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VIE LIBERTINE Chapitre 3

VIE LIBERTINE Chapitre 3



Chapitre 3 : Prise de contact avec Béa

Le chant des oiseaux me réveille à 8h. Le temps est magnifique, le soleil éclaire déjà la pièce dans sa totalité. La moitié du corps de la belle est en dehors des couvertures. Les rayons de « Ra » mettent en avant son corps sublime comme une tentation matinale. Je la laisse dormir, je sais que le risque d’un mal de tête est évident pour Ila aujourd’hui.
J’enfile alors un peignoir décoré du fameux blason des Barbuc.
Je ne peux que
me camoufler discrètement quand je suis face cette glace. Sait on jamais…
Je sors alors de la chambre, je me dirige vers la cuisine au rez-de-chaussée pour prendre le petit déjeuner. C’est la maîtresse de maison qui est au service. Elle est aussi en peignoir, visiblement levée depuis peu également. Je la salue par une poignée de main. Victor nous rejoint quelques instants plus tard. Il s’approche de moi et me tend la main à son tour.
-« Bien dormi ? » me demande-t-il. « Comme un bébé ! » je n’ose pas leur dire que je n’ai quasiment pas fermé l’œil de la nuit.
-« Nous allons avoir une belle journée tantôt ! N’oubliez pas que la piscine est à votre disposition. »
Alors que j’ai les idées confuses, Béa me propose un petit déjeuner au plateau pour réveiller ma belle. Quelle superbe idée ! Elle me demande alors ce qu’elle doit préparer puis se met à l’œuvre. Victor me demande pendant ce temps si nous avons un peu visité la ville et son quartier médiévale. Je lui réponds en toute franchise que non mais que nous sommes allés dîner dans un bar restaurant du village.
Tous deux se fixent alors un court instant.
« Ah, et y avez-vous bien mangé ? » me demande alors Béa.
« Ce fût convenable pour un petit établissement de campagne. Nous avons même pu faire la connaissance du maire de la ville qui s’y trouvait justement. »
« Le maire de la ville ? mais le maire de la ville n’est autre que le grand frère de Victor ! »
Aie, alors là on est mal ! « Ah oui ? » leur dis-je en bafouillant.
Victor enchaine alors : « Oui il est mon frère, nous sommes très différents physiquement mais je confirme, il est bien mon frangin ! »
Comment alors me sortir du pétrin dans lequel je m’enfonçais depuis quelques minutes.
Béa s’exclame alors, « C’est prêt » en regardant un magnifique petit plateau sur laquelle je vois une carafe de jus d’orange, un grand café au lait et deux croissants juste au côté d’un magnifique petit bouquet de fleurs.
« Génial ! Je vais passer pour un Messie grâce à vous »
Si vous le permettez jeune homme, ce n’est pas à vous de faire le service, vous n’êtes pas venus pour ça quand même ! » Béa me propose donc d’apporter le plateau à ma chère et tendre pendant que je profite de boire mon café en compagnie de son mari.
A ce moment-là je trouve important de lui notifier que ma belle dort nue. Elle regarde alors son mari puis me répond en souriant,

« Encore mieux dans ce cas! » Béa semble sûre d’elle et ne prête que très peu d’attention à cette précision. Elle prend même soin d’ajouter qu’elle adore les corps de femmes et qu’elle en a déjà vue d’autres, elle-même étant une femme, cela est loin d’être une réelle problématique. Je préfère pourtant l’accompagner. « Allons réveiller ma femme dans ce cas ! »
Nous montons le grand escalier, je précède Béatrice qui me suit comme une servante de l’époque. J’ouvre la porte de la chambre, Ila a toujours la moitié du corps en dehors des draps. Elle est ainsi nue, offerte au regard de cette femme qui je dois dire n’en perd pas une miette. -« Et bien jeune homme, tu es gâté! »
Je suis alors surpris par son tutoiement familier.
« Merci, c’est vrai qu’elle est belle, elle s’entretien si je puis dire. »
-« ah oui c’est évident, son corps est très athlétique et le dessin de ces courbes est réellement splendide, à la fois brut et féminin » alors qu’elle me dit cela, son regard est hagard. Elle semble en train de s’imaginer plein de choses.
Au même moment la miss ouvre les yeux doucement. Surprise par la présence de la maîtresse de maison qui la fixe, elle saisit la couverture et se recouvre comme gênée.
« Bonjour mademoiselle, voici votre petit-déjeuner » lui dit alors Béa qui se levant décide de quitter la pièce. Ila la remercie rouge de honte. Béa qui perçoit alors son mal-être rassure ma douce en lui précisant de surtout ne pas être embarrassée avec sa nudité en sa compagnie.
« Mon mari m’a confié votre goût pour l’art, sachez que c’est en artiste que j’ai découvert votre corps sublime mademoiselle. Vous êtes l’exemple type que je recherche à travers mes œuvres » Là elle se retourne puis se dirigeant vers la porte nous quitte en nous souhaitant une bonne journée.

A peine dehors je regarde Ila, je l’embrasse et lui demande si elle n’a pas trop mal à la tête.
Visiblement non, elle me sourit et me demande si je l’ai trouvée excitante hier.
« Justement puisque tu parles d’hier, j’ai appris quelques choses ce matin ! »
-« ah oui ? et quoi donc ? » me dit-elle en buvant son jus d’orange que je viens de lui verser.
« Tu te rappelles du maire ? »
Ila me demande lequel des deux était-ce.
« Celui avec son énorme « machin » qui t’a tirée par les cheveux à la fin… »
Ila sourit « oui et bien quoi ? Tu m’en veux ? » « Non pas du tout mais tu ne vas jamais deviner, c’est le grand frère de Victor !! »
Là elle ne sourit plus, « tu plaisantes j’espère ? » « Je suis tout ce qu’il y a de plus sérieux. Ils me l’ont dit tout à l’heure quand je suis descendu pour me prendre un café, ça craint hein ? »
-« Ça craint, ça craint, oui et non. Je n’ai rien fait de mal après tout. De plus nous pourrons toujours mettre cela sur le dos de l’alcool non ? »
« Pas faux, on fera cela dans ce cas, sinon nous risquerions d’être mal jugés »
Je décide de la laisser à son petit déjeuner, je pars direction la piscine pour quelques longueurs. Alors que je descends j’entends une voiture arriver, klaxonne retentissant. C’est une magnifique Mercedes noire, vitres teintées qui fait son apparition dans la cour de la demeure. Bizarrement la voiture se gare devant l’atelier de Béa. Là elle en sort et se dirige vers le véhicule. Elle échange quelques mots par la fenêtre avec son conducteur et en aussi peu de temps qu’il n’aura fallu pour que la voiture arrive, elle repart aussi tôt en trombe.
Tout cela est bien étrange, alors que je suis dans la pièce à vivre, Victor la traverse et se dirige vers les escaliers pour gagner l’étage. Je me doute d’où il se rend. Là mon imagination bouillonne. Est-il parti observer ma femme à travers le miroir ? Va-t-il de nouveau lui voler son intimité ? Ou alors va-t-il tout simplement se préparer ? Je ne sais plus quoi faire. Serviette de bain sur l’épaule, je ne peux pas regagner ma chambre. Ils m’ont ouvert la piscine exprès. Soudain, comme soulagé, je vois Ila descendre déjà en maillot de bain.
« Que fais-tu là ? » lui dis-je alors avec étonnement.
-« Ben je viens avec toi pardi. Cela va me faire du bien, je prendrai ma douche là-bas »
« Ok c’est cool, je pensais que tu aurais préféré te reposer »
Nous nous dirigeons alors vers la piscine, à notre grande surprise, Béa est déjà en train de faire quelques brasses. Un petit « Salut les amoureux » en guise de salutation, cette femme nous fait une véritable démonstration. Ses mouvements sont puissants, elle a un style de nage qui laisse à penser qu’elle fût surement une adepte par le passé. Ila la rejoint dans l’eau. Toutes deux font quelques longueurs ensemble. Moi, je suis ravi, ceux sont toutes deux de superbes femmes. Du coup, timidement, c’est à mon tour de rentrer dans la piscine. Je me mets sur le bord en m’accoudant. L’eau est à bonne température cette fois.
Ce spectacle de sirènes, les rayons du soleil qui transpercent l’eau, et le fantasme de deux belles femmes entre elles alimenté par leur action rendent la scène encore plus belle.
Une heure passe, les sirènes ont arrêté de nager. Béatrice sort de l’eau et nous l’observons alors tous les deux. Elle porte un deux pièces blanc, celui-ci n’est pourtant pas transparent à mon grand regret. Toujours utile qu’elle a des fesses magnifiques. Elle qui évoquait le coté athlétique de ma belle, n’a rien à lui envier pour son âge. Elle part alors sous la douche en nous saluant. Elle récupère son sac sur un transat, puis jette un dernier clin d’œil à Ila.
Je ne sais ce qu’elles ont bien pu se raconter durant leur nage mais le courant à l’air de bien passer. Ila me demande si j’ai encore envie de rester un peu mais j’ai eu ma dose. Ma courte nuit m’a épuisé et je lui dis alors que je souhaite aller me reposer un peu.
-« Vas-y mon chéri dans ce cas, moi je vais aller prendre ma douche… » me dit-elle avec un grand sourire. « Tu y vas avec elle ? mais tu as oublié que les douches étaient communes ? »
-« Non justement, je n’ai pas oublié, mais après tout, prendre ma douche avec une autre femme n’a jamais été un problème pour moi. Quand j’étais nageuse, tu te doutes bien que… »
Que lui répondre… Si ce n’est qu' »à tout de suite dans ce cas ».
Ma dulcinée saisit son sac et rejoint la maîtresse de maison sous les douches… Ce que j’aimerai être une petite mouche pour me joindre à elle ! Mais bon, la vie est injuste !!
Je pars et prend la direction de la suite. Je passe devant les douches pour femmes, tentant de les écouter discrètement. Même si je ne perçois que très peu de choses à cause du bruit de l’eau, je les entends rire toutes les deux. Ila semble déjà prête car Béa l’invite à la rejoindre. Je cherche à m’installer convenablement pour les espionner alors que la porte d’accès à la piscine s’ouvre. C’est Victor, lui aussi va profiter de se baigner, je m’éloigne alors en toute discrétion de la paroi des douches. Victor me demande si je veux faire quelques longueurs mais je préfère aller me reposer. Je quitte le lieu, Victor entre dans l’eau. Alors que je lui souhaite une bonne baignade il me demande si j’avais pu profiter de la terrasse.
Je lui demande alors  » Mais de quelle terrasse parlez-vous ? »
-« De celle de ce bâtiment justement, à l’extérieur un petit escalier vous y conduira, vous enlevez la chaine qui en empêche l’accès, puis vous montez. Vous trouverez là-haut transats et boissons rafraîchissantes. La vue y est splendide vous verrez… »
« Ok je vais y jeter un œil avant d’aller me reposer, merci beaucoup et bonne baignade ! »
Je sors alors puis me dirige vers cet escalier. Une vingtaine de marche, 5 mètres de hauteur, puis j’arrive sur un bel endroit joliment décoré de petits palmiers. Cette terrasse est cependant entourée de palmiers et la vue est de ce fait un peu obstruée.
Je ne comprends donc plus le sens des paroles de Victor. La forme des tables est aussi très intrigante, on a l’impression que celles-ci sont prises dans le sol.
Je m’en étonne et décide de soulever une des nappes pour comprendre cette décoration très moderne. Alors que je soulève la nappe, je trouve encore une nouvelle spécificité à cette demeure. Ce que je prenais pour des tables ne sont autres que des petites verrières permettant la vue du « complexe aquatique » dans sa totalité. Celui où je regarde donne entièrement sur la piscine où j’aperçois Victor, j’en déduis que les deux autres donnent une vue sur les douches communes à ma plus grande surprise. L’idée fait son chemin et alors peut-être me serait-il possible de m’en assurer. Je choisis celle de droite car elle doit être celle au-dessus des douches féminines. Je soulève avec excitation le tissu qui la recouvre et comme je m’en étais douté, j’aperçois de très haut les silhouettes nues de Béatrice et de ma femme.
Elles sont face à face dans les douches, la buée m’empêche de les voir distinctement. Je bouillonne de voir Ila avec cette belle femme mure totalement dévêtue devant elle. Alors que Béa saisit son peignoir qu’elle enfile, Ila est toujours en train de se savonner. L’eau de sa douche s’arrête à son tour, Béatrice continue de regarder Ila. La vue est comme l’avait dit Victor, très agréable ! Je commence à réellement comprendre le sens de ses paroles et il ne pensait pas si bien dire.
Ma femme continue de se savonner et se retourne pour présenter ses fesses à cette voyeuse du moment. Je ne distingue pas les détails mais connaissant ses fesses par cœur, je devine la vue magnifique qu’elle peut donner à cette femme fan de corps féminins… J’aperçois qu’elle ne détourne pas son regard de son fessier callipyge. Ila se savonne, encore et encore puis passe ses mains entre ses fesses qu’elles écartent de plus en plus pour surement lui présenter le chemin des dieux. La belle est pour la seconde fois en moins de 24h en train de faire ce qu’elle préfère… s’exhiber !
De la hauteur où je me trouve, j’arrive même à apercevoir Victor qui frappe à la porte des douches pour surement appeler sa femme. Mais Victor sait bien que je suis sur le poste d’observation et dois surement se douter de ce que je fais. Pour confirmer ma pensée, je le vois lever la tête vers le ciel et donc vérifier si j’avais compris son « message ». Je suis honteux quand il regarde vers cette verrière, il n’a pu que me voir. Bêtement je lui fais signe de la main comme un gamin. Il fait mine de ne pas me voir mais je sais que c’est impossible. Après avoir surement échangé verbalement avec son épouse, je le vois qui se dirige vers les douches masculines. Je pense que j’en ai eu assez, Béatrice sort des douches également pour le rejoindre, moi je remets tout en ordre puis vais cette fois me reposer.
En repassant dans la cour, je revois la même Mercedes noire de ce matin, garée devant l’atelier artistique de Béatrice. Quelqu’un semble au volant, la fenêtre est baissée et je passe devant juste pour découvrir cet heureux propriétaire.
Au moment où je m’apprête à passer, on jette une cigarette très irrespectueusement. A ma grande surprise, je découvre le visage du conducteur, ce n’est autre que le maire de la ville rencontré hier. Nos regards se croisent et de ce fait le contact est inévitable.
« Bonjour Mr le Maire, comment allez-vous ? »
Il n’a pas l’air surpris de me voir.
-« Bonjour jeune homme, alors comment allez-vous depuis hier soir ? Votre jeune épouse n’a pas trop mal à la tête ce matin ? me demande-t-il en souriant et en sortant de la voiture.
« Elle est encore à la piscine, elle n’est pas au mieux de sa forme mais non ça va elle n’est pas malade si c’est ce que vous voulez savoir. »
-« Tant mieux dans ce cas, et pendant que nous sommes entre hommes, sachez que nous l’avons trouvée sublime! J’ai repensé au corps divin de votre amie et ma nuit a été « agitée » pour le coup »
« Elle a un peu abusé je l’avoue et m’en excuse pour elle »
-« Pas de ça entre nous voyons. Je regrette seulement que la soirée ne se soit pas poursuivie. D’ailleurs pourquoi ne pas la laisser s’amuser un peu ? Si vous n’êtes pas dérangé par son comportement alors laissez-la un peu s’exprimer. Je crois ne pas me tromper en la qualifiant de libertine non ? »
« Vous savez, nous prenons le temps de nous amuser, de plus quand elle « s’amuse », nous jouons inévitablement en binôme car je ne me lasse pas de la voir prendre son plaisir. Un peu comme hier soir, si vous voyez ce que je veux dire. »
-« Mon frère est moi sommes plutôt branchés à ce niveau-là. Si jamais vous me donnez votre feu vert, laissez-moi lui concocter un petit plaisir dont elle se souviendra. » Le maire me dit cela alors que je sais Ila encore sous la douche. Au même instant, Béa et Victor sortent de la piscine dans notre direction. C’est Béa qui le salut en premier, tous deux ont l’air de beaucoup s’apprécier à en croire l’accolade qu’ils se font. Le maire est un fort gaillard d’environ 1m90, ventre imposant, et il sert la maîtresse de maison si fort contre lui qu’il l’en empêche presque de respirer. Je décide alors de repartir et les laisser entre eux.
Direction le lit, je vais comme prévu me remettre de ma nuit et de toutes ces émotions. En les quittant et après avoir les avoir salués, je vois le Maire et Béatrice reprendre le chemin de la piscine. Victor, lui, les abandonne pour prendre la même direction que moi.
Ila et toujours là-bas d’ailleurs et cela me rend un peu jaloux car la connaissant, elle n’apprécie pas de rester sur un « échec »…
Je décide alors de faire mine de rien puis de reprendre la direction de notre nid d’amour. Alors que ces deux amis disparaissent Victor qui arrive à ma hauteur me demande :
« Mon frère et Béatrice sont partis nager de nouveau, aussi éviter la piscine quand ils y sont car ils adorent se baigner nus si vous voyez ce que je veux dire ! »
Là je n’avoue ne pas tout comprendre, de plus Béa vient à peine d’en sortir alors pourquoi y retourner si vite ? Pourquoi s’être douchée alors qu’elle allait aussitôt replonger dans l’eau ? Ne serait-ce pas une ruse de cette femme justement pour pouvoir attirer Ila tout à l’heure et donc profiter de découvrir son anatomie ? Je me pose plein de questions ! Je me demande même si Ila les a vu justement.
Enfin dans notre suite je m’allonge sur le lit un instant. La fatigue est bien présente mais je m’angoisse de savoir ma belle seule avec le maire. Je me relève alors, c’est plus fort que moi. Je vais récupérer ma moitié avant qu’elle ne fasse des bêtises…
Ajoutons qu’Ila n’est toujours pas revenue et cela ne me dit rien qui n’aille. Ni une ni deux, je trouve la force nécessaire pour retourner chercher ma femme. D’un pas plutôt pressé, je me rends vers la piscine. Victor est dans la pièce à vivre, je fais mine d’avoir oublié quelques choses là-bas. Le fait de me voir y retourner provoque comme un malaise chez lui. Son regard laisse à penser qu’il se pose plein de questions lui aussi.
J’arrive à la piscine, j’évite de laisser la porte se refermer pour ne pas la faire claquer. Personne dans la piscine c’est bizarre ? On discute à voix haute d’une douche à l’autre et j’entends alors Ila et son rire légendaire. Mais que se racontent-ils tous les trois ? Je ne voudrai pas paraître pour le mari jaloux ou encore les rejoindre comme si je m’inquiétais même si c’est la vérité.
Je repense alors à la terrasse, là c’est la clef pour moi. Une véritable tribune qui me permettra d’y voir plus clair. Je rebrousse chemin sans faire de bruit. Puis rapidement je remonte là-haut pour prendre position. Je soulève de nouveau le tissu, et enfin je revoie ma belle créature. Elle se prélasse sous la douche comme dans une pub pour un shampoing. Mais où sont-ils tiens ?? Je ne vois ni le maire, ni Béa. Ils ne sont pourtant pas dans la piscine ! Je décide alors de regarder à travers la verrière qui à mon idée est juste au-dessus des douches pour hommes, et là BINGO ! Mon sang ne fait qu’un tour quand je découvre Béa et le maire totalement nus sous les douches. Je ne vois que trop peu car je suis assez haut. Pourtant Béa s’est approchée, elle s’est mise à genou devant lui, son gros ventre m’empêche de voir son action mais cela ne laisse plus de doute possible !! Les mouvements de tête de Béatrice me font penser qu’elle est en train de lui accorder une fellation « démoniaque »! Ils sont amants !! et bien quel bordel !!!
Alors que je suis toujours en observation, je distingue Ila de l’autre côté de la paroi de douche, serviette sur l’épaule, en maillot de bain, la belle passe juste à coté d’eux sans même le savoir. Soudain, je la devine interrogative, elle semble tenter d’écouter quelques choses. Ils ont surement fait trop de bruit et elle a dû les remarquer s’en intriguant.
Ila et moi nous sommes plutôt en phase. Aussi elle sait que je ne suis pas dérangé par ses instincts et actions tant que celle-ci m’en fait part. Je ne veux en aucun cas qu’elle s’en cache, je trouve d’ailleurs excitant ces différents récits libertins quand exceptionnellement il se passe des choses en mon absence.
Elle décide alors de prendre un transat et l’avance discrètement vers le mur qui la sépare des deux amants.
Puis je la regarde monter pour prendre de la hauteur et à ce moment-là, nous regardons la même chose. Béatrice à genou devant le maire en train de… Mais alors qu’Ila les regarde, Béatrice bouche pleine lève les yeux et ne peut que voir ma belle les espionner. Ila s’empresse alors de « redescendre », elle est surement gênée de s’être fait voir. Béatrice stoppe alors net dans son élan, elle se lève nue, puis se dépêche de sortir des douches comme pour ratt****r ma belle coquine coupable « d’espionnage »!

Une fois de l’autre côté, Ila qui remet le transat, se fait rejoindre par la maîtresse de maison. Je ne distingue pas leur échange, cependant elle est totalement nue, et là ce qui me permet de la découvrir à mon tour et pour la première fois. Elle est assez grande peut-être comme ma douce, 1m75, sa poitrine me parait imposante, son corps est lui aussi très athlétique pour une femme de son âge. Le maire lui est toujours appuyé de dos contre la paroi des douches. J’arrive à présent à découvrir le bout de son membre qui dépasse de sous son ventre. Ce gros machin s’est vu privé de cette caresse à cause de ma femme. Là je devine sa frustration.
Béa et Ila sont toujours en train d’échanger. Alors que le ton monte, Ila je ne sais pour quelle raison se déshabille alors fasse à elle. Elle dégrafe le haut de son maillot de bain libérant ses deux petites « tétines », puis défait les nœuds qui maintiennent son bas. Juste en talons, elle se retrouve à arme égale avec la victime. Je devine qu’Ila est sous la contrainte du fait de son action peu « héroïque ». Je suis loin de me tromper car à peine cette pensée émerge de mon esprit, que je vois alors l’impensable. Béatrice s’est approchée puis saisit sa crinière de feu. Elle lui tire la tête comme pour l’attirer et c’est sans réticence qu’elle se fait obéir. Je contemple ce spectacle qui me réjouit. Après tout elle l’a bien cherché, pourquoi a-t- elle eut besoin d’aller espionner ces amants avides à mon avis de discrétion. La curiosité est donc un bien vilain défaut et Ila va en payer le prix j’ai l’impression…
Je m’en doutais. C’est donc sous les douches que Béa dirige sa soumise du moment. Ma belle, tête baissée, cheveux tirés et emmener vers le maire comme présentée au roi. Je vois Ila se mettre à genou devant lui. Béa en rajoute une couche en lui ressaisissant sa crinière. Elle s’approche alors du sexe bandé du maire puis je la voie qui de son autre main, le rapproche de la petite bouche de ma femme. Ila ouvre alors la bouche mais elle est loin d’imaginer à mon avis ce qui va suivre ainsi que la vraie personnalité de celle-ci.
Béatrice qui proposait ce sexe énorme à mon épouse, ne souhaite surement pas la voir finir ce qu’elle avait commencée. Pourtant tout laisser à croire que… A l’instant où Ila va refermer ses lèvres sur cet engin, Béatrice gifle ma belle. Aie Aie Aie! Ila ne va surement pas apprécier. D’un coup et surement machinalement, elle se recule. La maîtresse de maison la tire de nouveau par les cheveux. J’ai peur que je ne doive intervenir mais au moment où je continue d’admirer ce spectacle, je suis rassuré quand je vois Béa toujours crinière en main, embrasser ma douce à pleine bouche. Moi j’en peux plus, mon short va craquer tellement je trouve cette situation excitante. Je suis à mon tour loin d’imaginer ce qui va suivre. Ila est alors relevée par Béa qui la retourne et lui fait mettre les mains en hauteur sur la paroi opposée au maire, comme pour une fouille policière. Béatrice s’adresse alors au maire, qui s’approche à son tour du verso nu de mon épouse. Je le vois qui saisit les petites fesses de ma femme pour les écarter puis comme une dernière «vengeance ou punition ». La domina profite de l’occasion est enfonce son doigt en profondeur dans l’anus de ma femme. Le maire à son tour lui a saisi les cheveux, Ila est cambrée, alors que le sexe énorme du maire est reparti dans la bouche de sa maîtresse.
Le doigt est quelques minutes après retiré, le maire écarte les fesses de sa préposée au maximum, Ila se tortille de plaisir. Cette fois ce sont deux des doigts investigateurs de Béatrice qui prennent alors le même chemin. Je ne vois que peu de choses mais me doute par les mouvements rapides et répétés de son bras, que ma belle est soumise à une fouille complète. Le maire qui se régale à présent de ces deux femmes, parait à bout. Béatrice retire alors ses doigts du petit trou. Ila, surement à leur demande s’écarte alors elle-même les fesses. La bouche libère alors ce gros membre et la scène qui va suivre va me laisser sans voix.
Béatrice décide au moment de l’éjaculation de son amant, de diriger ce pieu à l’entrée du petit trou dilaté il y a peu. Le sexe reste pourtant à l’entrée, mais alors que j’entends un long grognement je vois le maire lever la tête, les yeux fermés, bouche ouverte il est en train de se vider en elle. Ila et Béa s’embrassent alors de nouveau. Béatrice poussant alors le vice, mêle ces deux doigts « visiteurs et dilateurs » à leur baiser…
Je n’en reviens pas !! La scène est digne d’un véritable porno !
Je décide de ne rien dire à Ila, je reviens alors sur mes pas puis m’en retourne à la suite pour me reposer, je ne tiens plus en place, de plus je suis mort de fatigue…
Il ne me faut que quelques minutes pour me retrouver allonger sur le lit. Je décide de fermer les yeux. A ce même moment j’entends Ila qui s’en revient. Sa main se glisse dans mes cheveux comme pour m’aider à m’endormir. Même si je bouillonne de lui révéler ce que j’ai vue, je préfère attendre que cela soit elle qui m’en parle…

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