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Initiation et chantage 3/3

Initiation et chantage 3/3



Juste après nos ébats, Christine, l’honorable mère de famille, avait rejoint sagement son foyer de l’autre côté de la rue. J’avais encore envie d’elle, mais j’étais encore plus impatient de me taper Nadège, sa fille. Je faisais les cent pas dans la maison. Toutes les deux minutes, j’allais à la fenêtre de la cuisine, là où deux heures plus tôt j’avais dépucelé le cul de la belle couguar. Pour patienter, j’avais allumé le seul petit poste de télévision installé entre l’évier et les feux de cuisson, mais mon esprit vagabondait. Des images de sexe torride hantaient mes pensées. Je bandais comme un fou depuis plus d’une heure.

À la fin du journal télévisé, vers 20h 30, j’aperçus l’applique extérieure du perron d’en face s’allumer. Deux silhouettes féminines se découpèrent dans le halo de lumière. Je reconnus aussitôt ma conquête qui tirait une jeune fille par le bras. De mon poste d’observation, je pouvais les entendre crier. Quand elles eurent traversé la route, je regagnai vite le banc en face du petit écran. La chaîne diffusait maintenant les prévisions météo pour le lendemain.

Soudain, la sonnette d’entrée me fit sursauter. J’avais pris pour habitude de voir la voisine passer la porte de derrière pour venir faire le ménage. En me levant, sous le coup de l’émotion, mon corps faillit se dérober sous moi. Je fis une pause en me tenant au coin de la table. La sonnette retentit une nouvelle fois, accompagnée de petits coups nerveux sur la porte. Je pris une grande inspiration et me dirigeai vers le hall d’entrée. Dès que j’ouvris, le visage crispé de mon amante me glaça le sang.

— C’est pas trop tôt ! hurla-t-elle en furie. Tu connais ma fille Nadège ? Elle s’est mis en tête de sortir ce soir pour aller voir je ne sais quels garçons à la fête du village !!!

C’est vrai : à cause de cette journée riche en émotions, j’avais complètement oublié la fête annuelle donnée par la municipalité à cette période de l’année. Elle jouait son rôle à merveille. Qui eût cru qu’une femme aussi respectable puisse jouer aussi bien la comédie et cacher ses frasques à sa propre fille ? Par désapprobation plus que par honte, Nadège regardait ses pieds. Sa mère la poussa sans ménagement vers moi en la faisant trébucher sur le seuil.

— Je lui avais pourtant dit qu’il était hors de question qu’elle y aille, mais elle fait sa forte tête. Comme je dois me lever tôt demain, je ne peux pas la surveiller toute la soirée. Je dois me coucher tôt. Bref, tu vas la garder cette nuit pour l’empêcher de fuguer.
— Mais… Madame B. je ne suis payé que pour garder la maison, pas votre fille !
— Suffit ! Je sais que tu utilises la télé du salon, alors que tu n’y es pas autorisé. Si jamais on l’apprend…
— Ça va, ça va… Je vais le faire. Désolé, Nadège…
— On s’en fout de tes états d’âme ! T’as intérêt à ne pas la laisser sortir.

Je promis donc à madame B. que je jouerais le rôle du maton et que Nadège pourra se considérer comme ma prisonnière. Christine feignit d’être rassurée et tourna les talons. Je claquai la porte, tournai la clé à double tour et la mis dans ma poche. La jeune fille me fixa :

— Tu vas pas écouter cette vieille folle ?
— J’ai pas le choix, sinon je peux faire une croix sur mon argent de poche pour cet été.
— Tu fais chier !!!

Je la pris par la main pour lui montrer un peu de compassion :

— T’y tenais vraiment à aller à la fête du village ?
— Ouais ! Bruno a dit qu’il y serait…

Bruno, un garçon de ma classe, était du genre rebelle qui plaisait à toutes les filles de l’école.

— Dur… Viens avec moi !

Profitant de ce moment de faiblesse de sa part, je la tirai par la main vers le salon.

— T’es fou ! Tu sais qu’on n’a pas le droit d’entrer là !
— T’inquiète ! Qui ira le raconter, hein ???

Pour la première fois depuis son arrivée, un sourire s’esquissa sur ses lèvres charnues. Nadège était une fille bien portante, mais très appétissante. Ses formes faisaient loucher plus d’un garçon à la récré. Surtout quand elle portait un t-shirt légèrement décolleté comme ce soir, laissant entrevoir la naissance de ses seins déjà bien formés pour une fille de son âge. Je la fis asseoir sur le canapé en cuir noir. Je plongeai un instant mes yeux dans ses yeux noisette, à moitié cachés par la frange de sa coupe au carré.

— Ça va ? me demanda-t-elle.
— Bruno ne te regarde même pas. Ce sont les filles expérimentées qui l’intéressent. Il raconte à qui veut l’entendre qu’il a déjà fait l’amour. À moins que ce ne soit ça qui t’attire chez lui ?
— Oui, c’est vrai. C’est un peu pour ça…
— Tu sais à quoi je pense ? Je pourrais peut-être t’aider à te venger de ta mère et te donner une chance que Bruno s’intéresse à toi.

Tout en parlant, je posai ma main sur sa joue et glissai mes doigts dans cette chevelure brune si lisse. Elle ferma les yeux un instant. Elle les rouvrit et me demanda :

— Tu l’as déjà fait, toi ?
— Oui… Je peux faire de toi une femme. Cela ne tient qu’à toi…

J’approchai mes lèvres des siennes. Je sentais le souffle de sa respiration sur mes joues. Elle ferma à nouveau les yeux et je sentis sa bouche sur la mienne. Elle était chaude et pulpeuse. J’en forçai délicatement l’entrée avec ma langue et bientôt nous nous embrassâmes à pleine bouche. Mes mains commençaient à s’aventurer sur son corps de pucelle. Ma main glissa sous son t-shirt pour lui caresser un sein à pleine main. Je repris mon souffle et lui déclarai :

— J’ai très envie de toi, ma belle… Sens comme j’ai envie de toi !

Je lui pris la main et la posai sur mon entrejambe. Ma bite était déjà bien dure. Elle pinça ses lèvres en pressant mon chibre à travers mon short. Son regard en disait long… Je lui enlevai son haut pour tomber nez à nez avec son petit soutif blanc. Je me précipitai pour l’embrasser entre les seins. Derrière le tissu, je pouvais apercevoir ses tétons durcis par le plaisir. Je défis ses bretelles de soutien-gorge l’une après l’autre en déposant des baisers humides dans son cou et sur ses épaules blanches. Elle dégrafa son sous-vêtement et le laissa nonchalamment tomber sur le sol. Sa respiration haletante faisait monter et descendre sa poitrine de jeune fille de manière érotique. Je gobai goulûment ces tétons aux aréoles disproportionnées. Je me levai d’un seul coup en lui arrachant le corsaire noir qu’elle portait, la renversant sur le canapé. Sa petite culotte blanche satinée était déjà toute trempée.

— Tu mouilles beaucoup, petite cochonne ?!

Elle me répondit d’un sourire plein de sous-entendus et la retira en relevant les jambes. Son minou était tout rose et complètement lisse.

— Tu sais que tu m’excites, petite salope ? Viens prendre ma bite dans ta bouche !

Alliant le geste à la parole, je me dessapai en moins de temps qu’il ne faut pour le dire et lui mis mon sexe devant la bouche.

— Allez, suce-moi !

Elle commença doucement, en posant des baisers sulfureux sur mon gland et en donnant quelques petits coups de langue. Malgré sa virginité, je la soupçonnais d’avoir déjà exercé ses talents sur quelques garçons dans les toilettes de l’école. Puis elle fit rentrer ma queue toute entière dans sa bouche et me pompa vigoureusement en me massant les couilles.

— Attends, attends, je vais venir trop vite !!!

Elle recula. Je lui soulevai les deux jambes et lui léchai la minette. Son abricot au léger duvet à peine perceptible m’excitait au plus au point. Elle se tordait de plus en plus au fur et à mesure que mes coups de langue pénétraient son intimité.

— Mmmm… Aaaaaaahh, ooouiiiii ! C’est trop bon !!! Baise-moi, maintenant !

Je n’attendais que ça. Je ne me fis pas prier. Toujours en lui tenant les cuisses en l’air, je vins poser mon gland à l’entrée de son vagin. Elle me regarda droit dans les yeux.

— Vas-y ! m’ordonna-t-elle.

Elle poussa un cri au moment où j’entrai en elle. J’entrepris de la limer doucement dans un premier temps. Elle serrait les dents, repoussant la douleur de perdre son hymen pour ne garder que le plaisir. Nos corps moites collaient au cuir du canapé.

— Plus vite ! Plus fort ! Déchire-moi, salaud !!!

J’obéissais à ses ordres, tellement j’avais envie de la défoncer. J’en avais mal au sexe de baiser autant et aussi fort, mais je voulais tout lui donner. Enfin, ses gémissements se firent de plus en plus courts et plus forts ; je sentais que j’allais partir.

— T’es trop bonne… Je vais tout cracher dans ta chatte !
— Oui, viens bébé, fais-moi jouir… Aaaaaahhhh !!!

Nos corps retombèrent d’un seul coup, juste après une énorme décharge électrique. Dans un soupir, elle murmura à mon oreille :

— Si ma mère savait, elle serait folle de rage… On recommencera, dis ? Tu m’apprendras encore ?

Je lui donnai un baiser langoureux en guise de réponse.

Oui, on recommencera. Et je t’apprendrai bien d’autres choses : notamment que je baise aussi ta mère ! Mais ça, c’est une autre histoire…

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