Vendredi 5 juillet 2013
Quand ils arrivent, ils ne s’attendaient certainement pas à ce que je les accueille d’entrée en ne portant rien d’autre qu’un bas de maillot rouge. Bien évidemment je dois admettre que même si elle me connaissait comme ça, ça peut surprendre. Et si vous avez lu mes précédents histoires, vous savez que c’est plutôt ma tenue maximale. Elle a même été comme ça, il y a une vingtaine d’année, grâce à notre initiation. Mais c’était dans une vie antérieure, avant son mariage et la naissance de Thibault. Apparemment, elle n’y est plus habituée depuis des lustres à cause de son mari qui est très « classique” question mode vestimentaire. Elle se retient donc mais m’en fais tout de même gentiment la remarque:
– Oh, dis donc, Caro, tu pourrais au moins enfiler quelque chose pour ouvrir la porte!
– Et pour quoi faire? Y a jamais personne qui passe dans ce coin du lotissement, et vous m’avez déjà vue topless, non? Tu sais que d’habitude on est plutôt à poil en cette saison.
Mon neveu est tout éberlué de voir sa tante dans cette tenue très légère. La dernière fois qu’il m’a vue ainsi, c’était à la plage et il était plus jeune de quatre ou cinq ans. Je me doute qu’à son âge actuel, les hormones le travaillent beaucoup plus.
Je leur fais la bise de bienvenue comme si de rien n’était et mettant mes petit seins pommés juste sous le nez de mon neveu. C’est certain que là, ça lui fait un choc et il ne peut s’empêcher de lorgner directement sur mes tétons quand je m’écarte de lui.
Un autre choc pour lui, c’est quand je me retourne pour les devancer dans la maison. Au vu de la mince ficelle qui se perd entre mes fesses et qui ne laisse plus aucun doute sur le fait que le bas de maillot de sa tante est un string, il a l’air hypnotisé par la découverte de ces deux globes charnus. Ma sœur a l’air un peu gênée qu’il se rince l’œil aussi ouvertement, mais elle n’ose rien dire pour ne pas souligner la situation.
Nous entrons donc, ils posent leurs sacs dans le hall et traversons le séjour. Je n’ai pas du tout de scrupules à précéder mon neveu qui ne peut s’empêcher de mater ouvertement mes fesses bronzées que la ficelle rouge aurait du mal à essayer de masquer.
Ça n’étonne donc nullement Sève que Ju soit lui aussi en string, elle devait s’y attendre après l’accueil que je lui ai réservé. Et c’est le cas, même si le sien est bien plus sage que le mien.
Mais c’est Lola qui l’étonne le plus car elle ne porte plus le bas de maillot qu’elle lui connaissait encore la fameuse dernière fois où nous étions tous ensemble à la plage. Elle l’a troqué pour un string bleu presque aussi petit que le lien. Elle ne porte toujours pas de haut comme depuis toujours, sauf qu’elle arbore maintenant une poitrine plus importante que la mienne et qui tient bien droite tout de même, avec de petits tétons foncés qui rebiquent vers le haut. Ses fesses sont petites mais bien rondes et fermes et son ventre bien plat.
Cela met son cousin dans un état encore plus fébrile et il n’ose même pas bouger quand sa cousine se lève et vient se coller à lui pour lui faire la bise. Contrairement à moi, il y a un contact franc et massif entre les tétons de ma fille et le T-shirt de mon neveu.
Je commence par les installer. Ju et moi avons évidemment choisi l’ancienne chambre des parents et Lola mon ancienne chambre au bout du couloir. Donc il est naturellement décidé queSève occuperait son ancienne chambre entre la notre et celle de Lola, et Thibault la chambre qui était celle de Bruno en face de la notre.
Comme il n’est pas trop tard, je leur propose:
– Mettez-vous en tenue de bain pour profiter de la piscine, il fait encore chaud. Ensuite on fera l’apéro sur la terrasse.
Quand ma sœur nous rejoint, son fils est déjà là et porte un boxer de bain très sage, surtout comparé aux confettis à ficelles que portent mon mari, ma fille et moi-même. Pour sa part, elle a apporté un deux-pièces dont elle a l’air de mesurer soudain le classicisme en contraste avec les autres protagonistes. D’ailleurs je ne manque pas de l’’épingler:
– Ouah, Sève! Même maman n’oserait pas porter ça à son âge si elle était encore là!
Evidemment, son mari trouvant ça trop vulgaire dès le début de leur relation, ça fait bien longtemps qu’elle m’a raconté qu’elle n’avait plus de strings dans sa collection de maillots, ni d’ailleurs dans ses sous-vêtements. Elle passe outre mon sarcasme et plonge dans la piscine.
Quand elle ressors et qu’elle ai fini de s’essuyer, je profite du fait qu’elle pose la serviette au sol et s’allonge à plat ventre dessus pour lui proposer de lui étaler de la crème protectrice. Sa méfiance étant en berne, elle laisse faire quand je dégrafe son haut de maillot pour bien étaler la lotion sur son dos. Elle ne réalise toujours pas lorsque je dénoue aussi le lien autour du cou, et il est trop tard pour réagir lorsque je tire sur son soutif qui glisse entre le sol et elle, la laissant topless. Elle reste sur le ventre en protestant:
– Allez, Caro, rends-moi ça!
– Pas question, tu vas t’en passer tout le week-end, c’est comme ça!
Finalement, elle accepte malgré elle le fait de ne plus avoir le haut et elle finit forcément par devoir se retourner. Elle dévoile ainsi pour la première fois ses seins à son fils, si l’on excepte le temps où elle lui donnait la tétée. Ils ont certes cédé un peu aux lois de la pesanteur avec le temps, mais ils ont tout de même l’air de lui faire un effet qu’elle a l’air de trouver plutôt flatteur.
Bon, après ce plouf, ce déshabillage et un apéro (light pour les deux jeunes tout de même), comme Ju avait prévu des grillades sur le barbecue, nous restons dehors pour profiter de la température idéale. Du coup, personne ne songe à se rhabiller et du côté de ma sœur, elle en fait de même sans trop se poser de questions. Profitons de l’instant!
Au moment d’aller se coucher, je prends la première la direction du couloir des chambres, suivie de près par mon neveu qui a l’air toujours très intéressé par la ficelle qui se perd entre mes fesses, vu ce que me rapporte Ju un peu plus tard.
Arrivés devant les chambres, Lola nous dépasse et va au fond du couloir, Thibault entrant dans la chambre située en face de la notre après un dernier regard sur les fesses de sa cousine jusqu’à ce qu’elle ait franchi sa porte. Ju a noté que ma sœur est focalisée sur ça et profite de l’effet de surprise pour lui pincer légèrement les mamelons entre deux doigts de chacune de ses mains. Elle se recule un peu et il n’insiste pas, lui souhaitant une bonne nuit avant de rentrer dans notre chambre à ma suite. Ma sœur rentre enfin dans la sienne à côté de la notre.
Ju me raconte alors qu’au moment où je me suis arrêtée dans le dégagement où se trouvent le WC et la salle de bains, il a posé sa main au bas du maillot de ma sœur et frotté ses doigts dans son entre-jambes. Elle les a forcément bien sentis passer de son clito à son anus plusieurs fois. Elle s’est retournée pour le fusiller du regard, sans toutefois oser faire un esclandre, étant donné qu’elle était en plein milieu du groupe familial. Ju s’est arrêté aussitôt et lui a fait un clin d’œil. Elle a réalisé alors que Lola était juste derrière eux. Est-ce qu’elle a vu ce qui s’est passé?
Ce que ma sœur m’apprendra plus tard dans la semaine, c’est que ce petit évènement lui a un peu réveillé les sens, et dès qu’elle est seule dans sa chambre, elle a enlevé le bas de maillot pour se coucher à poil. C’est quelque chose qu’elle n’avait plus fait depuis très longtemps, mais là, elle retrouvait ce plaisir naturel. Elle nous entendait à côté commencer à nous activer sans nous gêner de faire du bruit. Elle a résisté un moment, puis elle a commencé à se masturber doucement en imaginant nos ébats en fonction des bruits qui lui parvenaient, d’autant plus qu’elle nous connait bien, et pour cause! Elle a senti revenir des sensation enfouies au plus profond de son cerveau et a accéléré le mouvement sans plus aucune retenue. Quand elle m’a entendue avoir un orgasme bruyant, ça lui a déclenché sa première jouissance depuis trop longtemps.
A suivre…
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