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croissents et pains aux chocolat

croissents et pains aux chocolat



Zarah s’avance puis se retourne vers moi pour me remercier de notre accueil, puis elle se retourne pour présenter les deux filles qui les accompagnent, une s’appelle Fleur l’autre Pamela, ce sont nos nièces et elles vont entre de plain pied dans la vie et dans la luxure avec tout le contrôle que cela engendre.
Elles pratiquent déjà la sodomie, mais avant de partir vers leur destin, elles doivent êtres marquées de la fleur de lis au fer rouge et recevoir l’anneau d’or que nous placerons sous leur clitoris.
Dans l’assemble une femme s’avance et applaudit puis écartent son paréo pour nous montrer son anneau en or et la marque sur sa cuisse, puis elle nous dit :
Je fais partie de la confrérie des anneaux d’or depuis que j’ai 16 ans, mes parents l’ont exigés pour conserver nos traditions, j’ai aussi le double peigne que je peux placer car j’ai 10 trous sur mes grandes lèvres, joignant le geste à la parole, elle étire une des lèvres de son sexe et nous montre les trous qui les traversent.
Son voisin n’y tenant plus tend le bras pour lui caresser le sexe et enfonce un doigt dans sa fente ouverte, elle pousse son ventre à la rencontre du doigter puis elle dit tout naturellement :
Je suis très large et tout en parlent elle prend une bouteille sur le buffet la pose droite goulot vers le bas sur une chaise, l’enjambe et descend tout doucement jusqu’à la faire disparaitre dans son sexe, puis se relève conservant l’objet en elle, seul le goulot dépasse, c’est là que Zarah s’avance vers elle se saisie du goulot, commençant à la défoncer dans un rythme lent mais bien appuie pour la faire partir, chose qui ne tarde pas, les deux femmes s’embrassent à plaine bouche étouffant leurs cries.
Les spectateurs et spectatrices ont commences eux aussi à se masturber, lorsque le calme reviens quelques feulements se font encore entendre.
Kat s’adresse à l’assemble dans ses termes, je viens de vous mettre sur le buffet tout ce que nous avons à manger, j’espère que cela vous conviendra et que vous y ferez honneur, sur la table dans le coin vous trouverez les desserts, maintenant je vous souhaite bonne ripaille, puis bonne baise à tous.
Le vin rose bien frais aident la température grimpe encore de plusieurs degrés.
Il est 23h30 lorsque Zarah prend le micro pour annoncer que les filles sont prêtes à nous offrir leurs marquages, si vous voulez bien vous rapprocherez, je vous prie.

Marquage au Fer !!!

Il est presque minuit lorsque les deux filles remontent de la partie basse du duplex, elles sont totalement nu sous une fine mousseline, la pointe de leurs seins traversent le tissu, des applaudissements les accueils Aaron le compagnon de Zarah les suit, les deux filles saluent et retirent leur voile de mousseline, nous dévoilent leurs insolente beauté.

Bien campe sur leurs jambes légèrement écartées nous apercevons une chainette en or terminée par une boule qui sort de leur sexe, sur la cuisse une petit gaze est collé ainsi qu’à l’arrière de l’épaule, Zarah retire d’un geste prompt les pansements, et dit, c’est un petit anesthésique pour leurs confort.

Aaron porte un petit coffre qu’il pose sur une table juste à cote, lorsqu’il soulève le couvercle une épaisse fumée s’en échappe sans aucune odeur, Zarah prend Fleur dans ses bras elle pose sa main gauche derrière sa tête pour la mettre en appuis au creux de sont épaule, de son autre bras qu’elle passé autour de sa taille elle immobilise le bras gauche de Fleur une fois que la position est bien prise, Zarah fait un signe de la tête à Aaron qui sort du coffret un objet blanchâtre et fument qu’il secoue quelque fois puis il l’applique à l’emplacement ou était le pansement, Fleur se cabre se serrant très fort contre Zarah, ouvrant la bouche comme pour crier, puis repose sa tête au creux de l’épaule de celle-ci, des larmes coulent en silence.

Zarah a fait se retourné Fleur, elle lui prend les poignets pour lui croiser les bras sur ses seins puis elle passe sa jambes entre celle de Fleur et l’enroule pour immobiliser la jambe droite, une fois la position bien prise, nouveau signe de tête; Aaron pose de nouveau le fer sur l’emplacement ou était le pansement lorsqu’il le retire la marque rouge apparait comme sur l’épaule le blason qui se compose un oiseau posé sur un sabre au dessus d’une couronne est indélébile

Fleur pleure en silence, elle s’accroche à Zarah une fille s’approche des deux femmes, s’adressent à Zarah dans ces termes :
Il est inadmissible de faire subir cela à des jeunes filles aussi jolies ce n’est pas du bétail, ou alors, vous pratique encore la traite des blanches vous été de tristes individus, dans son élan de rage, elle lève la main pour gifler Zarah, c’est Fleur qui se saisie du bras de cette blonde en furie la stoppant net dans son hélant, elle tend son autre bras pour se saisir de la tête de cette tigresse, qui n’ai qu’une minette, elle l’attire à elle et l’ambrasse à plaine bouche, la bonde se débats et recule d’un pas, crache, rugis, se débâtent, un homme c’est approché il se saisie des deux poignet de cette furie, il parle fort lui intiment l’ordre de se calmer, excuse toi ! si non je te punie.

Fleur se retourne vers Zarah et dit : je vais faire connaitre à cette ravissante blonde un orgasme de douleur, puis, s’adressant à l’homme qui la retient, je vais me charger de ce travail avec plaisir ; Je vous prie monsieur de bien vouloir attacher par les pattes de devant votre tigresse.

La blonde fulmine mais à la grande surprise de tous et de toute, elle se laisse metre les bracelets en cuir pour être suspendu, son chemisier lui est retire et sa jupe atterrie au sol, il ne lui reste qu’un mini string que Fleur lui arrache avant de l’embrasser, la fille n’a pas vue le trapèze qui descend au dessus d’elle, à l’extrémité de celui-ci pendent deux crochets ou l’homme et Fleur fixe ses poignet puis le trapèze remonte positionnant notre blonde pratiquement sur la pointe des pieds.

Aaron tend 5 fouets ou lanières à Fleur qui les examinent, soupèsent, puis, ce décide pour un fouet tressé d’environ 1,50 m avec en son extrémité une lanière plate d’environ 12 cm, puis se ravisant elle prend aussi un martinet avec 8 longues lanières fines en cuir, outil qui ne marque peu mais qui délivre une douleur exacerbe par des picotements cuisants.

Tout en s’approche de la victime elle fait claquet le fout et siffler le martinet, elle les lui montre lui demandant par le quel elle désire débuter, la fille hésite puis dit dans un soupir, le martinet !! Bien dit Fleur tu connais les règles, la blonde acquiesce d’un signe de tête, pour moi le mot magique est ‘’Pitié’’ et j’arrêterais immédiatement, de nouveau le signe de tête pour approuver.

Fleur recule d’un pas puis de sa main gauche elle se saisie du bout de l’un des gros seins haut perché donc les bouts pointent vers le ciel, elle pince, le tord, l’étirant violemment, une plainte s’échappe de la bouche ou elle mie le rouleau de caoutchouc pour éviter que nôtre blonde abime ses jolie dents.

Le cercle se forme à bonne distance avant que Fleur face siffler dans le vide le martinet, le premier coup est une caresse quelle donne sur les reins de la dénommée ’’Hélène’’, puisque ces comme cela que son partenaire la appelé.

Elle tiens le manche du martinet dans la main droite et lisse les lanières dans sa main gauche, elle prend son temps puis le coup part rapide et pressier, elle a vise le haut des fesses pour descendre progressivement jusqu’au cuisse, elle change de côté régulièrement un peu de gauche à droite puis de droite à gauche, Hélène danse d’un pied sur l’autre crient sous la douleur, mais petit à petit les cries deviennent des feulements plutôt de plaisir ; Fleur exige quelle écarte grand les cuisses, la blonde obtempère, le coup suivent atteint le pubis , le clitoris et l’anus le notre victime, des crie stridents lui échappent elle laisse tomber son protège dents, de grosses larme coulent sur ses joues son rimmel descend en petite vivrière noire sur ses joues ou il laisse de tarasses sombres.

Le bas du dos les fesses et les cuisses sont d’un rose soutenu tirant sur le rouge, Fleur s’approche d’Hélène pour la caresser et lui parler à l’oreille, elle lui dit : maintenant je vais te marque et te faire mal, elle lui montre le fouet, la blonde a un mouvement de tête comme pour dire non, mais elle ne dit rien.
Fleur se place bien derrière elle pour pouvoir atteindre ses seins son ventre et son sexe avec le bout de la lanière du fouet qui va s’enrouler autour du corps.
Les seins se déforment sous l’impact, puis le ventre ondule, de la pointe de ce fouet elle atteint le pubis le haut des cuisse puis elle remonte pour atteindre de nouveau plusieurs fois les seins, le corps se couvre de large strie rouge ou perle des gouttelettes de sang, le dos aussi a reçu la visite du fouet et a sa part de marques rouges Fleur s’arrête pour venir vérifier son travail, du bout du doigt elle suie l’une des marque laissé par le fouet qui se termine sur le dessus du sein droit dont elle fait rouler le bout entre ses doigts, la blonde grimasse sous la douleur, puis elle prend la blonde par le menton pour l’embrasser sur les lèves qui tremblote en s’adressent à elle, elle lui dit : tu es belle, je vais fini de te marquer, la d’une petite voie notre blonde dit : Pitié !! Fleur a un grand sourire pour lui dire j’arrête, c’est très bien tu a étais forte.

Fleur fait un signe et la potence redescend pour décrocher les poignets d’Hélène à qui elle dit :
Suis moi je vais te soigner et mettre ma griffe sur ton sein pour que tu ne m’oublie pas.
La bonde suit Fleur avec des larmes dans les yeux, Aaron les accompagne avec son petit coffret ils fixe les deux poigne de la soumise à un croché qui pend d’une poutre à cote une table dont le dessus en marbre blanc brille sous la lumière des spot, Aaron donne à Fleur un pot et un pinceau dont elle se sert pour étaler sur les marque du fouet un gel brillant légèrement argenté, la fille se réagi par de petits cries, une fois l’onction termine Fleur s’adresse à toute l’assemblé :
Je vais apposer sur cette femme la même marque que la mienne pour quelle ne m’oublie pas, Aaron en arrière a préparé le fer, Fleur se saisie du sein droit avec sa main gauche, le serre très fort pour en faire gonfler le dessus, de sa main droite elle récupère le fer pour l’appliquer sur le galbe du sein, Helene pousse un hurlement en rejetant la tête en arrière, puis revenant vers l’avant de grosses larmes courent sur ses joues, Fleur l’ambrasse sur la bouche puis la décroche pour la faire s’allonger sur une banquette et terminer les soins de ses blessures.

La nuit était tombe sur la terrasse, quelque couple se faisait du bien, dans un recoin deux filles partage un double good, une femme chevauche un homme derrière elle un noir s’enfonce dans ses reins, les plaintes de plaisir fusent de tout coté.

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