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Quand Margot devient chienne 26

Quand Margot devient chienne 26



Laurent se prend au jeu.

Il ne faisait pas encore nuit, mais la luminosité avait bien baissée. Les oiseaux habituellement si bruyants cherchaient une place sur une branche pour y passer la nuit. Anne gara son véhicule où Margot laissait le sien d’habitude. Il y avait deux autres voitures stationnées à côté. Anne se dit qu’elle allait faire demi-tour. Pas question qu’il y ait d’autres hommes que Laurent. Son Laurent. Eh oui, maintenant qu’elle avait pris sa décision, ce n’était plus Laurent mais « SON » Laurent. Mais ce n’était pas une raison. Il n’était pas question qu’il l’exhibe devant d’autres hommes, encore moins qu’il la prête.
Elle s’apprêtait à tourner la clé et redémarrer lorsque la porte du château s’ouvrit. Ce n’était pas le « croque-mort » comme l’appelait Margot, mais « BHV » en personne qui dévala les quelques marches du perron et vint vers elle.
– Ma chère Anne, je suis ravi que vous ayez décidé de venir finalement. Laurent vous attend où vous savez. Je vous en prie, venez.
– Mais monsieur, ces voitures sont à qui ? Je veux bien voir Laurent mais personne d’autre je vous préviens.
– Pas de panique jeune fille ! Ce sont des amis à moi qui ne vous dérangeront nullement. Vous me permettrez de recevoir mes amis chez moi tout de même ?
– Euh, oui bien sur, excusez-moi. Mais je voulais être bien certaine.
– Soyez rassurée. Vous ne les verrez même pas, venez, suivez-moi.

Une fois dans le grand hall, « BHV » laissa Anne se diriger vers la tour et retourna dans le salon près de ses amis. Il vérifia que le grand écran fonctionnait et s’assura de la mise en route des caméras. Tout semblait bien en place. Le spectacle pouvait commencer.
Anne arrivait en haut des marches qui allaient la conduire vers son nouveau destin. Elle hésitait encore. Ais-je pris la bonne décision se demandait-elle encore ? Une marche. Que va-t-il m’arriver ? Deux marches. Que va penser Laurent ? Trois marches. Il va se dire que j’obéis bien facilement. Quatre marches. Je vais repartir ! Cinq marches. Oh mon dieu ! J’ai peur ! Six marches. Non, je remonte ! Sept marches. J’en ai trop envie, j’y vais ! Huit, puis neuf, puis toutes les marches jusqu’à se retrouver devant la lourde porte cloutée vestige du moyen âge.
Là, Anne s’est arrêtée. Son cœur battait la chamade. Elle épiait le moindre bruit, mais bien sur, aucun son ne filtrait au travers de cette épaisse porte de bois. Encore une fois elle se demandait si elle n’allait pas rebrousser chemin. C’était son ultime chance de renoncer, après il en serait fini. Elle acceptait de se livrer corps et âme à Laurent.
Elle posa la main sur la poignée, tremblant de partout. Elle avait bien du mal à maîtriser ses mouvements. Il lui semblait que le monde autour d’elle se brouillait. Les forces lui manquaient. Il faut que je me reprenne se sermonna-t-elle ! Elle lâcha la poignée, respira un grand coup et ferma les yeux. Quelques secondes. Juste quelques secondes. Enfin elle rouvrit les yeux, poussa la porte et pénétra dans l’antre du vice et de la torture. Elle s’acclimata la vue à l’éclairage indirect mais ne distingua personne.
– Avance !
C’était la voix de Laurent, comme venue de nul part. Anne tourna bien la tête dans la direction d’où semblait provenir le son, mais elle ne vit rien. Elle s’avança donc comme le lui avait intimé la voix.
Pas après pas. Doucement. Timidement. Anne avançait. Elle connaissait déjà l’endroit, aussi elle évitait de se cogner dans certains objets disposés sur la trajectoire qu’elle avait choisie. Encore quelques pas dans le silence et la lumière tamisée et derrière un pilier qu’elle atteignait, Laurent se matérialisa. Il fit un pas de côté afin de se trouver dans une zone éclairée. Anne, tétanisée, stoppa net. Il la regardait. Elle n’osait plus bouger un cil ni quoi que ce soit d’autre. Son cœur se remit à battre la chamade. Elle regardait le sol n’osant pas lever la tête vers le regard qui la traversait. Laurent avança vers elle, puis fit le tour en l’observant sous toutes les coutures. Il revint devant elle, s’arrêta un instant puis alla s’asseoir sur un sofa tout près d’eux.
– Pourquoi es-tu venue ?
– Pourqu … Euh … je suis … Euh … Pour vous Laurent.
– Tu te moques de moi je suppose ?
– ??? …
– Tu peux me dire quelle est cette tenue ??!
– Ben … Euh … C’est que …
– Tu viens me voir dans ce lieu, pour moi dis-tu, et tu arrives en pantalon ? Alors je crois vraiment que tu te moques de moi !
– Non, pas du tout.
– Enlèves-moi ça de suite !
– Quoi ?? Mon pantalon ?
– Oui.
– Très bien. Je le quitte.
Anne s’exécuta, penaude. Mais pourquoi n’avait-elle pas pensé à ça. Quelle bécasse je fais se dit-elle. Cela commence bien. Je crois qu’il va me dire de rentrer chez moi dans pas longtemps. Laurent s’était de nouveau relevé et tournait encore autour d’elle sans un mot. Un fois encore, Anne ne bougeait ni ne parlait. Elle attendait sagement la suite. Son cœur battait encore un peu vite mais elle avait retrouvé un peu de sérénité.
– Enlève le reste !

Anne ne broncha point cette fois et en peu de temps elle se retrouva complètement nue devant Laurent qui ne la quittait pas des yeux. Instinctivement elle mit une main devant son pubis et son bras contre ses seins. Laurent fronça les sourcils comme on fait les gros yeux à un enfant. Le message passa rapidement et Anne mit ses bras le long de son corps. Un petit mouvement du menton confirma à Anne qu’il était satisfait. Il reprit son inspection, d’abord en soupesant ses seins que semble-t-il, il trouvait à son goût. D’autant plus que les tétons étaient très réactifs. Cette simple caresse les avait fait se dresser. Il les serra entre le pouce et l’indexe et exerça une légère pression d’abord, puis plus fort. Il relâcha son étreinte et pu constater qu’ils avaient quasiment doublés de volume. Bigre se dit-il, voilà qui promet. Il caressa le ventre qui se contracta au contact des doigts. La main descendit un peu jusqu’à effleurer la petite touffe de poils soyeux qui ornait le pubis, mais la caresse s’arrêta là et il passa derrière Anne. Joli cul ! Se dit-il. De belles fesses rebondies que certes il avait déjà pu admirer et même plus, mais là, ce n’était pas pareil. Une petite claque sur une fesse provoqua un frisson qui remonta tout le long de l’échine de la belle. Il insinua une main entre les deux globes charnus puis remonta le long de la colonne vertébrale jusqu’à la nuque. Le même frisson secoua Anne qui eut la chair de poule instantanément. Laurent revint devant elle, lui caressa la joue, tendrement, une satisfaction muette dans le regard et retourna s’asseoir.
– Je suis très heureux que tu sois là.
– Merci Laurent.
– Bien, dis-moi. Hier, as-tu été satisfaite de ce que je t’ai fait ?
– Ben … Euh … Comment ça ?
– Ma question est pourtant claire. Tu te souviens de ce qu’il t’est arrivé ici, hier ?
– Oui.
– Alors ma question est : Cela t’a-t-il plu?
– Oui.
– Très bien. Alors maintenant c’est à toi de me satisfaire.
– ???
– Dois-je répéter ?
– Non, non, je crois que j’ai compris.

Anne s’approcha de Laurent, se mit à genoux devant lui, entre ses jambes et s’attacha à défaire ceinture, bouton de pantalon et zip de braguette avec autant de zèle qu’elle pouvait. Laurent fit son possible pour lui faciliter la tâche et se retrouva rapidement avec pantalon et caleçon au bas des mollets. Toutes les étapes précédentes l’avaient bien émoustillé et Anne pu remarquer sa demi érection. Elle s’empara bien vite du membre qu’elle avait eu dans la chatte hier pour son plus grand plaisir, et se mit en devoir de lui rendre la pareille. Laurent assis sur le devant du siège écartait bien ses cuisses, ainsi, Anne put se saisir des couilles qu’elle malaxa d’une main alors que l’autre jouait de la hampe maintenant bien raide. Il lui posa une main sur la tête et n’eut pas besoin d’appuyer. Anne se pencha aussitôt et pris délicatement le gland entre ses lèvres. Du bout de la langue elle le titillait et continuait à branler cette bite qui devenait de plus en plus dur. Sans sollicitation de Laurent, elle engloutit la queue au fond de sa gorge lui provoquant un haut le cœur immédiat. Elle ressortit l’engin pour retrouver son souffle et se remit à la tâche. Alternant gorge profonde et branlette, Laurent n’allait pas résister très longtemps à ce traitement d’experte. Il la freina dans ses ardeurs et lui dit de venir sur lui à califourchon. Elle mit un genou de chaque côté des cuisses de Laurent et vint s’empaler le minou sur le pieu dressé. Elle ferma les yeux de bonheur. Elle était assise sur les cuisses de Laurent, sa queue au fond de son vagin. Ensuite elle se mit à monter et descendre jusqu’à ce que le rythme devienne effréné. Là encore il la stoppa et lui dit qu’il voulait jouir sur ses seins. Elle repris donc sa position à genoux devant lui et repris la bite en main et la branla jusqu’à ce qu’un jet puissant allié à un ahanement rauque lui éclabousse les nibards. Plusieurs saccades encore vinrent décharger leur foutre sur les seins gonflés et glisser sur son ventre et se perdre dans la toison bouclée.
Anne resta assise aux pieds de son Maître, tous deux les sens apaisés.
– Anne, écoutes-moi bien maintenant. Puisque tu as accepté de venir ici ce soir comme je te l’avais demandé, j’en déduis que tu m’acceptes comme guide. Dorénavant, je ne veux plus te voir en pantalon en ma présence. Tu ne porteras plus ni culotte, ni string ou autres ? Je te laisse le choix de mettre ou non un soutien-gorge. Je n’aime pas les poils, je te veux glabre. Chaque fois que je le déciderais nous nous retrouverons ici ou chez moi. Je n’ai aucune intention de te partager avec qui que ce soit, tu restes à mon entière disposition. De même que je t’interdis de baiser avec d’autres hommes ou femmes sans mon autorisation. Tout manquement, refus, oubli, hésitation, etc., seront punis. Est-ce que nous sommes d’accord ?
– Oui Laurent, j’accepte ces conditions.
– Tout comme pour Margot je te trouverais un pseudonyme. Je te ferais faire également une marque distinctive d’appartenance mais tu n’auras pas de collier de chienne, je n’aime pas ça. D’autre part je ne suis plus Laurent pour toi mais seulement « Monsieur ». Nous sommes toujours d’accord ?
– Oui. Euh … Monsieur.
– Parfait. Je rédigerais un contrat que tu signeras ultérieurement. Es-tu prête à accepter tout ce que je te demanderais ?
– Euh, je crois, oui. Euh … Monsieur pardon.
– Fais attention si tu ne veux pas être punie il va falloir vite t’habituer. Réponds-moi correctement. Es-tu prête à accepter tout ce que je te demanderais ?
– Oui Monsieur.
– Très bien. Nous allons commencer tout de suite alors. Redonne des couleurs à ma bite j’ai encore envie de te baiser!

A suivre…

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