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Les Grandes Soeurs

Les Grandes Soeurs



Nora

Le voile islamique cachant ses beaux cheveux ébène, Nora marchait dans les rues avec son amie Fatima. Sous sa djellaba noire, elle souffrait de la chaleur. Elle ne portait pourtant rien en dessous, ni soutien-gorge, ni culotte. Elle ne risquait pas grand-chose car le tissu noir était ample et dissimulait parfaitement les formes voluptueuses de ses hanches et de son ventre. Sa poitrine lourde ne se devinait guère non plus. La jeune femme était donc dans la parfaite tenue pour ne pas susciter les pensées saines des hommes croyants.

Alors qu’elle rentrait chez elle, des cris se firent entendre. Elle accourut rapidement et passa le seuil de la porte. Son frère hurlait après ses sours et sa mère. Wahid était le chef de famille depuis que le père était mort et il s’acquittait de cette tâche avec beaucoup de zèle. Autrefois, lorsque Nora était encore une enfant, elle jouait de longues heures avec son petit frère. Mais ces tendres années étaient révolues.

– Arrête Wahid, cria-t-elle alors que son frère s’avançait pour frapper sa mère.
– Qu’est-ce t’as ? Tu veux quoi toi ?

Alors, il se pressa sur elle et lui flanqua une gifle qui la projeta au sol. La djellaba de Nora se souleva et le tyrannique arabe fut pétrifié de découvrir la toison noire de sa grande sour. Les belles cuisses galbées de son aînée s’offraient à son lubrique regard mais, il se reprit et lui asséna quelques coups de pied en hurlant qu’elle était une débauchée, une mécréante, que dans sa maison, il voulait qu’on honore le Coran, qu’elle devrait, à présent, revêtir la bourbka et ne plus jamais s’adresser à lui.
Wahid décampa et laissa les femmes de la maison seules.

Quelques mois plus tard, Nora vivait en cage ! Elle s’accoutrait de cette honte pour les femmes : la bourbka. Elle ne parlait plus en présence de son frère. Elle fulminait de le voir si prompte à donner des leçons de morale. Wahid avait repris les affaires de son père. Des affaires mafieuses. Il contrôlait, en fait, la moitié Nord de la ville : drogue, prostitution, recel. Il se permettait de donner des leçons à sa famille devant ses hommes de main, devant ses associés !

Bientôt, Nora n’en pu plus. Elle se résolu de se venger de son frère et de le blesser dans sa fierté. Plusieurs semaines pour peaufiner son plan et la voilà enfin décidée à l’exécuter.

Ce soir là, elle sortit à l’insu de sa mère. Revêtue de sa bourbka et des gants qui cachaient même la peau de ses mains, Nora traversa son quartier sans que personne ne la remarque. Comment auraient-ils pu d’ailleurs ? Le nombre de femme escamotée sous cette honte de l’humanité déambulant dans les rues avait augmenté. La jeune femme arriva bientôt dans les quartiers chauds. Ca et là, des hommes guettaient les clients, ou ils faisaient la police pour que le quartier puisse tout de même accueillir les fêtards ou les touristes à la recherche de sensations fortes.

Dans ce secteur, Nora ne passa pas incognito. Rapidement, un homme ou deux l’accostèrent pour lui demander les tarifs d’une passe. Les femmes en bourbka stimulaient les fantasmes. Européens ou arabes, tous désiraient se « taper » une femme soumise. Après les avoir rabroués plusieurs fois, un homme « du milieu » vint l’accoster.
– Tu fais quoi dans le quartier ?
– Je veux travailler pour Wahid El’Hammir, dit-elle la voix tremblante.
– Pour être protégée par Wahid, il faut savoir y faire ma petite. dit l’arabe avec un rire goguenard.

Il l’amena dans un recoin d’une rue et en guise de test, il dégrafa son pantalon.
– Allez ! Vas-y ! Suce chienne !

Le cour de Nora bondit dans sa poitrine. Ce n’était pas le moment de flancher ou tout serait découvert. Elle s’agenouilla sur le sol poussiéreux. Ses mains gantées sortirent des tissus amples de sa bourbka noire et saisirent la verge encore un peu molle. Lentement, elle tira la peau vers l’arrière pour observer, à travers sa grille, le gland qui gonflait. Puis, dans un mouvement régulier avec une pression parfaite de la main droite, la musulmane commença une savante masturbation soutenue par l’autre main gantée qui caressait les testicules pendants.

L’homme de main de Wahid était aux anges. Il regardait les gants autour de son sexe avec un plaisir quasi fétichiste. Nora souleva enfin le long voile noire en prenant soin de ne point se découvrir et y passa la verge, à présent en érection, en dessous. Elle prit la tige dans sa bouche. Suceuse de talent – car gourmande de la queue – Nora avait eut de nombreux amants – la musulmane voyageait sur toute la longueur de la hampe avant de s’attaquer au gland vermillon qui piaillait d’impatience. L’homme observait la tête voilée s’abaisser régulièrement sur son bas-ventre puis il éjacula. La jeune femme avala longuement le suc épais avant de remettre sa tenue en ordre.

Plus tard, elle entra dans un grand hangar délabré, à l’extrémité nord du quartier. Là, pêle-mêle des caisses de lecteurs MP3, des palettes entières de paquets de cigarettes européennes et autres marchandises de contrebande. Quelques femmes en tenue légère étaient là aussi. Nora suivit son homme dans le fond du hangar où il y avait une petite pièce éclairée.
– Tiens Wahid, c’est une femme qui veut tapiner pour toi, dit l’homme en entrant dans la petite pièce enfumée.

Il y avait cinq hommes debout et Wahid assis en face d’un bureau miteux qui regardait des feuilles de compte.
– Il leur fait croire qu’il sait lire ! rigola Nora intérieurement.

Elle entra complètement dans la pièce et prit place en face de son frère.
– Tu veux travailler pour moi ? demanda Wahid d’un air impérieux au milieu de ses lieutenants.
Nora acquiesça de la tête.
– Tu l’as essayée ? demanda-t-il à son homme
– Non Wahid, mentit-il, je sais que je ne dois pas.
Le chef le regarda droit dans les yeux afin de le tester. Puis il se leva.
– Enlève ta bourbka ! commanda-t-il
Nora refusa de la tête.
– Oh !!! Une vraie croyante, rigola-t-il.
Ses hommes l’imitèrent.
– Eh bien, nous allons vérifier tes performances, dit-il après avoir fixé la grille avec intensité. Abdel, Malek montrez-lui votre petite bite.
Les deux hommes obtempérèrent non sans une certaine frustration. Mais Wahid était le chef ! Nora prit les deux verges dans ses mains gantées et commença à les masturber. La douceur du tissu et l’agilité de la jeune femme causèrent rapidement deux belles érections. Se penchant sur le sexe de Malek, la musulmane ne lâcha pas celle de son compagnon qui palpait, à travers la bourbka, ses formes voluptueuses qu’il devait désirer. Nora s’activa encore avec beaucoup de dextérité et Malek ne tint pas très longtemps entre les lèvres expertes.

Wahid regarda son lieutenant jouir et dût admettre l’habileté de la femme. Alors qu’elle se tournait pour s’occuper d’Abdel il déclara :
– C’est bon ! Tu es bonne ! Mais je vais te prendre pour te dépuceler. Tu es vierge bien entendu ?
Sa sour répondit que non de la tête.
– Ah ! tu crois ça ! Je vais te prouver que tu as tort, riait-il.
Tous les hommes dans la salle rirent ensemble.

Nora fut allongée sur la table et on écarta ses cuisses. Wahid retroussa l’ample tissu noir et se posta entre les belles cuisses de sa sour qu’on tenait inutilement écartées – Nora attendait son frère -. Du bout de ses doigts, il humecta le sexe de la musulmane de sa salive et guida sa grosse verge à l’entrée du vagin. Wahid pénétra sa soeur avec lenteur. Allongée sur le dos, le corps refroidi par le bureau en acier, Nora sentait la désagréable sensation de son étroit fourreau s’écartant sous l’avancée de la verge de son frère qui tentait de la discerner derrière la grille. Dans le fourreau de son désir, l’arabe disait des choses salaces qui déchiraient le cour de sa sour. Sa culbute accéléra et Nora ne pouvait guère s’empêcher de raller.
– Tu vois ! C’est pas mal ! dit Wahid plein de vanité.

On retourna sa sour sur le ventre et on lui tint les mains gantées contre le bureau.
– Maintenant, je vais vraiment te dépuceler sale putain, annonça-t-il d’un air mauvais en retroussant de nouveau la bourbka au niveau de la taille.
Nora prit peur. Elle n’avait pas prévu cela. Son plan n’envisageait pas la sodomie. Non ! Pas ça ! Pas avec lui ! L’arabe commanda à Abdel de la préparer. Nora se débattit un peu mais comprit très rapidement qu’il était trop tard. L’homme lui lécha les fesses puis le petit oillet. Puis il pénétra rapidement un doigt qui déchira la musulmane avant d’y introduire un deuxième doigt.

Wahid se masturbait en tournant autour du bureau. Comme un prédateur, certain de tenir sa proie, il savourait le moment avant d’exécuter son dessein. Il se posta enfin derrière sa sour et posa son gland sur l’anus un peu détendu. Il poussait doucement quand, soudain, l’orifice céda et la verge glissa à l’intérieur écartant les parois étroites du boyau anal. Nora poussa un cri de douleur. Les hommes rirent. Leur chef laboura rapidement sa sour sans avoir cure de ses lamentations. Cramponné à ses belles hanches vigoureuses, l’arabe allait et venait de plus en plus rapidement. Ses lieutenants avaient lâché Nora et se masturbaient autour d’elle, s’excitant de la sodomie.

Au bout d’un moment, après avoir copieusement labouré sa sour, Wahid sortit sa queue et éjacula sur les fesses tendues en gueulant comme un âne.
– c’est bien, dit-il après un instant. Tu n’es plus vierge maintenant. Lève-toi.
Nora obtempéra et regarda, à travers la grille de sa bourbka, son frère la bite palpitante et les cinq hommes qui se masturbaient.
– Soulève ta bourbka qu’on voit ton corps.
Nora attendait cela depuis un moment. Sa vengeance approchait.

Elle souleva lentement le tissu noir découvrant d’abord le galbe magnifique de ses jambes puis ses cuisses appétissantes. Son frère lâcha quelques remarques grivoises pendant que ses hommes continuaient de se masturber.
– Continue donc, ordonna Wahid.
L’étoffe poursuivit sa montée pour dévoiler un petit pubis noir bien taillé aux lèvres charnues. Les hanches de Nora étaient charmantes. Elles soulignaient avec fierté la délicatesse de sa taille et tombaient admirablement sur ses délicieuses cuisses. Là, deux hommes jouirent et leur sperme atteint la peau halée du ventre plat de Nora qui tressaillit.
– Ouah ! Les gars ! Elle vous fait de l’effet. Elle est vraiment super belle. Continue, commanda Wahid en se masturbant.

La musulmane observa son frère à travers sa grille et se délectait de la suite. Elle continua à dévoiler son corps. Sa superbe poitrine apparut. Deux seins lourds et fermes aux larges aréoles. Un autre homme éjacula sur son ventre. Des filées de sperme coulaient sur son pubis et ses cuisses. Wahid rebandait comme un âne. Nora le toisait et levait toujours le tissu ample. Avant de découvrir la dernière partie, elle marqua un temps.
– Allez ! vas-y ! dit son frère tout excité de voir une telle beauté à sa merci.
Nora se dégagea de sa bourbka et la lança sur le sol poussiéreux de la pièce. Ses longs cheveux noirs balayèrent l’espace avant de chuter sur ses fines épaules et ainsi découvrirent son visage.

Elle fixa son frère dans les yeux. Il arrêta de respirer et scruta le corps de sa sour sans être bien certain que ce soit elle. Ses lieutenants la reconnurent et s’exclamèrent. Ils rangèrent rapidement leur sexe dans leur pantalon.
– Nora ?
Elle jouissait. Elle était nue devant son frère et ses hommes. Ils l’avaient baisée. Ils l’avaient humiliée. Jamais Wahid ne pourrait s’en remettre. Jamais il ne pourrait se pardonner. Jamais ses lieutenants ne l’oublieraient.

Nu, Nora courut à travers le hangar laissant son frère immobile. Seuls ses bras et ses mains gantés l’habillaient. Dehors, elle traversa le quartier et s’enfuit pour toujours.

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