise.
« Tu as désobéi, tu es donc puni, c’est comme ça. Tu veux que je te libère ? »
Ne parvenant pas à parler j’acquiesçai de la tête.
« Il n’y a qu’un seul moyen pour ça. Obéis, petit pervers. »
J’aurais dû m’attendre à ce genre de chose… Sa voix et son regard me le disaient, elle prenait un grand plaisir à me torturer ainsi. Parallèlement, je sentais son bassin frotter contre mon sexe, et malgré la situation, une nouvelle érection se profilait.
« Avale, et je t’offre ma petite chatte… Sinon on reste comme ça, jusqu’à ce que ton oncle rentre, s’il le faut. »
Je ne voulais pas que mon oncle me surprenne dans cette situation. Et malgré moi, l’excitation était présente, je voulais sentir mon sexe envahir son intimité…
La pièce était plongée dans le silence, comme si plus rien n’excitait en dehors de ces quatre murs. À contrecœur, j’obéis de nouveau. Un petit bruit de déglutition se fit entendre. Maria me souriait, elle paraissait tellement heureuse.
« Bon choix, mon trésor. »
D’un geste franc, elle fit pénétrer mon sexe dans son vagin. Cette fois le couinement vint de moi. Maria se mit à gesticuler, elle montait et descendait, mon sexe se faisait engloutir. Je voulus agripper ses seins, mais elle me repoussa et maintint mes mains sur le lit.
« Fallait pas me faire attendre… »
Elle m’embrasa de nouveau et accéléra la cadence. Mon gland me donnait des informations contradictoires, je ressentais du plaisir mais aussi un picotement intense dû à la précédente éjaculation.
Je restai là sans rien dire, j’admirai Maria se dandinant sur moi. J’en oubliai sa fille tant je la trouvais rayonnante dans sa guêpière noire, je salivai à la vue de ses seins tremblotants. Ses mouvements furent plus violents encore, j’entendais un petit claquement à chaque fois qu’elle se laissait retomber sur moi, je voulais jouir, encore et encore, jouir indéfiniment pour elle.
« Je… je vais jouir… maîtresse, haletais-je.
— Tu as retenu… la leçon de… de tout à l’heure ? »
J’acquiesçai, craignant qu’elle refasse le même coup, mais elle continua ses mouvements de bassin.
« Très bien… Tu peux… jouir. »
Je lâchai prise et sentis mon gland exploser à l’intérieur de son vagin. Maria libéra mes mains, je la sentis se raidir avant d’être prise de légers spasmes. Elle s’affala sur mon torse tandis que mon sexe faisait encore des troubles-sauts à l’intérieur d’elle. Mes bras l’enlacèrent, elle se laissa faire.
Nous restâmes sur le lit quelques instants, nos deux corps collés l’un à l’autre par notre transpiration. Je sentais son cœur battre contre le mien. J’étais heureux. Elle ne disait rien, mais je voyais un léger sourire sur son visage. Elle brisa le silence.
« Tu préfères quoi ? Te branler en pensant à la fille, ou baiser avec la mère ?
— Je vous préfère, maîtresse.
— Tu apprends vite, c’est bien. En un mois, j’ai le temps de faire ton éducation ! »
Un sourire enfantin inonda mon visage.
« Merci maîtresse, je ne vous décevrais pas.
— Je l’espère bien. Il est l’heure que je m’en aille, je compte sur toi pour nettoyer tout ça. On se voit demain soir.
— Demain soir ?
— Arthur nous a invitées à dîner. Ça promet d’être intéressant. »
Elle m’offrit un dernier baiser avant de partir. Je soupçonnai qu’elle ait une idée derrière la tête…
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