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Mike : Les gènes de la famille (4)

Mike : Les gènes de la famille (4)



Chapitre 4 : Les gènes de la famille

Elodie m’embrasse brutalement et m’attire vivement vers elle en pliant ses genoux qu’elle tire vers elle, les cuisses écartées.
– Maintenant, Mike ! Enfonce-toi à fond et fais de moi ta femme qui va t’aimer comme une folle ! Donne-moi ton sperme, fais moi tienne.
Tout à coup, ses jambes enveloppent ma taille pour me tenir entièrement à l’intérieur de sa chatte. Je ne peux presque pas bouger alors j’ondule du bassin et je frotte son pubis et son clito, m’a bite en butée sur son utérus.
Elle s’agrippe à mes bras fermement en même temps que ses hanches commencé à secouer sauvagement ma bite avant de crier :
– Ouiiiii ! Mike… je jouiiiisssssss !
J’essaye d’étouffer ses cris mais elle réussit encore à crier :
– Mon dieu…. Aaaahhhh…, je jouis avec la bite de mon frère !
Elodie referme ses lèvres sur ma bouche et sa langue cherche frénétiquement la mienne. Ses hanches continuent fébrilement à pomper ma bite qui résiste encore à cette i****tueuse gamine.
Lentement le rythme diminue et elle récupère de son violant orgasme.
Essoufflée, elle inspire et expire doucement :
– Doux Jésus, Mike, j’ai été baisée par un grand nombre de mecs, mais je n’en ai pas gardé des souvenirs extraordinaires.
Presque en pleurant, elle continue :
– Je suppose qu’inconsciemment je cherchais un gars qui pourrait me satisfaire. Et crois moi, j’aime faire l’amour, enfin… baiser. J’ai essayé de nombreuses fois en changeant de mec ! Et voila que je fais l’amour avec mon frère dans une incroyable baise ! Je vois la différence !
Je te jure, je t’aime, mais je n’ai jamais pensé que ce serait toi qui me donnerais autant de plaisir ! Je suis tellement bien avec ta bite au fond de moi, j’en frissonne encore ! Et je n’ai jamais jouie aussi fort de ma vie!
Je l’embrasse pour l’empêcher d’en dire plus ma queue se remet à coulisser dans son vagin dégoulinant de jus.
– Sœurette, tu es un amour, mais nous avons seulement prit le hors-d’œuvre, mais on attaque le plat de résistance. J’espère que tu a encore faim et envie de ma bite.
Et je me mets à la bourrer comme si j’avais été privé de sexe depuis une éternité. Je la pénètre bien à fond et j’écrase son clito à chaque passage.
Sa tête roule de droite à gauche et je sens qu’elle va de nouveau s’éclater.
Voila ! elle hurle en asseyant d’atténuer le bruit avec sa main sur sa bouche et je ressens bien son orgasme par l’affolement de sa chatte.
Eau sommet de son orgasme elle crie encore plus fort et malgré ma main qui la bâillonne je renonce à essayer de la faire et toute la maison doit savoir ce qui se passe. Et peut être les voisins plus loin, car elle hurle :
– OOOUUUIIIIIII…. BAIIIISEEE-MOIIIII ! AAAAAAAHHHHHH…SALAUD, TU ME TUUUUEEEE !
Sa chatte tente de m’échapper mais je continu de violer cette grotte d’amour brulante malgré ses cris.
Je ralenti la cadence pour la prendre doucement en faisant une pose quand je suis au bord de ses lèvres ou complètement enfoncé et en butée.
Elle se calme un peu et elle gémit en marmonnant :
– Oh mon Dieu, Oooohhhh…. Mike…. Putain de salaud… Non de Dieu, je vais m’évanouir… non, t’arrête pas, continu comme ça, doucement, AAAAhhhh… huuuummm… c’est boooonnnn…
– Mike ! Je sens que je vais repartir, ce n’est pas possible…. Siiiii ça vient… Mike !
AAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH.
Et une nouvelle fois son corps se tend et elle vibre sous moi.
– Alors mon cœur, tu demande grâce !
– Salaud, Noonnnnn…, je veux ton sperme, je le veux en moi, arrose moi !
Elodie me dit ça en regardant ma bite qui se déplace lentement dans son sexe.
– Oh Mike, elle est belle ta queue qui me baise mais laisse toi aller maintenant, je veux te sentir gicler au fond de moi !
Je sens qu’elle s’énerve et je mets un doigt sur ses lèvres en disant :
– Oui ma chérie, j’y suis presque petite sœur, J’ai bien l’intention de remplir à raz bord ta petite chatte ce soir, mais surtout, je veux que tu n’oublies jamais la première fois, nous avons fait l’amour ensemble. Je veux que ça reste gravé dans ton cerveau pour toujours !
Elodie me regarde avec plein d’amour dans les yeux et je termine :
– A partir de maintenant quand tu baiseras avec quelqu’un que tu n’aimes pas, c’est moi qui occupera tes pensées pour t’aider à jouir.
Mes lèvres prennent les siennes dans un baiser langoureux puis je remonte de nouveau ses jambes et je martèle sa chatte plus vulnérable que jamais.
– OH Mike, Mike, Miiiikkke…
C’est tout ce qu’elle peut dire quand je m’empale à fond, ma bite se gonfle encore plus, comme mes couilles qui sont prêtes à éclater.
Elodie me regarde avec émerveillement, avant de marmonner,
– T’es si fort, et ta bite si grosse…
Puis, plus fort que jamais,
-Maintenant, libère ton sperme !
Ma première salve tape fort sur son utérus malmené !
– OUI, jouis en moi ! Donne ton jus ! Ouiiiiii je te sens…. Aaaahhhh…merde, je jouisssssssss…..
On a baisé dans toutes les positions possibles et j’ai rempli sa chatte 3 fois avant qu’on tombe d’épuisement.
J’émerge le matin, réveillé par une poignée de porte qui claque et que quelqu’un essaie d’entrer dans ma chambre.
Ma sœur et moi nous nous sommes endormis l’un sur l’autre, Elodie au dessus, ma bite toujours à l’intérieur d’elle mais avec son érection matinale ! et c’est comme ça que j’ouvre les yeux.
J’embrasse son front, ses paupières, ses lèvres et elle gémit et sa chatte se resserre sur ma bite. Mécaniquement mes hanches remuent et je baise doucement, amoureusement, la chatte de ma petite sœur. Ses yeux commencent à s’entrouvrir :
– Quoi ? Hein ? Nonnn… Mike, t’es en moi ! J’aime… vas y baise moi ! Je rêvais que tu me prenais !
Et c’est reparti pour 10 bonnes minutes de baise jusqu’à ce qu’ Elodie, décidément très rapide à jouir, s’envoie en l’air pour bien commencer la journée !
Nous restons étroitement enlacés attendant que notre respiration et notre pouls reviennent à la normale.
Elodie me caresse mes cheveux et dit doucement,
– je ne m’attendais pas à ça ! Je ne voulais pas ! Mais après t’avoir sucé ta bite, je savais que je devais me faire foutre, mais je ne m’attendais à être aussi salope que ça ! Je voulais juste te baiser avant que cette petite salope de Nath le fasse ! J’ai bien compris qu’elle veut se faire dépuceler par toi ! Mais maintenant, je ne veux pas te partager, oh mon Dieu, je t’aime Mike !
– Ca risque d’être un problème sœurette. Je crois bien que tu devras me partager, que tu le veuille ou pas !
– Tu veux dire que cette petite salope t‘a eu avant moi ? Comment peux-tu l’avoir baisée avant moi ?
– Nath et moi n’avons pas baisé, pas… encore. Mais je sais qu’elle le veut, et je suis certain que cela se produira, peu importe comment tu réagiras à ça.
– Mais…
– Chuuuuut, c’est à mon tour de parler. Ton envie de sexe c’est dans tes gènes. Ce besoin effréné de bite est transmis de génération en génération. Je sais que c’est difficile à admettre mais c’est comme ça.
Alors…Nath, elle est de la famille… tu vois ce que je veux dire… c’est la seule femelle dans cette maison que je n’ai pas baisée! »

La bouche d’ Elodie s’ouvre et se referme plusieurs fois avant qu’elle puisse parler. Elle me regarde, ma bite légèrement ramollie toujours dans sa chatte, lève la tête vers la porte… puis revient vers moi et lentement, doucement, elle dit:
– Toutes…, la seule… nous ? Tu plaisante ! Nonnn…Tante Janine ? Marilyn ? Oh mon Dieu ! Et moi qui pensais que nous vivions quelque chose de spécial!
Et la voila qui se met à pleurer abondamment.

J’attends quelques secondes avant de dire,
– Elodie, mon cœur, ce que nous avons fait est spécial, très spécial ! Je l’ai senti et je sais que toi aussi ! Mais çà prouve bien ce que maman m’a dit, les femmes de sa famille ont besoin d’un phallus spécial pour qu’elles prennent du plaisir. Une bite ordinaire ne leur suffit pas. Avec ma queue elles prennent vraiment leur pied et elles en redemandent constamment !
– Je ne sais pas si Nath en a besoin autant que vous quatre mais ne t’inquiète pas je ne vous négligerais pas pour autant.
– Vous…Quatre ? Tu… Tu… as baisé… maman !
– Oui.
– Tu as baisé… Ta… notre tante ?
– Oui.
– Et Marilyn, quand… quand elle t’a sucé dans le garage,… ce n’était pas la première fois ?
– Non, ce n’est pas la première fois. Je suis désolé si je t’ai laissé le croire.
– Et maman t’a dit : les femmes dans le… la famille ont besoin d’une queue spéciale, pour être… euh, satisfaites?
– Oui.
– Oh Dieu, quel soulagement ! Je pensais qu’il y avait quelque chose de mauvais en moi, et qui me rendait tout le temps si malheureuse! Quelque chose qui me poussait à continuer de chercher des bites qui puissent me faire vraiment jouir ! Mais en fait, c’est cette hérédité qui bloquait mes orgasmes et il me fallait une bite comme la tienne ! J’avais besoin de toi ! de ta bite ! De ta formidable bite !
– Exactement sœurette, ça résume assez bien la situation.
– Pas étonnant que Nath a agi bizarrement avec toi. Inconsciemment, au fond d’elle, son corps se rend compte de ce que tu es et de ce que tu as pour satisfaire une fille de notre famille. Moi j’ai baisé avec des gars en cherchant désespérément le sexe qui me comblerait et Nath n’a pas baisé avec n’importe qui en attendant de sentir vraiment qui la comblerait.
Et voila que toutes deux nous le trouvons en même temps, avec le même gars ! Mais pourquoi maintenant, pas en terminale, ou l’année dernière, ou…
– Sœurette, je suppose qu’il faut être suffisamment mature pour ressentir pleinement ce désir et ce besoin.
– Avant aujourd’hui, moi aussi je baisais n’importe comment et je me vantais qu’en j’avais sauté une fille. Mais je n’avais pas ce plaisir et surtout cette jouissance que j’ai avec vous toutes !
Elodie regarde de nouveau mon sexe qui commence à redevenir dur et elle resserre les muscles de son vagin en disant :
– Tu sais quoi ? Il faut que Nath prenne absolument ta grosse queue dans sa petite chatte inviolée ! Et bien profonde ! J’aimerais bien assister à cette première pénétration et à son dépucelage. Cà devrait être sauvage et terriblement excitant !
– Alors, espérons tous deux qu’elle cède à ses pulsions génétiques !
Et je me lève doucement en retirant ma queue coincée dans sa chatte. Elodie gémit lorsque sa chatte perd ma bite qu’elle a gardée plus de 8 heures et nous regardons ébahis mon sperme qui jaillit de son vagin encore béant.
– Oooh la vache, quand tu craches ton jus, tu ne fais pas semblant !
Puis elle recueille ce qui coule et lèche ses doigts en disant :
– Huuuummm, j’adore ta crème mélangée à la mienne ! J’aimerais bien ça tous les matins et me faire un café crémeux avec !
Et elle ramasse tout ce qui suinte de son trou maintenant réservé à ma bite et avale tout sans en perdre une goutte.
Finissant de nettoyer ma bite elle me sourit et demande :
– Dis donc, Mike… si j’ai bien compris, à chaque fois qu’on entendait quelqu’un essayer d’ouvrir la porte de ta chambre, c’était une femelle de la famille qui essayait d’entrer pour s’enfiler ta grosse bite ! C’est bien ça, hein ?
J’acquiesce de la tête.
– Je suppose que dorénavant tu ne dois plus verrouiller la porte et que c’est toi le mâle de la famille ?
– Je crois bien que tu as raison, sœurette !
Et je glisse un doigt dans sa fente pour le ressortir plein de jus mêlés que je porte à ma bouche. Une fois mon doigt propre je dis :
– Ta raison, Elodie d’amour, c’est bon se truc là !
Et je plonge entre ses jambes et je lèche, je suce, j’aspire, je mords tout ce qui tombe sous ma bouche et ma langue pendant qu’elle se tortille en couinant sous mon assaut.

N’en pouvant plus, elle att**** me tête en criant :
– C’ n’est pas croyable, je jouiiiisssssss……
Les spasmes s’atténuant elle se libère de mon emprise ce qui me permet de me redresser te et l’embrasser à pleine bouche.
– Putain, Mike, sa glisse et tu colles de partout ! T’es vraiment un pervers et un obsédé ! Tu n’en as jamais assez !
Un coup de serviette sur nos museaux et on se rhabille pour descendre, main dans la main, prendre un vrai petit déjeuner.

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