Un ami photographe qui m’envoie des histoires tout les jours
Dans l’espoir d’une réponse affirmative, j’avais réservé à l’avance dans un de mes restaurants préférés, situé dans la vieille ville. Je passe au magasin prendre la jolie Julia qui a changer de tenue pour l’occasion. Je la vois arriver gainée dans une superbe robe de soirée ravageuse.
J’ai stationné la voiture à une certaine distance, pour avoir l’occasion de marcher dans les rues de la ville, si belles à l’heure du soleil couchant et accompagné de ce canon. Nous avons rejoint la terrasse qui surplombe le fleuve, coloré par les rouges et les orangés du ciel. Julia me bombarde de questions sur mon métier. Elle s’intéresse beaucoup à mon mon travail. Alors que nous marchons vers le restaurant, elle passe sa main sous mon bras. La proximité de ce contact est agréable, naturelle. Le repas se déroule comme un charme. Julia sait visiblement apprécier la bonne cuisine, le bon vin et un service de qualité. Elle semble impressionnée que j’aie mes habitudes dans un endroit si distingué. La conversation s’engage presque naturellement sur mes photos de nues et sur ce donjon si troublant. Le repas terminé, je raccompagne Julia et au moment de la laisser, elle lance :
« J’ai passé une soirée bien agréable. J’aime prendre mon temps, découvrir à qui j’ai affaire, ne pas brûler d’étapes, même si l’autre soir j’ai perdu le contrôle et me suis retrouvée comme envoûté par cette ambiance si particulière de votre studio. »
Sans ajouter un mot, elle me donne un baiser sur la bouche très chaste et se retourne.
Ce samedi, je quitte ma vie d’homme seul, Karine s’installent chez moi.
Karine et Suzie arrivent de bonne heure le matin. Je suis heureux de les voir s’installer. Karine a encore son air effarouché, mais elle laisse poindre un enthousiasme qu’elle tente de contrôler. Suzie quand a elle est épanouie et je sens que le week-end va être riche en événements.
Ne voulant pas être envahissant, je me réfugie dans mon bureau et les laisse se placer comme ils l’entendent. Je leurs propose de prendre l’apéro au bord de la piscine. Suzie me re »joint en premier et détendue elle est juste en string.
Après un moment, Karine sort de la maison et se joint à nous juste vêtu d’un minuscule bikini.
Elle doit faire du sport, car ses mollets sont bien sculptés. Il n’y a pas une once de graisse sur son ventre orné d’un brillant accroché au nombril. Ses seins sont assez petits mais montrent une belle courbe à la bordure du tissu. Elle s’approche de nous, me fait un sourire timide, et se penche pour embrasser sa copine. Je ne veux pas avoir l’air de trop la détailler, alors je laisse mon regard errer dans le vide.
« Elle est jolie ma copine, hein? »
« Suzie allons ! » S’insurge timidement Karine.
Souriant poliment, je ne réponds :
« Ben oui Suzie. Je sais que tu as bon goût ! »
Je sers un verre de rosé d’Italie à Karine et Suzie. Moi je termine ma bière. Puis, je décide de piquer une tête dans la piscine. Karine et Suzie viennent s’asseoir sur le bord de la piscine, les pieds dans l’eau. Alors que je les rejoint, Suzie par jeux tire sur la ficelle du soutif de Karine en lui disant :
« Ca te sert à rien ici ! »
Elle se cache les seins gênée et Suzie lui disant de me donner une bière, elle se dévoile rouge de honte.
Nous restons un moment dans un silence gêné, puis elle éclate de rire. Elle a un rire charmant, un brin gamine. Je lui demande ce qu’il y a.
« Je me disais que c’est mon premier moment avec vous et vous voyez déjà mes seins. Je devrais dire quelque chose de brillant pour faire bonne impression, mais tout ce qui me vient à l’esprit dans la tenue où je suis, c’est que vous êtes très gentil.… pas vraiment brillant! »
Elle rougit légèrement en disant cela, baissant les yeux. Suzie regarde le manège d’un air amusé.
« Eh bien, merci! Je dois dire qu’avec ton aspect juvénil, tu es très jolie et tu contraste agréablement avec Suzie qui est plutôt exacerbée et plantureuse. Puisque nous devons cohabiter, je propose le tutoiement. »
Cette fois, nous éclatons de rire tous les trois. La glace est brisée. Suzie, enjouée lui dit :
« Allé ma chérie, on va pas se gêner avec Alain. Mettons nous à poil ! »
« Mais Suzie quand même pas ! » »
« Alain est photographe. Alors les nanas à poils, ça le connaît ! »
Alors aidé de Suzie, encore hésitante elle se met nue.
Suzie fait voler son string dans la foulée et me voilà devant deux superbe filles nues.
À partir de là, converser devient plus facile. Je bande et hésite à virer mon caleçon devant ces beautés. Pas encore très à l’aise nue devant moi, elle plonge dans l’eau. Je peux la voir intégralement nue un instant.
Elle fait quelques brasses, et sort rejoindre sa copine. Je la regarde s’éloigner, monter les marches pour sortir de la piscine, et se diriger vers l’intérieur. Ses fesses fermes se balancent gentiment devant mes yeux et j’imagine déjà la nuit toride que les deux femmes vont passer ensemble.
. Le lendemain matin, je suis réveillé par la porte d’entrée qui se referme. Sans doute les filles qui veulent profiter de la piscine pensais-je en les rêvant nues s’ébatant dans l’eau.
.Je paresse encore un moment puis sans penser à mettre un pyjama, je descends nu à la cuisine. Karine et Suzie sont levées. Je les vois par la porte-patio, entrain de se faire des câlins au bord de la piscine.
Je bois mon café tranquillement en les regardant s’ébattre. Sans trop m’en rendre compte, je me met à bander et ne pense pas à ma nudité.
Aprés avoir joui ensemble, elle reviennent vers la cuisine dans leurs nudités épanouies. Elle me découvre et se mettent exploser de rire en voyant mon sexe tendu.
Suzie me lance, taquine :
« Et bien mon salop ; tu joues les voyeurs ? Je vois qu’on te fait de l’effet ! »
Je rougis et aussitôt, je cache mon érection et leurs propose un café. Karine brise le ce moment gênant en disant :
«Je ne sais pas si tu réalises à quel point c’est un luxe pour moi de me réveiller dans un si bel endroit, de pouvoir m’asseoir comme ça, en toute liberté et regarder un si beau décors. Je ne sais pas si tu réalises le bonheur que tu m’offres. »
À mon tour je souris en me disant que je ferais bien mon quatre de cette petite.
Je propose de me charger du déjeuner. Pendant que Suzie prend sa douche, Karine me rejoint. Elle semble s’accoutumer de rester nue en ma présence et s’étire divinement sensuelle..
Je détourne le regard car j’ai une envie folle de lui bondir dessus. Le reste de la journée se passe comme un charme. Karine et Suzie passe l’essentiel de leurs temps au bord de la piscine et de voir ces deux magnifique filles se balader nues devant moi sans aucune gêne, je dois dire que je n’ai pas à me plaindre.
Elles alternent entre le bronzage, la natation et les câlins. Elles ne se procupent pas de moi et je suis dans un état d’excitation extrême.
Nous soupons à l’extérieur. En me couchant, tout en me masturbant, je conclus que mon choix était le bon. La vie à ce rythme me conviendra parfaitement et j’arriverais à la sauter à un moment ou un autre.
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