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Un bon apprentissage

Un bon apprentissage



Dans les années soixante, il y avait encore des salles de cinéma spécialisées où on pouvait voir des films de cul. Ils n’étaient pas de très bonne qualité et on s’amusait plus à regarder les autres spectateurs dans la salle qu’à se branler devant les couples qui faisaient l’amour sur l’écran.

Il y avait une de ces salles près de la gare du Nord ou de la gare Saint-Lazare et j’y allais au moins une fois par semaine après avoir touché ma paie le vendredi soir. Les femmes qui vendaient les tickets jugeaient de notre âge en nous regardant et elles n’hésitaient pas à nous demander notre carte d’identité si elles avaient un doute et j’étais grand et à seize ans, j’en faisais dix-huit.

C’était donc un coup de chance de pouvoir entrer. J’avais des copains qui préféraient tenter leur chance en entrant par la sortie. C’était risqué parce que les placeuses avaient l’œil et elles n’hésitaient pas à venir demander nos billets pendant le film.

Donc, avec un peu de chance, je pouvais voir ces films. Un jour, la femme dans la guérite n’a pas été dupe et elle m’a dit qu’à mon âge, je devrais plutôt avoir une copine. Je lui ai répondu que j’aime ça et elle m’a dit de faire attention où je m’assois et elle avait bien raison parce que beaucoup de ces spectateurs n’hésitaient pas à se branler où à se faire branler par un autre ou une autre qui était venu s’asseoir à côté d’eux.

Il n’y avait pas que des hommes seuls et il y avait aussi des couples venus là pour se changer les idées. Un jour, la femme du couple s’est assise sur les genoux de l’homme qui l’accompagnait pendant le film mais la placeuse est venu remettre les choses en place et la femme s’est rassise sur son siège.

J’embauchais tous les jours de la semaine à six heures et je ressortais à deux heures de l’après-midi et ça me laissait du temps libre. Je venais à peine de prendre mon poste quand Jenny, une petite collègue de mon âge, une apprentie, est venue me voir puis elle m’a dit tout de go qu’elle ne s’était pas doutée que je fréquentais les cinémas pornos.

Je lui ai répondu qu’elle se trompait de personne mais elle m’a cité le jour, l’heure et le titre du film. Elle semblait triompher, cette petite curieuse mais elle m’a demandé si je ne pourrais pas l’emmener avec moi.

– Quoi ? Tu ?

Jenny m’a expliqué qu’elle aimerait bien voir un de ces films dont son frère parlait avec ses copains mais qu’elle fait trop jeune pour qu’on la laisse entrer. J’avais mes habitudes au cinéma de Saint-Lazare. La marchand de billets commençait à bien me connaître. J’y suis allé avec Jenny. La femme nous a fait un sourire et elle nous a donné deux billets que nous avons donnés à la placeuse qui nous a laissés nous asseoir où il y avait de la place. Le film a commencé cinq minutes plus tard. Pour résumer, c’était l’histoire d’un couple qui recevait des invités. La femme quitte la table et elle va dans la salle de bains. Un des invités la suit. Elle se penche sur la baignoire. Il lui relève sa robe et il l’encule. L’enculage a bien duré dix minutes et on voyait tout en gros plan. Dans la salle, on entendait le son de la sodomie et celui des bites qu’on branlait. Jenny m’a pris la main. Je lui ai demandé si ça lui plaît.

– Ça doit faire mal, m’a-t-elle dit !

– Tu veux essayer ?

La seule fois que j’avais fait l’amour, c’était avec une putain que j’avais du payer. Autrement, j’avais fricoté avec une de mes cousines mais elle n’avait pas voulu aller plus loin que des baisers et des caresses. Il y avait bien une fille qui m’intéressait mais elle avait déjà quelqu’un.

J’ai sorti ma bite et j’ai dit à Jenny qu’elle va me branler et j’ai posé sa main sur ma bite. Une femme qui était assise dans la rangée derrière nous ou qui venait d’arriver est venue s’asseoir à côté de Jenny et elle lui a dit que c’est ça, qu’elle va me branler pendant qu’elle touche ma copine et Jenny m’a branlé pendant que la femme la masturbait et d’ailleurs, elle avait ouvert les cuisses et sa tête était appuyée sur mon épaule et elle me branlait mécaniquement.

– C’est que nous avons là une petite gouine, a fait la femme au bout d’un moment ! Je vois bien que tu aimes ça ! Laisse-toi aller ma chérie, a ajouté la femme !

Tout à coup, les jambes de Jenny ont eu un sursaut et elles se sont écartées d’un seul coup si bien que son genou a tapé dans le mien.

– Tu vois que ce n’était pas difficile, a ajouté la femme en s’adressant à Jenny ! Maintenant, il va falloir que ton copain te trouve une chatte !

La femme n’a plus rien dit jusqu’à la fin du film et je dois avouer que je ne l’ai vu entièrement que quand je suis revenu, deux jours plus tard, mais ce jour-là, quand nous sommes sortis de la salle il a fallu que je soutienne Jenny. Elle n’avait plus de jambes comme on dit et moi, j’étais en stand-by parce qu’elle n’était pas allée jusqu’au bout avec ma bite et nous avons vu s’éloigner la femme qui l’avait masturbée, un peu forte, dans son imperméable et tenant un cabas duquel sortaient des poireaux.

– Tu crois qu’elle se baise avec, m’a demandé Jenny ? On va sortir ensemble maintenant qu’on… sait qu’on aime faire ça tous les deux, a-t-elle ajouté ?

C’était notre secret et j’ai commencé à sortir avec elle. Le samedi soir, on allait plutôt voir des films normaux mais ça ne nous empêchait pas de retourner voir du cul à la gare Saint-Lazare de temps en temps. Ce qui m’énervait, c’était que quand un type s’asseyait à côté d’elle pour qu’elle le branle, elle prenait sa main et elle l’amenait sur ma bite et le type me branlait, mais il y avait aussi des femmes pour l’embêter et qui voulaient que ma copine les masturbe pendant qu’elles la masturbaient. On sortait de la séance sans dire un mot et on marchait sur le boulevard avant d’aller prendre le dernier métro.

Il m’arrivait de la sauter dans les toilettes de l’usine. C’était séparé mais en faisant le guet, j’arrivais à la rejoindre dans une des cabines et c’était la course de fond pour éviter qu’on remarque notre absence. Dans l’affolement, je jouissais dans son trou ou sur ses cuisses et elle avait toujours une serviette pour s’essuyer.

C’est à la suite d’une période d’abstinence forcée que je lui ai suggéré de me laisser l’enculer. On avait vu faire ça dans maints films. Elle m’a dit de faire attention et je me suis enfoncé dans son anus. Ce n’était pas aussi facile que sur l’écran.

Un jour, Jenny a voulu que je vienne chez elle. Elle m’a présenté à sa mère qui m’a jaugé du regard puis elle nous a demandé si on fait des bêtises. Elle n’avait pas besoin de nous expliquer. Ma copine avait des gros seins, mais ils commençaient à tomber sous leur poids mais ce qui me plaisait quand même c’était qu’ils étaient pointus avec des aréoles larges de six centimètres et de gros tétons.

La mère nous a demandé que ce qu’on va faire et sa fille lui a répondu qu’on va écouter de la musique dans sa chambre mais le concert ne nous suffisait pas et ma copine m’a sucé la bite et je lui ai joui dans la bouche et mon sperme s’est écoulé sur son menton et la mère est arrivée dans la chambre et elle n’a pas été dupe de ce qu’on faisait.

– Maman, lui a dit sa fille en s’essuyant le menton avec le dessus de sa main, c’est mon copain !

– J’espère que celui-là, tu ne le fais pas payer, lui a répondu sa mère !

Ça a jeté un froid. Je ne pouvais pas faire autrement que partir. Le lundi suivant, j’ai demandé à ma petite amie ce que sa mère avait voulu dire.

Jenny m’a répondu que sa mère ne voulait pas me vexer puis elle a ajouté que celle-ci s’était prostituée dans sa jeunesse puis qu’elle avait épousé son meilleur client avant de me dire que ce n’est pas lui son père.

– Alors, c’est qui, lui ai-je demandé naïvement ?

Elle n’en savait rien.

– Jure-moi que tu ne me feras jamais payer, lui ai-je encore demandé ! Euh, que tu n’as jamais fait payer personne pour t’aimer ! Euh…

J’étais confus.

– Tu as toujours été le premier, a-t-elle fini par me dire !

– Vraiment ?

– Oui, j’ai fait comme le font toutes les filles, a-t-elle encore ajouté !

– Et quoi, par exemple, lui ai-je demandé ?

– Je me suis masturbée et puis je me suis enfoncé des trucs… Et puis c’est pas bien de tout vouloir savoir, a-t-elle ajouté !

Des larmes ont commencé à perler sur ses joues et je ne savais comment me faire pardonner.

– Je fais tout ce que tu veux, a encore ajouté ma copine en fondant en larmes.

Il y avait un vieux garage à côté de sa maison. La porte était entrebâillée et je l’ai poussée. Il y avait des balles de paille. J’ai sorti ma bite et j’ai poussé ma copine sur une belle et je l’ai enculée. Jenny a eu une conduite exemplaire. Avec ses doigts, elle a écarté ses fesses. Quand j’ai touché ses seins, elle m’a aidée en me tenant la main. Je l’enculais mais je n’arrivais pas à conclure et ça durait. Je restais vigoureux. La demie a sonné au clocher de l’église voisine. Quand je sortais ma bite, mon amie écartait ses fesses pour que je ne perde pas de temps à chercher son trou et je pouvais continuer puis l’heure s’est mise à sonner. Ça faisait une demi-heure que je m’escrimais et mon foutre avait disparu au fond de son anus.

– Je t’aime, lui ai-je murmuré !

– Moi aussi !

Ça ne l’a pas empêchée de me quitter six mois plus tard. Il faut dire que je n’en avais plus que pour son anus. Sa bouche et son anus, parce que je ne voulais pas risquer d’avoir un enfant. Je l’ai revue quelques années plus tard et je lui ai demandé si elle a quelqu’un parce qu’elle n’avait ni bagues ni alliance. Jenny m’avait répondu qu’elle n’a personne mais il y avait quelque chose qui m’intriguait et à tout hasard, je lui ai demandé si elle est enceinte.

– Oui !

J’avais touché la cible en plein milieu.

– Et c’est qui, lui ai-je demandé ?

Elle m’a répondu qu’elle n’en sait rien et j’ai insisté.

– C’est qui ?

– Je n’en sais rien, m’a-t-elle redit ! Ils étaient plusieurs…

– Qu’est-ce que tu foutais avec plusieurs types ?

– J’avais besoin d’argent et je suis allé dans une partouze, a-t-elle ajouté ! Il n’y avait que des hommes et moi !

– Alors, tu as ce que tu mérites, ai-je ajouté !

– Je sais, m’a répondu mon ex-copine ! Je suis comme maman et je finirai par faire la putain ! C’est de famille, a-t-elle encore ajouté !

Mon bus arrivait et notre conversation s’est arrêtée là et je n’en sais pas plus sur mon ex-copine.

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