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Christina – 3

Christina – 3



On change de pays, mais les délices érotiques avec Christina se poursuivent… Notre héros décroche quelques jours de contrat à Sofia.

Alors que j’étais rentré de vacances, une semaine plus tard, mon téléphone sonne. L’indicatif bulgare me fait aussitôt penser à Christina… Nous nous étions promis de nous revoir chez elle à Sofia, mais en plus mon amante me propose un peu de boulot sur place ! Je vais pouvoir mêler plaisir et travail, et cette perspective m’enchante.
Et me voici donc dans la très grande salle d’un cinéma de Sofia, en train de préparer les séances d’un festival de cinéma. Ah oui, je ne vous l’ai pas dit : je suis projectionniste, c’est moi qui passe les films dans votre cinéma de quartier. J’ai toujours aimé les festivals et leur ambiance, et pas seulement pour le boulot ! Les programmations sont souvent très belles et pointues, et on y rencontre des gens intéressants (et assurément quelques jolies filles !). Je n’ai aucun problème avec la technique et les machines, elles sont mon quotidien… Mais pour mon deuxième jour sur place, l’organisation m’a mis dans les pattes un réalisateur russe, qui ne parle ni français ni anglais. L’homme est exigeant, surtout sur l’image et je comprend qu’il me demande des réglages. J’essaie de comprendre un peu ce qu’il veut, mais en vain, et ce malgré mon russe balbutiant. On m’envoie donc une traductrice.

Une petite blonde très énervée déboule dans la salle et se dirige directement vers la cabine de projection, sans même calculer mon réalisateur russe, qui attend patiemment dans la salle. C’est Elena, la soeur de ma Christina, qui organise le festival et qui m’envoie la traductrice.

– Bon… Je vous préviens toute de suite, je n’y connais rien en technique ! La traduction sera aléatoire…
– Bonjour, Julien… Enchanté !
– Ah oui, pardon ! Je suis Yulia… Le réalisateur est dans la salle ?
– Oui, vous l’avez sans doute vu en entrant, non ?
Yulia pique un fard, se rendant compte de sa petite erreur…
– Je vais le saluer… Nous allons commencer pour savoir ce qu’il veut et faire les réglages.

Nous descendons donc en salle. Yulia est une petite blonde, très fine. Pas vraiment l’archétype de la femme russe tel que l’on peut l’imaginer en France, mais elle a un visage avec des pommettes hautes. En la suivant dans les escaliers du gradin, je remarque ses petites fesses rondes et ses hanches marquées, qui souligne sa taille. Elle porte un jean slim tout simple et des escarpins. Je suis toujours surpris de l’agilité de certaines femmes avec ce genre de chaussures à talons. Yulia semblait marcher bien plus vite que moi dans les escaliers, et ce malgré la pénombre de la salle. Une chemise en jean lui colle à la peau, mettant en valeur sa petite poitrine.

Nous commençons le réglage et l’aide de Yulia est essentielle : je comprend enfin ce que le réalisateur russe veut ! En quelques clics sur la tablette, qui contrôle à distance la cabine de projection, je parviens à obtenir l’image que désirait l’artiste. Un réglage de son supplémentaire, et nous étions prêts pour la séance du surlendemain : le film était présenté en avant-première. Yulia prend congé très vite, prétextant beaucoup de travail à la production du festival. Elle m’assure qu’elle sera là avec le réalisateur durant la séance pour traduire ses propos.
Je remercie le réalisateur et le raccompagne vers la sortie de la salle. En me saluant, il me fait remarquer la beauté de notre traductrice. Poliment, je lui confirme que je la trouve charmante moi aussi… La journée se termine tranquillement et je rentre chez Christina, qui occupe un appartement au centre de Sofia.

Inutile de vous préciser que les retrouvailles avec ma belle amante bulgare furent très chaudes ! Nous avons dû baiser une bonne partie de ma première nuit en ville… Christina rentre quelques dizaines de minutes après moi. Elle travaille comme coach professionnel dans les médias, et ça semble bien marcher pour elle. L’appartement, en duplex très lumineux, est au sommet d’un immeuble moderne. Au travers des grandes baies vitrées, on embrasse la vue sur la ville et sur les Balkans non loin.
Je suis venu avec quelques bouteilles de vin, et c’est un blanc très frais que je sers à Christina. Le début de l’automne est très doux en Bulgarie, et nous dégustons nos verres sur la terrasse.

– C’est comme un arrière-goût de vacances en France…
– Oui, tu as raison ! On a passé des supers moments tous les deux cet été… Merci de m’avoir permis de venir travailler ici pour quelques jours.
– Mais de rien… J’avais très envie de revoir mon amant français…
– Les hommes bulgares viennent de perdre une jolie fille du pays ! Tant mieux pour moi !
– Nos retrouvailles étaient géniales… C’était très bon, j’en avais besoin mon chéri.
– On remet ça ?

Là dessus, elle m’entraina vers le canapé du salon ou nous avons baisé une première fois avant le diner. La suite de la soirée fut plus calme : une sortie dans un bar avec ses amis et un retour romantique vers chez elle. Encore un peu étourdis par l’alcool, nous nous embrassons langoureusement dès la porte de l’immeuble passée. J’ai encore envie d’elle et je commence à bander. Dans l’ascenseur, je continue mes baisers, j’entreprends Christina en glissant une main sur sa cuisse et en remontant sa jupe. J’effleure son sexe alors que la cabine arrive au dernier étage. Une fois dans l’appartement, nous nous déshabillons doucement, comme si nous redécouvrons le corps de l’un et de l’autre. Elle ne porte plus que son string quand je la soulève et la pose sur la petite commode de l’entrée. Comme si Christina lisait dans mes pensées, elle ouvre largement ses cuisses pour je puisse y glisser ma tête. J’écarte la dentelle humide de ses sucs intimes, et je plonge ma langue dans son con. Mes doigts commencent à fouiller son intimité tandis que je lappe avidement son clitoris, alors qu’elle commence à pousser de petits cris de plaisir. J’amène ma douce amante jusqu’à une première jouissance très sonore. Nous sommes encore dans l’entrée et je choisi de la prendre là sur la petite commode, sans attendre. Mon sexe est bandé à bloc et j’écarte d’autorité ses longues jambes. Mon gland trouve très vite le chemin de ses lèvres intimes et je commence à prendre Christina avec de longs coups de rein. Elle se colle à moi et en se pendant à mon cou, arrive à décoller ses petites fesses du meuble.
Pendant quelques instant, j’ai l’impression d’avoir mon amante en lévitation sur mon vit : elle m’aide en ondulant son corps, et je donne moi aussi des va-et-vients, entre douceur et brutalité. Christina est prise par un orgasme dans cette position, la tête à moitié dans le creux de mon épaule, elle arrive à souffler quelques mots qui me galvanisent…

– Haaaa ! Je te sens tellement bien ! Tout au fond de moiiii…

L’orgasme la prend sur cette phrase et je ralenti ma cadence pour finalement la reposer sur la commode de l’entrée. Le contact avec la planche vernie et glacée la fait sursauter, nous nous séparons temporairement ; elle m’entraîne ensuite dans sa chambre.

– Viens, on sera mieux au lit…

Nous sommes tous les deux nus et dans la lumière tamisée de la chambre, nous nous embrassons comme deux ados. Elle me caresse la queue, encore gluante de ses sucs intimes, et la paume de sa main entoure délicatement mon méat à chaque descente de sa main.

– Si tu continue comme ça, tu vas me faire gicler dans ta main…
– Et si j’en avais envie ? Tu ne dirais pas non…
– Oui, mais j’ai encore envie de ton sexe…

Sur ces mots, Christina se met à quatre pattes, regard mutin au dessus de son épaule… J’investis à nouveau son con, les mains solidement refermées sur ses hanches fines. La levrette est une de ses positions préférées, et je ne boude pas mon plaisir moi non plus. Je progresse plus lentement qu’au début pour lui faire sentir toute la longueur de mon sexe dans son ventre. Christina feule de plaisir à cette nouvelle pénétration, bougeant son petit cul et appelant avec ses hanches à une baise plus endiablée. J’accélère alors mon mouvement pour la prendre avec plus de fermeté.

– Oui, oui, oui, oui……

Ses petits cris me font aller de plus en plus vite, la vision de sa taille fine et de ses hanches si bien taillées se brouille, je sens que nous sommes tous les deux proches de notre jouissance. Elle se relève presque et je manque de sortir de son sexe.

– Je vais te sucer, et tu me fera jouir avec ta bouche…

Ni une, ni deux, nous nous mettons en 69, elle sur moi. J’ai quitté la chaleur de son sexe pour retrouver la douce caresse de sa langue sur mon gland. De mon côté, je plonge ma langue au plus loin dans son vagin encore ouvert. Le goût légèrement épicé et salé de sa liqueur intime me fait bander encore plus fort. Je sens sa petite main sur mes testicules, elle me masse les couilles avec une grande douceur. Je la lèche maintenant avec avidité, écartant ses fesses avec mes deux grandes mains. Christina jouit très vite, abandonnant ma queue pour crier son plaisir. Alors que l’orgasme la cueille, je sens qu’elle inonde ma bouche de sa jouissance, et je la boit à la source.
Quelques dizaines de secondes plus tard, je sens à nouveau la langue de ma petite bulgare sur mon méat. Sa bouche m’engouffre presque totalement et je sens sa langue virevolter autour des point les plus sensibles de mon sexe. L’encourageant toujours par quelques caresses, le pubis de Christina toujours devant mes yeux, j’apprécie d’autant plus cette gâterie en aveugle.
Mon sexe tressaille, mes couilles se rétractent et elle sait alors que je vais jouir… La bouche toujours collée à mon gland, Christina attend mon éjaculation. Je jouis dans un grand râle, propulsant quatre grands jets de semence au fond du palais de ma petite coquine. Christina se relève, se met à cheval sur mon ventre, et me fait comprendre qu’elle avale la totalité de ma jouissance. Un sourire, un bisou, et nous nous endormons nus, repus de sexe…

Le matin suivant, je me réveille seul dans l’appartement. Christina est partie tôt le matin sur la côte de la mer noire pour son boulot. Elle doit y rester quelques jours pour superviser une manifestation culturelle. J’avais donc l’appartement pour moi tout seul, en dehors de mes horaires de travail au festival, bien sur.
Je sens encore le sexe de la veille, et la douche me sera salvatrice pour bien commencer la journée. Ne travaillant que l’après-midi pour le festival de cinéma, je prends mon temps. Alors que je sors de la salle de bain (nu, car je pense être seul chez Christina), je tombe nez à nez avec Elena, sa soeur ! Panique à bord pour les deux, j’att**** une serviette en quatrième vitesse pour me couvrir. Elena détourne le regard, en jurant sans doute en Bulgare… Je me précipite dans la chambre pour m’habiller. Je ne l’avais sans doute pas entendue entrer, et Elena doit avoir une clé de l’appart de sa soeur…
Alors que je sors de la chambre, nous sommes tous les deux assez gênés. Elena est la première à parler :

– I’m so sorry, I haven’t expected that you will be here… (je suis désolée, je ne m’attendais pas à te trouver ici)
– It’s OK, I didn’t hear you coming inside… (je ne t’ai pas entendu entrer)

Je comprend très vite qu’Elena vient nourrir le chat quand sa soeur n’est pas là. Mais Christina ne lui avait pas dit qu’elle pourrait me trouver chez elle. Finalement, nous en sourions autour d’un café, et je ne peux pas m’empêcher de penser que nous sommes à égalité : j’ai vu Elena en plein coït cet été, chevauchant son mari et elle le sait…
Et si cette visite impromptue n’était pas un hasard ?

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