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Mes scénarios avec Marie

Mes scénarios avec Marie



Marie fut une des rares femmes qui me répondit sur le dialogue en direct du site de rencontres que je fréquentais à l’époque. Elle avait 28 ans, j’en avais 39. Nous vivions dans la même ville. Ce soir-là, il y avait une finale de foot à la télé, ce qui réduisit considérablement le nombre d’hommes connectés au site. C’est pour cela que Marie m’a répondu. Puis nous avons papoté via nos écrans.
Une histoire peut commencer de cette façon de nos jours :
Un pseudonyme : 1992Marie.
Un message : « Bonsoir. »
Une réponse quasiment spontanée : « Bonsoir. »
Et un premier dialogue qui dura près de deux heures.

Le deuxième eut lieu dès le lendemain, en soirée également. Marie était vendeuse à la Fnac. J’étais journaliste. Sa recherche sur le site était à peu près la même que la mienne. En résumé, nous attendions d’un partenaire qu’il possède un peu plus de trois cents mots de vocabulaire à son répertoire.
Ce deuxième soir, on échangea des photos de nous. De simples portraits. Marie était assez ordinaire. Ni canon ni moche. Brune, les cheveux mi-longs, de grands yeux marrons. Elle sortait d’une relation avec un mec de son âge qu’elle qualifia de possessif et d’égoïste.
Pour ma part, j’étais célibataire depuis presque une année. Et en six mois, je n’avais pu faire que deux rencontres grâce à ce site. Une femme de 51 ans avec qui j’avais couché deux fois, et une de 37 ans que je continuais de voir de temps en temps, seulement pour le cul.

Le troisième soir, avec Marie, on se téléphona. J’ai adoré sa voix. On parla pendant trois bons quarts d’heure, puis on décida de se retrouver en ville pour boire un verre. La soirée se termina chez moi et Marie ne rentra pas chez elle. Ce fut notre première nuit ensemble. On baisa, on dormit et, le lendemain matin, elle repartit sur le coup des 11 heures, après qu’on ait baisé encore. Je me souviens l’avoir regardée s’éloigner dans la rue, en brassant des pensées. En retournant dans ma tête certaines choses qu’elle m’avait racontées d’elle, qui allaient être déterminantes par la suite :
– Marie avait de fréquentes relations avec des hommes rencontrés sur le dialogue en direct ;
– Elle avait une nette préférence pour les hommes plus âgés qu’elle, voire beaucoup plus âgés ;
– Elle aimait faire des scénarios où elle jouait toutes sortes de rôles ;
– Il lui arrivait de rencontrer des couples ;
– Il lui arrivait parfois d’aller se défouler dans des clubs libertins ;
– Elle était ouverte à toutes formes d’expériences nouvelles, du moment qu’il y avait du plaisir à la clé ;
– Elle ne souhaitait pas se remettre en couple, de sorte à pouvoir profiter de la vie, sans restriction, sans limite.
Ça me convenait. Et Marie venait de me proposer qu’on se revoie dans la semaine. J’en étais heureux. Nous avions des envies en commun. Des fantasmes à réaliser, pour lesquels il fallait être deux, sans pour autant être en couple. Après trois années passées avec un mec possessif, le mot d’ordre de Marie était : liberté.

Le deuxième soir eut les allures du premier. Nous avons bu des verres en écoutant de la musique et en parlant de nos envies. Ensuite, on a baisé en se racontant des choses. On a repris des verres et baisé de nouveau, toujours en parlant à voix haute.
Marie avait des petits seins pointus et fermes, la peau très claire et des hanches prononcées. Loin d’être grosse, disons qu’elle avait une bonne paire de fesses. Elle s’épilait au maillot et coupait ses poils bruns très courts. Son corps me plaisait beaucoup.
Mais ce qui me plaisait par-dessus tout, c’étaient les vices qui animaient cette fille. Pour moi, le mental a toujours primé sur le physique, et en cela, Marie était exemplaire. Je n’éprouvais pas l’ombre d’un sentiment pour elle. C’était réciproque. Et tant mieux. Les sentiments impliquent la plupart du temps de la jalousie, et vu ce qu’on avait décidé de faire la prochaine fois qu’on allait se voir, mieux valait ne pas être amoureux.

Le projet était le suivant :
Nous irions dans un bar de quartier et, tout en étant avec moi, Marie ferait en sorte d’allumer un homme qu’on choisirait ensemble parmi les clients. Elle étudierait sa tenue pour les circonstances. Elle avait sa petite idée et me ferait la surprise. Ce serait une tenue qui laisserait deviner peu à peu des parties de son corps. Une tenue légère, des positions négligées sur un tabouret de comptoir, une bonne dose d’alcool et des regards qui inciteraient au bout d’un moment notre proie à s’approcher de nous et à nous offrir un verre que nous accepterions. Nous nous présenterions comme un couple. Un couple très ouvert d’esprit. Et pendant que nous discuterions avec cet homme, Marie continuerait à le laisser entrevoir des extraits de son corps. Des extraits de plus en plus nets. Elle voulait que cet homme voie ses tétons, mais aussi sa culotte. Elle voulait l’allumer à mort, jusqu’au moment où on lui proposerait de poursuivre la soirée chez moi. A trois.

L’absence de sentiments à l’égard de Marie faisait que j’aimais qu’elle me raconte ce qu’elle avait fait avec d’autres hommes entre deux soirées passées chez moi.
Sur le dialogue en direct, elle les laissait venir à elle. Elle avait l’embarras du choix, mais elle répondait rarement à des individus âgés de moins de 40 ans. J’avais eu de la chance à ce niveau-là. Il n’était pas rare qu’elle se tape des hommes à la retraite. La différence d’âges poussait très souvent ses partenaires à s’imaginer des scénarios vicieux, dans lesquels Marie jouait le rôle d’une fille avec son père, d’une nièce avec son oncle, d’un prof avec son élève ou d’une belle-fille avec son beau-père. De nombreuses scènes qu’elle me raconta me firent terriblement bander.
Je me souviens de celle-ci, par exemple :
Un homme de 57 ans qui jouait le rôle de l’oncle de Marie avait proposé de lui présenter un collègue. Ils avaient bu un verre dans son salon, tous les trois, et l’oncle avait expliqué à son collègue que sa nièce et lui étaient très proches. Ils se faisaient très souvent des câlins et des bisous. Le collègue écoutait, tout en observant les gestes que l’oncle et la nièce échangeaient : des bisous sur la joue et des caresses qui se faisaient de plus en plus ambiguës. Une main qui se posait sur une cuisse. Un doigt qui titillait un téton par-dessus le tissu d’une robe. Une autre main qui glissait sous la jupe courte. Les cuisses qui s’écartaient un peu, suffisamment pour que le collègue découvre que la nièce ne portait pas de culotte. Et l’oncle, au bout d’un moment, qui se tournait vers son collègue pour lui dire :
« Ça te plairait de toucher ma nièce ? »
Plus tard, Marie s’était retrouvée toute nue dans ce canapé, avec deux hommes âgés de 57 et 58 ans, nus également, qui l’avaient tripotée partout, puis pénétrée chacun leur tour.

Juste avant de me rencontrer, un couple l’avait contactée sur le site. Un homme de 54 ans et une femme de 49 qui aimait voir son mari baiser avec des filles jeunes. Mais ils pratiquaient aussi l’inverse : la femme se faisait prendre par des jeunes garçons devant son mari. Elle appréciait de se gouiner avec les filles, mais le mari était également bi.

Nous n’avons pas tardé à réaliser ce fantasme dans un bar de quartier. L’homme qui mordit à l’appât avait 52 ans, l’âge du père de Marie. Après quelques verres partagés au comptoir, il accepta qu’on aille chez moi pour boire encore. Ce fut la première fois que je vis Marie se mettre à poil devant une tierce personne. La première fois que je la vis sucer une autre queue que la mienne. La première fois que je la vis se faire pénétrer par un inconnu. Mais cet homme-là n’avait pas suffisamment d’imagination pour mener un scénario, alors Marie se contenta de se faire prendre devant moi, dans mon canapé, sans que je participe. Je me suis contenté de mater en me masturbant et nous avons attendu que l’homme s’en aille pour baiser tous les deux, en évoquant notre prochain trip avec une tierce personne.

Nous avions mille idées. Nous étions inépuisables et de plus en plus complices, sans pour autant s’aimer, ni vivre ensemble. Marie restait souvent dormir chez moi, mais je savais que le reste du temps elle se faisait sauter par d’autres hommes.
J’aimais me dire qu’on était mariés, elle et moi, et qu’elle me trompait en cachette. De même, de son côté, elle aimait se dire qu’elle était infidèle. L’adultère l’excitait autant que moi, et la plupart des scénarios qu’on avait envie de réaliser tournaient autour de ce sujet.
L’adultère et l’i****te.
Nous avons souvent joué tous les deux au père et à la fille. Et dans ce cas, nous nous mettions en tête que j’étais plus âgé, et Marie plus jeune. Une fille de 23 ans avec son père de 55 ans. Ou son beau-père devant qui Marie se promenait en petites tenues en l’absence de sa mère. En simple culotte parfois, les seins à l’air. En petite salope qui se tape le mec de sa mère.
En petite nana de 18 ans, ou moins que ça, qui laisse entrer son oncle dans sa chambre, un soir, tandis qu’elle est en train de bouquiner dans son lit, les seins à l’air.
Je vous laisse imaginer la suite.
Mais il y aura une suite…

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