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Belle maman, ma soumise … (8)

Belle maman, ma soumise … (8)



La fin de la semaine approche. Thomas écrit à Florence :

– En pensant à toi.

Thomas vient de lui envoyer une photo de sa culotte souillée.

– Tu marques des points… Tu rentres chez ta mère ce week-end ?
– Oui mais vendredi soir, maman n’est pas là, alors je vais peut être rentré samedi parce que personne peut venir me chercher à la gare. pourquoi ?
– Parce qu’on va se voir… Je viens te chercher si tu veux.
– C’est pas très discret…
– Tu préfères que je t’attendes chez toi directement ? J’ai un double de chez vous…
– J’ai vraiment peur de me faire gauler Florence. Vous ne préférez pas qu’on se voit à Paris plutôt ?
– Non. On se voit vite. Je prétexte le fait d’aller récupérer un plat chez ta mère. Tu n’as pas si envie que ça on dirait. Prends le train ce soir. Je te vide les couilles. C’est ça ou c’est on arrête la.
– Je n’ai pas pu acheté de culotte etc…
– C’est pas grave. J’en ai une qui te plaira.

Florence attaque et prends des risques.

– Bonjour David, je vais vider les couilles de Thomas chez Chantal ce soir. J’en profite pour prendre sa lingerie. J’ai ton accord ?
– profites en. Laisse lui te faire la totale. Ça sera votre dernier rendez-vous. Prends ma Gopro dans la chambre d’Emilie. Planque la, je veux des preuves et te voir te faire defoncer. Philippe est la ?
– Oui. Je gère.
– OK. Passe au parking en bas de chez nous avant de rentrer. J’ai un petit défi pour toi.
– surprise ?
– oui. Comme d’habitude, bip moi quand tu arrives.

Il est 18h. Je prétexte une course, comme toujours, pour m’enfuir. Elle est là dans sa voiture.

– Tu es superbe ce soir belle maman…
– Merci mon beau fils… Alors ?
– Alors une fellation pour bien commencer le week-end sera agréable.

Je baisse le siège passager. M’allonge et sors ma queue.

– Rappeles moi comme tu es une bonne videuse de couilles. Lui dis je en sortant ma queue. Pas de blabla, elle sait qu’elle n’est pas la pour ça.

Florence commence à me pomper. Je prends ta tête et lui baise la bouche comme un bon porno.

– Allez ma chienne, pompe ma queue.
– Defonce ma bouche. Tu me rends dingue. Je suis qu’une vide couille.

Je m’y applique. Ça faisait plus d’une semaine qu’elle ne m’avait pas sucé.

– Fous toi à poil. Sors de la voiture. On fait ça vite.

Elle s’exécute. Portière ouverte , à genoux, elle me suce, je baise sa gorge. Une voiture passe, un homme qui fait mine de ne pas voir. Il voit mes coups de bassin et les chevilles de Florence. Le reste est à cacher par la portière. On a beau être au 4e sous sol. Il y a quelques voitures qui passent.

– Si une voiture s’arrête, tu continues de me sucer.
– d’accord. Et si quelqu’un veut venir ?
– ça n’arrivera pas. Je vais te baiser avant que la sécurité voit quelque chose.

Tout à coup une voiture marque le pas. Ralentis et s’arrête à notre hauteur. Le cliché du pervers voyeur.

– Tu as du public.

Je ferme la portière et commence à la baiser en levrette collé à la vitre. Elle est face à cette voiture qui nous regarde. Elle ne le sait pas mais j’ai arrange un rendez-vous avec un mec croisé sur un site d’annonce bien dégueulasse. Mais rendez-vous payant.

– Je lui propose de nous rejoindre.
– David arrête quand même…

Je fais signe à cet homme de venir. Il se gare.
Je remets Florence à genoux. Elle me regarde apeurée.

– T inquiete je gère. Ne me regarde jamais dans les yeux.

L’homme approche pendant que je la force à me sucer.

– C’est combien ?
– 250 euros, pas d’anal et elle avale pas.

Florence lève la tête, elle commence à comprendre.

– C’est cher.
– C’est une pute de luxe. Une chienne bourgeoise. Vous voulez moins cher aller au bois de Boulogne.
– Elle est sacrément bonne cette chienne.

Florence est la, à ne rien dire, continuant de s’appliquer. Le mec sort sa queue, me tend plusieurs billets.

– Allez à son tour. Montre lui que tu es bonne vide couille.

Toujours à genoux, Florence se retourne, elle reste la tête basse, ne le regarde pas. Elle commence à le branler. Pour être certain qu’elle reste chaude je la doigte. Elle gémit, elle adore ça…

Sans rien demander, elle crache sur sa queue, elle est plutôt petite mais on s’en fout. Elle le suce. Intensément. Soit elle est très excitée, soit elle est veut en finir vite.

– Bonne pute ta bourgeoise. Je peux la baiser un peu ?

Je relève Florence et la tourne vers moi.

– Touche elle est trempée, capote obligatoire.

Florence me branle, me regarde dans les yeux, elle sent les doigts de cet homme qui sans précision la doigte. D’un coup elle sent ses mains sur les hanches et une queue qui la penetre. Elle ne peut s’empêcher de retenir un gémissement qui raisonne dans le parking. Heureusement c’est calme.

Il tape fort, maladroitement, Florence tente de garder l’équilibre en me sucant.

– Ah elle est bonne ta chatte ma salope. Je vais te gicler sur la gueule.
– Demande lui si elle est d’accord avant.
– Tu veux sur ta petite gueule de pute la bourgeoise !?

J’avais peur qu’elle refuse, qu’elle se braque.

– Pas dans les yeux dit elle timidement…

L’homme la tire par les cheveux, la force à se mettre à genoux. Florence ferme les yeux. Il retire sa capote et se finit sur son visage. Elle en a partout. Elle est recouverte du sperme d’un inconnu, elle n’a pas eu le temps de se faire à l’idée.

– Et moi maintenant ? Je fais quoi ? Lui dis je.
– Vas y, finis toi où tu veux.

L’homme remonte son pantalon me salue et repars vers sa voiture.

Je continue de me branler. Elle tente d’ouvrir un œil.

– Ouvre la bouche.

Délicatement j’ejacule, sur sa langue en lui tenant les cheveux.

– nettoie ma queue maintenant.

Florence est dans un parking, le visage souillé par un inconnu, à poil, mon sperme en bouche. Cela n’a duré que 10 minutes.

– avales et rhabilles toi…
– Tu m’as prostitué David…
– Il faut bien te rappeller que tu es une pute Florence.

Je lui tends les 250 euros.

– Tu peux t’offrir un bel ensemble lingerie avec ça non ?
– C’est certain. Merci. Il

Elle s’assoit sur son siège, att**** un paquet de mouchoir et s’essuie le visage.

– je sens le sperme David, mon maquillage a coulé. J’ai hâte de rentrer me doucher. J’espère que Philippe ne sera pas encore rentré…
– Surtout qu’il faut que tu sois présentable pour Thomas…
– Putain, j’avais oublié…
– Ca fera 3 spermes différents ce soir normalement. 4 spermes même. Philippe ne doit pas rester le seul plein.
– David…
– allez file.

Florence démarre et se dirige vers la sortie… La soirée ne faisait que commencer.

Sur le trajet, elle écrit a Thomas :

– À quelle heure tu es chez toi ?
– 21h j’espère, si je ne manque pas le bus.
– Je passe devant la gare. Rien de bizarre à te récupérer. A tout de suite.

Florence voit Thomas sur le parking de la gare. Pendant le trajet, elle a essayé de se refaire une beauté, mais le goût de mon sperme en bouche est toujours présent.

– Comment vas tu Thomas ?
– Très bien, merci de venir me chercher.
– Ça nous laisse un peu plus de temps ensemble. Je ne pourrai rester longtemps ce soir.
– Je comprends. Comment fait on ?
– Commence par sortir ta queue. Je veux la voir, elle m’a manqué.

Thomas est moins timide et comprends maintenant que Florence est à l’aise et complètement perverse. Il sort sa queue pendant que Florence démarre, il n’est déjà à moitié en erection.

– Je vois que je te fais plus d’effet que la dernière fois..
– J’ai compris que vous étiez Gourmande, pas de gêne à avoir.
– Gourmande ? C’est tout ce que tu as en stock ?
– Je ne sais pas…
– Ce soir on va se voir en vitesse, tu as intérêt à être efficace, je vais être la meilleure des salopes pour toi. Tu vas oublier toutes les jeunettes après ça.

Elle prend sa queue en main, et commence à le branler.

– tu as déjà imaginé que je te branle dans ma voiture ?
– Heu non pas vraiment…
– Qu’as tu déjà imaginé ne soit pas gêné… Au contraire, dis moi comment tu me vois.

Thomas prend un plaisir fou à se faire astiquer sur le trajet du retour.

– J’ai déjà pensé à vous prendre dans ma chambre, dit il timidement.
– C’est quand même très classique… Tu regardes du porno ?
– Bien sûr !
– Alors traites moi comme tel ce soir.
– C’est à dire ?
– Comme une salope à baiser.
– Arrêtez de me branler je vais jouir sinon…
– Remballe ta queue, je m’en occupe ce soir.

Florence arrive dans sa rue.

– Laisse moi le temps de prendre une douche et j’arrive. Prends en une aussi tant qu’à faire. Un corps propre c’est meilleur à lecher.

Elle entre chez elle, fonce se laver les dents avant d’embrasser Philippe, cette haleine de sperme l’obsède.

– Chérie ? Où es tu ?
– Dans le salon Florence !
– Comment ça va ? Je vais prendre une douche je me sens sale ! Je dois passer récupérer un truc chez chez Chantal rapidement et je suis la pour le dîner.
– Je viens à la douche avec toi ?
– Heu… Oui Philippe si tu veux !

Elle entre dans la douche, se retourne et regarde Philippe.

– Je ne t’ai jamais sucé dans la douche… Si ?
– Dans le doute montre moi, ça me reviendra peut être.

Florence commence à le sucer à fond elle n’a pas de temps à perdre. Elle sait y faire maintenant pour faire jouir son homme rapidement. Il aime quand elle est vulgaire, ça l’excite encore plus.

– T’aimes ça ta femme qui te suce ?
– J’adore, t’arrête pas, je sens que ça monte…
– Allez ejacule, vide tes couilles sur ta femme. Finis toi sur ma joue…

Il n’en fallait pas plus, Philippe lui offre sa 3e ejac de la journée, se rince brièvement et sort de la douche. Avant de se rincer, Florence att**** son portable et m’envoie une photo d’elle mouillée, sperme sur le visage :

– Ce n’était pas prévu si tôt, mais ça fait 3.
– Belle maman la salope… Tu es superbe comme ça ! N’oublie pas la gopro pour ce soir.
– Promis.

Elle se lave, se rhabille, et pars comme prévu chez chantal.

– J’en ai pour 5 minutes, peut être 10 max OK ?
– Mais t’es en robe de chambre, tu ne vas pas y aller comme ça !?
– rhô il fait nuit, j’ai 15 mètres à faire, on s’en fou !

Florence entre sans frapper

– Thomas ?
– Heu oui je suis dans la salle de bain en haut !

Florence penetre dans la pièce, ouvre son peignoir, complètement nue.

– Ah oui quand même. Vous y allez direct !
– Je n’ai pas toute la soirée, Philippe m’attend. Baisse ton pantalon. Non enlèves tout, je veux te voir nue aussi.

Thomas est comme un fou.

– Tu bandes déjà… Super. Tu veux me prendre ?
– Bien sûr si vous voulez.
– Arrêtes la politesse, je n’aime pas ça…

Discrètement, elle sort la gopro de son peignoir et la pose entre les serviettes sur une étagère.

– Vous ne voulez pas de politesse alors ?
– Non mais…
– À genoux. Tu viens chez ma mère pour se taper son fils ? Tu vas prendre alors.

Thomas n’a plus de complexe, il avait bien caché son jeu. À 18 ans, il a déjà de l’expérience. Il att**** Florence par les cheveux, il lui donne un gifle et l’embrasse.

– Allez pompez ma queue, comme une salope.

Florence est surprise. En regardant la vidéo, je suis sur le cul par la scène. Il la traite comme une pute. Comme un porno. Elle subit les assauts de ses coups de reins. Il lui bourre la bouche sans précaution.

– Mains dans le dos, c’est moi qui décide du tempo.

Florence a rapidement des relens.

– Oh comme c’est bon de te voir me sucer. C’est ça que tu voulais ?
– Je te reconnais pas, je te pensais timide ! Dit elle essoufflée.
– J’ai grandi avec les sites de cul, c’est ce que tu veux, c’est que je vais te donner.

Thomas l’att**** par les cheveux. La pose à genoux face aux toilettes, elle se tient sur la cuvette, vu plongeante sur le chiotte.

– Beau trou du cul. Vous m’avez dis que je pourrai le defoncer ?
– Oui mais attends, pas comme…

Florence se fait empaler, sans précaution, sans capote. Thomas lui enfonce directement sa queue dans le cul. Florence gueule de plaisir dans cette salle de bain.

– Oh Putain tu me defonces le cul, t’arrêtes pas, exploses moi le cuuuul.

Il la pilonne, sans relâche. Lui donne des fessées, je vois son cul rougir minute après minute. Il abuse d’elle sans retenue.

– Faut que j’y aille Thomas, finis toi sur mon cul. Donne moi tout. Je suis ta vide couille.

Il se retire. La prends par les cheveux.

– Suis moi, j’en ai pas fini, j’ai le droit de baiser ta chatte aussi, c’est vous qui l’avez dit.

Il la tire de force par les cheveux. Florence a juste le temps d’att****r son peignoir et la Gopro.

Il plonge sa main dans le panier à linge sale, en sors une culotte de sa mère.

– Vous vouliez une culotte ? Cadeau.

Thomas lui met cette culotte pleine de traces dans la bouche. Il l’ammene dans sa chambre au rez-de-chaussée. Pas le temps de poser la caméra, elle continue de tourner dans sa poche. Il la jette au pied.

– Allez goutte ton cul, sucez moi.

Florence est perchée, à astiquer un homme qui pourrait être son petit fils.

– C’est ça que tu voulais, te faire baiser par un petit jeune. Vieille salope va. Appliques toi.

Elle est dépassée par la situation. Elle devait dominée, elle se fait explosée. Il l’allonge sur le lit, l’att**** par les jambes et la tire sur le rebord. Il bifle sa chatte.

– t’es trempé, ça t’excite t’es traité comme une chienne.

Florence est muette. A bout de souffle devant l’intensité que tu lui donnes Thomas.

– Oh Putain, on est bien dans ta chatte.

Il la tient fermement par les seins, en missionnaire.

– Voilà. Là tu es une vide couille, je te baise comme un bout de viande… Dis le.
– Je un bout de viande Thomas… Je suis un bout de viande…

Soudainement la porte d’entrée claque. Ils se taisent d’un coup.

– Thomas, t’es à la maison ?
– Heu oui maman. Je suis dans ma chambre, je me change, j’arrive. T’es déjà la ?
– Oui ça s’est finit plus tôt que prévu !

Florence s’est réfugié de l’autre côté du lit. Allongée, paniquée. Elle chuchote.

– Oh non Putain Thomas. Non. C’est la merde. Donne moi mon peignoir.

Elle s’effondre en larmes. C’est allé trop loin cette fois. C’est fini. Tout le monde va savoir.

– vous inquiétez pas, elle n’entrera pas dans ma chambre.
– Mais t’es fou !! Comment je fais moi maintenant !?
– Tu vas me finir.
– Non stop, je dois sortir vite !

Thomas la couche sur le ventre, allongé sur le sol.

– fermez la, j’en ai pas pour longtemps.

Florence est contraint de force, à continuer de recevoir sa queue. Au loin on entend Chantal qui vide le lave vaisselle.

– Tu te fais defoncer dans ma chambre, maman est dans la cuisine. Ça lui plairait pas si elle savait hein ?
– Arrêtes Thomas je t’en supplie … Dit elle en ayant la main devant sa bouche pour ne pas qu’on l’entende gémir.
– OK. Vide mes couilles maintenant.

Il la relève, la plaque à genoux, sa tête est coincée devant le matelas… Il baise sa bouche.

– On va finir en apothéose !

Il sort la queue de sa bouche, un long filet de bave en jaillit. Il l’a tient fermement par les cheveux et lui gicle à la gueule.

– Voilà, ça c’est bien…. Dit il machiavélique.

Il essuie son gland sur sa joue. Lui donne son peignoir. Florence prend quelques secondes à reprendre ses esprits. Il ouvre la porte fenêtre.

– Merci Florence. C’était encore mieux que ce que j’ai toujours imaginé. Vas t’en.
– T’es un grand malade… Merci.

Elle sort précipitamment. Elle réalise qu’elle avance dans le jardin de Chantal, de nuit, recouverte du sperme de son fils sur le visage. Elle s’essuie tant bien que mal avec son peignoir. Rejoins son domicile. Philippe est devant la tv.

Elle se jette sous la douche, encore. En sortant, avant de reprendre une vie normale elle m’écrit.

– Quatre spermes dans la même soirée. Défi réussi. Je t’embrasse.

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