Marc était un homme de 75 ans,marié,qui visitait souvent des sites pornos pour homos mais n’avait pas encore eu de vrai relation avec un homme à part des petites aventures sur des parkings ou dans les bois.Il rêvait depuis longtemps d’une vrai aventure avec un homme mais ça ne s’était jamais présenté.Un jour il avait réserver une chambre à l’hotel car il devait être à l’étranger pour affaires et comme il n’avait plus envie de rentrer encore le soir après les discussions et les consomations alcoholisées, il avait trouver plus sûre de rester sur place.Après le souper au restaurant de l’hotel il prit encore un verre au bar.Il observa les autres clients,principalement des hommes,il vit un homme d’une soixantaine d’années qui l’observait discrètement.Leurs regards se croisèrent plusieurs fois et après la troisième fois l’homme esquissa un sourire.Marc souriat aussi.L’homme appela le garçon et lui demanda quelque chose et quelques minutes après le garçon venait me demander ce que je voulais boire pour le monsieur assis à la table.J’accepta une bière et après quelques minutes je vis le monsieur se lever et se diriger dans ma direction.Je peux demanda-t-il en prenant le tabouret à côté du mien?En s’asseyant sur le tabouret il se présenta »mon nom est Pierre »;Je m’appelle Marc,dis-je,doucement.Après avoir bavardé pendant une petite demi-heure,tout en buvant notre bière,il se leva en disant »Je crois que je vais aller coucher car j’ai eu une rude journée »Je voulais aussi lui offrir un verre mais il remercia gentillement.Après m’avoir serré la main longuement il s’éloigna.Je savais qu’il logeait au même étage que moi car nous nous étions croiser dans le corridor avant le souper.Je ne tardis pas non plus et rejoigna ma chambre.Je me déshabilla et resta en slip sur mon lit en regardant encore la télévision quand j’entendis frapper doucement à ma porte.Je me dirigea lentement vers la porte et ouvrit un petit peu la porte en restant derrière.Tu n’aurais pas une aspirine, demanda Pierre qui était en robe de chambre devant la porte,j’ai une de ces migraines.Je vais voir,dis-je,mais rentre donc,oubliant que j’étais en slip.Je ne veux pas te déranger,disait Pierre,qui s’était déjà faufiler par la porte que j’avais ouverte.Je vais regarder,dis-je,tout en me dirigeant vers ma trousse de toilette,je crois bien que j’ai ça.Je voyais que Pierre me regardait attentivement.Excuse-moi pour ma tenue,dis-je,mais je regardais la télé à mon aise.Mais tu es très beau comme ça,dit Pierre,dans ce petit slip,j’adore.Je crois que je rosis un peu et me retourna pour aller chercher l’aspirine dans la salle de bain.Après deux minutes de recherche je retournais dans la chambre avec l’aspirine et je vis tout de suite que Pierre avait défait le cordon de sa robe de chambre.Je fis semblant que je n’avais rien remarqué et je lui proposa un verre d’eau.Il accepta tout de suite et en prenant l’aspirine je vis que un pan de sa robe de chambre s’écarta un peu et qu’il ne portait rien en dessous.Je pris un verre et lui servis un verre d’eau que je lui tendis.De nouveau je voyais la fente entre les pans de sa robe de chambre grandir et il voyait que je regardais pendant qu’il accepta le verre et avala le cachet avec une gorgée d’eau.Il prit tout son temps en bougeant une jambe et denudait une partie de son bas ventre et son sexe.Paralysé par cette vue je regardais cette belle verge qui pendait sur un magnifique jeu de boule,le tout rasé de près et bien excitant.La vue te plaît,demanda-t-il en voyant que je regardais toujours et pendant que je sentais ma propre bite se remuer dans mon slip.Oui,répondis je,elle est superbe.Tu veux pas une fois la caresser,demanda-t-il,en s’avancant tout doucement.Je tendis,comme médusé,ma main vers ce magnifique sexe que je caressais lentement et tâtais délicatement.Ca te plaît,demanda-t-il pendant qu’il glissa ses mains sur l’arrière de mon slip et caressais et triturais mes fesses à travers la fine étoffe.J’opinas de la tête et sentis ses mains qui glissaient sous mon slip et glissaient sur mes fesses.J’adore tes fesses,dit-il tout en les écartant et en glissant un doigt entre mes deux demi-lunes jusqu’à mon petit trou qu’il caressa doucement.Moi je frottais doucement sa bite qui durcit lentement sous mes gestes et tatais ses deux couilles dans leur merveilleux écrin.J’adore,disait- t-il,pendant qu’il enfonça doucement un doigt dans mon anus,mais tu l’as déjà sentis,sans doute.Je fis oui de la tête pendant que je sortis lentement son gland dans un mouvement de va et vient.Pendant qu’il enfonça son doigt dans un lent mouvement de va et vient il descendit mon slip qui tomba bientôt parterre.Pendant que je sortis de mon slip il demanda »Tu as déjà suçé et goûté une bite? »Non,lui répondis-je mais j’ai envie de goûter la tienne,car ses caresses m’avais aussi excitées.Il laissa glisser son doigt lentement hors de mon anus pendant que je me laissa glisser doucement sur mes genous et voyait sa bite à hauteur de mon visage.J’admirais sa belle bite que je tenais d’une main et pendant que je la décalotais je pris son splendide gland entre mes lèvres et suçais doucement ce délicieux fruit au goût suave.Je savourais cet instant que j’avais espèré depuis si longtemps et jouis d’inspecter ce merveilleux fruit avec ma langue qui titillait la petite fente par laquelle allait sortir ce merveilleux nectar que j’attendais de goûter depuis si longtemps.Mes caresses ne devaient pas être si maladroites,car je sentis bientôt comment il s’excitait et tremblait et avec avec quelques sursauts m’envoya sa douce semence dans ma bouche.Je réceptionna tout,jusqu’à la dernière goutte,et goûta à petite gorgée sonmerveilleux nectar.Il me redressa et dans un long baiser nous partagions sa semence délicatement.Après ce long baiser,nous étions tous les deux heureux.Comment vont tes maux de tête,lui demandai je après?Bien,très bien,je ne sais pas si c’est l’aspirine ou ton traitement,mais je ne sens plus rien mais très fatigué.Il me quitta assez rapidement mais j’étais quand-même heureux de ma soirée très enréchissante.Le lendemain matin je ne le vis plus car il devait partir très tôt pour un RV,mais qui sait,on se reverra peut-être un jour et sinon j’ai une expérience très bandante de plus à mon palmares.
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