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VU SUR LE NET: Boulot d’été

VU SUR LE NET: Boulot d’été



Après avoir subi cette fameuse visite médicale, cela faisait trois semaines maintenant que j’avais commencé mon boulot d’été dans cette petite entreprise d’embouteillage de la région de Pauillac. Je m’y plais bien, même si le travail est parfois physique. J’arrive le matin aux environs de 9 heures et commence la journée par un petit coup de rouge avec les gars de la coopérative. Puis, on lance la chaîne d’embouteillage : les bouteilles vides placées sur un tapis roulant se placent sous une espèce de robinet à plusieurs têtes, qui envoie un flux de vin de la Rose Pauillac, remplissant en quelques secondes une dizaine de bouteilles. Le lot poursuit son chemin et passe dans une emboucheuse, grosse machine qui, comme son nom l’indique ferme les bouteilles avec un bouchon de liège. Il ne reste plus qu’à les étiqueter et à les stocker par 6 dans des cartons, et tout cela automatiquement. Sylvain, un bordelais de 40 ans, s’occupe de vérifier la quantité et la qualité du vin disponible dans les fûts.
Antoine, son frère de 35 ans, récupère les cartons de bouteilles à la fin de la chaîne, avec son transpalette, pour les mettre dans le magasin de départ. Moi, entre eux, je réceptionne les commandes, je contacte mes clients, bref tout ce qui touche au commercial. Parfois même, je fais visiter la coopérative aux clients ou aux curieux de passage.

Ce jour là, vers la fin d’après midi, alors que je pensais la journée bientôt terminée, Sylvain m’appelle :
– » Hey, Vanessa, viens que je te présente à un de nos fidèles amis ;  » Jules, c’était son nom, est un africain impressionnant par sa taille et sa musculature. Il a l’air sympa et me sourit franchement en m’apercevant. Ces dents blanches sont impeccables et illuminent son visage d’ébène. On entame tous trois (Antoine nous a rejoint, après avoir stoppé la chaîne) une conversation de politesse, vantant les mérites du bon vin de la Rose Pauillac.
Antoine propose au groupe que l’on descende dans la cave pour une dégustation des trésors vinicoles de la coopérative, réservés aux grandes occasions. Je demande qu’elle est cette si fameuse occasion et il me répond que c’est en l’honneur de notre invité de marque (qui a surtout passé une commande très importante). Je résiste prétextant qu’il se faisait tard, mais c’est quasiment de force que les trois hommes m’entraînent vers les bas fonds de l’entreprise.
– » Allons, mademoiselle, vous n’allez pas me refuser le plaisir de déguster avec vous vos nectars rougeoyants ?  » me demande Jules en roulant les R de façon presque caricaturale et qui en profite pour me passer sa main dans le dos…
La politesse me perdra, ainsi que le plaisir de boire du bon vin, et me voilà empruntant un escalier étroit et raide, taillé à même la terre. Les murs sont suintants et tapissés de toiles d’araignée. L’escalier débouche dans une pièce assez grande, dans laquelle se trouvent plusieurs lignées de tonneaux. Au fond, une table en bois rustique, 4 chaises et des verres nous attendent. Je ne suis pas habillée très chaudement, un petit Tee-Shirt un jean délavé et des sandalettes constituent ma panoplie. La fraîcheur, mélangée à un certain malaise, me donne la chair de poule. Heureusement, il fait sombre et mes acolytes ne s’en aperçoivent pas. D’ailleurs ils semblent plus intéresser par les bouteilles rangées dans des casiers le long du mur qu’à moi, ce qui me rassure un peu. Les premières bouteilles sont débouchées et je retrouve l’ambiance qui me plaît dans ce genre de région. Qu’il est agréable de remplir sa bouche de ce vin bonifié par le temps, de le caresser avec son palais et sa langue, de le sentir avec toutes ses papilles gustatives… Très rapidement, je n’ai plus du tout froid. L’alcool agit et je me laisse passivement enivrer par ce nectar. Après quelques verres, je constate que l’ivresse est quasi générale: les trois gars lancent quelques blagues grivoises, qui font mouchent aussitôt, à entendre leurs rires peu discrets qui résonnent dans cette cave.
Moi, habituée à ces plaisanteries, je me contente de sourire pour mieux dissimuler une gêne qui commence à naître. Pour m’aider à participer à l’ambiance, j’accepte volontiers les verres de vin qui se remplissent encore et encore. Le résultat ne se fait pas attendre et bientôt je me mets à émettre des rires hystériques qui ponctuent la chute de chaque histoire.
– » Tu as l’air d’apprécier notre sens de l’humour  » me dit Jules.
– » On ne te savait pas si obsédée…  » Rajoute Antoine
– » Une belle collègue comme Vanessa, on n’a pas la chance d’en avoir tous les ans. Allez, lève-toi et improvise-nous une petite danse…  » demande Sylvain, en me prenant par la taille pour me lever de ma chaise. Bien sûr je décline aussitôt l’invitation, mais, n’ayant plus les idées bien claires, j’entame en rigolant quelques pas lancinants. Les trois gars semblent ravis, et le verre à la main, la mine épanouie, cadencent chacun de mes pas en frappant dans leurs mains. C’est sylvain qui s’est levé le premier pour m’entourer de ses bras robustes pour m’accompagner dans un slow surréel, sans musique, juste avec des rires et des remarques de plus en plus chaudes pour toute bande sonore. Il me tient bien et je me sens comme prise dans un étau contre son corps qu’il presse de plus en plus fort, surtout au niveau de ses hanches. Je sens à travers son pantalon une certaine excitation qui se traduit par une bosse proéminente qu’il n’essaie même pas de cacher. J’essaie tant bien que mal de me détacher de cette sangsue, mais c’est peine perdue. Et pendant ce temps, ces compagnons se lèvent pour se rapprocher et l’encouragent vivement :
– » Oui, Sylvain vas-y, tu l’emballes comme il faut… Elle adore danser avec toi… « 
– » Il faudrait plus de sensualité quand même. Frotte-toi un peu plus… Allez…Encore…  » Sylvain encouragé de la sorte s’applique à satisfaire ses camarades. Ses deux grandes mains quittent mes épaules pour glisser lentement sur mon dos, explorant chaque centimètre carré de mon Tee-shirt. Et moi, ivre comme je le suis, je ne l’arrête même pas et le laisse poursuivre son manège…Pire je pose ma tête sur son épaule, tout contre son visage, comme si je veux lui indiquer ma reddition.
– » Tu vois, je te l’avais dit que tu es un tombeur né  » commente son frère
Ainsi flatté, Sylvain poursuis ses caresses et me pelote maintenant les fesses à travers mon jean. Puis il remonte sa caresse et passe une main sous mon Tee-shirt pour me caresser le dos à même la peau. Là, je réagis et d’un brusque mouvement me dégage. Ma réaction surprend l’assemblée ; les trois hommes restant figés et muets. Je balbutie quelques excuses comme si j’étais en faute.
– » Alors là, tu as tort… Tu allumes mon frère et tu veux nous laisser choir maintenant ? Ne crois pas qu’il en soit question. Jules, aide moi et prends cette corde, on va lui montrer comment on dresse les allumeuses chez nous « 
Avant qu’Antoine ne m’att****, je me sauve en courant en direction de l’escalier, que je commence à gravir. Mais, Jules, qui était le plus proche, me ceinture brutalement et me ramène sans ménagement dans la pièce. Les deux frères débarrassent rapidement la table et Jules m’allonge dessus. Aussitôt, mes pieds et mes poignets sont saisis et ligotés. Me voilà écartelée sur la table, chaque membre solidement attaché à un pied de celle ci.
– » La pétasse, 3 semaines qu’elle tortille son pétard et ses petites miches pour nous émoustiller… Tu vas nous les montrer quand même. Et ce n’est pas la peine de te débattre, tu ne peux pas nous échapper et si tu ne coopères pas ça va vraiment être ta fête…  » Pendant que Sylvain me menace de la sorte, les mains de Jules et d’Antoine parcourent mon corps. Jules s’attaque immédiatement à mes seins, qu’il pelote brutalement. Dans cette position, j’ai mal au dos et ma poitrine est livrée en pâture. J’ai beau tiré sur les liens qui me retiennent pour me débattre, mais c’est inutile. Sylvain s’approche de moi, un sécateur à la main.
– » Ecartez vous que je lui fasse une petite mise à l’air…  » Il découpe mon Tee-shirt avec le sécateur. Le tranchant de l’outil n’étant pas adapté, il finit par le déchirer en l’empoignant et en le tirant de ses grandes mains puissantes. Les bouts de tissu enlevés, il arrache maintenant mon soutien gorge et libère ainsi mes seins qui du fait de la température peu élevée se sont durcis.
– » Elle bande des seins, la salope  » dit il en pelotant sans douceur ma poitrine. Les autres prirent le relais pour constater d’eux-mêmes. Et plus on me pelote, plus mes seins se redressent, malgré mes supplications et mes pleurs. Antoine s’attaque maintenant à mon jean et défait les boutons de ma braguette. Comme les liens empêchent de le retirer complètement, il me le baisse au maximum en bas de mes chevilles. Puis, il arrache d’un coup sec ma culotte. Me voilà offerte nue à mes trois agresseurs, qui surexcités par le spectacle, écarquillent leurs yeux pour mieux mater.
–  » La vache Vanessa, tu nous avais pas dit que tu étais une adepte de l’épilation totale « 
Et oui, mon copain trouve qu’une femme n’est complètement nue que quand elle est rasée… ça l’excite de voir ma minette imberbe… et ce n’est pas le seul, vu le regard fiévreux de mes agresseurs…
Antoine caresse ma chatte nerveusement, en tirant sur mes lèvres intimes, puis il me pince violemment le clitoris. Je pousse un grognement de protestation et me ramasse aussitôt une paire de claques par Sylvain.
– » Ta gueule, petite pute, fini de jouer maintenant, on va se payer du bon temps…  » Tout en me hurlant dessus des insanités, il se déculotte, dévoilant un sexe d’une couleur brunâtre contrastant avec la blancheur de sa peau, comme si sa bite était congestionnée. Il monte sur la table, se met à califourchon au-dessus de mon visage. Je sens les poils de son cul me gratter le bout de mon nez.
– » Lèche-moi le cul, salope. Je veux sentir ta langue sur toute la longueur de ma raie. Et insiste bien sur mon petit trou, sinon je m’assois carrément sur toi pour t’étouffer.  » Je n’ai pas le choix, et pendant que mes larmes coulent le long de mes joues, je commence à obtempérer aux ordres de Sylvain. Ma langue s’enfonce dans la raie noire de laquelle débordent un fouillis de poils frisés et glisse dans le sillon de bas en haut et vice versa. Lorsque je passe sur son anus, je me surprends même à faire une pose, puis à tournicoter sur ce point sensible. Cela ne lui déplait pas. Il tend ses fesses le plus prés possible de ma bouche, pour que la pression de ma langue s’intensifie. Instinctivement, je la darde un peu plus, m’enfonçant dans cet anneau si étroit. Sylvain pousse un soupir d’extase :
– » OUAH… Qu’est ce que tu lèches bien ma cochonne, continue comme ça…oui… « 
Pendant ce temps, je ne remarquais même pas les deux autres qui s’étaient déshabillés et qui mataient sans vergogne le spectacle. Sylvain se relève pour se retourner, afin de pouvoir me lécher le con. Maintenant, il me présente sa queue brunâtre que je gobe aussitôt. Pendant que ma langue s’enroule autour de son gland, la sienne explore avidement les replis de mon sexe, jouant avec mon clitoris, puis s’enfonçant au maximum dans mon puit sacré. Je commence à mouiller sérieusement, et mes larmes se sont asséchées… Des râles de plaisir sortent sans que je puisse les contrôler. Tailler une pipe à un homme à califourchon sur moi, qui suis ligotée et écartelée sur une table dans une cave obscure, me faisant lécher la chatte… la situation commence à m’exciter au plus haut point ! Soudain, je vois une grosse queue noire se placer au-dessus de mon front, face aux fesses de Sylvain.
– » Lèche-moi les couilles  » m’ordonne Jules. Deux superbes couilles pendent en effet devant mon nez. Jules était lui aussi monté sur la table à califourchon, juste au-dessus de ma tête. Il avait poussé Sylvain et le tenait par les hanches. Je me mets donc à sucer les testicules tombantes de Jules. Celui-ci caresse maintenant le dos de Sylvain, qui loin de se dérober à son étreinte se cambre un peu plus pour lui offrir sa croupe. Jules lui écarte de ses puissantes mains les fesses pour pouvoir mieux admirer la raie de son cul et son anus, que j’avais léché tout à l’heure.
– » Tu as toujours d’aussi belles fesses !  » Complimente Jules en passant son doigt sur toute la longueur de la raie de Sylvain
J’assiste en direct et en gros plan à l’introduction anale du doigt de Jules, qui prépare ainsi le terrain à une sodomie qui ne fait plus aucun doute. Mais du coup, personne ne s’occupe plus de moi : les pattes écartées, la chatte humide mais abandonnée, je suis délaissée pour une relation homosexuelle !
Heureusement, Antoine prend le relais de son frère trop accaparé par les caresses de Jules. Je sens sa langue fouiller dans le jus qu’avait si bien su faire couler celle de son frangin. Très vite, la fontaine semblait revivre, telle une pompe réamorcée, je me suis remise à mouiller. Il faut dire que la situation est vraiment torride : Jules se mastique maintenant sa queue, qui devient énorme, fantastique verge noire ornée d’un monstrueux gland rose foncé.
Il frotte son gland contre l’anus de Sylvain et d’un coup, je vois sa bite être avalée entièrement, comme aspirée par cet anus si élastique. Ligotée sur ma table, je regarde à quelques centimètres au-dessus de moi la danse des deux corps prendre leur rythme, à une cadence d’abord tranquille puis de plus en plus rapide. Jules encule Sylvain par de grands coups de butoirs, sa queue ressortant presque complètement du trou du cul avant de s’y enfourner totalement, avec, en bruit sonore des  » HAN  » de Jules qui trouvent leur écho dans les  » HO  » que Sylvain ne peut s’empêcher de crier. Antoine a cessé de me lécher, je ne sais pas ce qu’il fait puisque les corps déchaînés de Jules et de Sylvain me font écran. L’attente n’est pas longue : je sens une belle bite qui me pénètre la moule avec délicatesse, je suis tellement lubrifiée, qu’elle ne tarde pas à investir complètement mon sexe, jusqu’à la garde. C’est à notre tour de nous mettre en transe. Aux assauts de Jules dans le fondement de Sylvain, Antoine répond en me sautant avec de plus en plus de force, comme s’il voulait à chaque pénétration aller de plus en plus loin. A chaque va et vient nos cris de plus en plus hystériques nous échappent et retentissent dans cette cave. Après quelques longues minutes d’extase, Antoine explose en moi. Je sens de longs jets de sperme éclaboussés mes entrailles, me rendant complètement folle, je tire sur mes liens et me met à hurler de plaisir. En même temps,
Jules se plaque complètement sur les fesses de son partenaire. Je n’avais pas remarqué, mais tout en sodomisant Sylvain, il le branlait énergiquement. Ils jouissent tous deux en même temps : je vois l’arrière train de Jules tétanisés contre celui de Sylvain, pendant qu’il se vide les couilles en poussant des grands cris. Sylvain explose également et éjacule sur mon ventre. Je sens sa semence se répandre sur ma peau, puis la main d’Antoine l’étale sur mon ventre et mon sexe. Il faut quelques minutes pour que tout le monde retrouve sa lucidité. Quel tableau ! Une femme ligotée et violée, au-dessus de laquelle deux hommes se sont enculés, et un troisième qui l’a sautée…
 » Détachez-moi maintenant, bande d’enfoirés… j’ai mal aux chevilles et aux poignets ! « 
 » Pas de problème cocotte  » me répond Jules, en me libérant de mes liens et en me redressant. Me voilà debout, mon jean en bas des chevilles, le ventre et la chatte luisants du sperme encore chaud. Jules me maintient toujours avec force.
 » Tu n’as pas encore goûté à ma grosse queue…  » Antoine et Sylvain se rapprochent, m’att****nt les mains qu’ils ligotent de nouveau. Ils font passer la corde dans une sorte de poulie. Jules tire sur le bout et me voici les bras en l’air. Jules continue de tirer sur la corde jusqu’à ce que mes pieds touchent à peine le sol, puis il attache le bout en faisant un nœud de marin.
 » Ecartez-lui les pattes que je me la prenne. « demande t’il à Sylvain et à
Antoine, qui chacun s’empare d’une jambe et me force à faire le grand écart, lui offrant le spectacle de ma chatte écartelée. Il s’approche de moi en se branlant. Son sexe est vraiment très impressionnant comme quoi la grande taille du sexe des africains n’est pas qu’une rumeur.
 » Je vais d’abord te prendre par devant puis je t’enculerai.  » me dit il en rigolant. Je me mets à pleurer, j’en ai assez et je suis vraiment à bout d’être le jouet sexuel d’une bande de pervers qui prennent un plaisir évident à me violer et à m’humilier. Mais malgré mes supplications, Sylvain et Antoine tirent davantage sur mes jambes, seuls mes bras me retiennent et, suspendue ainsi à une poulie, je commence à avoir très mal. Jules qui se colle à moi frotte son gland sur ma chatte puis l’enfourne sans délicatesse au plus profond, jusqu’à la garde. Sa bite me déforme la vulve, j’ai l’impression qu’il me déchire les entrailles. Mes larmes ruissellent sur mes joues et je pleure en hoquetant de douleur et de peine.
 » Cesse de chialer, petite pute, je vais te faire jouir comme jamais  » me dit Jules d’une voix douce. Il commence à aller et venir en moi doucement. Ma chatte s’ouvre un peu plus à chaque coup de butoir, son gland touche mon utérus comme s’il voulait aller plus loin encore. Une chaleur m’envahit le bas ventre au fur et à mesure qu’il me pénètre avec de plus en plus d’ardeur, sous les quolibets des deux frangins.
 » Vas-y, bourre là encore plus fort « 
 » Ah la salope, elle aime la bite ! ! !  » Je me mets de nouveau à feuler comme une chienne en chaleur, l’orgasme monte de plus en plus et je sens que je vais bientôt le libérer. Mais Jules dégage son sexe de ma chatte.
 » Attends un peu Vanessa, pars pas si vite, tu n’as pas encore apprécié ma spécialité : l’enculage de petite pute… « 
Sylvain et Antoine me lâchent les jambes qui retouchent enfin le sol. Cela me soulage les bras, mais la pause est de courte durée : Sylvain me fait pivoter afin de leur faire présenter mes fesses. Une série de claques les fait rapidement rougir. Cela faisait un bon bout de temps que je n’avais pas eu droit à une fessée pareille. Les trois gars n’y allait pas de main morte et me frappaient violemment avec le plat de leur main. De nouveau je hurle de douleur, et je panique lorsque je sens les mains puissantes de Jules m’écarter les deux fesses pour mettre à jour le sillon de mon cul. Une langue râpeuse me lèche sur toute la longueur de la raie, puis un doigt vient titiller mon anus.
Une première phalange pénètre l’anneau, puis une deuxième et enfin tout un doigt s’y enfonce. Je souffre de cette première pénétration anale.
 » Arrêtez, pitié, ne m’enculez pas, non pas par-là …  » Pour toute réponse, un deuxième doigt investit la place, élargissant le trou de mon cul sans ménagement, décuplant ainsi la douleur que je ressentais.
 » T’inquiète, cochonne, on va le rendre plus élastique ton petit trou… « 
 » Vas-y, encule là maintenant, elle est prête… « 
 » Ok, je vais te lui éclater le cul !  » Le gland de Jules se présente de nouveau sur mon anus. Bien que je ne le vois pas, je sais que c’est lui et j’appréhende le moment où il va s’introduire. La pression se fait de plus en plus grande, j’écarte les fesses au maximum pour lui offrir le moins de résistance possible. Le gland commence à me pénétrer, l’anneau de chair se détend petit à petit, au fur et à mesure de la progression du gland, qui n’en finit pas de rentrer. Mon trou du cul s’ouvre au maximum, j’ai l’impression que l’on y enfonce une mandarine tellement j’ai mal. Après quelques secondes, le gland a totalement investi la place. Je souffle et me retiens de ne pas crier, mais j’ai mal. D’un coup, Jules m’encule jusqu’à ses couilles. Toute sa bite énorme s’est enfoncée dans mon anus en un quart de seconde. La rapidité de cette sodomie m’a tellement surprise que je n’ai pas pu m’empêcher d’hurler. La douleur était telle que je suis tombée dans les pommes… Lorsque je reprends mes esprits, je ne suis plus suspendue en l’air, mais attachée sur le ventre, sur un gros tonneau. Sylvain est en train de m’enculer, pendant que les autres trinquent à leur table, en matant la scène. Mon cul est tellement ouvert que je ne sens pas beaucoup les coups de lime que me donne Sylvain. De plus, mon cul est complètement inondé par le foutre que Jules a du laisser précédemment, ce qui facilite les va et vient de Sylvain. Il se met maintenant à couiner, se retire de mon cul et éjacule à son tour sur mes fesses. Antoine se lève maintenant et remplace son frère, parti boire un coup à son tour. Antoine me sodomise mécaniquement. Son sexe tel un piston sort et rentre dans mon anus complètement détendu. A chaque fois qu’il sort, le trou ne retrouve même pas sa taille d’origine et attend béatement qu’il soit de nouveau rempli…Après quelques minutes, Antoine se répandit tout au fond de mon arrière train, avant de laisser de nouveau la place à Jules. Celui ci s’approche de moi avec une bouteille à la main.
– » Tiens Vanessa, tu as bien mérité un coup de rouge.  » Tout en me disant cela, il m’enfonce le goulot dans le cul et force pour me le faire pénétrer au maximum avec la bouteille. Puis il la retire et me force à boire le vin au goulot. Tout en buvant ce vin, je peux goûter au sperme qui est stocké dans mes entrailles et qui colle aux parois de la bouteille. Il me la renfonce de nouveau et s’amuse à la faire tourner sur elle-même comme si il me la vissait dans le cul. La douleur est de nouveau insupportable à telle point que je tombe dans les pommes… Lorsque je me réveille, je suis toujours allongée sur le tonneau, mais je ne suis plus attachée. Les garçons ont du profité de mon corps toute la nuit puis se sont en allés. Rapidement, je renfile mon jean et je me sauve en courant. J’ai mal aux fesses et je tortille du cul. Les seins à l’air, je cours dehors, monte dans ma voiture et démarre en trombe. Jamais je ne suis retournée dans cette coopérative.
Jamais je n’ai pu reboire une goutte de vin…

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