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VU SUR LE NET: De relation mere-fils à aman

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Les jours suivant furent assez banals, les cours, le boulot de préparation de la maison puis les cartons. Le jour venu avec l’aide de quelques amis nous avons réalisé le déménagement. Le soir venu nous étions complètement cuit et avons campé le reste du WE.
Le lundi je partais faire une sorte de stage qui devait durer environ une petite semaine. J’avais régulièrement maman au téléphone qui me racontait l’avancement du rangement a la maison. Finalement cette période dura un peu plus de deux semaines et je ne rentrai a la maison que le mercredi. J’arrivai a la gare en fin d ´après midi vers 18h. Maman devait venir me chercher. A la sortie de la gare je vis sa voiture et me dirigeai vers elle. Apres avoir mis mes affaires dans le coffre je m’engouffrais dans la voiture ou il faisait une chaleur torride. Le siège de la voiture était recule au maximum et étais installe comme un pacha.
-bonjour mon coeur, comment vas tu ? Me demanda t elle.
-super, et toi.
Elle me déposa un baise sur les lèvres et me dit.
-moi aussi, mais met toi a l’aise il fait bon dans la voiture contrairement a dehors.
Je retirai alors mon manteau et écharpe et me mis a l’aise comme me l’avait dit maman. Nous avons alors pris la route et elle me demanda:
-Alors, tu est content de tes deux semaines, raconte moi.
Je tournai alors un peu la tête pour lui raconter mes deux semaines. Tout en ce faisant, je remarquais que maman était super sexy. Un maquillage un peu marqué avec une chemisier crème qui me semblait assez cintré mais surtout ce que je n’avais pas encore vu très ouvert me permettant d avoir une large perspective sur sa poitrine enserrée dans un soutien gorge pigeonnant noir. Quel magnifique spectacle. Tout en continuant mon récit, je vis qu’elle portait une mini jupe que la conduite avait totalement remonté pour me laisser découvrir ses cuisses gainées de bas rouges soutenus par des jarretelles noir. Je commençais a me sentir un peu a l’étroit dans mon pantalon et mes explications devenaient moins facile. Nous arrivions alors a un feu et je fini par dire.
-Voila le déroulement de ma quinzaine et toi alors?
-Et bien moi boulot et rangement tu vas voir je suis assez contente du résultat.
Le feu passa au vert et nous réprimes notre trajet. Mais, au bout de 300m maman tourna a gauche pour entrer dans un parking municipal. Sans aucun mot elle alla se garer entre deux voiture et coupa le moteur. Elle tourna alors la tête pour me regarder et me dit.
-Je ne sais pas pour toi mais moi je ne peu pas allez plus loin dans l’état ou je suis.
En un éclair de temps, elle se mis de cote, enjamba le pommeau de vitesse et vint se mettre a genoux sur mon siège face a moi. Avec un grande dextérité elle ouvrit la braguette de mon pantalon et en extirpa ma queue déjà bien en forme.
-Et bien me dit elle au vu de cet engin je vois que je ne suis pas la seule a être excite.
-Oui mais il faut dire que tu as des arguments assez convaincants.
-Merci pour le compliment.
Ma queue était maintenant turgescente,elle se redressa légèrement et vint placer sa vulve sur mon gland avant de lentement commencer a s’empaler sur mon membre.
En quelques instant elle l eut totalement enfoncer dans son intimité ce qui lui provoquât un petit frisson ainsi que petit râle de soulagement et plaisir. Elle sa plaqua alors contre moi et posa sa joue contre la mienne.
tu m’a manque mon amour et je pensais que ce moment n’allait jamais venir. C’est tellement bon d’avoir ton pieu entre les cuisses.
Toi aussi tu m’a manque maman.
Au final je posais mes mains sur ces fesses que je commençais a pétrir alors qu’elle commençait a onduler du basin autour de mon membre profondément plante dans son intimité. Nos étreintes étaient plutôt langoureuses, chaque petit mouvement dans cette environnement confine entrainait une importante réaction de l’autre. De plus cette situation d’exhibitionnisme était fort excitante. Petit a petit ses mouvement devinrent plus insistant et important. Nos pouls étaient au diapason et montaient petit a petit. De petits râles de plaisir commençaient a sortir de sa gorge. De mon cote cette période d abstinence forcée n’ajoutait rien a ma maitrise face a cette femme en chaleur. Deux mouvements plus amples eurent raison de moi et je me répandais en elle en de grosses salves de foutre chaud et gluant au plus profond de son intimité. Ceci il fit pousser un petit cri de plaisir.
Hummm me dit elle en me regardant cela fait un bien fou merci mon amour.
Puis elle déposa un petit bisous sur mes lèvres avant de se dégager de mon membre couvert d un mélange de foutre et de cyprine. Apres s’être un peu réajuste elle jeta un coup d’oeil autour de nous avant de prendre en main mon membre pour l’essuyer avec ses doigts qu’elle porta immédiatement en bouche pour se délecter de ce mélange suave. Un fois sa besogne termine elle remis ma queue dans mon pantalon.
Ca vas mon amour me dit elle avec un large sourire.
Mieux répondais je du tac au tac.
Moi aussi, je pense que l’on peu rentrer a la maison maintenant.
Nous réprimes alors le chemin dans un grand silence comme pour apprécier au mieux ce moment, ces retrouvailles. Un petit quart d’heure plus tard nous arrivions a la maison. Maman entra dans l’entrée et j’y déposais rapidement mon sac.
Maman était la, face a la glace en train de regarder le courrier, les cheveux encore un peu en bataille de nos aventures, le chemisier négligemment ouvert. Une vrai bombe sexuelle. Je m’approchais alors d’elle par derrière et posai mes mains sur ses hanches. Elle leva les yeux pour me regarder dans la glace, et me dit:
Oui mon amour.
Je ne lui fit aucune réponse et vins me coller a elle. Une de mes mains commença a lui caresser le dos de haut en bas au travers de son chemisier.
Et bien, me dit elle avec un large sourire en déposant le courrier sur le guéridon.
Un problème demandais je alors ?
Non bien au contraire j’aime bien quand tu prends la main.
Tout en continuant mes caresses dorsales d’une main l’autre descendit vers ses fesses. Maman ferma alors les yeux alors que je me collai a elle. Je sentais son corps sous mes caresses se détente et s abandonner. Nous avons commencer lentement a onduler des hanches, corps a corps. Une de mes mains est alors passée sur son ventre, tendrement avant de se glisser dans l’ouverture de son chemisier pour trouver directement sa peau. Le contact lui donna un petit frisson. J’ôtais alors lentement le bouton du bas du chemisier avant de me diriger lentement vers le suivant. Pendant ce temps mon autre main s’activait a lui remonter la jupe sur les hanches. Nos corps ondulaient alors langoureusement l’un contre l’autre. Bientôt un second bouton du chemisier sauta puis le dernier ne fut qu’une simple formalité que libera la vue complète de son opulente poitrine comprimée dans son soutien gorges pigeonnant. De même la remontée de la jupe lassait une entière vision sur la vulve gonflée par le désir. Je lui pris une main et lui dirigeais vers son bouton de plaisir. Elle compris le message et commença a se caresser alors que mes main remontaient alors maintenant le long de son dos. Puis en descendant elle se dirigeaient vers son torse pour rejoindre la naissance de ses seins. Nos ondulations langoureuses rythmaient maintenant ces caresses et un feulement de plaisir commençait a sortir de sa gorges. Mes mains saisirent alors ses seins et commencèrent a lentement les libérer du soutien gorges. Ses caresses clitoridiennes devenaient de plus en plus insistantes ainsi que ses feulements. Je vis alors que ses tétons étaient proéminent. J’ouvrai alors largement les mains avec les doigts bien écartées et je descendais une main pour n’effleurer que le bout de ses tétons. Chaque contact lui tirait un râle puis un second lors de la libération du teton, immédiatement par un nouveau au contact d un autre doigt. Puis l’autre main se mis a descendre. Ce petit jeu la rendait folle. Tout en continuant a se caresser, sa tête se pencha en avant et elle posa une main contre le mur avant de plier un genoux. Je continuai de mon cote mon jeu d excitation de ces tétons. Rapidement ses feulements furent remplacées par de petit cris. De mon cote j étais aussi super excite et avait une gaule du tonnerre. Je plaquai alors mon bas ventre contre ses fesse un peu plus fortement et je ne sais si c’est le contact de de ma queue turgescente contre son cul qui provoqua cela mais elle fut prise par un violent orgasme qui contracta a plusieurs reprise l’intégralité de son corps. Finalement elle posa sa seconde main contre le mur pour reprendre ses esprits et son souffle.
Pendant ce temps une de mes mains se posa dans son pour la caresser et la réconforter alors que la seconde s activait a libérer ma queue dure comme un roc. Toujours les yeux fermée, maman reprenais ses esprits. Lorsque que je sentis qu’elle revenait, je déposais mais queue contre ses hanches,ce qui eu pour effet de la faire sursauter et extirper un petit cris de surprise. Je lui posais un mains sur les reins pour la faire se cambrer. Puis j’approchais mon gland de sa vulve. Il trouva alors un passage entre ses lèvres pour rejoindre une environnement totalement détrempe. Maman restait pétrifiée, elle n’avait plus aucune réactions comme si elle capitulait. Je commençais alors a m’introduire en elle sans aucune résistance tant elle était trempée. Je la pénétrai lentement sans jamais m’arrêter ce qui lui tira un continuel petit cris jusqu’a ce que je futs totalement en elle. Je ressortais totalement d’elle pour renouveler l’action, puis une autre fois avec chaque fois le même résultat la concernant´ un continuel râle de plaisir. Deux ou trois autre vas et viens eurent raison de sa retissante et lii déclenchèrent un nouvel orgasme qui comprimèrent ma queue dans son intimité et lui extirpèrent des violent cris de plaisirs. Des la fin de cet orgasme sans lui laisser le moindre temps pour souffler je la pris par les hanches et commençais a la besogner. Immédiatement ce ne fut plus qu’un long râle de plaisir qui sortait de sa gorge, elle ne maitrisais absolument plus rien et s’abandonnait totalement. Mes coup de reins étaient de plus en plus vif et puissant et maman fut alors plus par toute une série de contraction qui mettait a mal ma queue mais l’empoignant plus fermement je continuais pilonner son intimité et lorsque je ne pu plus tenir je lui expédiais de nouveau de gros jet de foutre qui la firent littéralement disjoncter et hurler dans la maison.
Je me retirai alors d’elle. J’étais un peu a bout de souffle mais maman au trois quart nue était littéralement hors service, contre le mur, le souffle coupé, sans aucun mouvement si ce ne sont les contractions qui continuaient a lui traverser le corps. Je ne savais comment réagir face a cette situation. Finalement au bout d’une bonne minute je la pris dans mes bras ou elle s’effondra littéralement pour essayer de retrouver son calme. Puis je senti qu’elle commençais a pleurer ce qui augmentait mes doutes sur ce que je devais faire. Je décidais de rester ainsi le temps qu’elle se calme et reprenne ses esprits. Cela dura je pense cinq bonnes minutes au bout desquelles elle releva la tète pour me regarder. Elle me regardait tendrement, passa la main dans mes cheveux avant de ma caresser le visage
Tu sais, je n’ai jamais vécu un telle moment avec un homme alors avec toi la chair de ma chair cela fait tout drôle.
C’est désagréable.
Non, bien au contraire je crois que c’est encore plus fort. C’est toi qui m’a mis dans une tel état.
Désolé.
Ne le soit pas au contraire j’en redemande me dit elle en me souriant.
Elle passa alors la main dans mon coup avant de venir déposer un petit bisous sur mes lèvres.
Allez, me dit elle je te laisse prendre une petite douche, moi je prépare un petit encas et me refait une petite beauté et on se fait une petite soirée au lit ?
Je validais la proposition et filais me prendre une petite douche. La nuit allait certainement être assez chaude mieux valait reprendre des forces.

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