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Miss Emma

Miss Emma



J’adorais voir passer ce jolie bout. Je trouvais à peine inconvenant ses mises sexy. Certes elle portait court. Certes cela pouvait paraître déraisonnable pour une femme de quarante ans tout en la force de l’âge. Les autres femmes n’étaient pas les dernières pour la calomnier dont la mienne. Celle-ci en effet me rabrouait quand elle me surprenait derrière la fenêtre à la regarder. Je n’ai jamais pu me départir d’un goût vicieux et voyeur. J’avais une prédilection plus pour le tendron mais je faisais exception pour cette femme.

Je n’avais pu l’approcher qu’il y a peu. Ce fut chez Pedro garagiste et ami. Elle conversait avec lui. Il avait retapé son auto. Elle souriait et frétillait du cul. Elle me savait derrière à la mater. Comme nombre d’inéluctables garces elles ne pouvaient s’empêcher d’exciter et de bien allumer. J’en voulus avoir le cœur net après qu’elle fut partie. Pedro l’œil égrillard me confirma mon diagnostic. Notre jolie bourgeoise couchait et prodiguait des cornes à son cher mari. Énigmatique il me laissa entendre davantage.

Confus et agacé je ne pus obtenir les autres informations. Je me défiais de ce hâbleur qui volontiers me faisait croire à de bonnes fortunes que je savais purs boniments. Nous étions ainsi de vieux cochons à nous monter ensemble le bourrichon au bistrot. Il était non moins avéré que j’avais dégoté une petite garce qui eût pu être ma petite fille et qui dans ma voiture souvent me dispensait de belles pipes et ne rechignait non plus à m’offrir et sa chatte et son cul. Je n’en étais pas moins énervé que Pedro eut pu att****r l’autre garce.

Finalement un midi je sus circonvenir Ahmed un de ses employés. Celui-ci était l’avant-centre de l’équipe de foot, beau gosse notoire. Au bout du troisième verre il fut intarissable. Il me confirma qu’il se tapait parfois la jolie blonde et ce avec d’autres copains. C’était une chaude. Elle l’avait dragué effrontément à la sortie d’un match. Il l’avait besogné dans sa voiture presqu’au su de tout le monde. Elle n’avait pas froid aux yeux. Indifféremment elle couchait avec tous, vieux et jeunes. Hélas je n ‘en avais été.

Le pire fut que mon ami Pedro en avait profité. Sans vergogne et pour obtenir une ristourne sur la facture, elle était montée dans son bureau. Ahmed ainsi que d’autres sans difficulté avait pu s’assurer ce à travers les vitres qu’elle l’avait sucé sous le bureau et ensuite levant sa minijupe offert son cul. Cela avait duré une bonne demi-heure. En bas on les pouvait entendre geindre et gémir. En descendant elle avait fait un clin d’œil à Ahmed jetant à la dérobée : « Ton boss c’est un cochon ! »

J’aurais voulu entendre que Pedro s’était vanté et n’avait jamais obtenu les faveurs de cette femme. J’en vins à m’enfoncer dans un tourment inextricable et à force de jalousie à vouloir obtenir tout de ladite femme. Je souffrais donc de la voir passer surtout après ce que j’en savais. Un matin il y eût un autre pas plus décisif. Dans la queue de la pharmacie je vins à me trouver derrière elle. Devant nous une vieille n’en finissait pas de pérorer. D’un regard entendu nous manifestâmes ensemble notre agacement. Puis nous vînmes à échanger.

A dessein et pour provoquer je lui demandais si elle avait été contente des services de Pedro le garagiste. Au début elle ne perçut pas le caractère inquisiteur du propos. Cependant elle ne se faisait pas de doute sur mon désir. Elle se trémoussait à force. Cette salope mesurait sans doute que je bandais. Elle devait considérer que nous n’avions pas couché ensemble et que ma queue pouvait valoir le coup. Puis à un moment je lui balançais qu’elle devait se défier de mon ami Pedro car il était chaud lapin. Elle sourit comprenant l’allusion.

Avant qu’elle eût quitté l’officine j’eus le temps d’ajouter : « Je voudrais vous inviter à boire un verre, chère. » Son regard mutin signifiait plus que l’implicite assentiment. J’étais désormais résolu à l’attirer dans mes rets. J’en vins à exercer une méprisable filature. Ainsi sus-je qu’après un passage chez son esthéticienne, elle se perdait souvent une heure chez son libraire. Salope, elle n’en avait pas moins des lettres et de la culture. Ce détail acheva de me la rendre fascinante. Moi-même je goûtais les bons auteurs.

Ainsi fis-je en sorte une après-midi d’être comme par inadvertance derrière elle avec un bouquin à la main. J’avais choisi l****a de Nabokov, un truc retors et sulfureux. Elle n’en parut pas choquée. Elle adorait l’argument et le style de l’auteur. Elle n’y trouvait rien de scabreux. Elle me dit droit dans les yeux qu’à quinze ans, un oncle l’avait dépucelé et qu’elle en avait gagné du temps et de l’expérience. Après une telle entame il ne parut que plus facile de proposer de poursuivre cet échange devant un verre. Elle avait des cuisses magnifiques.

Nous trônions à la terrasse d’un café. Je n’étais pas peu fier de discuter avec une jolie femme. Elle me parlait avec un grand sérieux de ses auteurs préférés. Je découvris ce jour-là qu’elle mettait de la passion dans tout ce qu’elle faisait. Par un détour elle me confirma qu’elle aimait le sexe. Elle ajouta qu’elle et son mari étaient adeptes de l’amour libre. A cet instant elle décroisa ses cuisses assez longtemps pour que je pus à loisir examiner toute sa culotte. Celle-ci était mauve pale et transparente. On y percevait le dessein de sa chatte.

Je me sentis autoriser à mater sans façon l’objet dévolu. Je bandais. Sans doute était-ce l’effet escompté. Nos regards échangés ne laissèrent planer plus d ‘équivoque. Il était manifeste que je voulais la sauter. Elle n’y voyait pas d’inconvénient. L’idée lumineuse me traversa qu’il y avait à dix kilomètres de là, le château de Saché où Balzac avait écrit et qu’elle n’avait jamais visité. Je me proposais de l’y emmener une de ces après-midis. Je n’adorais rien tant depuis le début de la retraite que ces moments où je courais la gueuse.

A la sortie d’un virage je la vis surgir toute droite sur un talus dans sa petite robe courte et légère. Elle avait un peu outré le maquillage. Elle me voulait séduire. Manifestement et ce à tort craignait-elle que j’eus encore un scrupule ou une réticence imbécile à la toucher. Elle fut vite rassurée. Ma main peu après lui palpait la cuisse chaude. Elle sourit. Je me rangeais sous un arbre dans un ultime virage. Sa lèvre était douce et odorante. Elle embrassait merveilleusement. Ma main put s’enfoncer hâtivement dans sa culotte.

Je fus sucé et branlé sans rémission. La pipe fut longue, méthodique, savoureuse. Elle me laissa exploser dans sa bouche. Me fixant droit dans les yeux, elle s’enquit d’avaler tout mon sperme comme pour me signifier qu’elle était bien la putain que je croyais. Il est vrai que je n’étais pas peu impressionné d’autant que mutine elle me proposa d’enlever sa culotte et que celle-ci se réfugia dans ma broîte à gants. Je la pouvais garder. Elle n’en ajouta pas moins persifleuse que j’encourais sûrement le risque que madame la découvrit.

Ainsi nous visitâmes le château. J’eus peur plus d’une fois lorsqu’elle montait un escalier ou se baissait qu’on vit son cul, sa chatte. Elle, cela l’excitait. Nous nous embrassions dans des coins. Je la pouvais peloter sans vergogne. Elle me dit qu’elle eût aimé me sucer ici pour satisfaire aux mânes de Balzac. Ce dernier était voyeur et vicieux notoire. Elle abondait en son sens. J’eus hâte de quitter le château. Peu loin dans l’herbe, la miss fut entreprise en levrette. Un tombereau d’insultes l’accabla. Elle mérita mille fois le terme de pute.

J’en vins bientôt à trahir et manifester ma jalousie. Je ne comprenais pas sa frénésie de sexe et qu’elle coucha avec le premier venu. Elle me confessa qu’elle-même cela la troublait. Cela confinait au pathologique. Elle n’en réfutait pas moins le terme idiot de nymphomane. Quand nous croisions un type dans la rue et que celui-ci la dévisageait avec une certaine intensité, je l’interpellais furieux : « Et lui t’as couché avec ? » Alors elle haussait des épaules me répondant maussade : « Pauvre type ! » Nos rapports s’envenimaient.

Puis nous vînmes à l’inéluctable auquel je poussais. Ce fut moi qui un jour par jeu lui dis « J’aimerais te prendre avec des copains. Cela fait longtemps que je n ‘ai sacrifié à ce rite ». Elle haussa des épaules. Cette idée me devint une obsession. Ce fut à Ahmed que je soufflais la chose. Je fus atterré de savoir qu’il avait fait cela maintes fois avec la miss et notamment avec Pedro, mon rival. Celui-là m’avait précédé en tout. Je dis à Ahmed qu’il devait à tout prix me trouvait un costaud pour que nous organisions une partie.

Ce fut le début de la fin. La garce n’osa avouer sa réticence à mon égard. Prise à son propre piège elle ne pouvait se prévaloir d’une fausse pudeur et renier son credo libertin. Baiser avec plusieurs mecs avait été souvent son lot. En fait déjà à cette époque elle répugnait à faire cela avec moi. Mon temps était compté. Je m’installais benoîtement sur une branche que j’avais scié. J’en eus la prescience lorsque je vis dans le cadre de la porte se dessiner la carrure du pote d’Ahmed, un grand black monté comme un âne.

Entre ces deux loustics, je ne faisais pas le poids. J’avais convoqué moi-même mes bourreaux. La belle au contraire parut enchanté des deux amants. Rapidement je fus hors-jeu. Après une hâtive pipe et saillie je fus mis sur la touche. Je n’eus plus le loisir que d’être un spectateur. Si mon côté voyeur vint à y trouver son compte ce plaisir fut vite mêlé de trouble et de tristesse. Ces jeux n’étaient plus pour moi. Cela scellait ma carrière d’amant. La garce se faisant enculer me le signifia dans son regard brillant de haine.

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