Je m’appelle Freddy, j’ai 20 ans. Grand, mince, imberbe et mignon, mon père m’a fait signer un contrat d’appartenance à ma majorité et je vis toujours chez mes parents en qualité de lopette très servile à disposition et aux ordres des gros besoins pervers parentaux. j’ai été dressé à l’obéissance complète afin de satisfaire les caprices bisexuels actifs de mon paternel avec l’autorisation pleine et entière de ma mère qui s’est toujours régalée à voir son homme, exceptionnellement monté, chevaucher, en tous sens et sans retenue, le fruit de ses entrailles. J’adore me faire défoncer grave, en levrette, sous les insultes et les claques, par mon vieux qui se plait à me faire porter les culottes sales de maman et à m’humilier. J’assiste aux ébats conjugaux dans la chambre, au salon ou dans la salle de bains en tant que bonniche aux petits soins. Ma présence, qui les excite, ne se borne pas à tenir la chandelle. Je pimente leurs moments intimes et suis à l’écoute de leurs préférences égoïstes de l’instant que je réalise sans attendre. Maman aime me regarder lécher le coït lorsqu’ils baisent ensemble. Elle me tient la tête plaquée contre son bas-ventre épilé, chaud et poisseux de mouille, béant comme un vase quand elle sent qu’elle va jouir. Ses orgasmes bruyants et intenses se manifestent aussi par de fortes secousses corporelles où elle se lâche totalement, sans limite ni égard pour moi. Il faut dire que mes caresses buccales ou manuelles sur son clito combinées aux assauts du gros morceau paternel dans sa chatte lui procurent des plaisirs d’une intensité sans commune mesure pour lesquels elle se refuse à renoncer. Je ne renoncerais pas, moi-même, à ce privilège si rare de pouvoir sucer et goûter au bon lait de couilles paternel qui suinte du trou vaginal meurtri, après éjaculation. Mes parents entendent ne se priver de rien et certainement pas en matière de fantasmes à assouvir en couple ou à plusieurs. Mais, je sais que les habitudes prises de bonne baise en famille ont donné une dimension jouissive supplémentaire aux pulsions salaces et sadiques de mes géniteurs qui ne me regardent plus, aujourd’hui, que comme un objet humain, un moyen très utile de se donner entre eux, tout ce que les plaisirs de la chair peuvent promettre de mieux à un couple marié et très complice. A cela, j’y trouve plus que mon compte également, et je sais bien, au fond, que ce qui plait le plus à mes maîtres, c’est le désir manifeste que j’exprime à me montrer avec eux toujours plus docile et soucieux de les contenter en tous points, par amour, par dévotion, par passion.
Outre les tâches ménagères et autres services nécessaires au bien-être confortable de mes parents, je veille à ce qu’ils ne manquent de rien, sur et sous la table lorsqu’ils mangent, seuls ou en compagnie d’invités d’âge mûr. Je les sers en tenue de soubrette choisies par eux, pour les versions soft, ou entièrement nu avec cagoule de cuir et gros plug anal. Il m’est toujours bien difficile de cacher mon trouble lors de tels rituels collectifs et je deviens alors l’objet de toutes les moqueries. Papa fait aller sa cravache en me traitant d »immonde saloperie ambulante », un grand type chauve, gras, à la mine sévère et qui parle fort me saisit brutalement par les couilles qu’il tire jusqu’à me faire mal. J’ai failli en renverser les plats que j’apporte:
_Viens un peu par-là, ma belle cochonne et…Regarde ce que j’ai pour toi, dans mon froc!
Je m’empresse de déposer les assiettes chaudes sur la table pour m’accroupir ensuite entre les jambes écartées du monsieur qui vient de reculer sa chaise pour être plus à son aise, pressé de s’exhiber. Je déboutonne son pantalon et je dégrafe son ceinturon, mais l’homme ne fait rien pour faciliter mon travail. Je le sens, au contraire, venir appuyer très fortement sur le plug épais qui me déchire le cul pendant que mon père s’amuse à me fixer un gros poids solidement noué par un lacet court aux testicules Je grimace et pousse un petit cri de douleur vite réprimé par une violente paire de gifles maternelles à laquelle je ne m’attendais pas:
_Ta gueule, petite putasse!, dit ma mère. Je me rends compte qu’elle se tient debout, à nos côtés, une main plongée ostensiblement dans son fond de culotte sous sa robe retroussée. Elle a visiblement hâte de me voir sucer le vieux, de près.
J’ai ma main dans le slip du type et je devine aussitôt un énorme paquet de viande semi bandant que j’ai un peu de peine à extirper de la braguette pourtant largement ouverte;
_Bouffe-moi à fond, sale enculé!..Et, t’as intérêt à faire ça bien! Y’a du beau monde qui regarde!
Son membre épais est si long que j’ai bien du mal à téter, à gober, guère plus que le quart de l’engin sans m’étrangler. Je salive abondamment et j’en pleure presque lorsqu’il se décide à me saisir par les tempes pour se servir de mon orifice buccal afin de se branler avec énergie. Il me secoue la tête et essaie de se la rentrer le plus loin qu’il peut, dans ma gorge. Je suffoque bientôt et je tousse sous la pression trop forte. Je reçois aussitôt deux coups de cravache sur la croupe et une bordée d’insultes paternelles. Je dois « l’ouvrir sans faire d’histoires » et « laisser monsieur se faire du bien » sans broncher. Son copain de table, également venu dans l’espoir de s’éclater, m’a saisi par le cou. Je sens une terrible pression s’écraser sur ma nuque. Le type appuie de toutes ses forces. Il ne fait pas semblant, en criant: « Allez! Jusqu’aux couilles, pas de manières, sale race ! ».
J’étouffe littéralement au moment même où de puissantes giclées âcres et épaisses m’emplissent soudainement la bouche:
_Aah, putain de fils de pute! Il me fait cracher trop vite, ce sac à foutre!!!!
J’ai trouvé la séance forcée de gorge-profonde très éprouvante et bien longue, au contraire! Dans un réflexe, j’ai à peine le temps de tourner la tête pour vomir parterre une bonne partie du jus de couilles tiède et trop copieux qui m’inonde la trachée et qui m’interdit de reprendre ma respiration. Ce geste me vaut alors trois nouveaux coups cinglants sur le fessier:
_Tu vas me faire le plaisir de nettoyer tes saletés!, hurle mon père. J’obéis aussitôt, et je lèche le parquet souillé entre deux coups de pied au cul. Le type que je viens de soulager se justifie, vexé d’une éjaculation trop rapide, en affirmant qu’il ne se les est pas vidées depuis plus d’une semaine. Je le crois volontiers, étant donné la pression et la dose de purée qu’il vient de m’expédier en bouche. La moitié du contenu répandu à terre offre à ma mère l’occasion d’y mettre les doigts qu’elle me tend, ensuite, à sucer soigneusement. J’ai la figure et les lèvres maculées et maman ne peut résister à la trop forte envie de m’embrasser à pleine bouche gourmande. Cette douceur inattendue me fait bander et je donnerais n’importe quoi, à ce moment précis, pour lui faire l’amour. Cette salope le sait et prend un malin plaisir à le faire durer.:
_Et moi??!…On ne m’embrasse pas?! Mon père vient se frotter contre mon corps. Il me caresse les hanches, la queue, en me roulant une pelle baveuse, pleine de fougue homosexuelle. Je l’entends murmurer: « je t’aime, ma bonne putain de ta mère.. » Papa a maintenant une trique d’enfer et rien ne me fait plus plaisir que de le voir dans cet état.
A suivre?
Ajouter un commentaire