J’ai 19 ans, je. J’ai arrêté les études, je travaille dans un atelier de réparation de véhicules. Je vis avec mes parents dans un petit village, en grande Kabylie, situé à 100 km d’Alger. J’ai une sœur et un frère marié. Ma sœur a 16 ans, elle vit chez mon frère à Alger, elle étudie dans un lycée à proximité de l’endroit ou elle habite.
Un jour, mon frère est venu avec sa femme Malika et ma sœur passer un week end, et rendre visite à nos parents.
Le soir, autour d’un dîner copieux que notre mère a préparé à l’occasion, on discutait, on riait. Dans la soirée, ma belle sœur nous prépara un bon thé, avec de la menthe. Mon père propose que demain nous rendions visite à ma tante paternelle, dans un village situé à 50km d’ici. Mon frère, véhiculé, accepte ce projet. Donc, nous ferons partis de cette petite randonnée, mes parents, mon frère et sa femme. Nous décidâmes ma sœur et moi de rester à la maison.
Le lendemain, tout le monde est parti, je me retrouve seul à la maison avec ma sœur INES. C’est une belle fille, la robe kabyle qu’elle a mise, lui va très bien. Elle a des seins fermes et son corps est parfait.
J’étais dans ma chambre entrain d’écouter de la musique, quand ma sœur entra, elle me dit « je ne te dérange pas » je luis dit « pas du tout » elle s’asseyait sur le bord du lit, moi j’étais étendu. Dommage que cette beauté en face de moi, était ma sœur, sinon je lui aurais sauté dessus.
On discutait de tout et de rien, à un moment donné, ma sœur me poussa un peu et s’allongea à mon coté.
Elle discutait, puis se releva sur son coude, moi étendu, entrain d’écouter. Elle me dit que je suis très beau, avec des yeux bleus, et que certainement, je dois voir la côte avec les filles. Je lui répondis que les filles dans un village, sont rares, on ne les voit pas chaque jour.
Puis, elle passa un doigt sur mon visage, un frisson me transperça. Elle descendit son doigts sur le contour de mes lèvres, là, et sans vouloir, je commençais à bander. Elle me dit « cher frère, tu as un beau physique » tellement qu’elle m’a surprise, aucun son ne sortit de ma bouche, je fis signe de la tête pour dire oui.
Puis, elle commença à me caresser mon torse, comme je portais un tee shirt ample, elle pénétra sa main en dessous et me caressa sur la peau, là, mon érection augmenta, et elle était très visible, car j’étais en short léger. Je lui dit « qu’et ce que tu fais INES » elle met un doigt sur la bouche pour dire ça sert à rien de parler.
Elle se pencha, mit ses belles lèvres sur le miennes, et m’embrassa langoureusement, elle pénétra ma bouche de sa langue, nos langues s’entremêlèrent. Sa salive, m’excita davantage. Je l’embrassais sur le visage, sur le cou, je m’attardais sur la bouche. Je sentais une fille qui a soif, soif d’amour.
Elle se leva, elle enleva sa robe, elle a un corps de rêve, un soutien de couleur noir, avec un string assorti. De mon coté j’enlève mon tee shirt, et je retire mon short, mais je reste avec mon boxer. Je me lève, je commence à embrasser ma sœur sur tout le corps, elle était d’une blancheur incroyable. Puis je m’avise, en lui dégrafant son soutien. De beaux seins apparaissent, du 95 D, ma bouche part directement vers les tétons que je me mis à sucer, ils se durcirent au fur et à mesure, je masse aussi les seins, des gémissements, légers sortent de la bouche de ma sœur, avec un pincement de ses lèvres.
Ma bite a grossit énormément, tellement qu’elle est raide, elle commence à me faire mal sous mon boxer. Je commence à descendre le string, d’INES, je le retire doucement, je le fais descendre le long de ses jambes, elle m’aida à le retirer complètement en levant ses pieds. Je le porte à mon nez, je sens cette odeur magique, un mélange, un cocktail d’odeur de pisse, de mouille et de cyprine. Je fis asseoir ma sœur sur le lit, j’enlève mon boxer, ma bite très raide apparaît. Je la dirige sur la bouche de ma sœur, elle l’empale, elle commence à la lécher. Elle entama une pipe mémorable et malgré ses 16ans elle savait y faire. Elle aspirait comme une folle, je voyais que j’allais jouir alors je l’arrêtais, je la fis coucher sur le dos, je lui écartais les jambes, elle a une très belle chatte, avec de légers poils. Ma langue léchait, les lèvres déjà mouillée abondamment,. Elle criait presque. je lui dis, « doucement salope de sœur, tu vas recevoir ce que tu cherches ». Ma langue continue son exploration, la recherche du clito, je le suce, il grossit, ma sœur crie de plaisir, elle me serra la tète entre ses cuisses, elle me retient et pousse ma tête sur son vagin qui est devenu un brasier., et d’un coup, elle explose, elle a eu un orgasme puissant, sa cyprine je la prend dans la bouche, que j’avale avec volupté.
De mon coté je dirige ma bite entre ses seins et là, je joui énergiquement, je l’éclabousse avec ma semence toute chaude, entre les seins, sur son visage. Elle prend ma bite, elle la nettoie du sperme qui dégouline et qu’elle avale avec satisfaction.
Ma bite se raidit sous cette lèche, et cette scène de nettoyage par une salope comme ma sœur. Je fouille dans le tiroir de ma table de nuit, je prends un préservatif, de la boite que je prends avec moi quand je voyage.
Puis j’écarte les jambes de ma sœur, je frotte ma bite sur ce vagin bien mouillé, je commence à la pénétrer. Elle me dit « vas y, je veux connaître le vrai plaisir » Mon gland entre cm par cm jusqu’à que je sente que je butte sur son hymen, elle crie de plaisir « vas y … frérot… défonce moi..vas yyyyyyyyyyyyyy…. » Là, j’ai pris l’initiative et j’ai ainsi donné un coup de rein pour que je puisse la pénètrer d’un coup sec, elle a eu un peu mal, elle lança un cri strident. Mais j’ai continué à la glisser au fond de son vagin, la douleur s’est vite estomper pour faire place à une extase infinie.
J’ai commencé à faire des va et vient de plus en plus vite. Elle criait « je suis une salope, je suis une pute… nique moi… défonce moi….. » d’un coup elle se crispe, elle vient d’avoir un orgasme fort. Elle s’agrippe à moi, elle me retient par les fesses. A mon tour, je jouis, je décharge ma foudre dans le préservatif que j’ai mis, ma bite complètement enfoncé dans son vagin.
Depuis, une complicité est née entre ma sœur INES et moi-même.
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