Chapitre 29 : Eric, sa sœur Aurélie et…Maman.
Eric dans sa chambre a encore la vision de sa sœur nue devant lui pendant la séance photos. Elle est aussi belle que sa mère, la beauté de la jeunesse en plus. Il a eu envie de sa sœur ce soir, une envie folle de la prendre comme il prend sa mère si chaude et avide de sexe.
Le plus étrange et le plus déroutant c’est qu’ils sont liés à lui par le sang. Il désire sa sœur après avoir baisé avec sa mère.
Ses deux belles femelles sont terriblement sexy et dégagent chacune des effluves sexuels très forts qui attirent tout mâle qui passe près d’elle.
Il se demande laquelle des deux il prendrait en premier si on lui donnait la possibilité de choisir.
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« Il y a Kate, ma mère. En pleine maturité féminine, un corps splendide et chaude comme l’enfer. De gros seins fermes. Elle ferait n’importe quoi que je lui demanderai de faire. Encore plus. Elle est dans cette période sexuelle si intense des femmes de son âge qu’elle veut tout découvrir sur les plaisirs du sexe et je sais qu’elle explore toute ses possibilités. Chaque trou, chaque centimètre de chair est un point chaud et sensible pour elle. Je suis sûr que je pourrais la baiser avec un concombre dans le cul et un vibromasseur dans la chatte, ma bite enfoncée dans sa gorge… Enfin, Façon de parler…
Il y a Aurélie, ma sœur. Une jeune beauté avec de beaux seins ronds, fermes, un cul bien bombé surplombant de longues et belles jambes. Elle doit aimer autant le sexe que maman et parfois je me demande si elle n’est pas Bi, car elle se comporte avec maman d’une façon assez étrange quand je les prends en photos. Serait-elle aussi salope que maman ?
Pendant que je prenais des photos je sentais son désir d’être embrassée, sucée, ou de faire l’amour passionnément. Son corps parlait pour elle et elle était impuissante de le cacher .Elle aussi ferait n’importe quoi pour étouffer le feu intérieur qui la brûle.
Je ne saurai laquelle choisir. Mais comme ma mère qui est sous ma coupe et qui satisfait mes besoins les plus pervers je devrais peut-être tenter ma chance et voir comment réagirait ma sœur si je lui faisais des avances. D’ailleurs lors de la précédente séance photo, lorsque nous sommes partis nous coucher elle m’a embrassé sur les lèvres. C’était peut-être un signe ?»
Je m’apprête à m’endormir quand j’entends ma porte de chambre s’ouvrir.
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Aurélie se tient dans l’encadrement de la porte dans un petit bikini bleu ciel. La partie supérieure est tellement étroite qu’elle cache à peine ses mamelons bruns d’autant que le tissu est légèrement transparent. Ses beaux seins sont à peine contenus dedans. Le bas du bikini cache de justesse sa chatte, mais lorsqu’elle se tourne légèrement, je vois que c’est un string qui laisse ses fesses complètement à nu. Un ange vient d’entrer dans ma chambre.
– Aurélie ! Je suis ébloui. Mais que fais-tu là ! Et avec ce bikini que je n’ai jamais vu ?
– Gina m’a dit que je tomberais n’importe quel mec avec… Dit-elle un peu timidement. Qu’est ce que tu en pense ? Je l’ai mis pour avoir ton avis voir si elle a raison.
– Je pense qu’il te va à merveille ! J’aime ! Tu es magnifique !
Son visage s’éclaire sous le compliment.
– T’es gentil, frangin, et je t’aime.
Elle vient vers moi et se penche pour me donner un baiser. Je ne détourne pas ma tête et ses lèvres se posent sur les miennes. Aurélie prend mon visage dans ses mains et m’embrasse tendrement. A ma grande surprise je sens sa langue qui s’insinue entre mes lèvres et qui cherche la mienne. Nos langues se trouvent et entament une farandole assez humide. Mes mains trouvent ses seins et avec ceux-ci bien enfermés dans mes paumes, mes pouces tournent autour de ses tétons. En quelques secondes, ses tétons se dressent mettant à rude épreuve le tissu transparent, et la respiration de ma sœur montre des signes évidents d’excitation.
De peur qu’elle ne se reprenne et se sauve en courant, je passe mes mains derrière elle et je caresse ses fesses rebondies, m’émerveillant de leur tonus et de leur texture. Je presse cette chair si douce et j’entends un faible gémissement. Quelques doigts s’égarent entre ses fesses, dans la fente de son cul et nous continuons de nous embrasser de plus en plus passionnément. Aurélie commence à trembler légèrement. Puis, brusquement, elle se relève.
– Attends Eric. Je dois prendre une douche avant… de me coucher. J’en ai que pour quelques minutes et je reviens te faire la bise.
Je fais oui de la tête, à contrecœur et déçu. La porte de ma chambre étant restée ouverte, j’entends qu’elle rempli la baignoire puis l’arrêt de l’écoulement. Ma sœur a toujours préféré les bains aux douches et généralement elle y reste longtemps. Et je ne peux plus attendre. Apres son baiser je sais qu’elle a envie de moi.
Je me dirige vers la salle de bain et regardant à l’intérieur je m’arrête pour regarder ma sœur.
Aurélie, la tête reposant sur le bord de la baignoire se prélasse dans l’eau qui ne cache pas ses seins lourds qui flottent et dépassent de la surface de l’eau. Par transparence je vois son pubis rasé et la fente de sa chatte. A cette vue, mes couilles frémissent et ma bite se redresse.
En deux secondes je suis à poil et je m’approche d’elle.
– J’espérais bien que tu aurais cette idée. Arrête de me mâter et viens dedans avec moi.
Je la pousse un peu et je l’installe entre mes jambes.
Je passe mes mains autour de sa taille et je les remonte pour caresser ses seins humides et glissants, brillants et magnifiques. Aurélie lève ses bras pour me prendre par le cou et tourne sa tête pour lécher mes lèvres puis m’embrasser. Ma bite toute dure est coincée sous ses fesses.
Nos lèvres s’écrasent l’une contre l’autre et nous nous embrassons fougueusement. Je serre ses tétons dressées et humides et elle gémit dans ma bouche. Elle soulève son cul légèrement et sa main farfouille entre ses cuisses à la recherche de ma bite qu’elle trouve facilement vu la grandeur de mon érection
Puis elle se frotte sa chatte doucement m’envoyant des frissons dans les reins.
Je lui ôte sa main pour prendre ma bite avec la mienne et c’est moi qui la taquine en montant et descendant le long de sa fente glissante tout en lui titillant son clitoris de mon autre main. La respiration de ma sœur est soudainement saccadée et elle remet sa main sur ma bite pour se frotter la chatte à son rythme et sa convenance pendant que je continue d’agacer son clito.
– Ooooh, Eric… viens en moi !
En appui sur un bras elle soulève son cul et elle s’empale elle-même sur ma queue dressée et impatiente de prendre sa jeune chatte.
– AAAAAhHHHH, ouiiiiiiiiii, ooooh, ouiiiiii…
Je passe mes mains sous ses fesses et je la soulève et la relâche sur ma bite pour la baiser doucement.
– Ooohh, mon Dieu Eric, gémit-elle. Tu es le meilleur des frères. Ta bite est tellement grosse que je la sens partout en moi…elle me fait des choses… OOohhh, elle va loin en moi… profondément à l’intérieur de moi que…. AAaahhh, que c’est bon ! Depuis le temps que j’en ai envie !
Je sens moi aussi des vibrations dans ma queue et je n’ai pas envie que nous jouissions trop vite. Je me retire de sa chatte, ce qui la fait grogner de frustration, mais rapidement, je la soulève, et la plaquant contre le mur de la salle d’eau, je la reprends par derrière.
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Et pendant qu’Eric baise sa sœur, Kate, en chaleur, n’arrive pas à dormir.
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Mon mari c’est rapidement endormi après que je l’ai soulagé avec une petite branlette et une pipe qui n’a pas durée longtemps vu son excitation lors de cette soirée hautement érotique, avec sa fille qui s’offrait carrément à son frère ou à son père.
Moi, j’ai du mal à m’endormir et je me demande si je ne vais pas retrouver mon fils ou ma fille pour me calmer aussi de cette tension sexuelle qui me brûle toujours.
Malgré mon après midi particulièrement chaude ma chatte est positivement en effervescence à la pensée de pouvoir avaler le long sexe de mon fils ou d’être dégustée par la bouche de ma fille. Je sais que l’un comme l’autre saura garder notre secret et faire tout ce que j’ai envie et plus encore.
Sortant de ma chambre, j’entends des bruits inhabituels et des gémissements venant de la salle de bain à l’étage. En silence, je m’approche de la porte et regarde par l’entrebâillement. Je suis complètement sidérée par ce que je vois !
Ma fille, Aurélie, est debout dans la baignoire, appuyée contre le mur. Mon fils, Eric, est à genoux derrière elle. Ses mains écartent ses fesses largement et avec sa langue il lui lèche son cul ! Et quel cul elle à ma fille ! Je n’ai jamais remarqué qu’il est aussi beau, la position, peut-être… Aurélie a du mal à se tenir debout, ses jambes en flexion. Elle respire difficilement, elle halète et gémit sous les coups de langue de son frère.
– Ooohh, Eric, pleurniche-t-elle, lèche bien mon trou du cul, frangin, met ta langue dedans, ooooh, Ooohhh, ouiiiii, juste comme ça.
Et je vois qu’elle se masturbe la chatte en même temps. Je n’en crois pas mes yeux. C’est difficile à croire, mais c’est indéniablement la chose la plus chaude que je n’ai jamais vu. Je voudrais partir mais comme un papillon de nuit attiré par une flamme, je regarde de nouveau leur copulation i****tueuse.
Aurélie c’est retournée et elle a pris ses deux seins dans ses mains. Je les connais parfaitement bien mais je ne peux m’empêcher de les trouver magnifiques, à coupé le souffle ! C’est merveilleux. Son corps brille sous des gouttelettes d’eau et j’admire ses courbes parfaites et aux bons endroits. Je fantasme sur elle et…sur mon fils.
Elle se tient les jambes suffisamment écartées pour que mon fils puisse lécher sa chatte rasée. Eric, avec ses mains posées sur son cul, pousse sa chatte contre sa bouche pour la fouiller de sa langue.
Les yeux d’Aurélies sont fermés, et elle est clairement consentante et participante.
– Ooooh, Eric, j’aime…j’aime que tu me lèche. Ouiiiiii…là, juste là ! Prends mon clito dans ta bouche…OOoohhhhh, c’est tellement bon, incroyable !
Je m’effondre sur le sol. Que dois-je faire ? Mon corps tout entier est inondé de sensations perverses. Je pince mes tétons et un frisson traverse mon corps. Je sens les lèvres de ma chatte s’entrouvrir et touchant ma chatte humide, je mets deux doigts dedans Une décharge électrique traverse mes reins et ma colonne vertébrale.
J’entends quand même un clapotis d’eau et je regarde encore
.
Aurélie est à quatre pattes dans la baignoire. Eric la soutient avec ses mains et en position accroupie, il la baise sauvagement. Sa queue entre et sort du vagin d’Aurélie. Il enfonce sa grosse et longue bite au fond de mon bébé, de sa sœur. Je vois, quand il la ressort, le gland juste au bord des grandes lèvres, puis il enfourne sa belle queue profondément, d’un seul coup, en faisant gémir de plaisir Aurélie. Ses gros seins se balancent d’avant en arrière et elle se lèche fiévreusement ses lèvres. Cette vision est d’un érotisme incroyable, accentuée par le fait qu’ils sont frère et sœur. Ma chatte laisse échapper mon jus qui coule sur mes cuisses.
Je suis entrain de jouir et je me cogne la tête contre le mur sous l’effet de mon orgasme que je n’ai pu retenir.
Je me relève rapidement et cours vers ma chambre mais je fais plus de bruit qu’à l’aller.
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– Aurélie ! Tu as entendu !
Dis-je en retirant ma bite de sa chatte brûlante.
– le seul bruit que j’entends c’est mes propres gémissements et le bruit mouillé de ta bite qui va et vient en moi ! Et j’espère que tu vas la remettre vite fait !
– Non, attends…
Je m’obstine.
– J’ai vraiment entendu du bruit venant de la porte. C’est peut-être maman…ou papa…
Maintenant concernée, Aurélie sort de la baignoire et s’enveloppant d’une serviette autour d’elle, elle va voir elle même.
« Non de dieu, si c’est ma mère on n’est pas dans la merde ! »
Je vais dans ma chambre, la queue en l’air avec une sacrée envie de jouir mais ce n’est sûrement pas le moment.
Je ne vois pas Aurélie revenir et je me demande bien ce qui ce passe ? Le suspense est super énervant.
Après ce qui semble des heures, mais en réalité, je sais que ce n’est pas le cas, on frappe doucement à ma porte. Ma mère entre, vêtue d’une longue chemise et avec un doigt sur sa bouche elle me fait signe de pas faire de bruit.
Elle s’assoie sur mon lit et me regarde sans dire un mot.
– Maman, c’était toi dans le couloir ?
Elle ne me répond pas tout de suite et me regarde d’une manière peu habituelle avant de parler.
– y a-t-il quelque chose que tu brûle d’envie de me dire…
Je reste muet ne sachant pas très bien ce qu’elle à vu.
– A propos de toi et de …ta sœur…
Je respire un bon coup et je me lance.
– Et, bien… ça n’a rien à voir avec ce que nous partageons tous les deux. Ca a commencé un soir, le soir de la première séance de photos. On c’est embrassé d’une manière pas du tout orthodoxe entre un frère et une sœur. Depuis ce soir là je pense à elle sans arrêt et ce n’est plus ma sœur que je vois, mais une femme superbe et si désirable. Je t’en pris ne m’en veux pas ! Ce soir, on à craqué après qu’elle m’a excité en me montrant sa chatte… et la tienne aussi ! C’est arrivé et…
Maman m’arrête de parler en mettant un doigt sur mes lèvres. Je ne sais pas ce qui va arriver. Je reste assis, mon cœur battant violemment dans ma poitrine.
– Eric, je comprends parfaitement et je sais très bien comment ce genre d’histoire peut arriver. Toi aussi d’ailleurs. Comment c’est arrivé entre nous ? Tu te rappelle ? Je ne sais pas pourquoi nous sommes ainsi tous les trois. Ma fille est aussi salope que moi et elle a des besoins sexuels très fort. C’est peut-être dans nos gènes. Je ne sais pas pour papa et on le saura peut-être un jour… Pour l’instant, il s’agit de toi et moi et de ta sœur…ma fille.
J’écoute en silence.
-Toutes les deux, par besoin, par nécessité, par envie, nous sommes toujours excitées par le moindre attouchement ou pensée i****tueuse. La seule personne qui a comblé mon besoin d’amour et de sexe c’est toi mon chéri. Personne ne m’a aimé autant que toi, même si parfois tu es un peu pervers. Mais comme je suis un peu salope sur les bords, on se complète parfaitement.
Je rougis et ma bite se redresse mais je continue de l’écouter.
– Je ne sais pas ce que l’avenir nous réserve, mais personne ne doit savoir ce qui se passe ou ce qui va se passer dans cette maison.
– Bien sûr, maman, mais qu’entends-tu par « ce qui va se passer » …
Maman me fait « shutt » et ajoute.
– Reste là quelques minutes et tu sauras.
Quelque instant après la porte de ma chambre s’ouvre et ce n’est pas maman qui entre… c’est ma sœur ! Un doigt sur ses lèvres elle me tire de mon lit, j’ai juste le temps d’enfiler un slip qu’elle m’entraîne dans le couloir vers sa chambre. Elle ouvre la porte et entre dans la chambre.
La chambre est faiblement éclairée et ma mère est allongée sur son lit, avec un petit haut en dentelle rouge et noir, très décolleté qui dévoile largement ses gros seins. Même ses tétons roses pale sont visibles. Le chemisier est serré en dessous de ses seins et laisse son nombril découvert.
En regardant plus bas, je vois qu’elle a passé un string rouge assorti qui dévoile parfaitement les lèvres de sa chatte sous la dentelle transparente.
Ses jambes longues, fantastiques sont couvertes par des bas auto serrant qui arrivent à mi-cuisses. Elle est incroyablement sexy et incroyablement belle. Je suis submergé par l’émotion.
– Que ce passe-t-il ici ?
– Eric, dit maman d’une voix douce, viens t’asseoir à côté de moi.
J’obéis. C’est tellement surréaliste. Je m’assieds sur le bord du lit.
– Aurélie m’a dit ce qui c’est passé entre vous deux. Et moi je lui ai dit ce qui c’est passé entre nous deux.
Je reste bouche bée et garde le silence.
– Nous avons décidé, si tu es d’accord, que la meilleure solution, celle qui nous rendrait tous heureux, c’est de partager notre amour. Nous pourrions ainsi satisfaire nos énormes besoins de sexe et nous rendre mutuellement heureux. Nous ne voulons que toi, personne d’autre, et cela peut marcher.
Avant que je dise quoi que ce soit, j’entends que maman enlève son haut et je sens ses gros seins chauds contre mon dos. De doux baisers couvrent mon cou et mes épaules. Maman prend mon menton, et pose délicatement ses lèvres sur les miennes. Inclinant sa tête, elle m’embrasse tendrement, avec passion. Mon baiser est une tacite approbation pour ma participation dans ce ménage à trois.
J’embrasse maman et je masse ses seins. Je sens qu’elle est très excitée à la façon qu’elle a de m’embrasser et à l’avidité de sa langue qui fouille ma bouche. Je presse ses tétons avec le dos de mon pouce, et ils se tiennent debout au garde-à-vous. Ils ne sont pas les seuls à pointer en l’air !
Arrêtant de m’embrasser, maman me bécote le cou puis se penche vers moi et utilise sa langue pour lécher délicatement mes mamelons avant de les sucer. La vache ! Si elle continue comme ça, je ne vais pas pouvoir me retenir. Elle lève ses yeux vers les miens et je vois toute la luxure qui les assombrit.
Ma bite a décidé de faire son apparition, forçant le haut de mon slip, et maman s’empresse de la caresser doucement. Mon monstre est définitivement arrivé à maturité, tant en longueur quand circonférence.
Maman tire sur mon slip et je l’aide à le retirer. Elle abaisse sa tête et crache sa salive sur ma bite pour commencer à la branler.
Je n’ai pas vu ma mère aussi chaude que ce soir !
Ses dents frottent très légèrement sur la surface de ma peau, déclenchant une fuite de liquide quand elle glisse sur mon gland écarlate. Elle l’embrasse, le lèche puis frotte ma queue humide sur tout son visage.
– Oh, Eric, Eric… je suis en … chaleur…je brûle, j’ai du feu dans mon corps…
Maman a avalé complètement ma bite et je bute dans le fond de sa gorge, son nez enfouit dans mes poils pubiens. Elle me regarde, ses yeux brillent. Mon dieu qu’elle est belle ! Son plaisir se voit sur sa figure quand elle s’enfonce ma bite dans sa gorge.
J’en ai oublié ma sœur mais elle se place sur mon coté et elle m’embrasse furieusement. Maman me taille une sacrée pipe et je masse ses gros seins. Ses aréoles sont terriblement gonflées et ses tétons durs comme du bois sec. J’ai l’impression que nous sommes tous les deux sur le bord de la jouissance.
Je calme le jeu, je m’allonge, et je place le cul de maman au dessus de mon visage en me présentant ses fesses et je vois qu’Aurélie s’installe en face de Maman.
Soulevant ma sœur je trouve facilement sa chatte trempée et je laisse ma bite glisser en elle pour retrouver son vagin si agréable à ma bite et encore tout chaud.
– oh oui, Eric. Qu’elle bite tu as ! AAAAAhHHHH… elle me fait du bien !
Pendant que ma sœur se fait plaisir avec ma bite, moi j’enveloppe maman de mes bras et posant mes mains sur l’intérieur de ses cuisses, je lape sa chatte comme un jeune chiot assoiffé. Ma langue se faufile entre ses petites lèvres et rentre à l’intérieur de sa chatte moelleuse. Mon nez est pratiquement à l’intérieur de son cul. J’aime bouffer la chatte de ma mère, elle est délicieuse, un vrai nectar aphrodisiaque. Je suce, j’aspire je mords son clitoris pour recevoir ma récompense, le jus de maman.
Le meilleur de cette baise c’est que la mère et la fille sont confrontées, face à face. Elles se soutiennent mutuellement chacune agrippant les seins de l’autre en les malaxant et pinçant les tétons longs et durs. Avec leur sensualité à fleur de peau et leur profond désir de moi et de l’autre, elles s’embrassent sauvagement. Nous sommes pris dans le tourbillon de cette tempête érotique qui ravage nos corps tremblants et qui se cherche aveuglément.
Une chose que j’ai apprise sur internet, c’est qu’il faut contrôler notre frénésie sexuelle, en changeant de position avant que l’orage éclate.
Je me déplace derrière ma sœur et je la pousse en avant pour qu’elle se place à cheval sur la figure de maman penchée en avant. J’écarte les cuisses de ma mère pour admirer sa chatte imberbe et trempée tellement elle mouille. Je colle ma langue dans la chatte juteuse pour recueillir ce jus avant qu’il ne se perde. Levant mes yeux j’ai droit à la vue enivrante de ma mère qui mange la chatte lisse de ma sœur, alors que je me régale de la sienne. Aurélie et maman sont toutes les deux au bord de l’explosion.
Je soulève les genoux de maman en les écartant au maximum et je l’empale à pleine vitesse en plongeant ma queue dans son trou béant et dégoulinant. Je la baise comme un fou et sa chatte trempée fait de drôles de bruits, mais oh combien caractéristiques, d’un vagin dilaté par une grosse bite qui chasse l’air et le jus quand il s’enfonce vigoureusement et le plus profondément.
Mes couilles frappent son cul et elle geint a chaque poussée.
– Aaahhh, OOohhh, mon bébé, qu’est que tu fais à ta maman ! Tu vas me faire jouir…
Non, pas tout de suite. Et je change les positions de nouveau.
Aurélie est sur le dos avec un coussin sous les fesses, cuisses écartées et ma queue laboure son vagin brûlant. Maintenant c’est maman qui est à genoux en me tournant le dos. Les cuisses écartées au dessus de la bouche de sa fille elle se fait lécher sa chatte. Je mouille mon pouce avec son jus et je l’enfonce dans le trou du cul de ma sœur.
Aurélie a comme un cri d’extase et je vois des larmes coulées sur ses joues.
– Aurélie, ça va ? Dis-je un peu inquiet et haletant.
-oui…mieux qu’avant. Va doucement, mais surtout ne t’arrête pas !
Elle revient sur la chatte de sa mère pour lui enfoncer deux doigts dedans et plante sa langue sur son anus. Tout d’abord, elle lèche autour du trou pour le lubrifier et le stimuler. Ensuite, elle utilise sa langue comme un petit pénis, en piquant de sa langue le trou du cul de sa mère qui s’entrouvre.
Maintenant, c’est au tour de maman de gémir et de sangloter.
– Ooooooh, Aurélie, Que fais-tu… je te sens partout…putain, c’est bon… Enfonce ta langue bien au fond…tu peux aller…plus loin ?
La prenant au mot, Aurélie enlève sa langue et la remplace avec son index. Elle fait aller ses doigts dans les deux trous de sa mère sur une cadence rapide.
– Oui… juste là… Oh… ouiii, encore…plus fort…Je vais jouir, Aurélie… AURÉLIE… je…je…Ahhhhhhh.
Il n’y a pas que maman qui crie, Aurélie aussi !
Je pense que c’est quand ma longue et épaisse bite est venue frapper son col de l’utérus tandis que mon pouce tendu alésait son trou du cul. Quoi qu’il en soit, l’orgasme d’Aurélie éclate. Elle cambre son dos, et je sens ma bite écrasée par sa chatte comme dans un étau. Même son anus se resserre autour de mon pouce.
– AAAaaaaahhhhh, j’en peux plus ! Ouiiiiiiiiiiiiii, je jouiiiiiiis, je jouiiiisssssss !
Les deux femmes ont leur orgasme en même temps et il en faut peu pour que je ne me lâche aussi dans la chatte d’Aurélie, ou sur son dos. Mais je réussi à me retenir. Je veux encore m’occuper de ces magnifiques salopes que sont devenues ma mère et ma sœur.
Je m’assieds sur le bord du lit, les pieds sur le sol.
Je tire ma sœur vers moi, la tourne pour qu’elle me présente son cul, et je la soulève sans effort pour la placer au dessus de ma bite. Aurélie comprend vite et d’une main elle place ma queue devant sa chatte humide. Moi j’ai une autre envie…et je lui chuchote à l’oreille.
– Aurélie, j’ai envie de te prendre par derrière… dans ton petit cul…Suis-je autorisé à le visiter ?
– Elle tourne sa tête vers moi en ouvrant grand ses beaux yeux et murmure.
– Oui, Eric… Je la veux dans mon cul, grand frère… complètement dans mon cul. Prends-moi comme tu veux !
Tout le corps de ma sœur se raidit quand elle place le bout de ma queue sur sa rosette et qu’elle appuie dessus. L’anneau culier s’entrouvre et mon gland est comme aspiré dans son trou du cul.
– Aaahhh, la vache ! Putain ta bite est énorme ! Attends un peu que je m’habitue.
En attentant Je caresse sa poitrine en insistant sur ses petits bouts de seins bien durs.
Elle pousse un profond soupir et il ne faut pas plus que quelques secondes pour que ma bite s’enfonce au plus profond de ses entailles, jusqu’à ce que je sente ses fesses sur mon pubis.
– Whaoo ! Ça fait un drôle d’effet ! J’ai l’impression que tu vas m’ouvrir en deux !
Lentement, je la soulève et je la relâche, puis après un ou deux allers retours, je peux facilement baiser son petit cul serré.
Je me laisse tomber sur le dos et elle déplace ses pieds sur mes cuisses et en appuie sur ses mains c’est elle qui se fait plaisir avec ma bite dans son cul.
– OOOoohhh, Eric, c’est incroyable ! Je te sens vachement bien ! Je suis pleine de toi ! AAAaaaaahhhhh…
Ma bite disparaît à chaque fois dans son merveilleux petit cul et quand elle ressort, elle entraîne sa rosette qui roule sur ma queue pour former un magnifique bourrelet rose pour ensuite disparaître de nouveau.
Aurélie commence à trembler sous l’excitation intense de mon pieu qui frotte ses boyaux.
– Maman, tu peux peut-être nous aider…
Ma mère se met à genoux sur le sol devant nous et commence par lécher la chatte de sa fille, l’autre trou étant occupé par ma bite. La respiration d’Aurélie est à nouveau laborieuse et sporadique. Elle savoure l’intense sensation sexuelle que lui procure cette stimulation génitale.
Maman remplace sa langue avec ses doigts et déplace sa langue sur mes couilles douloureuses. Elle prend chacune d’elle dans sa bouche et les savoure comme de gros bonbons. Ma bite gonfle encore plus dans le cul de ma sœur, et Maman va me faire jouir en suçant mes couilles.
Je passe mes mains autour de ma sœur et je m’agrippe à ses seins qui rebondissent sous mes coups de bite dans son fondement. Je lui pince ses tétons en pressant ses seins et ma sœur couine sous le plaisir qu’elle ressent.
– OOOOOhhhhooohhhh, Huuummmmm….
Et à chaque plongée de ma bite dans ses entrailles
– AAAAAhHHHH…..
– Attention les filles ! Je vais exploser le cul de ma sœur !
Ma sœur roule sur le coté et je suis le mouvement. Je lui soulève son bassin et la positionne sur ses genoux pendant que maman se faufile en dessous pour avoir accès à sa chatte chauve. Ma bite terriblement gonflée défonce son cul à une vitesse folle et je sens les doigts de maman qu’elle à mis dans sa chatte, qui frotte ma bite à travers la mince cloison qui sépare les 2 trous intimes de ma sœur.
Puis elle att**** le clito d’Aurélie entre ses dents pour le dévorer.
Malgré mon état d’exaltation et l’effort que je fais pour retarder mon lâché de sperme, je me régale de cette vision de ces deux femmes déchaînés dans cet acte d’amour familiale.
Aurélie crie en agitant sa tête dans tous les sens quand son orgasme fait frémir tout son corps et que son anus enserre ma bite de puissantes palpitations. Je ne peux résister et ma chaude semence part de mes couilles à la vitesse de la lumière. Je tire une salve dans le cul de ma sœur, pour éteindre le feu de l’enfer qui brûle ma bite et elle expulse ma bite d’un seul coup !
J’inonde alors le superbe dos de ma sœur jusqu’à ses épaules, de ma crème blanche. Quelques giclée sur le ventre de maman qui est toujours entrain de farfouiller dans la chatte de sa fille et je replace ma bite dans le trou béant d’Aurélie pour me finir dans ses entrailles, avant de m’écrouler complètement vidé !
Nous sommes tous couverts de sperme et de jus féminin, essayant de reprendre notre souffle comme des athlètes après un marathon.
Aucun de nous ne veut être le premier à prendre la parole, peut-être ne sachant pas quoi dire. Je brise le silence et je demande.
– Il faut vraiment que papa dort comme une bûche pour ne pas entendre ses femmes crier de plaisir !
Elles sourissent reconnaissante d’avoir brisé ce silence pesant. Aurélie nous regarde et ajoute.
– Il aurait peut-être préféré se joindre à nous…Peut-être que nous devrions l’inviter la prochaine fois…ça soulagerait Eric…
– Vous avez raison ! Deux belles salopent gourmandes ça va faire trop pour moi !
Dis-je en gémissant et simulant l’épuisement.
Pas de réponse de maman et de ma sœur mais je vois que ça fume dans leur tête.
A suivre
Phantome
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