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Avec ma femme en club échangiste, nouvelle

Avec ma femme en club échangiste, nouvelle



Suite des aventures de mon épouse et moi même en club libertin. Vous aviez déjà pu lire un texte sur notre première vraie expérience (voir mon histoire précédente) :

Cette fois ci, un nouveau cap 100% plaisir a été franchi. J’espère que ces textes seront de quelques utilités à un autre couple souhaitant « passer à l’acte »…

Notre précédente expérience s’était déroulée dans un club distant géographiquement, perdu et peu fréquenté. Discrétion assurée, mais l’ambiance, même si nous avions fait de belles rencontres, était assez calme. Changement de cap cette fois, avec un club dans une des plus grosses villes de France, pignon sur rue, aux décors (selon le site) somptueux et une surface étonnante. Comme toujours, les avis des clients sont partagés sur le web, mais nous décidons de pousser la porte. Ma femme est motivée mais y va un peu en marche arrière. Toujours cet étrange paradoxe car je la sens hésitante, elle le dit elle même, et pourtant c’est elle qui va, on va le voir, prendre le contrôle de la situation, du moins aller plus loin que je ne l’imaginais… Les femmes sont pleines de surprises.

L’accueil est idéal et tout le monde semble très décomplexé. Nous faisons carrément la queue pour rentrer et nous constatons avec ravissement qu’il y a des gens de tous âges et que tout semble très naturel. Le personnel est lui aussi très sympa, on croirait rentrer dans une boite classique…

Une fois rentré, déco somptueuse, mieux que décrit, nous nous demandons ou les avis négatifs ont il pu être trouvés. Sans doute des concurrents. C’est un soir de grande affluence d’après les personnes que nous avons rencontré plus tard. Tant mieux.

Juste une serviette autour de la taille, la chaleur est étouffante, et bon nombre de femmes sont seins nus, mais chacun masque (encore) ses attributs sexuels. Après un tour au hammam, ma femme, habituellement très pudique, se ballade les seins à l’air très à l’aise, devant des hommes et des femmes qui ne matent pas plus que dans la rue. Le fait qu’il y ait beaucoup de monde et que tout semble « normal » aide bien.
Mon épouse est jolie, elle a des petits seins, et c’est peut être plus facile que pour une femme ayant de grosses mamelles excitantes. D’ailleurs les femmes à forte poitrine cachent leurs boobs, immédiatement davantage considérés comme « organes sexuels », alors que les petits seins sont moins considérés comme des organes sexuels.
Ici et là, en fonction des activités (jacuzzi, etc), des hommes ont la queue à l’air. Certains bien membrés, d’autres plus modestes, je me trouve d’ailleurs dans la petite moyenne. Pour ma défense, ma femme et moi avons déjà baisés à l’hotel comme des fous avant, et je suis bien « vidé », mon engin ressemble donc plutôt à une nouille à ce moment là. Bizarrement, je n’en érpouve aucun complexe. Ma femme a eut un bel orgasme également à l’hotel une heure avant, du coup, nous observons le tout calmement, avec pas trop d’empressement, sans trop d’excitation, un peu « détachés ».

Nous oublions vite le bar (pourtant fourni de monde, je suis étonné des gens qui viennent là semble t’il uniquement pour boire une verre à poil au bar et c’est tout) pour trainer dans les incroyables dédales de coins calins. Petits coins avec trous dans les parois pour sucer des queues, petits « placards à balais » ou l’on tient à peine à deux, grands coins ou les parties peuvent se dérouler à 6, à la vue de tous, ou cachés, il y a de tout, et surtout beaucoup. C’est impressionnant.

Nous faisons 3 fois le tour du proprio, des coins « baise » au hammam, du bar au jacuzzi, etc et je sens qu’il faut qu’il se passe quelque chose à ce stade, sinon il ne se passera rien. C’est surtout qu’on ne sait pas trop comment s’y prendre. Nous croisons des couples, pas mal, et aussi pas mal d’hommes seuls. Ceci ne me dérange pas, tout le monde est très poli et très calme, chacun prends donc son plaisir ou il veut.

Je fais rentrer ma femme dans une petite pièce avec des trous pour qu’elle me suce un peu et pour que, si quelqu’un veut nous voir, ou si un type veut montrer sa pine à travers le trou, cela puisse « dégénérer ». Ma femme me suce mais immédiatement, une belle queue apparait dans un trou de la paroi. Un glory hole ! Un grand fantasme pour moi. Ma femme se met (un peu à ma surprise, mais bon, c’était bien le but) à sucer cette queue qui dépasse. Elle est notoirement plus grosse que la mienne et si dans notre expérience libertine précédente j’avais fait le malin, ici la suite va nous montrer que j’ai du faire profil bas. La voici qui pompe cette queue et la mienne en alternance… je commence à être très excité, semble t’il qu’elle aussi.

Derrière un grillage, je vois que ça se bouscule derrière le trou. Le nombre d’hommes à vouloir simplement voir ou se faire sucer passe à 2, 3, 4… L’un d’eux attire mon attention : je lui fais signe de rentrer avec moi dans la petite pièce. Il s’agit d’un black qui a l’air sympa et j’ai envie de voir la réaction de ma femme devant ce nouveau venu.
Je rappelle qu’elle est venue timide et, attirée par une expérience couple/couple, elle m’a toujours dit qu’une expérience avec plusieurs hommes ne la tentait pas. Et pourtant, quelques instants plus tard, la voici en train de sucer gouluement 3 queues en même temps, visiblement avec grand plaisir, dont la mienne, et celle du black. Il n’est pas du tout monté comme un âne, la légende en prends un coup, mais bon.

Ces messieurs ne semblent pas vouloir jouir et surtout j’ai envie de passer à autre chose, ma femme aussi, je le sais, je le sens. Nous changeons donc de coin calin pour rejoindre un endroit ou nous pouvons nous allonger. Je congédie les deux mecs qui se sont fait sucer par ma femme : le premier est un peu lourd (il nous colle un peu) et le black est quand même normalement équipé mais bande un peu mou, il y a suffisamment d’autres personnes pour faire joujou.

Nous filons les deux dans une pièce un peu plus grande, ou nous pouvons nous allonger. Ma femme me suce, je la sens bien excitée (elle si pudique qui ne savait pas trop…) et voici qu’un couple jette un oeil à la porte. Nous faisons signe de rentrer. Nous nous installons naturellement cote à cote et discutons. La femme trouve que je suis déjà « bien raide » et l’homme du couple a lui le sexe mi flasque… La femme n’a pas de seins du tout (mais pas DU TOUT) et je trouve ça un peu dommage (surtout que je verras en plus que ses deux petits tits ne sont pas du tout sensibles), un peu un gros cul, mais bon… Ils sont sympas, le courant passe. Ils ne sont pas un couple, mais deux amis qui « sortent ensemble » en club, deux célibataires qui d’ailleurs, ne couchent pas ensemble. Etonnant non ? Lui a une petite trentaine, elle 40 ans. On sent que ce sont des habitués.

Rapidement, la nouvelle venue me suce la queue. Joie et délice, une suceuse incroyable. Je le dis tout net : elle pompe mieux que ma femme, enfin… de façon plus « goulue et énergique ». Rançon de la gloire, ma sève monte très vite. J’ai à faire à une pro qui avale ma pine en entier comme de rien, alors que mon épouse ne peut prendre plus d’une petite moitié. Quelle experte !

Je regarde alors à côté. C’est troublant : l’homme est bien mieux fait que moi. Brun, bien taillé, son sexe a durci sous la langue de mon épouse et il est notoirement plus gros que le mien… Pour la première fois, je n’ai plus « le contrôle total », ce n’est plus moi le « mâle » de la partie et je vois ma femme se régaler avec cette queue. Elle semble bien appliquée.
Puis incroyable : l’homme se relève et les voici qui s’embrassent à pleine bouche. Quelle incroyable mélange d’excitation, « d’énervement positif » et de curiosité. Un sentiment inexplicable. Ma femme, très belle, plus belle que la brune en train de véritablement m’avaler la queue, est dans une véritable scène d’amour avec un bellâtre. Un beau fantasme, un bon moment pour elle, et je me sens « un peu à la traîne ». Une pointe de jalousie sans doute, mais ce serait mal venu, et surtout je suis venu pour ça, pour son plaisir, pour constater (si besoin était) qu’elle est désirable, qu’elle est salope aussi. Je suis servi.

Puis le beau brun a lécher avec force salive la jolie fente de mon épouse, que j’imagine trempée, enfile une capote. Elle n’est pas fan de cuni et je constate avec plaisir que le jeune homme n’a pas vraiment réussi à la faire décoller non plus de ce côté là.
Il commence à baiser ma femme et surprise, il la défonce comme un dingue, directement. Il a une énorme pine durcie comme jamais et il est sur elle, j’entends claquer son ventre sur celui de mon épouse, il lui défonce la chatte comme jamais je ne l’ai fait, parce que je trouve ça abrupte et parce que a priori, ce n’est pas son truc. Imaginez ce qui vous passe par la tête à cet instant là… Je bande encore en y pensant et je confirme, il faut une grande complicité pour arriver à trouver un équilibre à ce moment précis.

Je ne reste pas sans rien faire et je lèche le bon cul de la brune qui m’accompagne. Je constate que je guette ma femme du coin de l’oeil sans cesse alors qu’elle, elle me le dira elle même, est complétement partie dans son truc, en train de se faire baiser comme une belle salope. J’ai voulu, je suis servi.
« Ma brune » n’aime pas se faire travailler le trou du cul, dommage, je suis fan d’anulingus. Je la lèche, elle apprécie beaucoup, au contraire. Je lui bouffe le minou mais je décide moi aussi de lui prendre la chatte au plus vite. Mauvaise surprise, les capotes fournies par le club sont super épaisses, dures et sans gel ou presque. J’ai bien du mal à enfiler cette conne de capote et je me sens mal à l’aise. Pourtant, un beau spectacle se passe devant moi. Ma femme et « ma brune » se roulent désormais des pelles pendant que le beau brun écarte les cuisses de ma femme en lui retournant carrément le minou à grands coups de queue.

Mon épouse prends un plaisir énorme à tout ça… je suis à côté de la scène, spectateur privilégié, chanceux, excité, mais pas vraiment l’acteur principal. Je n’ai jamais trouvé ma femme aussi belle, d’ailleurs le couple qui nous accompagne ne tarit pas d’éloge non plus sur le fait que, surtout à plus de 40 ans, elle soit aussi bien faite. Je confirme totalement. Est il naturel de se sentir plus amoureux que jamais en voyant sa femme aux « prises sexuelles » avec un autre homme, viril, et une femme. L’esprit humain est composé de bien des choses…

Capote enfin mise, je décide de pénétrer la brune (je n’ai pas su son prénom, nous nous sommes amusés de cela car « quelle importance ») et énorme surprise (décidément !) elle est étroite comme pas possible. Elle me dit « ne fais pas durer deux heures, j’ai envie de profiter encore beaucoup de ma soirée ». Je comprends sa crainte, mon voisin pilone comme un fou sans cesse, elle a peur que je fasse de même. Ce sera très différent ! Ma queue se forge une place difficilement dans ce minou super serré. J’ai l’impression de prendre de force une jeune vierge… je dois dire que ce n’est pas ce qui m’est de plus agréable, car je sens cette femme offerte en attente du même rythme que mon voisin, qui lime mon épouse comme un dingue depuis plusieurs minutes pour son plaisir « qui s’entends ». Ceci me mets la pression. C’est con, mais bon. Tout ça se déroule en quelques minutes.

Ma queue ouvre cette chatte serrée et ma partenaire lâche des « oh putain, oh putain » de satisfaction. Elle se soulève un grand coup et ma bite ne coulisse pas du tout dans son minou. J’aurais du mettre du gel, j’aurais du mettre plus de salive, j’aurais du lui travailler la chatte avec plus de doigts… bref, entre elle et moi, c’est une histoire de « j’aurais du ». La sanction arrive rapidement : je jouis comme un gros cochon au bout de 3 va-et-vient, on dirait un ado. Excitation notoire bite prise dans un étau de chair cris de ma femme baisée comme une belle salope = perte de contrôle. Ce n’est pas un moment glorieux, mais chacun vit les choses de façon très cool et à mon âge, je n’ai plus rien à prouver à personne, je ne suis pas précoce de nature et ce petit « incident » certes ne me valorise pas, mais n’atteint pas mon égo.

Ma partenaire s’amuse mais sans méchanceté, moi même je rigole, s’il y a bien un moment et un lieu ou il n’y a pas d’obligation de performance, c’est bien là. Nous nous amusons de la chose et rions de la comparaison avec le beau brun qui martèle ma femme en la prenant désormais par derrière comme un dingue. Un vrai robot, il ne s’arrête pas. Dommage, ça commence à être moins bien. Je connais ma femme, elle commence à s’ennuyer un peu tant notre ténébreux fait le marteau pilon sans variation ni répit. Il n’empêche que mon esprit est marqué : j’ai vu mon épouse se faire défoncer par devant, par derrière, et elle adoré ça. Elle apprécie d’ailleurs encore, même si l’orgasme ne sera plus atteint. Comme quoi… car pour ma part, je sais la faire décoller à la carte. C’est la fusion du couple.

Après tout… jusqu’alors et au fil de nos expériences, ça a plutôt été moi qui ait été « bien servi ». Lors de notre première expérience, nous avions rencontré une belle femme gourmande et un monsieur certes très sympa, mais vraiment « peu équipé » et ma femme en avait ressenti une certaine frustration. Pour le coup, les cartes sont inversées. Je traduis ça en termes crus : je suis tombé une nana « dodue » sans boobs, avec qui l’alchimie n’a pas pris et que je n’ai pas su prendre tandis qu’elle s’est envoyée en l’air avec un bel homme qui lui a liquéfié le sexe à grands coups de queues. Chacun son tour.

Et puis quoi, je ne vais quand même pas me plaindre d’avoir une épouse rêvée, nous partageons tout. Elle aurait pu s’abstenir de l’aventure libertine, j’ai été à l’origine de ces nouvelles expériences. Elle m’a accompagné et en profite au delà de ses propres espérances. Super. Et je sais que je partage ma vie avec une femme aux ressources insoupçonnées.
Elle m’a dit avoir sucer 3 queues en même temps de façon un peu « mécanique », sans réel plaisir. Je crois bien sûr que si, elle a aimé ça, elle adore sucer, mais qu’elle se sent un peu coupable. Pensez, une femme mariée, pomper 3 bites sans vergogne ! Pour la partie défonce, c’est quand même sa première pénétration hors couple (officielle et j’espère) et elle est tombée sur un baiseur fou qui l’a prise avec force. Que pense t’elle maintenant ? Le beau brun qui l’a prise a découvert sa large chatte (car ma femme est très ouverte) et lui a fait découvrir du nouveau, la baise frénétique et infernale. Elle a aimé ça mais ne m’en parle pas davantage. C’était bien, c’est fait. On passe à la suite.

La suite justement. Nous quittons notre « couple d’amis » du moment : ce sont des fighters et il semble qu’ils vont « aller se faire mettre ailleurs ». Ils nous donnent deux ou trois astuces concernant le club. Très sympas ! Je dois dire que si je la croisais demain, je ne la reconnaitrais pas. C’est incroyable, moi qui suis physionomiste, pris dans l’ivresse du moment, l’obscurité, la concentration sur les corps… l’identité perd toute sa force.

Nous décidons, ma femme et moi, que nous en avons eu assez. J’ai joui de nouveau (quand même) et elle a bien ramassé. Elle me dit que quoi qu’il en soit, elle ne pourra pas avoir de nouvel orgasme. Dont acte.
Direction les douches. Deux hommes très bien faits sont là sous les douches et discutent, rigolent avec une femme que j’avais repéré quand même, plus âgée qu’eux. Elle doit avoir peut être 50 ans et les hommes sont plutôt dans la trentaine. Elle semble intéressée par l’un des deux surtout, elle se frotte à lui, qui a une queue énorme au repos. Décidement il faut avoir le moral bien accroché 🙂

L’autre homme est vraiment bien fait. Blond, musculeux, tatoué, il s’amuse (le con) à faire tournoyer sa semi érection en dansant. Il décoche un clin d’oeil à ma femme elle aussi sous la douche. Je note tout ça, mais on se sèche, je n’y prête guère plus attention. Elle me reparle plus tard de ce beau mâle bien fait et elle a été touchée par sa sollicitation, même rapide. Elle me dira plus tard, le lendemain : « avec lui, il y aurait peut-être eu quelque chose à faire ». Stupéfiant. Excitant.

Rappelez vous : ma femme ne savait pas trop si le libertinage était son truc et surtout pas uniquement avec des hommes. La voici qui imagine se faire prendre par différents hommes à la suite. Sans compter sur sa forte envie d’embrasser les femmes qui passent à sa portée. Ma brune mal honorée par mes soins avec été sujette à la volonté de ma femme de rouler des pelles… j’avais proposé à ma femme alors de lui manger le minou. Elle a dit non. A mon avis c’est encore là aussi plus une pudeur, un manque d’expérience surtout (c’est pour le coup une vraie découverte) qu’un manque d’envie.

Conclusion : j’ai vu des couples qui, sauf un, semblaient amoureux, unis et même avec des recherches très diverses, être « assez naturellement » à leur place. Le lieu était parfait et de nombreux sentiments s’emparent de moi au souvenir de cette soirée. J’en retire le fait d’être toujours très excité par cette expérience, et je sais que ceci va nourrir certains de nos fantasmes durant de longs mois, avant sans doute, que nous y retournions.
Ceci « redonne » du sang à une sexualité de couple riche et bien remplie. Après 15 ans d’union, une sexualité « réglementaire », ou en serions nous. Je fantasmerais sur ma voisine et ma femme se serait assoupie ou rêverait en secret de se faire prendre par un brun mystérieux ? Qui peut dire qu’il va passer toute sa vie de couple sans « dévier » ne serait que par l’envie ou la pensée, ce qui est aussi grave que par l’acte, finalement. Nous, nous vivons tout ça, elle ne connait pas l’homme qui l’a chevauchée comme une follet et si elle en a encore envie, nous savons ou aller, c’est moi l’emmène.

Elle m’a vu avant cela, et encore ce soir là, me faire sucer devant elle, baiser une autre femme. Elle n’en est pas jalouse. Ceci l’excite beaucoup, elle pensait même que ce serait pour elle « le plus excitant », je pense que maintenant elle peut dire que se faire prendre par de beaux hommes et avoir même des rapports avec une autre femme est tout aussi excitant. Tout est bon.

Nous vivons nos fantasmes, nous vivons les non dits des autres couples, les cocufiages, les 5 à 7 et les pensées de traverses des couples qui ne s’avoueraient jamais l’un l’autre le fond de leurs pensées. Et quand dans un couple, l’un des partenaires pense que la sexualité 1 1, dans la chambre parentale, est bien suffisante, sans piment particulier, et ce pendant 20 ans, il y a fort à parier pour que l’autre personne de ce couple s’ennuie un peu (beaucoup), à la folie…

En tous cas, c’est notre façon de fonctionner. Ma femme, à l’heure ou j’écris ces lignes, est en train de raconter tout ça à une amie, une très belle femme, qui est excitée par l’expérience et dont le mari ne prends en considération ni « la puissance sexuelle », ni les désirs les plus simples. Nous irons peut être la prochaine fois à trois, mais quoi qu’il en soit, à deux, nous avons vécu une très belle expérience.

Merci d’avoir eu le courage de me lire 🙂

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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