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La chambre 222

La chambre 222



Préambule

Odile
… J’ai 25 ans, je travaille a temps plein dans un spa d’un hôtel de grand standing, du sud de la France. Ma dernière cliente de la journée, du même âge que moi, « comblée » par ma prestation (voir l’histoire précédente « Le massage ») m’a invitée, « pour me remercier  » d’une petite attention » que j’ai eu envers elle, à prendre une coupe de champagne dans sa chambre. Si, « l’attention » en question ne m’a laissée ni indifférente … Ni insensible… Cela reste avant toute chose une cliente, alors je suis indécise … En pleine expectative, entre désirs d’une soirée qui peut être « très agréable » ou rester à ma place …

… J’irai ou j’irai pas à son invitation qu’elle m’a fixée à 21 heures chambre 222 ?

… L’envie et la curiosité ont décidé à ma place. Je m’habille d’une robe courte échancrée, une paire de ballerines, et me voilà partie à « mon rendez-vous » le cœur battant.

Je frappe discrètement à sa porte avec un mélange d’excitation et d’appréhension. Aurélie m’ouvre dans une sortie de bain immaculé, au sigle de l’hôtel. Et quand avec son beau sourire, elle me fait la bise -il est vrai que depuis cette fin d’après-midi, nous sommes devenues un peu plus intime- les effluves de son parfum m’émoustille…

… Assises dans les fauteuils de sa chambre, nous bavardons à bâtons-rompus, tout en buvant un excellent champagne. Les bulles du champ’ aidant, la conversation devient plus légère, plus libre. C’est aussi la découverte de points communs, comme notre homosexualité.

Dans cette ambiance sympa et détendue, nous en sommes venues a des confidences plus intimes … Mais l’heure tourne, et ne voulant pas « taper l’incruste », il me faut à regret prendre congé… Surtout avec l’envie qui maintenant mouille ma culotte. Le champagne, Aurélie et ses confidences libertines, le souvenir de cette fin après-midi, n’y étant pas pour rien.

Surtout qu’assise devant moi, chaque fois qu’elle croisait et décroisait ses jambes, j’avais pu constater qu’elle ne portait pas de culotte sous son peignoir … Ni d’ailleurs de soutif, puisque là aussi, j’avais ent****rçu un mamelon foncé sans bonnets et bretelles, dans le décolleté très relâché …

Mais, hélas, trois fois hélas ! Aucun signe, allusion ou geste qui nous aurait permis d’aller plus loin. Moi qui pensais que son invitation n’était pas sans arrière-pensée … J’étais déçue et très frustrée ! …

Avant de m’ouvrir la porte, on s’étreint pour se faire la bise, mais sa bouche ne se pose pas sur ma joue, mais à la commissure de mes lèvres. Sans que j’aie le temps de réagir -j’en avais d’ailleurs pas l’intention- elle met ses mains derrière ma tête et me donne un baiser à pleine bouche, forçant mes lèvres avec sa la langue ! Un long baiser, ardent, passionné, pendant lequel je sens vivre une agréable sensation entre mes jambes !

… Et finalement, la porte ne s’ouvre pas …

Aurélie me fait reculer vers le lit, soulève ma robe qui bascule par-dessus mes épaules et vole dans la pièce. Sans me perdre des yeux, défait son peignoir qui tombe à ses pieds … S’exposant nue, à mon regard hypnotisé par sa belle toison noire taillée en triangle, et ses petits nénés aux pointes très longues . Une vague de désir traverse mon ventre et fini de noyer ma culotte quand d’une voix suave et tendre, elle me dit avec un sourire qui en dit long sur ses intentions :

– Tu as un joli corps Odile … j’ ai envie de toi depuis le premier instant où je t’ai aperçue … De plus, tu connais l’expression ?  » Tu ne perds rien pour attendre » … Alors, tu vas jouir comme tu m’as fait jouir sur la table de massage …!

Sans plus attendre, tout en m’embrassant dans le cou, ses mains passent sous mes bras, décroche mon soutif, libérant mes 95 C. Elle les caresses, masses, tritures, roule mes tétons avec ses doigts avant de les prendre en bouche. J’adore cette façon dont ses lèvres enveloppent mes mamelons, les étires, sa façon de me les mordiller de jouer avec ses dents. Ma respiration s’accélère, rauque. Celle d’Aurélie devient aussi plus intense.

Une main descend, court sur mon ventre, tandis que sa bouche continue de m’exciter,. J’ai des frissons quand elle passe sous l’élastique de la culotte et atteint mon sexe pour le caresser du bout des doigts.

Aurélie me fait asseoir au bord du lit. Tire sur ma culotte et la jette au loin. Debout, devant moi, elle écarte mes genoux avec ses mains, s’avance dans ma fourche pour venir sucer mes tétons. Ses mains remontent l’intérieur de mes cuisses pour atteindre mon petit volcan en ébullition. Quand elles caressent ma fente, je laisse échapper un râle … Et un nouveau flot de désir liquide.

Elle s’écarte de moi. Me demande de m’allonger. Fait le tour du lit en me jaugeant comme un fauve qui guette sa proie. S’allonge à mes côtés. Ses lèvres reprennent les miennes. Bouche contre bouche, nos langues jouent voluptueusement, pendant que ses doigts découvrent ma peau me procurant des frissons de plaisir.

Je ne peux pas rester insensible à cette invitation sensuelle, et surtout, j’ai envie de répondre. Je pose une main sur sa hanche. Sa respiration devient brusquement plus forte, sa langue se fait plus pénétrante, plus joueuse avec nos salives mélangées. Elle se colle un peu plus a moi. Ses seins contre les miens, durs, une sensation affriolante. Plus de paroles, que le souffle de nos respirations qui s’affolent sous la fougue de deux nouvelles amantes qui se découvrent.

Ma main à glissée dans son bas de dos, puis sur ces fesses. J’att**** à pleine main ces chairs. Elle en profite pour passer une jambe entre mes cuisses remontant au plus haut de ma fourche, jusqu’à ce qu’un bruit de clapotis se fasse entendre. Sa cuisse frotte mon sexe trempé … C’est si bon !

Elle se dégage de mon entrejambe, plus mouillée que jamais, pour passer un bras derrière ma tête, je devine qu’elle récupère un objet sous l’oreiller. J’ essaye de voir ce qu’elle cherche à faire, mais je ne peux pas, car elle m’immobilise par avec un baiser. Par contre, je sens un contact lisse et dur sur mon minou … Et j’écarquille les yeux de surprise ! …

Aurélie vient de me pénétrer, sans prévenir, d’un seul coup ! Avec un godemiché quelle tenait cachée sous son oreiller. Une intrusion que j’accompagne d’un long râle jusqu’à ce que le gode soit au plus profond de moi. Fière de sa surprise, elle me regarde droit dans les yeux, avec un grand sourire. Doucement, elle amorce de lents va et vient dans ma chatte, pour qu’il prenne sa place, tout en me murmurant à l’oreille :

– J’avais envie de ça … Voir ton sexe gober mon jouet … Te voir jouir avec ! …

Je laisse aller un « oui » exalté, que seul un état de grande volupté peut vous faire dire. Le plaisir que me donne ce phallus planté en moi est décuplé par la vision d’Aurélie regardant ce gode coulisser sans difficulté dans mon sexe. Il est vrai que je suis tellement « inondée » qu’a chaque pénétration, il se lubrifie de mon nectar.

-Tu es si belle …. Ton minou aussi est à …

Elle ne finit pas sa phrase. Se penche, et m’embrasse le haut du sexe, puis sa langue lèche la hampe du clitoris avant de remonter le long du jouet, quand il sort, et ensuite déposer la liqueur sur mon bourgeon. Je ne respire plus ! … Je suis transporté dans un autre monde, au point que je ne sais plus si je gémis ou si je crie.

Sa langue branle mon bouton pendant que le gode me baise plus durement dans un bruit de clapotis amenant mon plaisir à son paroxysme. Mes jambes commencent à trembler, je ne suis plus qu’un râle continu…

Ses gestes sont ceux d’une femme qui sait comment faire, et mon orgasme monte … monte ! … D’un coup, elle retire le gode et sa langue se plante à sa place, gourmande, elle me mange la chatte ! … Le clito … l’aspire, souffle dessus ! Je me serais arrêtée si c’était moi qui me masturbais tellement c’est trop fort ! Mais là pas moyen ! Elle me tient et dirige le débat … Et m’envoie « à la petite mort » ! …

L’apocalypse … La fin du monde ! Cramponner à ses cheveux, un orgasme monstrueux me terrasse, me laissant pantelante telle une poupée de chiffon ! Mais Aurélie ne me lâche pas, sa langue repart à l’assaut de mon puits et de mon berlingot. Je n’ai pas fini d’apprécier la première qu’une seconde vague arrive, plus forte, plus intense … Et plus elle me lèche, plus je gicle, plus je jouis … Je me vide …

La tête entre mes cuisses, je l’entends me dire dans un souffle :

– J’aime ton goût, ta mouille ! … Je ne m’arrêterai pas tellement tu es bonne ! Et elle reprend mon clitoris dans une succion sublime. Mon ventre se contracte une nouvelle fois, mes jambes partent à nouveau en transes incontrôlables… En criant, je jouis une troisième fois, de la bouche de cette « vilaine fille » … Effectivement, je n’avais rien perdu pour attendre ! …

Je commence à reprendre mes esprits, épuisée, mais heureuse, comblée par ces orgasmes à répétition donnée par cette langue qui continue de récolté ma jouissance. Elle lève sa tête, bouche et nez luisants de cyprine pour me dire hilare.

– Je crois que ça t’as plu …!

– Je crois que oui ! … J’ai peut-être même un peu trop aimé !…

Elle éclata de rire, et je fis de même. Aurélie se couche sur moi, ses jambes serrées entre les miennes ouvertes. Sa chatte contre la mienne gluante de plaisir. Ses lèvres posées sur les miennes pour une nouvelle série de baisers qui n’ont plus le même goût.

Comme si elle devinait ma pensée, elle me chuchote à l’oreille :

-Tu aimes ton goût ?

– Oui … Autant le mien que celui des autres …

Se remit à me bécoter, puis repris :

-Tu veux manger ma chatte ?

– Je ne pense qu’a cela depuis que je suis rentrée dans ta chambre ! … Et je rajoute en riant : ce que j’ai vu et entendu en fin de soirée m’a mise en appétit ! …

– Alors viens sur moi, tête-bêche, que je profite aussi de la tienne …

Je l’enjambe, elle m’invite de ses mains à me reculer un peu plus sur sa figure. Mon visage est maintenant au-dessus de son minou. Ses cuisses sont ouvertes, sa vulve aussi, ruisselante, odorante. Je laisse mes doigts vadrouiller. Tantôt sur le pli entre cuisse et vulve. Tantôt sur son sexe. Tantôt autour. Une fois « le tour du propriétaire » fait, j’écarte délicatement ses pétales qui déjà poisse mes doigts, et je la pénètre d’un doigt … Lentement …

– Oui… C’est bon ! … Soupire-t-elle.

Disant cela, elle m’écarte les fesses, Son majeur caresse ma raie culière jusqu’à mon antre, ou il plonge …Délicieux ! … C’est deux doigts, qui parfois serrés, parfois tendus, parfois pliés, massent maintenant mes chairs intimes, pendant qu’un pouce bosse mon clitoris. La coquine à repris le dessus et m’emmène vers un nouveau orgasme …

La jouissance qu’elle me procure m’empêche de m’occuper d’elle. Alors, je colle mes seins contre son ventre, ma joue sur son pubis, ferme les yeux, et j’attends la délivrance, enivré par son parfum intime…

Un dernier spasme me secoue quand ma bouche est sur sa vulve, charnue, liquide. Ma bouche au contact de ses nymphes, je vais enfin la goûter ! …

Elle s’écarte au maximum. Sa chatte ne peut pas être plus offerte. Je lèche tout ce qui s’offre à moi. Elle gémit de plus en plus fort. Son ventre se durci contre mes seins.. J’agite ma bouche dans sa fourche, léchant ses lèvres, puis de nouveau, son bouton. C’est au tour d’Aurélie de grogner de plaisir !

– Odile ! Lèche encore … Là … Le clito … Oui ! … Oui ! .. Ne t’arrête plus !

À chaque coup de langue, ses hanches se lèvent pour venir à la rencontre de ma bouche. Ses jambes se raidissent. Sa délivrance est proche. Alors j’accentue « ma torture » sur sa languette que, je décalotte et calotte à coups de langue

… Et sans prévenir, elle explose ! … Un orgasme destructeur ! Ses ongles plantés dans mes fesses, son nez dans mon cul, ses hanches agitées de soubresauts, son sexe collé à ma bouche qui reçoit son plaisir liquide. Prise de convulsions, elle referme ses cuisses autour de ma tête en hurlant sa jouissance …

Épilogue

Les deux amantes de la chambre 222 prolongèrent leurs ébats saphiques tard dans la nuit. Jusqu’à ce que, épuisées, soules de plaisir, elles s’endorment étroitement enlacées. Au réveil, après un dernier câlin, elles se sont séparées en se promettant de se revoir lors d’un prochain passage d’Aurélie dans la ville …

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