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Quand Margot devient chienne

Quand Margot devient chienne



J’ai déjà publié cette histoire sur un autre site. C’est issu de mon imagination et d’un peu de vécu.

La garden partie.

-« Permettez-moi de me présenter, je suis Bertrand Hautecombe de Villedieu, mes amis m’appelle « BHV ».
– Heu ….. Oui… Heu …. Pardon, moi c’est Laurent.
– Je vois que je vous dérange. Vous étiez en train de contempler cette charmante personne qui est là-bas en train de converser avec ce groupe de messieurs.
Heu…… Oui, en effet. Il se trouve qu’elle est ma femme. En quoi cela vous intéresse-t-il ?
– La-la, ne vous méprenez pas. C’est juste que je vous observais moi-même et certes, j’ai bien vu de l’amour dans vos yeux bien qu’ils étaient me semble-t-il un peu dans le vague. Mais, si j’en juge par la bosse qui orne votre pantalon, j’ai dans l’idée que vous aviez aussi autre chose en tête. Je me trompe ?

C’est par ces quelques mots échangés que je faisais la connaissance de « BHV », lors d’une garden partie où nous étions invités ma femme et moi, par un couple d’amis, eux-mêmes affiliés à nos hôtes.
La propriété était tout simplement splendide. Une maison immense décorée avec luxe et goût. Ce n’est pas toujours le cas. Un parc, oui, à partir d’une certaine surface ce n’est plus un jardin, et là, de la terrasse on ne voyait pas les clôtures même en mettant la main au dessus des yeux comme un indien. De grands arbres prodiguaient une ombre bienfaitrice par cette chaude journée de début juillet, ça et là des bosquets de fleurs, d’arbustes ou plantes plus ou moins tropicales, ornementaient la pelouse taillée de frais.
Un petit chapiteau abritait un buffet gargantuesque où se pressait depuis un moment, une bonne partie des invités.
L’ambiance était des plus conviviale, pas du tout guindée comme nous avions pu le craindre lorsque nos amis nous avaient proposé de les accompagner chez leurs cousins, les « Mouton-Lagarigues ».
Il est vrai que je suis très fier de mon épouse. Je la trouve très belle et je ne suis pas le seul. Il est rare qu’en de telles circonstances elle soit isolée. Je veux dire par là, qu’elle est systématiquement accaparée par un, mais plus souvent par des hommes qui adorent sa compagnie. D’abord pour son physique certes, mais aussi pour sa gaité communicative. Elle est aussi bonne cliente aux plaisanteries de tous crins.
Et là, précisément, elle est entourée par cinq ou six messieurs d’âges différents, elle rit à leurs blagues, contribue elle aussi à animer la conversation semble-t-il, mais je crois surtout que c’est sa petite jupette qui virevolte sur ses cuisses déjà bronzées qui attire le regard de ces messieurs.
J’étais effectivement perdu dans les méandres d’un scénario que j’imaginais au fur et à mesure des gestes et attitudes de mon épouse parmi ces mâles qui, j’en suis sur, n’avaient pas tous des idées pures, lorsque « BHV » me faisait donc remarquer que je bandais !
– Hein ?!….. Heu, quoi ?….. Je ….. Vous me …..
– Je dis que je suis persuadé que vous êtes entrain d’imaginer votre chère et tendre dans des situations que la morale réprouve. N’est-ce pas ?
– Heu…..
– Mais ne vous inquiétez pas, je trouve cela charmant. Quand on a une si jolie femme, il me paraît assez naturel d’avoir des fantasmes en adéquation. De plus, en la voyant papillonner autour de ces hommes en rut, comment ne pas avoir l’imagination fertile. Je suis tout comme vous, convaincu que ces hommes plaisantent et rient avec votre femme en apparence, mais ils n’ont tous qu’une idée en tête, la sauter ! N’êtes-vous pas de mon avis mon cher Laurent ? Et soyez gentil, ne me dites plus « heu », essayez d’autres lettres.
– Oui, pardonnez-moi, vous avez raison. Excusez ma surprise, mais je ne pensais pas être démasqué ainsi. En fait, j’étais ailleurs lorsque vous m’avez abordé. J’échafaudais effectivement un scénario où ma douce avait le premier rôle. Et je dois bien avouer que si elle le savait, elle m’arracherait probablement les yeux !!!
– En êtes-vous sur ?
– Hein ?! Comment ça, si j’en suis sur ?
– Oui, croyez-vous vraiment que votre femme vous reprocherait d’avoir ce genre de pensées ?
– Heu ….. Oui, heu non, enfin je ne sais pas. On ne parle pas de ces choses.
– Vous voulez dire que lorsque vous êtes ensemble vous n’évoquez pas vos fantasmes ?
– Ben, non ou du moins pas les miens. Je veux dire pas ceux auxquels je pensais tout à l’heure.
– Donc vous en parlez quand même un petit peu. Et me feriez-vous la confidence de ceux de votre femme ? Oui je sais vous ne me connaissez pas, mais justement, il est plus facile de se confier à un quasi inconnu qu’on ne reverra peut-être jamais, ne croyez-vous pas ?
Il est vrai que « BHV » dégageait beaucoup de charisme et qu’il donnait confiance d’emblée. C’était un très bel homme d’environs cinquante, cinquante cinq ans, du moins c’est ce qu’il semblait à priori. Plutôt grand, carré, un cou épais de rugbyman, pas de bedaine et sans doute une musculature entretenue sous un costume de lin ample qu’il porte avec aisance. Le cheveu poivre et sel court, pas de barbe ni moustache, une mâchoire bien dessinée, des yeux bleus vifs qui soutiennent aisément le regard. Bref, un très bel homme.
– Oui, peut-être. Mais vous savez, ce n’est rien d’extraordinaire. Nous avons une vie sexuelle assez traditionnelle. Nos extravagances se cantonnent à avoir baisé une fois ou deux dans la voiture sur un parking, une fois sur notre balcon alors qu’on pouvait être vu et dans un bois, cachés dans un bosquet alors que des gens cherchaient des champignons. Quant à ses fantasmes, elle évoque parfois des caresses entre femmes et une fois elle m’a raconté qu’on lui avait peloté les fesses dans le métro et serrée dans la foule, elle avait imaginé qu’un homme l’obligeait à la suivre, que sinon il me dévoilerait qu’elle s’était laissée caresser par un inconnu, il exagèrerait même en disant qu’elle avait même mis sa main dans la braguette dudit monsieur. D’ailleurs je me souviens que lorsqu’elle m’a raconté ça, elle a beaucoup mouillé et notre partie de baise a été plutôt hard ce soir là. Elle a eu un violent orgasme comme jamais avant et elle n’a rien dit quand j’ai mis deux doigts dans son fondement, ce qu’elle m’avait toujours refusé. Et la sodomie n’en parlons même pas.
– Bien, bien, je vois. Mais elle semble à l’aise avec son corps quand même, non ?
– Oui, bien sur, tout à fait. Elle n’a aucune honte. On pratique le naturisme. Elle ne fait pas d’exhibe, mais ne s’offusque pas quand un mec lorgne dans son décolleté.
– Très bien ça.
– Hein ?
– Non, rien, je pensais à voix haute. Et vous, vos fantasmes ?
– Moi … Et bien, c’est-à-dire … C’est peut-être un peu plus coquin.
– Coquin ou plutôt hard ?
– Heu …
– Voilà que ça vous reprend. Soyez franc. Comment imaginez-vous votre épouse lorsque vous laissez votre imagination vagabonder ? Allez, lâchez-vous, soyez honnête avec moi et avec vous-même d’ailleurs.
Je ne sais pas si c’est son charisme, la confiance qu’il donne ou l’autorité naturelle qui se dégage de lui, sans doute un peu tout ça, toujours est-il que je me suis laissé aller.
– Ben en fait, dans mes fantasmes, c’est une salope. Elle adore le sexe. Hommes, femmes, tout y passe. Tous ses trous sont en fonction. Je la dirige. Elle m’obéit.
– Oui, oui, je vois que ça vous tente, vous avez encore une érection.
Merde ! Ce mec voit tout, c’est incroyable. Il est vrai que je ne me suis même pas rendu compte que je bandais, quel con je fais. Mais bon, c’est vrai, quand je suis perdu dans mes fantasmes, je ne vois plus rien autour. Je les vis de l’intérieur mais ça se voit à l’extérieur.
– Dites-moi mon cher Laurent, maintenant que nous sommes des intimes. Si, si ne protestez pas, je connais quand même quelques détails désormais qui, si je les racontais à votre femme, auraient peut-être quelques conséquences, non ?
Là, je crois que je fis la mine déconfite de celui qui se dit merde, je viens de me faire avoir, je fais confiance, je me confis et il va tout raconter.
– Mais non, ne faites pas cette tête, je ne vais rien raconter. C’est juste que je me disais que je pouvais vous être utile.
– Hein ?! M’être utile ? A quoi ?
– Et bien, à réaliser vos fantasmes.
– Mes fantasmes ?
Je crois que je suis passé par toutes les couleurs, par toutes les expressions que mon visage pouvait exprimer. Je ne comprenais rien. Ou j’avais peur de trop bien comprendre. Que me voulait ce type ? Après tout, je ne le connaissais pas trente minutes plus tôt. Bon d’accord il inspirait confiance, du charisme, etc … mais merde, il parlait de ma femme !!!
– Reprenez-vous. On discute, c’est tout. Nous sommes entre hommes, on parle sexe. Votre femme est magnifique et attire la convoitise, vous ne pouvez le nier. Vous me confiez vos fantasmes et je vous propose de vous aider à les réaliser si vous le souhaitez. Rien de plus. C’est vous qui décidez. Je ne vous oblige à rien. Si vous refusez on se quitte bons amis et voilà tout.
– Mais je ne comprends pas. Comment pouvez-vous m’aider dans cette démarche ? C’est entre ma femme et moi, comment pouvez-vous influer ? Me donner des conseils, c’est ça ?
– C’est une partie de l’aide que je peux vous apporter en effet. Mais je peux faire beaucoup plus si vous en êtes d’accord. Si vous voulez en discuter, retrouvons-nous un autre jour, prenons rendez-vous dès maintenant. Mais si vous souhaitez que vos fantasmes restent fantasmes, n’en parlons plus.
– Mais je … comment … vous allez … Il faut que … Mais si ma ….
– Calmez-vous. Reprenez vos esprits. Disons que pour vous mettre un peu sur la voie, j’ai assez d’autorité sur les femmes en générale et sur certaines en particulier. Pour être tout à fait honnête avec vous, je ne vous ai pas abordé par hasard. J’ai observé votre femme pendant un bon moment et ce n’est qu’après que je suis venu vous voir. Je vous ai vu arriver ensemble avec vos amis. Je suis un petit peu expert dans ce domaine si vous voulez et il m’a semblé que votre femme avait quelques dispositions à la soumission. C’est la raison pour laquelle j’ai engagé avec vous la conversation sur ce sujet. Et donc si j’en crois ce qu’elle vous a raconté et que vous m’avez retracé, je ne me suis sans doute pas trompé. Comme il se trouve que c’est votre fantasme, que peut-être d’ailleurs votre inconscient avait deviné, je me propose de vous aider à le concrétiser, voilà.
– Je ne sais pas quoi vous répondre en fait. Tout cela va un peu vite en vérité. Il est vrai que ce fantasme m’excite énormément, de là à le réaliser, c’est une autre histoire. Et puis je ne connais pas la réaction de ma femme. Qu’elle ait des dispositions comme vous dites n’en fait pas pour autant une soumise salope. Je ne voudrai pas la perdre.
– Rassurez-vous, il ne s’agit pas de lui sauter dessus dans la seconde. Tout ceci est progressif. Comme vous le dites rien de prouve qu’elle pourra devenir une bonne soumise. La première question à vous poser c’est : Est-ce que je veux réaliser ce fantasme ? La seconde est : Est-ce que je supporterais de la voir avec d’autres en vrai ? Si la réponse est oui, alors on se revoit et je vous explique comment je procède. Prenons rendez-vous car je vois votre femme s’approcher. Revoyons-nous, disons, le week-end prochain, ça vous fait la semaine pour réfléchir à la question. Si la réponse est non, ne vous inquiétez pas je ne dirais rien à votre épouse. Voici ma carte, appelez-moi, à bientôt.

La garden partie.

-« Permettez-moi de me présenter, je suis Bertrand Hautecombe de Villedieu, mes amis m’appelle « BHV ».
– Heu ….. Oui… Heu …. Pardon, moi c’est Laurent.
– Je vois que je vous dérange. Vous étiez en train de contempler cette charmante personne qui est là-bas en train de converser avec ce groupe de messieurs.
Heu…… Oui, en effet. Il se trouve qu’elle est ma femme. En quoi cela vous intéresse-t-il ?
– La-la, ne vous méprenez pas. C’est juste que je vous observais moi-même et certes, j’ai bien vu de l’amour dans vos yeux bien qu’ils étaient me semble-t-il un peu dans le vague. Mais, si j’en juge par la bosse qui orne votre pantalon, j’ai dans l’idée que vous aviez aussi autre chose en tête. Je me trompe ?

C’est par ces quelques mots échangés que je faisais la connaissance de « BHV », lors d’une garden partie où nous étions invités ma femme et moi, par un couple d’amis, eux-mêmes affiliés à nos hôtes.
La propriété était tout simplement splendide. Une maison immense décorée avec luxe et goût. Ce n’est pas toujours le cas. Un parc, oui, à partir d’une certaine surface ce n’est plus un jardin, et là, de la terrasse on ne voyait pas les clôtures même en mettant la main au dessus des yeux comme un indien. De grands arbres prodiguaient une ombre bienfaitrice par cette chaude journée de début juillet, ça et là des bosquets de fleurs, d’arbustes ou plantes plus ou moins tropicales, ornementaient la pelouse taillée de frais.
Un petit chapiteau abritait un buffet gargantuesque où se pressait depuis un moment, une bonne partie des invités.
L’ambiance était des plus conviviale, pas du tout guindée comme nous avions pu le craindre lorsque nos amis nous avaient proposé de les accompagner chez leurs cousins, les « Mouton-Lagarigues ».
Il est vrai que je suis très fier de mon épouse. Je la trouve très belle et je ne suis pas le seul. Il est rare qu’en de telles circonstances elle soit isolée. Je veux dire par là, qu’elle est systématiquement accaparée par un, mais plus souvent par des hommes qui adorent sa compagnie. D’abord pour son physique certes, mais aussi pour sa gaité communicative. Elle est aussi bonne cliente aux plaisanteries de tous crins.
Et là, précisément, elle est entourée par cinq ou six messieurs d’âges différents, elle rit à leurs blagues, contribue elle aussi à animer la conversation semble-t-il, mais je crois surtout que c’est sa petite jupette qui virevolte sur ses cuisses déjà bronzées qui attire le regard de ces messieurs.
J’étais effectivement perdu dans les méandres d’un scénario que j’imaginais au fur et à mesure des gestes et attitudes de mon épouse parmi ces mâles qui, j’en suis sur, n’avaient pas tous des idées pures, lorsque « BHV » me faisait donc remarquer que je bandais !
– Hein ?!….. Heu, quoi ?….. Je ….. Vous me …..
– Je dis que je suis persuadé que vous êtes entrain d’imaginer votre chère et tendre dans des situations que la morale réprouve. N’est-ce pas ?
– Heu…..
– Mais ne vous inquiétez pas, je trouve cela charmant. Quand on a une si jolie femme, il me paraît assez naturel d’avoir des fantasmes en adéquation. De plus, en la voyant papillonner autour de ces hommes en rut, comment ne pas avoir l’imagination fertile. Je suis tout comme vous, convaincu que ces hommes plaisantent et rient avec votre femme en apparence, mais ils n’ont tous qu’une idée en tête, la sauter ! N’êtes-vous pas de mon avis mon cher Laurent ? Et soyez gentil, ne me dites plus « heu », essayez d’autres lettres.
– Oui, pardonnez-moi, vous avez raison. Excusez ma surprise, mais je ne pensais pas être démasqué ainsi. En fait, j’étais ailleurs lorsque vous m’avez abordé. J’échafaudais effectivement un scénario où ma douce avait le premier rôle. Et je dois bien avouer que si elle le savait, elle m’arracherait probablement les yeux !!!
– En êtes-vous sur ?
– Hein ?! Comment ça, si j’en suis sur ?
– Oui, croyez-vous vraiment que votre femme vous reprocherait d’avoir ce genre de pensées ?
– Heu ….. Oui, heu non, enfin je ne sais pas. On ne parle pas de ces choses.
– Vous voulez dire que lorsque vous êtes ensemble vous n’évoquez pas vos fantasmes ?
– Ben, non ou du moins pas les miens. Je veux dire pas ceux auxquels je pensais tout à l’heure.
– Donc vous en parlez quand même un petit peu. Et me feriez-vous la confidence de ceux de votre femme ? Oui je sais vous ne me connaissez pas, mais justement, il est plus facile de se confier à un quasi inconnu qu’on ne reverra peut-être jamais, ne croyez-vous pas ?
Il est vrai que « BHV » dégageait beaucoup de charisme et qu’il donnait confiance d’emblée. C’était un très bel homme d’environs cinquante, cinquante cinq ans, du moins c’est ce qu’il semblait à priori. Plutôt grand, carré, un cou épais de rugbyman, pas de bedaine et sans doute une musculature entretenue sous un costume de lin ample qu’il porte avec aisance. Le cheveu poivre et sel court, pas de barbe ni moustache, une mâchoire bien dessinée, des yeux bleus vifs qui soutiennent aisément le regard. Bref, un très bel homme.
– Oui, peut-être. Mais vous savez, ce n’est rien d’extraordinaire. Nous avons une vie sexuelle assez traditionnelle. Nos extravagances se cantonnent à avoir baisé une fois ou deux dans la voiture sur un parking, une fois sur notre balcon alors qu’on pouvait être vu et dans un bois, cachés dans un bosquet alors que des gens cherchaient des champignons. Quant à ses fantasmes, elle évoque parfois des caresses entre femmes et une fois elle m’a raconté qu’on lui avait peloté les fesses dans le métro et serrée dans la foule, elle avait imaginé qu’un homme l’obligeait à la suivre, que sinon il me dévoilerait qu’elle s’était laissée caresser par un inconnu, il exagèrerait même en disant qu’elle avait même mis sa main dans la braguette dudit monsieur. D’ailleurs je me souviens que lorsqu’elle m’a raconté ça, elle a beaucoup mouillé et notre partie de baise a été plutôt hard ce soir là. Elle a eu un violent orgasme comme jamais avant et elle n’a rien dit quand j’ai mis deux doigts dans son fondement, ce qu’elle m’avait toujours refusé. Et la sodomie n’en parlons même pas.
– Bien, bien, je vois. Mais elle semble à l’aise avec son corps quand même, non ?
– Oui, bien sur, tout à fait. Elle n’a aucune honte. On pratique le naturisme. Elle ne fait pas d’exhibe, mais ne s’offusque pas quand un mec lorgne dans son décolleté.
– Très bien ça.
– Hein ?
– Non, rien, je pensais à voix haute. Et vous, vos fantasmes ?
– Moi … Et bien, c’est-à-dire … C’est peut-être un peu plus coquin.
– Coquin ou plutôt hard ?
– Heu …
– Voilà que ça vous reprend. Soyez franc. Comment imaginez-vous votre épouse lorsque vous laissez votre imagination vagabonder ? Allez, lâchez-vous, soyez honnête avec moi et avec vous-même d’ailleurs.
Je ne sais pas si c’est son charisme, la confiance qu’il donne ou l’autorité naturelle qui se dégage de lui, sans doute un peu tout ça, toujours est-il que je me suis laissé aller.
– Ben en fait, dans mes fantasmes, c’est une salope. Elle adore le sexe. Hommes, femmes, tout y passe. Tous ses trous sont en fonction. Je la dirige. Elle m’obéit.
– Oui, oui, je vois que ça vous tente, vous avez encore une érection.
Merde ! Ce mec voit tout, c’est incroyable. Il est vrai que je ne me suis même pas rendu compte que je bandais, quel con je fais. Mais bon, c’est vrai, quand je suis perdu dans mes fantasmes, je ne vois plus rien autour. Je les vis de l’intérieur mais ça se voit à l’extérieur.
– Dites-moi mon cher Laurent, maintenant que nous sommes des intimes. Si, si ne protestez pas, je connais quand même quelques détails désormais qui, si je les racontais à votre femme, auraient peut-être quelques conséquences, non ?
Là, je crois que je fis la mine déconfite de celui qui se dit merde, je viens de me faire avoir, je fais confiance, je me confis et il va tout raconter.
– Mais non, ne faites pas cette tête, je ne vais rien raconter. C’est juste que je me disais que je pouvais vous être utile.
– Hein ?! M’être utile ? A quoi ?
– Et bien, à réaliser vos fantasmes.
– Mes fantasmes ?
Je crois que je suis passé par toutes les couleurs, par toutes les expressions que mon visage pouvait exprimer. Je ne comprenais rien. Ou j’avais peur de trop bien comprendre. Que me voulait ce type ? Après tout, je ne le connaissais pas trente minutes plus tôt. Bon d’accord il inspirait confiance, du charisme, etc … mais merde, il parlait de ma femme !!!
– Reprenez-vous. On discute, c’est tout. Nous sommes entre hommes, on parle sexe. Votre femme est magnifique et attire la convoitise, vous ne pouvez le nier. Vous me confiez vos fantasmes et je vous propose de vous aider à les réaliser si vous le souhaitez. Rien de plus. C’est vous qui décidez. Je ne vous oblige à rien. Si vous refusez on se quitte bons amis et voilà tout.
– Mais je ne comprends pas. Comment pouvez-vous m’aider dans cette démarche ? C’est entre ma femme et moi, comment pouvez-vous influer ? Me donner des conseils, c’est ça ?
– C’est une partie de l’aide que je peux vous apporter en effet. Mais je peux faire beaucoup plus si vous en êtes d’accord. Si vous voulez en discuter, retrouvons-nous un autre jour, prenons rendez-vous dès maintenant. Mais si vous souhaitez que vos fantasmes restent fantasmes, n’en parlons plus.
– Mais je … comment … vous allez … Il faut que … Mais si ma ….
– Calmez-vous. Reprenez vos esprits. Disons que pour vous mettre un peu sur la voie, j’ai assez d’autorité sur les femmes en générale et sur certaines en particulier. Pour être tout à fait honnête avec vous, je ne vous ai pas abordé par hasard. J’ai observé votre femme pendant un bon moment et ce n’est qu’après que je suis venu vous voir. Je vous ai vu arriver ensemble avec vos amis. Je suis un petit peu expert dans ce domaine si vous voulez et il m’a semblé que votre femme avait quelques dispositions à la soumission. C’est la raison pour laquelle j’ai engagé avec vous la conversation sur ce sujet. Et donc si j’en crois ce qu’elle vous a raconté et que vous m’avez retracé, je ne me suis sans doute pas trompé. Comme il se trouve que c’est votre fantasme, que peut-être d’ailleurs votre inconscient avait deviné, je me propose de vous aider à le concrétiser, voilà.
– Je ne sais pas quoi vous répondre en fait. Tout cela va un peu vite en vérité. Il est vrai que ce fantasme m’excite énormément, de là à le réaliser, c’est une autre histoire. Et puis je ne connais pas la réaction de ma femme. Qu’elle ait des dispositions comme vous dites n’en fait pas pour autant une soumise salope. Je ne voudrai pas la perdre.
– Rassurez-vous, il ne s’agit pas de lui sauter dessus dans la seconde. Tout ceci est progressif. Comme vous le dites rien de prouve qu’elle pourra devenir une bonne soumise. La première question à vous poser c’est : Est-ce que je veux réaliser ce fantasme ? La seconde est : Est-ce que je supporterais de la voir avec d’autres en vrai ? Si la réponse est oui, alors on se revoit et je vous explique comment je procède. Prenons rendez-vous car je vois votre femme s’approcher. Revoyons-nous, disons, le week-end prochain, ça vous fait la semaine pour réfléchir à la question. Si la réponse est non, ne vous inquiétez pas je ne dirais rien à votre épouse. Voici ma carte, appelez-moi, à bientôt.

La garden partie.

-« Permettez-moi de me présenter, je suis Bertrand Hautecombe de Villedieu, mes amis m’appelle « BHV ».
– Heu ….. Oui… Heu …. Pardon, moi c’est Laurent.
– Je vois que je vous dérange. Vous étiez en train de contempler cette charmante personne qui est là-bas en train de converser avec ce groupe de messieurs.
Heu…… Oui, en effet. Il se trouve qu’elle est ma femme. En quoi cela vous intéresse-t-il ?
– La-la, ne vous méprenez pas. C’est juste que je vous observais moi-même et certes, j’ai bien vu de l’amour dans vos yeux bien qu’ils étaient me semble-t-il un peu dans le vague. Mais, si j’en juge par la bosse qui orne votre pantalon, j’ai dans l’idée que vous aviez aussi autre chose en tête. Je me trompe ?

C’est par ces quelques mots échangés que je faisais la connaissance de « BHV », lors d’une garden partie où nous étions invités ma femme et moi, par un couple d’amis, eux-mêmes affiliés à nos hôtes.
La propriété était tout simplement splendide. Une maison immense décorée avec luxe et goût. Ce n’est pas toujours le cas. Un parc, oui, à partir d’une certaine surface ce n’est plus un jardin, et là, de la terrasse on ne voyait pas les clôtures même en mettant la main au dessus des yeux comme un indien. De grands arbres prodiguaient une ombre bienfaitrice par cette chaude journée de début juillet, ça et là des bosquets de fleurs, d’arbustes ou plantes plus ou moins tropicales, ornementaient la pelouse taillée de frais.
Un petit chapiteau abritait un buffet gargantuesque où se pressait depuis un moment, une bonne partie des invités.
L’ambiance était des plus conviviale, pas du tout guindée comme nous avions pu le craindre lorsque nos amis nous avaient proposé de les accompagner chez leurs cousins, les « Mouton-Lagarigues ».
Il est vrai que je suis très fier de mon épouse. Je la trouve très belle et je ne suis pas le seul. Il est rare qu’en de telles circonstances elle soit isolée. Je veux dire par là, qu’elle est systématiquement accaparée par un, mais plus souvent par des hommes qui adorent sa compagnie. D’abord pour son physique certes, mais aussi pour sa gaité communicative. Elle est aussi bonne cliente aux plaisanteries de tous crins.
Et là, précisément, elle est entourée par cinq ou six messieurs d’âges différents, elle rit à leurs blagues, contribue elle aussi à animer la conversation semble-t-il, mais je crois surtout que c’est sa petite jupette qui virevolte sur ses cuisses déjà bronzées qui attire le regard de ces messieurs.
J’étais effectivement perdu dans les méandres d’un scénario que j’imaginais au fur et à mesure des gestes et attitudes de mon épouse parmi ces mâles qui, j’en suis sur, n’avaient pas tous des idées pures, lorsque « BHV » me faisait donc remarquer que je bandais !
– Hein ?!….. Heu, quoi ?….. Je ….. Vous me …..
– Je dis que je suis persuadé que vous êtes entrain d’imaginer votre chère et tendre dans des situations que la morale réprouve. N’est-ce pas ?
– Heu…..
– Mais ne vous inquiétez pas, je trouve cela charmant. Quand on a une si jolie femme, il me paraît assez naturel d’avoir des fantasmes en adéquation. De plus, en la voyant papillonner autour de ces hommes en rut, comment ne pas avoir l’imagination fertile. Je suis tout comme vous, convaincu que ces hommes plaisantent et rient avec votre femme en apparence, mais ils n’ont tous qu’une idée en tête, la sauter ! N’êtes-vous pas de mon avis mon cher Laurent ? Et soyez gentil, ne me dites plus « heu », essayez d’autres lettres.
– Oui, pardonnez-moi, vous avez raison. Excusez ma surprise, mais je ne pensais pas être démasqué ainsi. En fait, j’étais ailleurs lorsque vous m’avez abordé. J’échafaudais effectivement un scénario où ma douce avait le premier rôle. Et je dois bien avouer que si elle le savait, elle m’arracherait probablement les yeux !!!
– En êtes-vous sur ?
– Hein ?! Comment ça, si j’en suis sur ?
– Oui, croyez-vous vraiment que votre femme vous reprocherait d’avoir ce genre de pensées ?
– Heu ….. Oui, heu non, enfin je ne sais pas. On ne parle pas de ces choses.
– Vous voulez dire que lorsque vous êtes ensemble vous n’évoquez pas vos fantasmes ?
– Ben, non ou du moins pas les miens. Je veux dire pas ceux auxquels je pensais tout à l’heure.
– Donc vous en parlez quand même un petit peu. Et me feriez-vous la confidence de ceux de votre femme ? Oui je sais vous ne me connaissez pas, mais justement, il est plus facile de se confier à un quasi inconnu qu’on ne reverra peut-être jamais, ne croyez-vous pas ?
Il est vrai que « BHV » dégageait beaucoup de charisme et qu’il donnait confiance d’emblée. C’était un très bel homme d’environs cinquante, cinquante cinq ans, du moins c’est ce qu’il semblait à priori. Plutôt grand, carré, un cou épais de rugbyman, pas de bedaine et sans doute une musculature entretenue sous un costume de lin ample qu’il porte avec aisance. Le cheveu poivre et sel court, pas de barbe ni moustache, une mâchoire bien dessinée, des yeux bleus vifs qui soutiennent aisément le regard. Bref, un très bel homme.
– Oui, peut-être. Mais vous savez, ce n’est rien d’extraordinaire. Nous avons une vie sexuelle assez traditionnelle. Nos extravagances se cantonnent à avoir baisé une fois ou deux dans la voiture sur un parking, une fois sur notre balcon alors qu’on pouvait être vu et dans un bois, cachés dans un bosquet alors que des gens cherchaient des champignons. Quant à ses fantasmes, elle évoque parfois des caresses entre femmes et une fois elle m’a raconté qu’on lui avait peloté les fesses dans le métro et serrée dans la foule, elle avait imaginé qu’un homme l’obligeait à la suivre, que sinon il me dévoilerait qu’elle s’était laissée caresser par un inconnu, il exagèrerait même en disant qu’elle avait même mis sa main dans la braguette dudit monsieur. D’ailleurs je me souviens que lorsqu’elle m’a raconté ça, elle a beaucoup mouillé et notre partie de baise a été plutôt hard ce soir là. Elle a eu un violent orgasme comme jamais avant et elle n’a rien dit quand j’ai mis deux doigts dans son fondement, ce qu’elle m’avait toujours refusé. Et la sodomie n’en parlons même pas.
– Bien, bien, je vois. Mais elle semble à l’aise avec son corps quand même, non ?
– Oui, bien sur, tout à fait. Elle n’a aucune honte. On pratique le naturisme. Elle ne fait pas d’exhibe, mais ne s’offusque pas quand un mec lorgne dans son décolleté.
– Très bien ça.
– Hein ?
– Non, rien, je pensais à voix haute. Et vous, vos fantasmes ?
– Moi … Et bien, c’est-à-dire … C’est peut-être un peu plus coquin.
– Coquin ou plutôt hard ?
– Heu …
– Voilà que ça vous reprend. Soyez franc. Comment imaginez-vous votre épouse lorsque vous laissez votre imagination vagabonder ? Allez, lâchez-vous, soyez honnête avec moi et avec vous-même d’ailleurs.
Je ne sais pas si c’est son charisme, la confiance qu’il donne ou l’autorité naturelle qui se dégage de lui, sans doute un peu tout ça, toujours est-il que je me suis laissé aller.
– Ben en fait, dans mes fantasmes, c’est une salope. Elle adore le sexe. Hommes, femmes, tout y passe. Tous ses trous sont en fonction. Je la dirige. Elle m’obéit.
– Oui, oui, je vois que ça vous tente, vous avez encore une érection.
Merde ! Ce mec voit tout, c’est incroyable. Il est vrai que je ne me suis même pas rendu compte que je bandais, quel con je fais. Mais bon, c’est vrai, quand je suis perdu dans mes fantasmes, je ne vois plus rien autour. Je les vis de l’intérieur mais ça se voit à l’extérieur.
– Dites-moi mon cher Laurent, maintenant que nous sommes des intimes. Si, si ne protestez pas, je connais quand même quelques détails désormais qui, si je les racontais à votre femme, auraient peut-être quelques conséquences, non ?
Là, je crois que je fis la mine déconfite de celui qui se dit merde, je viens de me faire avoir, je fais confiance, je me confis et il va tout raconter.
– Mais non, ne faites pas cette tête, je ne vais rien raconter. C’est juste que je me disais que je pouvais vous être utile.
– Hein ?! M’être utile ? A quoi ?
– Et bien, à réaliser vos fantasmes.
– Mes fantasmes ?
Je crois que je suis passé par toutes les couleurs, par toutes les expressions que mon visage pouvait exprimer. Je ne comprenais rien. Ou j’avais peur de trop bien comprendre. Que me voulait ce type ? Après tout, je ne le connaissais pas trente minutes plus tôt. Bon d’accord il inspirait confiance, du charisme, etc … mais merde, il parlait de ma femme !!!
– Reprenez-vous. On discute, c’est tout. Nous sommes entre hommes, on parle sexe. Votre femme est magnifique et attire la convoitise, vous ne pouvez le nier. Vous me confiez vos fantasmes et je vous propose de vous aider à les réaliser si vous le souhaitez. Rien de plus. C’est vous qui décidez. Je ne vous oblige à rien. Si vous refusez on se quitte bons amis et voilà tout.
– Mais je ne comprends pas. Comment pouvez-vous m’aider dans cette démarche ? C’est entre ma femme et moi, comment pouvez-vous influer ? Me donner des conseils, c’est ça ?
– C’est une partie de l’aide que je peux vous apporter en effet. Mais je peux faire beaucoup plus si vous en êtes d’accord. Si vous voulez en discuter, retrouvons-nous un autre jour, prenons rendez-vous dès maintenant. Mais si vous souhaitez que vos fantasmes restent fantasmes, n’en parlons plus.
– Mais je … comment … vous allez … Il faut que … Mais si ma ….
– Calmez-vous. Reprenez vos esprits. Disons que pour vous mettre un peu sur la voie, j’ai assez d’autorité sur les femmes en générale et sur certaines en particulier. Pour être tout à fait honnête avec vous, je ne vous ai pas abordé par hasard. J’ai observé votre femme pendant un bon moment et ce n’est qu’après que je suis venu vous voir. Je vous ai vu arriver ensemble avec vos amis. Je suis un petit peu expert dans ce domaine si vous voulez et il m’a semblé que votre femme avait quelques dispositions à la soumission. C’est la raison pour laquelle j’ai engagé avec vous la conversation sur ce sujet. Et donc si j’en crois ce qu’elle vous a raconté et que vous m’avez retracé, je ne me suis sans doute pas trompé. Comme il se trouve que c’est votre fantasme, que peut-être d’ailleurs votre inconscient avait deviné, je me propose de vous aider à le concrétiser, voilà.
– Je ne sais pas quoi vous répondre en fait. Tout cela va un peu vite en vérité. Il est vrai que ce fantasme m’excite énormément, de là à le réaliser, c’est une autre histoire. Et puis je ne connais pas la réaction de ma femme. Qu’elle ait des dispositions comme vous dites n’en fait pas pour autant une soumise salope. Je ne voudrai pas la perdre.
– Rassurez-vous, il ne s’agit pas de lui sauter dessus dans la seconde. Tout ceci est progressif. Comme vous le dites rien de prouve qu’elle pourra devenir une bonne soumise. La première question à vous poser c’est : Est-ce que je veux réaliser ce fantasme ? La seconde est : Est-ce que je supporterais de la voir avec d’autres en vrai ? Si la réponse est oui, alors on se revoit et je vous explique comment je procède. Prenons rendez-vous car je vois votre femme s’approcher. Revoyons-nous, disons, le week-end prochain, ça vous fait la semaine pour réfléchir à la question. Si la réponse est non, ne vous inquiétez pas je ne dirais rien à votre épouse. Voici ma carte, appelez-moi, à bientôt.

Il y a pas mal d’épisodes à cette histoire. Dites moi quand vous en avez marre de me lire.

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