Les colonies de vacances ont été pour moi, une expérience extraordinaire. Je n’en garde que de bons souvenirs. C’est un sujet que je connais très bien car je l’ai vécu des deux côtés.
D’abord comme enfant. Dès l’âge de 6 ans jusqu’à mes 17 ans. J’y ai appris un tas de choses. L’amitié, le partage, le savoir-vivre en communauté, le respect d’autrui, la tolérance. C’est une super école de la vie. Grâce aux colonies, j’ai découvert pleins d’activités sportives et culturelles, j’ai fait de superbes voyages et de belles rencontres.
Et puis je suis passé de l’autre côté de la barrière. J’ai passé mon BAFA et je suis devenu animateur.
Pendant 7 ans, j’ai exercé ce rôle qui m’allait comme un gant.
Et vous êtes sans doute au courant, mais entre animateurs, c’est souvent très chaud. J’ai vu et entendu des choses pas très catholiques. Moi-même, j’ai eu quelques flirts, aventures, amourettes, appelez ça comme vous voulez. Mais il est vrai qu’une fois tous les enfants couchés, ça se lâche, c’est normal. On vit ensemble 24/24h, on se rapproche plus facilement. Alors le soir, un peu de fatigue, un peu d’alcool et hop, ça part en couilles.
Et on ne va pas se mentir, quand on est animateur, célibataire et qu’on part comme ça, loin de son quotidien pendant 3 semaines, on espère secrètement rencontrer quelqu’un. Mais il arrive souvent qu’il y ait des tromperies. D’ailleurs, je ne veux pas être méchant, mais si vous êtes ou avez été en couple avec un animateur ou une animatrice, vous avez une chance sur deux, d’avoir été ou d’être cocu. Et si ce n’est pas le cas, méfiance…
Parmi toutes ces colos, il y en a une que je ne suis pas prêt d’oublier.
En juillet 2007, je suis donc parti pendant 3 semaines en Dordogne. Le centre colonial se situe dans un endroit isolé, à quelques kilomètres du premier village. Le site de 3 ou 4 hectares est parfaitement équipé pour que les enfants puissent s’amuser. Terrain de tennis, piscine rectangulaire de 25m, terrain multisport en synthétique.
Dès notre arrivée, nous installons les enfants dans leur dortoir respectif, en fonction de leur sexe et de leur tranche d’âge. Je prends également possession de la mienne. J’ai de la chance, cette année je l’occupe seul. Pratique si jamais je flirte avec une animatrice.
Le premier soir, comme tous les autres soirs suivants, il y a une réunion afin de préparer la journée du lendemain. Elle se déroule lorsque tous les enfants sont couchés et c’est René le directeur qui la dirige. Je le connais bien, puisque c’est la 4eme année consécutive qu’il me fait confiance.
Lors de cette première entrevue, chaque animateur se présente.
Nous sommes 8 animateurs, tous jeunes et beaux, âgés de 18 à 27 ans. 3 mecs et 5 filles.
Chez les mecs, il y a moi, 24 ans, Karim, 20 ans et Gaëtan 21 ans. Chez les filles, Anaïs 22 ans, virginie 20 ans, Cécile 19 ans, Rozenn la plus jeune 18 ans, qui passe son stage BAFA et Naïma 27 ans, que je connais bien, puisque c’est notre 3eme colo ensemble.
En balayant du regard les animatrices assises autour de la table, je me demande si René ne les a pas choisi sur casting. Elles sont toutes les 5 très jolies.
Pour mener à bien ce séjour, René nous répartit en deux groupes. Karim, Gaëtan, Cécile et Virginie s’occuperont des 8-10ans et moi, ainsi qu’Anaïs, Rozenn et Naïma, nous nous occuperons des plus âgés, les 11-12 ans.
Parmi cette joyeuse troupe, Naïma et moi sommes les tauliers, les plus vieux, les plus expérimentés. Nous connaissons parfaitement le fonctionnement de la colonie. Nous sommes écoutés et respectés.
Au fil des années, des liens très forts se sont tissés entre elle et moi. Notre amitié est indéfectible. Même si pour moi, elle est bien plus qu’une amie. Je fantasme sur elle depuis la première fois que je l’ai vu. C’est une belle black d’origine sénégalaise. Les cheveux longs tressés, de grandes billes noires et ses courbes sont sensationnelles. De plus, elle est toujours de bonne humeur. Je sais que je lui plais aussi, malheureusement, elle vit avec quelqu’un depuis longtemps. Mais depuis le temps, on se connait bien et Naïma sait très bien que même si j’ai le béguin pour elle, cela ne va pas m’empêcher d’aller voir ailleurs.
Au bout de 3-4 jours, les affinités et les attirances se concrétisent. Gaëtan et Cécile forment le premier couple. Ils sont pourtant déjà accompagnés dans leur vie sentimentale, mais comme je vous le disais, le fait de vivre 24/24h ensemble, rapproche ostensiblement. Et lorsqu’on est animateur, nous prenons l’habitude de dire que ce qu’il se passe dans la colo, reste dans la colo.
Karim et Virginie les ont rapidement imité. Et je peux vous dire que ces deux-là se sont bien trouvés. Tous les deux célibataires et de vrais chauds lapins. Ils ne vont pas arrêter de baiser.
Et puis il y a moi. N’ayant pas moyen avec la belle Naïma, il ne reste plus qu’Anaïs et Rozenn, qui font partie de mon groupe. Le choix est cornélien car même après les avoir vu en bikini à la piscine, je n’arrive pas à me décider laquelle séduire. Elles sont toutes les deux très belles et pourvues de gros atouts mammaires. Vous me direz, pourquoi faire un choix? Si je peux me les faire toutes les 2, je signe tout de suite.
Mais c’est Rozenn qui obtient mes faveurs à la suite d’un pari idiot que j’ai fait avec elle. Cette Jolie blonde aux yeux bleus me donne le gage de lui administrer un massage. Je sais par avance que ce n’est pas innocent. Je délire bien avec elle et je comprends lorsqu’elle me fait cette proposition qu’elle a un faible pour moi. L’avantage de l’âge…
Ce soir-là, après notre réunion quotidienne, j’invite Rozenn devant toute la clique:
– Bon, allez Ginette, si tu veux ton massage, c’est maintenant…
– Ok, j’arrive.
En entrant dans ma chambre, je frémis en imaginant la tournure que pourraient prendre les événements. Rozenn me rejoint 5 minutes plus tard, avec un flacon de monoï à la main.
Elle me sourit en retirant ses baskets et ses soquettes.
– Tu n’aurais pas dû parier avec moi, je gagne toujours, dit-elle pour me charrier.
– Mouais, c’est ce qu’on verra. Pour ce coup-ci, ça ne me dérange pas, le gage n’est pas trop difficile, j’aime bien masser.
– Tu fais ça bien j’espère.
– Je ne suis pas kiné, mais je me débrouille plutôt bien.
Elle enlève son tee-shirt devant moi et m’offre sa généreuse poitrine cachée sous son soutien-gorge blanc. Mon pouls s’accélère. Elle grimpe sur la couchette d’en haut de mon lit superposé. J’en profite pour regarder son postérieur moulé dans son petit short de sport et je lui mets une petite tape sur les fesses qui la fait rire.
La benjamine de l’équipe s’allonge sur le ventre. Je monte à mon tour, m’installe sur elle, à califourchon sur le haut de l’arrière de ses cuisses et sans la prévenir, je dégraffe son soutif. Elle consent mon geste sans un mot. Je me saisis du monoï et déverse le liquide huileux sur des endroits précis de son dos.
Je démarre mon massage par ses épaules et sa nuque. Sa peau est douce et mes caresses se font de plus en plus sensuelles. Je la frictionne habilement, les omoplates, le long de sa colonne vertébrale. J’insiste bien sur ses lombaires. Elle ronronne.
– Ca te fait du bien?
– Oui, c’est très agréable, je suis en totale détente.
Je continue de masser le creux de ses reins, le haut de ses fesses sur lesquelles j’ai préalablement fait glisser short et string. L’atmosphère devient érotique. J’aperçois le début de sa raie et cela m’émoustille de plus en plus. Je rajoute du monoï et pétrit plus énergiquement tout son dos de haut en bas. Je remonte mes mains sur ses flancs et effleure le galbe de ses seins. Cela lui donne la chair de poule. Je sens mon sexe se gonfler, j’ai envie d’elle, mais je ne suis pas sûr que ce soit réciproque. Je décide de forcer le destin. Je me penche et l’embrasse dans le cou. Elle tourne la tête, me regarde et Rozenn me rend un baiser. L’affaire est dans le cul de l’âne comme dirait l’autre.
Elle se retourne sur le dos et je contemple ses traces de bronzage. Je l’embrasse en palpant ses gros seins blancs qui se distinguent de sa peau hâlée.
C’est ensuite une avalanche de baisers et de caresses qui nous donne nos premiers soupirs. Nos langues bataillent avec fougue tandis que nos mains explorent nos zones érogènes. Toujours à califourchon sur elle, la blondinette ôte mon tee-shirt.
Le contact de nos deux torses nus nous provoque quelques frissons.
Je l’excite alors en embrassant ses seins, en suçant et mordillant ses tétons qui bandent atrocement. Je descends et bisoute son petit ventre un peu arrondi en laissant traîner ma langue dans son nombril. Jusque là notre étreinte est tendre mais je suis de plus en plus excité. Ma queue toute raide ne demande qu’à sortir de mon boxer.
Je descends encore et retire son short et son string en même temps. J’admire son triangle blond de poils drus qui m’indique que la tonte est récente. J’écarte ses cuisses lentement et y glisse ma tête. De la pointe de ma langue, je titille son bouton rose et Rozenn feule son plaisir. Je joue avec son clitoris tout en la doigtant du majeur. Elle fond et extériorise son bonheur par de petits gémissements. Elle mouille beaucoup et pendant que je lèche sa douce petite chatte, je parviens à retirer le reste de mes vêtements d’une seule main. Je suis à quatre pattes, cambré à lui déguster le minou. J’empoigne ma verge et m’astique, la langue fourrée dans son intimité. Je sens qu’elle vient, elle se tortille, et serre ses cuisses autour de ma tête en délirant de plus en plus fort.
Je remonte sur elle, les lèvres pleines de son nectar. Je l’embrasse pour le lui faire partager.
Allongé sur elle, nos sexes se frôlent et s’attirent. Je sens mon gland s’humecter de ses fluides collants imbibés sur ses lèvres. Je ne tiens plus et m’enfonce en elle lentement. La chaleur de son vagin m’électrise et je la besogne avec finesse en missionnaire. Je lui caresse les cheveux et je l’embrasse dans le cou au rythme de mes va-et-vient. Ma cavalière plie sa jambe gauche. Je caresse son pied, sa cheville, son mollet, sa cuisse, puis je presse fermement sa fesse moelleuse. Elle mumure sa jouissance par des sons que j’adore au creux de mon oreille.
– Han, han, haaannn!!!
C’est euphorisant. Je me sens performant et je me positionne au dessus de ma blonde, bras tendus, et je la pillonne avec plus de vigeur. Rozenn est écartelée, ses mains plaquées sur mes fesses et elle gémit encore et encore. La délivrance est proche, pour elle comme pour moi et lorsque j’éjacule en elle en d’innombrables saccades, elle part dans un orgasme voluptueux.
Nous restons nous cajoler quelques instants, puis l’animatrice se rhabille et me quitte pour retrouver ses pénates afin de dormir tranquille, mon petit matelas une place n’étant pas confortable pour deux. Ce soir-là j’ai dormi comme une masse.
Au petit matin, comme la plupart du temps, je suis le premier debout. J’ai 15min devant moi avant le lever des enfants. Je décide de prendre une douche furtive pour éliminer toute trace de sueur et de sexe. J’enfile mon short de foot qui me sert habituellement de pyjama, je chausse mes claquettes et je prends ma trousse de toilette, ainsi que ma serviette que je pose sur mon épaule. Je me dirige vers les douches collectives, futur théâtre de scènes de débauche. Dans cette pièce, une dizaine de douches sont séparées par de fines cloisons. Il y en a 5 à gauche, 5 à droite. Elles sont toutes fermées par une porte en bois, surélévée à une quinzaine de centimètres de la surface du sol. On peut facilement voir qui s’y trouve si l’on est voyeur.
A mon grand étonnement, l’une d’entre elles est occupée.
J’interroge son hôte:
– Il y a qui là-dedans?
Une voix féminine, que je reconnais, me répond.
– C’est moi, Naïma.
Aussitôt mon sang ne fait qu’un tour. Celle que je convoitise le plus, se trouve en tenue d’Eve juste derrière cette porte. Cela m’émoustille et bien évidemment l’envie de me baisser pour la voir me traverse l’esprit. Mais je ne le fais pas, je ne suis pas si pervers que ça et je la respecte. Je me glisse tout de même dans la douche mitoyenne à la sienne. En faisant couler l’eau, je l’imagine se savonner, la mousse blanche couler sur sa peau noire, entre ses seins, le long de sa raie. Je suis réveillé depuis 5 minutes et pourtant je bande déjà à causes de mes pensées lubriques.
Naïma entame la conversation.
– Ca va toi?
– Très bien et toi? Tu es bien matinale?
– Effectivement, mais je n’ai pas pu prendre ma douche hier soir.
– Trop crevée?
– Non, mais Karim et Virginie occupaient déjà les lieux.
– Et alors?
– Bah c’est à dire que je les entendais niquer, du coup j’ai préféré les laisser tranquille et attendre ce matin pour me laver.
– Ces deux-là alors, ce sont de sacrés coquins.
– Ils ont bien raison de se faire plaisir, la colo ne dure pas éternellement.
Naïma et moi sommes très complices et on se confie plein de choses. J’ose alors lui demander:
– Et toi, tu t’es fait plaisir? Ca t’a pas excitée un peu de les entendre.
– Bien sûr que si et oui je me suis masturbée discrètement. Pas facile de se lâcher avec Anaïs qui dort à côté.
Je commence à me tripoter en écoutant ses révélations.
– Tu aurais dû venir dans ma chambre, tu aurais pu jouir autant que tu veux.
– Mais bien sûr, tu as raison dit-elle ironique. Il me semble que la place était prise de toute façon… Il était bien ce massage?
Je comprends qu’elle sourit à la tonalité de sa voix.
– Oui, oui, c’était bien. J’imagine que tu as deviné comment ça s’est terminé?
– Oui, tu as dû l’épuiser la petite, elle dormait encore profondément quand je me suis levée pour prendre ma douche.
– J’étais bien fatigué aussi après.
– J’en doute pas. Tant mieux si vous avez pris votre pied, par contre, tu as fait une jalouse…
A suivre…
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