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moi ma soeur et ma profs de gym (1)

moi ma soeur et ma profs de gym (1)



J’avais 16 ans, lorsque mes parents ont finalement décidé que je pouvais exercé mon sport favori dans le meilleur endroit de la région. Malheureusement, cette école se trouvait à plus de 3 heures de route, donc je devais logiquement vivre dans une famille d’accueil pour l’année. Mes parents n’étaient pas spécialement à l’aise mais ils auraient donné n’importe quoi pour avoir une occasion de m’accompagner pour l’année. Cette occasion se présenta à eux quand, vers la fin du dernier mois scolaire, ma soeur déclara à mes parents qu’elle ne se sentait pas bien à cette école et qu’elle aimerait bien la quitter. Aussitôt dite, aussitôt faite.

Nous étions maintenant installés presque 8-9 mois, ce qui signifie que la fin d’année approchait à grands pas.

C’est ainsi que au tout début du mois de mars, notre prof de sport se fit remplaça par une stagiaire pour le cours de musculation. Elle était jeune, environ 25 ans maximum et plutôt excitante. Elle avait des cheveux brun avec un reflet de roux quand même assez long et des lunettes qui la rendaient encore plus bandante. Pour se qui est de ses formes, ses seins étaient petits mais bien sortis et fermes, ses fesses étaient tout simplement parfaites, elle était prof de sport après tout, juste bien bombé et de cuisses lisses.

À notre deuxième cours, j’avais apporté mes écouteurs pour m’entraîner puisque la fille qui mettait la musique soi-disant motivante était vraiment pourrie. Je commençai alors mes exercices, le premier étant le développé-couché. Je ne suis pas aussi pour me vanter mais je possède une très belle forme physique, ce qui me permet de pouvoir lever bien plus que mes camarades. Je mis mes écouteurs, appuya sur lecture, m’installa sur le banc et commença mes répétitions. À peine 6 de terminées que j’aperçois ma prof au-dessus de moi qui essaie de me parler. Bien sûr, je n’entends rien, musique d’entraînement l’oblige. Je posai calmement ma barre sur l’arrêt, me relève et ôte mes écouteurs.

-Nathan! mais qu’est-ce que tu fais.

-Bien, je m’entraîne madame, répondis-je.

-Avec un tel poids?

-C’est ma courbe d’entraînement…

-Non, je suis ici pour ta sécurité avant tout et je refuse que tu lèves autant!

-C’est une blague?

-Non, pas du tout, et tu enlèveras tes écouteurs cela est interdit.

-Mais celle qui mais la musique est à chier!

-Je m’en fous, tu réduis ton poids et t’enlèves tes écouteurs.

À partir de ce moment, je la détestais mais mon excitation à son égard s’en trouva décuplée.

-Connasse, que je marmonne.

-Pardon, dit-elle en se retournant.

-Rien

-Et t’apporteras un shorts moins serré au prochain cours s’il te plaît, déclara-t-elle en pointant mon entre-jambe.

Oh Putain! Sans m’en rendre j’avais eu une belle grosse érection.

Elle me fit un petit sourire et s’éloigna.

Le cours terminé, je me dirigeai vers les vestiaires. En marchant, je croisai mon ami Luc et je lui dit s’en aucune retenu:

-Je te la défoncerais cette remplaçante, mec.

-Chut, qu’il me répondit en pointant juste derrière moi.

Elle était juste la à quelque pas derrière moi, mais elle ne sembla pas avoir entendu, une chance me dis-je!

Le soir, n’y tenant plus, je m’allongeai dans me lit, baissa ma braguette, sorti mon engin et commença ma branler. Je me donnais a coeur joie depuis plus de 10 minutes, lorsque ma soeur entra à son tour dans notre chambre. Et oui, on la partageait. Devant sa mine déconfite et réellement surprise, je la dévisageai durant de longues secondes avec mon pénis entre les mains. Après cette interlude, je remontai rapidement les couvertes et me cacha la figure avec mes mains.

-Mais qu’est-ce que tu fais Nathan?
-Rien du tout, rien du tout…
-Non, connard tu te branlais dans notre chambre!
-…
-Aller je sors durant 10 secondes et tu te rhabilles!

Tel que dit, ma soeur (re)passa le seuil de la porte 10 secondes plus tard. Un grand malaise s’était installé entre nous deux. Elle brisa ce silence de mort, me parlant tout en rangea ses trucs.

-Alors…dit-elle doucement, presque craintive, c’est la première fois que tu te… caresses dans notre chambre?

-Heum, pas vraiment répondis-je.

Elle poussa un soupir, mais pas de dégoût, c’était à peine si l’on sentait du découragement dans son souffle.

-L’as-tu déjà fait dans mon lit?

-Non, jamais! Pour qui me prends-tu, lui mentis-je.

À ce moment j’étais hyper gêné par cette situation et je décidai de renverser celle-ci.

-Toi, entamais-je, tu t’es déjà masturbé dans notre chambre?

-Non!

– Je ne te crois pas, continuais-je.

-Enfin, oui, mais je ne me suis jamais vraiment touchée pour vrai, mais oui, je me suis déjà fait du bien.

-Alors, je ne suis pas seul, ricanais-je.

Elle eut un petit sourire, ses joues étaient rouges et elle était de plus en plus belle.

Quel con! J’ai oublié de vous la décrire. Sarah était la femme parfaite, physiquement parlant. Elle portait ses cheveux longs, le plus souvent avec une queue de cheval. Ceux-ci sont blond comme le blé lors de la moisson. son visage est angélique, n’ayant aucun défaut apparents. Ses seins sont loin des fantasmes de gros pervers américains avec les plus grosses boules possibles. Ils sont plutôt petits mais je suis sûr de l’avoir déjà aperçu en pyjama sans brassière est je peux vous dire qu’ils tiennent tout seuls. Son cul est tout simplement magnifique, bien bombé et bien ferme. Vous devriez la voir dans ses leggings. Pour finir, ses merveilleuses jambes élancées suivent des cuisses sans aucune cellulite. Le tout est recouvert d’une peau couleur miel qui confirme sa beauté divine.

Un détail pour finir, Sarah et moi avons la même âge, ce qui signifie que nous sommes faux-jumeaux.

À quoi tu pensais, me relança-t-elle.

Pardon, dis-je très mal à l’aise.

Bien à quoi tu pensais pour être aussi… raide, dit-elle, regrettant aussitôt son choix de mot.

Je n’ai jamais rien caché à ma soeur, hormis mes plaisirs plus ou moins quotidiens, alors pourquoi commencer maintenant.

-Je pensais à ma prof….

-Hmm, jeune accro, quelle enseignante en particulier?

-Celle de sport…

-C’est vrai quelle est belle, je l’ai aussi dans mon cours de musculation. Alors, tu veux te la faire demanda-t-elle tout bêtement.

Rouge, je répondis qu’en effet l’idée ne me déplaisait pas du tout.

Laisse moi deux semaines et je t’arrange le coup, me dit-elle à ma plus grande surprise.

L’appel de mes parents pour souper interrompu la conversation, et me soeur me quitta, tout joyeuse, devant mon regard des plus perplexe.
-ok, d’accord.

La semaine fut éprouvante tant sur le plan physique que mental. Mes entraînements étaient de plus en plus intense et rapprochés les uns des autres tandis que mes professeurs s’en donnaient à coeur joie pour me donner des examens.

Bref, je n’ai pas vraiment eu de temps avec ma soeur, n’osant pas la réveiller pour me mettre au courant des développements dans l’opération « je baise ma prof« .
En fait, j’avais peur qu’il n’en fut rien et que Sarah m’avait fait marcher.

Je fut fixé le vendredi suivant. Je revenais d’un entraînement réellement exténuant et je n’avait qu’une seule envie dormir. Sommeillant, je repensa à mon dernier cours avec Valérie, la prof de musculation. Point rebelle, j’avais omis d’apporter mes écouteurs et je me concentrai sur mon travail. Celle-ci vint me parler après un quart d’heure, s’enquérant de ma forme et des poids que j’avais choisis. Il n’y eu pas vraiment de dialogue entre nous et le reste se passa dans un calme déconcertant. Elle ne fit aucune allusion à l’érection qui m’avait joué un tour la dernière fois.

Brusquement, la porte s’ouvrit, me tirant de me rêverie.
Sarah pénétra dans l’enceinte de la chambre en souriant, elle rayonnait tout simplement de joie.

-Bonjour toi, lui lançais-je, sa va?

-Oh oui, et bonjour à toi aussi grand frère, me répondit-elle.

-Tu sais que théoriquement, on n’a la même âge?

-Oui, mais je préfère avoir un grand frère qu’un petit, dit-elle.

-Très bien, alors pourquoi es-tu aussi heureuse?

-Tu sais que je t’avais dit que je t’arracherai le coup avec Valérie, commença-t-elle.

-Oui, mais je suppose que c’était une blague, lui répondis-je.

-En fait, au début je ne savais pas comment réagir à ce que je t’avais dit et j’ai décidé de respecter mes engagements.

-Alors…,l’interrompis-je

-Alors, j’ai fait tout ce que je pouvais pour qu’elle soit excitée par toi…

-Comment as-tu fait sa, demandai-je.

-Voilà, pour commencer je parlais fort de toi lorsqu’elle était près de moi. Ne t’en fais pas, je ne disais que des qualités sur ta personne et sur tes muscles d’Apollon. Ensuite, j’ai fait mine d’oublier mon sac où il avait des vêtements de sports portés par toi antérieurement ainsi que des caleçons.

-Moi tu es folle, ricanai-je

-Laisse moi finir! Enfin, la cerise sur le gâteau, alors qu’elle venait vérifier les vestiaires pour voir si quelqu’un avait oublié quelque chose, moi, qui était seul dedans je parlais de ta chose, finit-elle en pointant mon entrejambe, gênée.

-Quoi, mais qu’est-ce que tu as pu dire la dessus, lui demandai-je dépassé par les événements.

-Bien…j’ai vanté ses dimensions bien sûr et de sa douceur supposée.

-Ok….

-J’en ai trop fait?

-On va bientôt le savoir, lui répondis-je, troublé par son affront et son attitude.

la suite un jour ….

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