Julie Jouannot est une jeune fille de 18 ans, elle est très brune, la peau halée et une poitrine déjà généreuse. Elle est très mignonne. Elle est en seconde et elle prend le bus tous les matins pour se rendre au lycée. Elle prend la ligne 8 et se met souvent au fond, elle y est tranquille pour y faire les 40 minutes de trajet. Un matin comme les autres, elle s’est habillée en jupe et en tee-shirt et elle prend normalement son bus. Pendant le trajet, elle est tranquillement dans ses songes, quand elle sent une main lui toucher les fesses. Elle n’ose rien faire et espère de tout cœur que c’est juste un geste malencontreux. Elle sent alors quelqu’un, visiblement un homme vu la carrure se coller à elle, elle n’ose pas broncher. La main du pervers lui agrippe alors fermement un sein et commence à le malaxer. Elle se retourne et se prépare à crier lorsqu’elle reconnaît le CPE du lycée, son sang se glace et aucun son ne sort de sa bouche. Le CPE, monsieur Bertrand est un homme d’une cinquantaine d’années, les cheveux grisonnants et un peu enrobé. « Bonjour Julie » lui dit-il en continuant à lui tripoter les nibards. Elle bredouille un léger bonjour. Il descend maintenant ses mains et remonte sa jupe, il passe sa main droite sous sa petite culotte et lui caresse la chatte. Julie est gênée et voudrait que ça s’arrête mais elle n’ose rien dire. Elle est dans état second et reprend ses esprits choquée en voyant la bite de son CPE en train de se frotter contre sa petite culotte. Monsieur Bertrand prend sa main, la pose sur sa bite en début d’érection et lui montre le mouvement pour le branler, Julie continue machinalement. Après une minute de ce traitement, le CPE bande comme un âne et sa bite fait maintenant 18cm de long. Il appuie sur l’épaule de Julie, elle comprend qu’elle doit s’accroupir, les choses allant beaucoup trop vite, elle ne réfléchit pas et obéit. Il lui colle ensuite son sexe turgescent sur la bouche, elle ne l’ouvre pas. »Julie, sois une gentille fille, ouvre la bouche, tu ne veux pas que je m’énerve? » La pauvre jeune fille prend peur et ouvre la bouche, il y engouffre son sexe. »C’est très bien, tu es une brave fille. » Il commence les allers-retours, en allant un peu plus profondément à chaque fois. Il continue comme ça tout en lui parlant. »Tu as un petit copain? » Elle fait oui de la tête. »Tu l’as déjà sucé? » Elle fait non. »Pourtant tu suces comme une reine Julie, tu devrais en faire profiter ton petit copain. » Elle ne répond pas, elle tourne quelques temps les yeux et remarque que de nombreuses personnes dans le bus ont les yeux fixés sur elle. Elle panique et essaie de reculer sa tête, le CPE lui agrippe fermement avec ses mains et lui enfonce sa bite au fond de la gorge, il reste comme ça. »Julie, qu’est ce que tu essaies de faire? Je te conseille vivement de finir ce que tu as commencé si tu ne veux pas mourir étouffée par ma queue! » Le CPE lit la panique dans son regard, il sourit et retire sa bite pour recommencer le va-et-vient. »Au fait Julie, tu as déjà goûté du sperme? » Elle fait non de la tête avec horreur. »Ça te tenterait de goûter le mien ? » Elle refait le même geste avec encore plus d’effroi. »Tu as raison, visiblement, tu es une fille sage et tu ne veux pas avaler au premier rendez-vous, on attendra que tu me connaisses mieux. » Il sort sa bite de la bouche de la jeune fille mais lui maintient la tête en place d’une main. Il décharge alors sur son visage et un peu dans ses cheveux, changeant à chaque fois la direction des jets pour qu’elle en ait partout. Pour finir, il se frotte la bite sur le tee-shirt de son élève pour enlever le sperme restant. Julie fait un rapide tour d’horizon du bus et remarque que tous les occupants sourient ou rigolent en la regardant. Les larmes lui montent aux yeux mais elle parvient à ne pas pleurer. Elle sort un mouchoir de son sac, monsieur Bertrand lui arrache des mains. »Julie, ma petite Julie, qu’allais-tu faire? C’est toi qui a voulu ça, tu n’as pas voulu avaler, je respecte ça, mais maintenant, tu assumes. » Il l’aide à se relever, lui met son sac sur l’épaule et l’amène vers la porte du bus. Il lui dit en souriant: »On arrive au lycée, tu as l’air prête pour une bonne journée. » Il fronce alors les sourcils et dit d’un ton plus grave. »C’est qui ton petit copain ? » Julie hésite et répond : »C’est… Alexandre… Gautier. » »Très bien, maintenant, tu vas me suivre dans mon bureau. » Le bureau du CPE est à l’autre bout du lycée, Julie, baisse la tête le plus possible pour éviter les regards, surtout ceux des personnes qu’elle connait et des profs. Il commencent tous deux à traverser le lycée, ils arrivent à quelques mètres d’Alexandre (son petit copain) et monsieur Bertrand s’exclame: »Mademoiselle Jouannot, votre conduite est inadmissible. Faire des tels actes dégradants au sein de l’établissement et oser vous balader avec ÇA sur le visage, ça ne vas pas se passer comme ça, croyez-moi! Suivez-moi dans mon bureau. » Julie n’ose pas regarder Alexandre mais imagine très bien ce qu’il doit penser, elle est anéantie. Elle suit le CPE jusqu’à son bureau. Ils s’y enferment tous deux. Monsieur Bertrand sort alors un appareil photo et prend quelques clichés du visage de la jeune fille souillée par son sperme qui est maintenant presque sec. »Tu vas devoir être très gentille maintenant Julie car je ne suis pas certains que le directeur et tes parents apprécieront ces photos, elles prouvent que tu es une petite suceuse. Mais ne t’en fais pas, je vais les garder précieusement, si tu te comportes bien et si tu m’obéis à la lettre, personne ne verra jamais ces photos. Maintenant, passes aux toilettes pour te laver le visage, on dirait une pute. Tu reviendras me voir à la récréation. Au fait, n’enlèves pas la tâche sur ton tee-shirt, on croirait un pin’s, j’aime bien. » Il éclate de rire et Julie sort, rouge de honte. Elle fonce aux cabinets pour se nettoyer le visage, elle va ensuite en cours, la plupart des élèves la regardent bizarrement, visiblement, ce qui s’est passé ce matin a déjà fait le tour du lycée et la tâche sur son tee-shirt ne fait qu’accentuer les ragots. Elle essaie de suivre les cours tant bien que mal, malgré la honte. Arrive l’heure de la récréation, elle sait qu’elle n’a pas le choix et se dirige vers le bureau du CPE. Le temps de s’y rendre, elle remarque bien tous les regards posés sur elle et entend quelques vannes à son sujet, elle accélère le pas. Elle frappe à la porte et le CPE lui dit d’entrer, elle remarque avec étonnement qu’il y a un autre homme qu’elle ne connaît pas qui est en train de parler avec monsieur Bertrand, ce dernier lui dit: »Julie, tu connais peut-être monsieur Vatier, c’est le père de Nicolas qui est dans ta classe je crois, il est le président le l’association des parents d’élèves. » »Bonjour… monsieur » dit Julie timidement. »Bonjour, viens ici s’il te plaît. » Elle approche doucement et se place devant l’inconnu. »C’est quoi cette tâche? Il te faudrait un bavoir petite cochonne. Je ne peux pas te laisser comme ça, tu vas t’entraîner un peu. Mets toi à genoux! » Julie se retourne pour implorer monsieur Bertrand. »Tu as entendu ce qu’on t’a dit, tu veux que j’envoie les photos à ton père? » Elle se retourne et se met à genoux. Elle entend monsieur Bertrand se lever, aller chercher quelques chose dans un placard et ensuite retourner à son bureau. Monsieur Vatier sort alors sa queue de son pantalon, elle est à peu prêt aussi longue que celle du CPE mais est beaucoup plus épaisse. Il claque les joues de Julie avec sa queue à plusieurs reprises et lui enfourne ensuite dans la bouche. Il lui maintient la tête pour lui imposer son rythme et commence à lui baiser la bouche. Les deux hommes l’ignorent et se remettent à parler du lycée tout en abusant d’elle. Au bout de 5 bonnes minutes, monsieur Vatier regarde Julie et lui demande: »Alors, tu vas avaler cette fois-ci? » Julie hésite et fait oui de la tête avec abnégation, elle ne veut pas retourner en cours avec du sperme sur la gueule. »C’est bien, tu es docile, j’aime ça. Je vais maintenant éjaculer dans ta bouche, tu vas tout garder dedans et te retourner la bouche grande ouverte pour bien montrer mon jus à monsieur Bertrand, après seulement, tu l’avaleras. » Au moment ou monsieur Vatier finit sa phrase, elle sent des saccades de liquide chaud taper le fond de son palais et se déposer sur sa langue, elle reste ainsi sans bouger jusqu’à ce que son agresseur se retire. Elle se retourne alors, la bouche pleine de sperme et grande ouverte. Julie se retrouve alors nez-à-nez avec une caméra, monsieur Bertrand a visiblement filmé toute la scène, elle se sent trahie, ne sait plus quoi faire lorsqu’elle entend: »Avales maintenant! » Elle obéit machinalement et avale le jus devant la caméra. »C’est très bien Julie, je suis fier de toi, tu es une grande fille. Maintenant, donnes-moi ta petite culotte s’il te plait. » lui ordonne monsieur Bertrand. »Comment, mais je ne.. » »Tu as très bien compris, tu me la donnes ou tu préfère que je mette mon nouveau petit film au programme d’éducation sexuelle cette année? » Elle enlève lentement sa culotte et la tend au CPE, il lui tend une enveloppe en échange et dit: »Tu donneras ça au professeur et tu n’as pas intérêt à l’ouvrir, je le saurais. Maintenant dégages! » Elle sort et se dirige vers le cours de sport. Elle arrive dans le gymnase et va vers le prof pour lui tendre l’enveloppe, il l’ouvre, la lit, esquisse un sourire et dit: »On va faire des étirements pour commencer, pas la peine de vous changer tout de suite. Mettez vous en cercle autour de moi. » Les élèves forment maintenant un cercle autour du prof. Il regarde Julie et dit: »Julie, viens avec moi, tu vas m’aider pour les démonstrations. » Elle s’approche de lui, elle craint le pire. Le professeur de sport se penche alors complètement pour toucher ses pieds avec ses mains, il dit aux élèves de faire de même, ainsi, les camarades de Julie situés derrière elle pouvaient profiter du spectacle et mater sa chatte et son cul. Ensuite le prof s’assied par terre et appuie sur ses genoux, ce qui écarte ses jambes au maximum, il demande de nouveau aux élèves de faire de même. Ils s’exécutent et c’est maintenant ceux de devant qui peuvent voir la chatte de Julie. Les étirement durent ainsi 20 bonnes minutes et le professeur multiplie les positions pour être sûr que toute la classe a bien vu que Julie ne portait pas de culotte. »Maintenant, vous allez faire de la gym, il faut que je m’entretienne avec Julie, si vous avez besoin, je serai dans mon bureau. » Julie le suit à son bureau, elle s’apprête à fermer la porte, il lui fait signe que non et dit qu’il doit surveiller un minimum les élèves. »On m’a dit que tu t’étais entraîné à une nouvelle discipline ce matin, tu veux bien me montrer? » Elle ne bouge pas et ne sait pas quoi faire. »Julie, je vais déjeuner avec monsieur Bertrand tout à l’heure, tu es sûre que tu ne veux pas me montrer tes nouveaux talents? » Elle s’approche résignée et s’accroupit devant lui, il pue la sueur mais elle n’a pas le choix. Elle baisse son jogging pour sortir sa bite, elle est encore molle. Julie prend la bite dans sa bouche et commence à la sucer doucement. Après 2 minutes, la bite du prof de sport est en érection et remplit totalement sa petite bouche, la fellation continue. Soudain un des gars de la classe arrive en gueulant: »Eh msieur, on en a marre de la! » Il stoppe net en voyant la scène. »C’est pas possible Jérôme, tu pourrais frapper! Qu’est ce que tu veux? » lui répond le prof comme si tout était normal. Jérôme a du mal à s’empêcher de rire en voyant ça, il est halluciné et arrive à dire: »Msieur… on en a… marre de faire… de la gym… c’est un truc… de gonzesses. » »Très bien, faites du foot. Maintenant, laisse nous, comme tu le vois, on est pas mal occupé. » Julie est toute rouge, faire des choses si répugnantes et devant un gars de sa classe. Elle continue quand-même car elle n’a pas le choix. Cependant, son calvaire est loin d’être fini, Jérôme a visiblement raconté à tous ce qu’il a vu, si bien que les élèves viennent toutes les 20 secondes pour poser des questions bidons au prof, ils oublient à chaque fois de frapper avant d’entrer. En 5 minutes, la moitié de la classe est venue voir, le prof leur demande de fermer la porte et de se débrouiller seuls au bout d’un moment. »Julie, tu avales ou pas? » Elle fait oui de la tête. »C’est très bien ça, tu sais comment faire plaisir aux mecs. » En disant ça, il enfonce sa bite au maximum, elle a le nez contre ses poils pubiens, il lui envoie son foutre directement dans l’œsophage. Il ressort sa queue et essuie la goûte de jus qui reste sur le gland sur le coin des lèvres de Julie, elle a maintenant une goûte de sperme au coin des lèvres. »Ne l’enlèves surtout pas! » Elle n’a pas le choix et ne cherche pas à l’enlever. »Maintenant, vas faire un peu de sport avec le reste de la classe. » »Mais, ils vont…. » »Vas-y j’ai dit! » Elle sort doucement de la pièce et se dirige vers sa classe. Les vannes fusent, ils l’appellent la suceuse, même les filles et ses copines s’éloignent d’elles. Le cours se finit ainsi, elle est maintenant totalement à l’écart de la classe et a une réputation de salope. En une demi-journée, sa vie semble gâchée. Le midi, elle s’assied avec son groupe d’amis habituels et son petit copain mais ces derniers la refoulent et la traitent de salope, elle est obligée de manger seule.
Durant ces trois semaines, il n’y a pas eu un seul jour où elle n’a pas été obligée de sucer monsieur Bertrand, le CPE pervers de son lycée. Elle s’est quelque peu habituée à ce rôle, si on peut nommer ainsi le fait qu’elle ne combat plus, elle a en quelques sortes compris où était sa place. Julie s’inquiète de plus en plus des allusions répétées du CPE à sa virginité qu’il semble bien décidé à lui prendre mais il attend visiblement le moment propice.
Au niveau social, Julie est maintenant toujours seule, ses amis habituels la refoulent totalement, comme tout le lycée, ils la traitent de salope. Son petit copain l’a larguée et ses notes ont chuté, atteignant un niveau que l’on pourrait qualifier d’inquiétant.
Comme tous les midis maintenant, elle est obligée de manger seule. A la fin de son repas, monsieur Bertrand vient la voir et lui fait signe de le suivre à son bureau.
« C’est bien Julie, passes sous mon bureau, tu sais quoi faire. »
Monsieur Bertrand recule sa chaise pour laisser Julie s’accroupir et prendre place sous son bureau. Il l’avance de nouveau ensuite, elle ouvre sa braguette et commence à le sucer. Personne ne peut voir ce qui se passe sous le bureau.
On frappe alors à la porte, monsieur Bertrand dit d’entrer, elle entend un homme dire bonjour et reconnaît la voix de son père. Elle arrête de sucer la bite du CPE et recule le plus possible, de peur d’être vue. Le CPE avait prévu cette réaction, il sort une feuille de sa poche et la pose sur sa cuisse, on peut lire dessus :
« Suces salope ou je me lève et je dis à ton père de venir voir ! »
Elle est terrifiée et reprend la bite en bouche.
« Bonjour monsieur Jouannot. J’ai remarqué un certains relâchement chez Julie depuis quelques temps, j’espère qu’il n’y a rien de grave. »
« Ah bon, c’est vrai qu’elle a l’air d’avoir des ennuis mais elle ne veut rien dire, que pouvons-nous faire? »
« Comme vous le savez, dans deux mois débutent les vacances scolaires et comme chaque année avec quelques autres professeur nous organisons une semaine d’activités pour renouer le contact avec certains élèves difficiles. Votre fille ne fait pas partie de cette catégorie d’élèves mais je pense que ce petit stage lui ferait du bien. Comme l’internat est vide durant les vacances, Julie pourra dormir au lycée, étant donné que l’emploi du temps n’est pas figé, on préfère que les élèves participant au stage dorment ici. »
« Si ça peut l’aider à surmonter ces problèmes, ça me parait être une bonne idée. Mais je dois en parler avec ma femme avant de décider, ça me parait donc difficile de prendre la décision aujourd’hui.”
« Tenez, voici mon numéro de téléphone direct et mon mobile, appelez-moi dès que vous avez pris une décision, ce serait dommage que Julie manque ce stage.”
« Merci beaucoup, je ne manquerai pas de vous contacter, à priori, je pense qu’elle fera ce stage, on est très inquiet à son sujet et je serai rassuré de la savoir avec vous. »
« De rien, ce n’est que mon travail de veiller au bien-être des élèves. D’autant plus que j’ai remarqué que Julie avait un énorme potentiel dans bien des domaines. je travaille beaucoup à faire ressortir les qualités, parfois cachées, de mes élèves. »
Ils se saluent et le père de Julie sort du bureau.
« Tu as vu petite salope, tu vas surement venir passer tes vacances avec nous, t’es contente ? »
En disant cela, il enfonce sa bite au fond de la gorge de la jeune fille qui ne peut rien répondre.
« Je me doutais bien que ça te ferait plaisir. »
Il commence à éjaculer au fond de sa gorge en finissant sa phrase. Il sort Julie de sous le bureau.
« Attends 2 minutes, je vais t’aider à te faire belle pour retourner en cours. »
Il sort alors une coupelle couverte qui contient une substance visqueuse, le connaissant, ça ne peut être que du sperme. Il s’approche et dit en riant:
« C’est un cadeau du corps enseignant Julie, ils l’ont fait en pensant à toi. »
Lèves la tête maintenant, elle obéit. Il plonge alors deux doigts dans le liquide, y colle une bonne dose de semence masculine et vient la déposer au coin de sa bouche.
Il se penche maintenant devant elle, lève sa jupe et verse le reste du sperme sur sa chatte, le liquide visqueux commence doucement à descendre le long de ses jambes.
« Tu es prête, tu vas pouvoir aller en cours, ça va de soi qu’il ne faut pas que tu t’essuies ! »
Elle est prête à pleurer et a envie de s’enfuir ou de refuser de se balader comme ça mais elle sait bien qu’elle n’a pas le choix.
« Attends 2 secondes avant de partir, on va faire une photo souvenir pour notre petit album. »
Il la prend en photos à plusieurs reprise, zoomant bien sur son visage et ses jambes.
« C’est bon, tu peux y aller. »
La sonnerie de la récré vient de sonner, Julie ne sait pas où aller pour ne pas être trop remarquée. Elle décide d’aller directement dans la salle où elle va avoir cours, il y aura sûrement quelques élèves de sa classe mais au moins, comme ça, tout le lycée ne la verra pas. Elle arrive dans la classe et voit avec stupeur que tout le monde est déjà là. Des remarques fusent de toutes parts su style: « Tiens vla la salope », « Julie, t’en as encore sur le coin de la lèvre », « Vu la dose, tous les profs s’y sont mis! »… Tous les élèves se marrent, Julie trouve une place au fond de la classe, à l’écart et s’y assied.
Le prof de bio arrive lui aussi en avance, il se dirige à son bureau et commence à écrire au tableau le sujet et le plan du cours, comme il le fait à chaque fois:
Éducation Sexuelle
1 – Les pratiques à risques
a) Les pratiques à proscrire lors des rapports buccaux-génitaux
La sonnerie retentit indiquant la reprise des cours, tous les élèves cessent de bavarder, s’assoient. Le prof prend la parole:
« Vous pouvez voir le sujet du cours d’aujourd’hui, quelqu’un a une question avant que nous commençons?”
Personne ne répond, le professeur reprend donc la parole:
« Nous allons donc en apprendre un peu plus sur les rapports buccaux-génitaux, à savoir la fellation ou le cunnilingus, vous connaissez tous ces pratiques je suppose. Il est tard et comme c’est une sujet sensible et que je m’inquiète beaucoup pour la santé de mes chers élèves, je vais changer un peu la teneur du cours pour être sûr que vous reteniez les principes importants et que ce soit un peu plus divertissant. J’ai donc mis au point une nouvelle méthode pédagogique, basée plus sur la pratique que sur la théorie. Mais bon, les actes valent mieux que les longs discours, donc commençons.”
Il appelle Julie à son bureau, elle lui dit qu’elle n’est pas en forme et qu’elle préfèrerait qu’il appelle un autre élève. Son regard se noircit, il réitère sa demande avec autorité et l’élève s’exécute donc et le rejoint à son bureau, devant toute la classe. Elle sent le sperme couler le long de sa jambe à chaque pas, c’est humiliant.
Le prof de bio se tourne vers la classe et dit:
« Comme je vous l’ai dit il y a deux minutes, je vais vous montrer ce qu’il ne faut pas faire lors de vos rapports buccaux-génitaux, je vais imager mon cours en prenant pour exemple une fellation. Je compte sur vous pour faire exactement le contraire de ce que je vais vous montrer lors de vos prochaines séances de `sexe oral`.”
Il se tourne vers Julie et lui dit de se mettre à genoux. Elle n’a malheureusement une idée précise de ce qui est en train de se passer, usée mentalement, elle n’a pas la force de lutter et obéit, il s’approche et baisse son pantalon et son caleçon, ce qui laisse sortir son gros sexe en début d’érection, il le lui colle à la bouche. N’ayant plus aucune fierté, elle l’avale et commence à le sucer. Il dit alors à la classe:
« Normalement, j’aurais dû mettre un préservatif, car en cas de micro-coupures, ma partenaire ou moi, pouvons att****r des MST. Mais il y a deux exceptions, lorsque vous êtes avec une pute au rabais ou lorsque votre petite copine est une vraie salope ou `garage à bites` comme vous dites vous les jeunes. Nous en avons d’ailleurs un beau spécimen ici, comme vous pouvez le remarquer, elle aime le goût de la bite, ce serait dommage de l’en priver. »
Il prend alors sa tête entre ses mains et force son sexe profondément dans sa gorge. Il commence de rapides en ressortant sa queue au minimum.
« Il ne faut pas faire ça normalement, le `deepthroat` peut abîmer la gorge de votre partenaire voir la faire vomir, mais avec une petite chienne expérimentée, ça ne pose pas de problème. »
Il sort sa bite, dure comme un roc et gifle Julie avec à plusieurs reprises en commentant:
« Cette pratique étant humiliante pour votre partenaire, elle est encore une fois à proscrire, sauf si la suceuse en question est une garce sans fierté.”
Il remet sa bite dans sa bouche et reprend ses allers-retours. Après 5 bonnes minutes, il commence à gémir, il sort une partie de sa grosse bite de sa bouche, ne laissant que son gland à l’intérieur. Elle sent alors sa chaude liqueur arriver sur sa langue.
« Normalement, on se retire pour ne pas éjaculer dans la bouche de sa partenaire. Il y un risque et le goût peut lui déplaire, mais là encore, ça ne gène pas si on s’est trouvé une chiennasse qui aime vider des couilles. »
Il sort sa bite de sa bouche et dit à la classe:
« S’il y en a parmi vous qui n’ont jamais vu de sperme de près, vous pouvez approcher et regarder dans la bouche de notre petite salope de camarade comment c’est, dépêchez vous, elle ne va pas pouvoir se retenir longtemps de l’avaler. »
Trois filles et tous le gars se lèvent pour venir voir la bouche de Julie remplie de sperme. Au bout de 20 secondes, le professeur lui ordonne d’avaler, elle obéit sans discuter.
Puis elle retourne ensuite à sa place, elle est totalement dans ses songes lors des dernières heures de cours de la journée, ça la protège en quelques sortes des chuchotement moqueurs des autres élèves.
Comment va-t-elle tenir l’année? Maintenant, toute la classe participe à son calvaire!
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