En pleine tempête.
Marie me poussa et je m’écrouler sur le lit en me cognant la tête contre la vitre arrière et le store.
Une bosse de plus.
Elle grimpa sur moi tandis que je m’installais plus confortablement tête douloureuse sur l’oreiller exciter comme un petit mulot avant sa première baise.
Yes ! Enfin ! J’y étais !
J’en frémissais de plaisir, un plaisir a****l. L’intélo en moi c’était volatiliser, je n’étais plus qu’une bête, un pré-humain qui salivait d’envie devant une femelle et une des plus belle qui soit, la plus bandante de la tribu. Quelle fierté !
Cé pas encore fait ! Me dit cette damnée voix.
Ta gueule, hurlai-je mentalement.
Cette fille la est dangereuse…
Ok! Ok…
Je frémis malgré moi, mais j’avais fermer le propane, alors… Et ces pas un petit ouragan qui allait m’empêcher de la baiser, enfin, plutôt de me faire baiser comme c’était partit.
Des trombes d’eau s’abattaient sur la forêt et la roulotte, s’en était assourdissant tout en rendant ce moment magique plus intime mais surtout plus humide. On était encore tout tremper tous les deux et le taux d’humidité devait être à 200/100.
Il faisait si noir a présent que je ne voyais pratiquement d’elle que les marques blanches de son bikini quelle devait porter plus souvent que son une pièce, mais quant un éclair déchirait le ciel la j’admirais son corps au proportion parfaite même pour une femme de 51 ans. Quand le noir revenait, avec ses petites tresses mouillées, on aurait dit une adolescente. Un mélange de bombe mature et d’ados, que demander de plus. Ma queue était si dure que je me sentais capable de perforer un trou dans une plaque d’acier.
Elle ne souriait plus maintenant visiblement aussi exciter que moi et me fixait les yeux mi-clos bouche entrouverte a genoux au-dessus de ma bitte me laissant un moment pour caresser ses longues cuisses, son ventre un peut mou et finalement sa poitrine douce, chaude et encore ferme pour son age avec ses pointes tendu que j’agacer timidement. Mes mains pressaient et soulevaient ses seins dont j’avais tant rêver, dont tellement d’homme avait du rêver. Elle me caressait les cuisses fraîchement raser et semblait apprécier.
-Té tellement belle ! Soupirai-je.
-Hum ! Fit-elle tout bas. Pis toute a toi Paul. Maudite belle cuisses !
D’entendre sa voix plus basse et plus rauque qu’a l’habitude me fit saliver.
Puis elle soupira doucement en agrippant fortement mon sexe entre ses cuisses tout en se penchant pour plaquer ses lèvres pleines si douce et humide sur les miennes. Moment magique. Nos dents de cognèrent.
Outch !
Je poser une main sur sa nuque, l’autre sur ses cheveux mouiller.
Sa langue pointue se faufila dans ma bouche et on se frencha frénétiquement, pendant qu’elle frottait mon gland un peut trop durement contre son sexe d’avant en arrière, du pubis a la craque de fesses attendant sans doute d’être bien mouiller pour le pousser à l’intérieur du vagin. Elle en profitait aussi pour s’agacer le clitoris au passage et c’était un peut douloureux. Mon gland était si sensible que je sentais très bien le petit bouton et chacun de ses poils pubiens. Nos langues humides s’agitaient furieusement l’une contre l’autre quant elle recommença son mouvement de pendule avec ma bite. Si elle continuait j’allais lui jouir dans la main, encore une fois, j’étais beaucoup trop exciter. Comment ne pas l’être, j’étais au lit avec Marie Lemieux et a deux doigts de la mettre.
Je grogner dans sa bouche si sensuelle en ravalant sa salive mélanger la mienne incapable de lui dire d’enfoncer ma bite en elle. Elle devait déjà pourtant être mouiller et prête. Je décider de prendre les devant, après tout j’étais le mâle non ?
Pendant que je lui suçais la langue en sentant ses tresses mouiller me caresser les joues et les oreilles, je pousser en soulevant le bassin sentant ma hampe glisser dans sa main.
Mon gland coinça légèrement enfoncé dans quelque chose d’étroit, je la sentit frémir, et ma bite plia. Une autre douleur de plus.
-Outch ! Lâcha telle appuyant son nez contre le mien toujours sensible sa main enserrant ma bitte encore plus fort. Ouuu… ! Non Paul, ça ces mon cul !
Et mon gland y entrait en se compressant. Je cesser de pousser.
-Désoler ! Fis-je en desserrant les fesses. Je, je l’ai pas fait exprès.
Un petit rire.
-Wais ! Wais ! Vous dite toute sa !
-Parole de scout !
Gros rire.
-Ouf, sa brûle ! Gros soupir. Sa vas Paul, ses pas la première fois qu’un gars me la met à la mauvaise place ! Les deux entrées son si près, petit cochon. Susurra telle a mon oreille d’un ton quelle voulait comique sans doute pour me rassurer ou m’exciter plus.
Gros frissons, un peut plus et j’enculais miss nouvelles. Ooouuu ! Quoi ? Elle avait dit les deux entrées ! Doux Jésus !
-Chut trop exciter Marie.
-Hum ! Je sens sa. Fit-elle en secouant ma bite quelle n’avait pas lâcher.
La, elle s’installa mieux, on était joue contre joue, son souffle chaud me chatouillait l’oreille pendant que je laissais mes mains glisser sur son dos osseux, ses hanches et ses fesses pas trop molle. Puis elle plaça mon gland au bon endroit a l’entré du vagin et s’empala par a coup sur ma bite en soulevant et rabaissant son beau cul que j’apercevais par intermittence comme s’il y avait un stroboscope dans la roulotte. Je soupirer longuement en sentant, enfin, ma queue s’enfoncer en elle de plus en plus profondément jusqu’à ce quelle soit obliger de me la lâcher.
Je soupirer de soulagement en sentant son sexe humide et chaud bien enserrer le mien.
-Hum ! Fit-elle en remuant un peut les fesses. Sa faisait longtemps. Tu vas pouvoir te retenir un peut ?
-Ouf ! Je vais faire mon gros possible !
-Hum ! Je comprends, tu me regarde depuis longtemps a la télé et la… Tu me fourre. Ça doit être très excitant hum !
-Oh oui ! Tes tellement belle Marie !
-Je vais y aller doucement !
Dehors c’était la folie furieuse. Un vent violent faisait tanguer la roulotte et grincer la suspension, la pluie crépitait contre les fenêtres et sur le toit et le tonnerre et les éclairs s’en donnaient à cœur joie. On entendait craquer des arbres comme si un géant s’amusait à les cassé comme des allumettes ou qu’un tyrannosaure voyeur s’amenait au pas de charge pour placer un oeil a la vitre arrière.
Une fois ma bite en elle jusqu’au couilles elle resta un moment sans bouger, soupirant contre ma joue, sa poitrine lourde, en sueur, écraser sur moi et elle ondula juste un peut des hanches de gauche a droite et c’était fabuleux. Elle était si mouiller que sa me coulait sur les couilles et la elle me demanda dans le creux de l’oreille sur un ton de confidence des plus érotique en me passant les mains dans les cheveux…
-Pis Paul, cé tu plus le fun de me fourrer que de photographier des champignons ?
Une petite décharge électrique me traversa le bas ventre.
Jésus Christ, les filles on le tour parfois de vous couper le plaisir en pleine baise avec juste une question. Mais une bonne. Et elle continua…
-En te passant un petit coup de poignets ?
Je déglutis, malheureux.
-Tu nous espionnais hum ?
J’étais sans voix, assommer, découvert… Je l’imaginais déjà m’arracher les yeux pour les jeter au corbeau dans la tempête.
-Je le sais ! Cé pas grave… Fit-elle sur un ton suave en me donnant un bec mouiller sur la joue avant de me la lécher lentement comme un reptile qui se prépare à gober tout rond un petit rat terrifier et paralyser. Étrangement, je bander plus dure.
Sa voix rauque était enjôleuse et elle continuait à bouger son derrière lentement en faisant des ronds.
-Je t’avais trop exciter ce matin Paul…
Grosse sueur froide et grimaces de plaisir. Les femmes, on peut rien leur cacher et moi j’aimais pas mentir alors je dis tout bas avec une voix de jeune garçon prit en défaut voulant amadouer sa mère.
-Ben… Wais. Un petit peut !
-Un petit peut… en nous filmant ?
Elle me lécha l’oreille et me suça le lobe en me l’étirant. Sa c’était cochon.
-Hum ! Hum ! Vous étiez tellement belle toutes les deux au soleil.
Un petit silence angoissant sous un fond de tempête et mon cœur qui cognait.
-TABARNAK ! Fit-elle en se redressant soudainement bien empaler sur mon vit. J’le savais !
Ma queue s’enfonça plus creux en elle tandis que mes yeux devenaient tout rond. Mon poil se dressa, enfin, le peut que j’ai.
Ton chien et mort. Me dit la Christ de voix.
Ta gueule.
La j’eu droit a une tape qui me débroîta l’épaule gauche, enfin presque. Et une autre au même endroit douloureux. Chaque fois quelle remuait sa m’agaçait tellement que je me tortillais sous elle.
-Outch ! Marie je…
-Maudit hommes que vous êtes tous pareil !
BANG ! ! !
Quelque chose de gros venait de heurter la roulotte violemment. On sursauta tous les deux et elle se cacha les seins. Pourquoi !
-Seigneur ! Fit-elle. Cé quoi sa ?
J’écarter les stores de la fenêtre arrière à porter de main pour regarder en me redressant un peut sur un coude m’attendant à voir un oeil reptilien géant. Mas non, juste une chaise de camping qui filait comme un missile a travers les sapins rudement secouer par les vents violents et la pluie. Je crue voir aussi un canoë remplie de pêcheurs apeurer volant dans le ciel emporter par l’orage mais j’avais dut rêver.
-Juste une chaise qui vole, la mienne je pense ! Dis-je en lâchant les stores et me laissant retomber sur le dos, penaud, mains sur ses cuisses lui faisant des petits yeux qui implorait son pardon. Enfin je l’espérais.
-Ah ! Fit-elle en lâchant ses seins pour m’agripper les mamelons avec ses pouces et ses index et me les tordre méchamment d’un bon demie-tour.
-Out ch ! Lâchai-je les orteils crisper en bandant plus dure encore comme si c’était possible.
-Je veux le film !
-Ok !
-Pas de copie ?
-Non !
-Tu recommenceras pas ?
Une autre demie-tour. Outch !
-Parole de scout ! Tu vas me les arracher !
-Tu le mériterais, voyeur !
La elle rit et rajouta.
-T’aurais pas mis sa sur internet j’espère ? Un autre demie tour.
Cé pas possible, a me les dévisse.
-Non !
-Non, je sais, cé pas ton genre… Je le voie dans tes yeux.
Elle lâcha mes mamelons douloureux et je me les frotter en grimaçant. Elle me regardait en riant mains sur ses cuisses en bougeant les hanches un peut.
-J’aurais jamais fait ça Marie !
-Je te croix…
-Merci !
-Parole de scout. Seigneur Paul ! J’ai pas entendu sa depuis la petite école.
-Une parole de scout ses sacrée.
Elle rie encore.
-Hum ! Ton pénis est plus dur !
-Cé la peur !
Elle rit plus fort, si belle.
-Woush ! Woush ! Fit-elle soudainement mains en l’air doigts écarter. Hum, sa marche. Dit-elle en commençant à se fourrer lentement tout en me plaquant les mains sur ses seins me faisant lui caresser avec force.
Ouf ! Je m’en étais sortit pas si mal. Mais je lui avais un peut mentit.
Son sourire disparu et elle commença à gémir bouche entrouverte en me chevauchant.
Je te l’avais dit, avec elle cé pas évident… ! Fit la petite voix.
Sa je le sais, ta gueule.
Elle se baisait lentement en se déhanchant merveilleusement, menton en l’air en geignant tout bas, une vrai torture. J’ai toujours été incapable de venir dans cette position. J’endurer mon mal en silence. Je ne me lassais pas de palper ses seins, son ventre, sa toison pubienne ovale, brune si douce et ses cuisses, la laissant prendre son plaisir. J’allais caresser son pubis du pouce pour peut-être la faire jouir mais la un craquement sinistre se fit entendre, je penser aussitôt a mes genoux mais un bruit infernal suivit aussitôt, quelque part près de la roulotte, puis une alarme d’auto.
-Oh non ! Fit-elle en stoppant avec juste mon gland en elle. Grosse grimace de ma part. Elle se pencha pour regarder par les stores.
Un autre grimace…
-Câlice mon camion ! S’écria telle. Ah non !
Je soupirer un peut décourager en me remettant sur un coude pour regarder aussi tout en repoussant un peut ma bite en elle dents serrer.
Dans la tourmente je ne vis que les feux arrière du véhicule qui clignotaient puis a la lueur d’un éclair je vis le meurtre.
Le Transformer avait presque été couper en deux par un immense sapin déraciner par les vents violents.
L’alarme, stoppa et les lumière s’éteignirent. Il venait de mourir.
-Cé ce qui arrive quant on boit trop ! Dis-je tout bas.
-Quoi !
-Hum ! Rien !
-Merde ! Fit-elle en se rassoyant d’un coup sur ma bite.
Oufff…
– Doucement Marie… Fis-je en refermant mes doigts sur ses cuisses comme des serres.
-Houps ! Désoler Paul. Maudit ! Sa faisait juste une semaine que je l’avais.
Elle se pencha sur moi pour allumer une petite veilleuse sur le mur. Comme ses seins se baladaient juste au-dessus de mon visage je voulu les amener à ma bouche mais elle se redressa ! Merde !
Gros soupir en pliant et dépliant les orteils, car chacun de ses mouvements agaçaient mon membre terriblement.
C’est à peine si la minuscule ampoule jaune perçait les ténèbres mais c’était suffisant pour mieux distinguer son corps de rêve.
-Ta des assurances ?
-Ben oui cé sur, mais, ça fait chier ! Pis j’ai un rendez-vous important demain matin en plus. Gros soupir de découragement. Je verrai, tant pis.
La elle regarda le plafond en se grignotant un ongle un bras sous ses seins. Moi je me languissant de ne pas pouvoir bouger. D’habitude ses pas si compliquer de baiser une fille y me semble…
La elle me regarda inquiète.
-On est pas en sécurité ici Paul !
-Non mais… y as rien de mieux aux alentours. Aucun ancien bunker allemand comme dans les vieux pays ou d’abris contre les tornades ou antiatomique comme dans certains campings au États-Unis. Pis on a pas d’autre voiture. De toute façon le chemin doit être barré par des arbres ou des branches cassées.
-Hum, ta raison.
-Comme on peut rien y faire, on pourrait peut-être… eh… Finir ce qu’on a commencer. Mon petit monsieur lui est bien au chaud dans un petit abris bien douillet et bien humide. Mourir dans les bras de la plus belle femme de l’histoire de l’humanité se serais bien quand même !
Gros sourire de Marie surprise. Elle me fit des yeux doux qui me donnèrent la chaire de poule.
J’ai le tour pareil avec les filles.
-Wow Paul, pour un gars timide sais tu… Mais de l’histoire du Québec sa aurais été suffisant.
-Of ! Fis-je feignant la modestie une main en l’air comme pour faire stopper un train.
-Comme ça t’on petit monsieur est bien la ? Fit-elle coquine en pointant son pubis et remuant le cul.
-Oui pas mal… Oufff…
-Ben voyons Paul, fit-elle drôlement, y et pas petit ton pénis… Yé juste bien…
-Merci !
La elle me regarda drôlement tête pencher, sourire au lèvre et se mit à me tapoter les mamelons avec ses index en faisant des petites mimiques de gamine. Drôle de fille et sa me faisait mal, ils étaient encore douloureux.
La femme si sérieuse, si brillante faisant la petite nonote. Bizarre et bandant à mort.
-Cé cute tes petites zébrures tout partout. On dirait vraiment qu’on tas fouetter.
-Outch ! Fis-je en lui pognant les doigts.
-Et que té moumoune ! Fit-elle agace avec un large sourire. Monsieur muscle lui aurait aimer sa !
Ah ben, j’y pense, y vient justement demain matin pour mon camion. Good, chut sauvé Paul, si Pierrette est pas revenue je vais avoir un pouce pour aller au village. Hum, le beau monsieur tout musclé Paul…
-Si y arrive à passé ! Dis-je en arborant un petit sourire de gamin qui vient de faire un mauvais coup.
-Chut pas inquiète, fit-elle rêveuse, je l’imagine torse nue, en sueur avec une grosse scie a chaîne dans les mains se frayant un passage jusqu’ici pour sauvé la belle Marie Lemieux. Hum !
Elle dit sa pour me provoquer en secouant la tête tout sourire, sourcil relever me fixant les yeux brillant. Les femmes aima sa jouer la carte de la jalousie pour nous rendre plus vigoureux et sa marcha.
Ma main droite se referma avec force sur ses seins gauche, grosse surprise sur le visage de miss télé, la droite sur sa nuque et je la soulever sans effort, malgré mon dos, ma bite toujours en elle, je la retourner tandis quelle criait et la laisser retomber sur le dos. J’arracher l’oreiller de sous sa tête pour lui fourrer sous les reins, quelque chose tomba par terre. Je placer ses mollets sur mes épaules et m’agripper à ses seins comme si ma vie en dépendait pour la besogner comme un dément.
-Ah oui ! Fit-elle aussitôt les yeux clos et se mordillant les lèvres. Christ oui, oh Paul… Esti que çé bon…
La voir comme sa me fit redoubler d’effort.
Chaque fois que mon bas ventre frappait bruyamment le dos de ses cuisses tout son corps de déesse en tremblait. Ses poings serraient le drap tandis que je la fourrais avec l’énergie du désespoir car je voulais jouir en elle avant de mourir comme le Transformer. Avec la journée que j’avais connu, je ne serais pas étonner qu’un arbre de deux tonnes me casse les reins.
Je la baisais en réalisant la chance que j’avais. Je ne me lassais pas d’admirer son corps en sueur et son doux visage un peut déformer par le plaisir a la lueur de la petite veilleuse et des éclairs qui se calmait un peut.
Je lâcher ses seins pour caresser ses longues cuisses musclées un moment.
Ma bite allait et venait tantôt lentement, tantôt rapidement dans son sexe bien lubrifier et c’était fabuleux, enivrant de baiser une fille pareille.
Et la, j’entendis quelque chose de si étrange que je faille en pleurer. Maudite journée de fou.
C’était Dominique Michel qui chantait… En veillant sur le perron.
Je soupirer les yeux hagards.
-Chit ! Fit Marie ouvrant les yeux en tendant la main vers le sol. Donne le moi y et tomber à terre, ça doit être Pierrette.
-Quoi ? Demandai-je la face en sueur en stoppant, bien enfoncer en elle, le cœur affoler en sentant mes couilles continuer a se balancer toute seule tellement elles avaient envie de se vider.
-Mon téléphone, a doit s’inquiéter Paul.
Je me pencher et le vit qui clignotait par terre, une photo de Pierrette souriante s’affichait avec Dominique Michel qui chantait toujours. Une sonnerie ridicule me dis-je pour une intello. Décevant. Enfin ! Personne n’est parfait.
Je le ramasser en me cramponnant d’un bras a ses longues jambes sans sortir d’elle. Maintenant que j’y étais… Je le ramasser, lui donner et recommencer à la pistonner bras croiser sur ses cuisses mais plus doucement et plus profondément tandis quelle l’ouvrait. L’écran LCD n’éclairait que son visage magnifique tandis quelle répondait comme si de rien était. Les filles sont comme sa.
C’était quand même bandant de la pénétrer pendant quelle jasait au téléphone. Hum !
-Ma tante… oui sa va… Hum !
J’en profiter pour amener un de ses mollets magnifiques a ma bouche, je l’embrassé, le lécher, le mordiller, soudainement fou d’amour pour cette partie de son corps et elle en frissonna en retroussant les orteils. Sa peau douce goûtait saler. Hummm…
-Ben oui… Ces l’enfer ma tante, un arbre est tomber sur mon camion… fini… Hum ! Hum… Mais non… on croise les doigts. Et toi… Ah oui… Paul ? Yé avec moi… oui… demain matin ok… Wais… Je te le passe. Oui… promit !
Elle me tendit le téléphone tout sourire.
Surprit, je du lâcher son bon mollet le laissant luisant de salive et prit l’appareil, puis elle ferma les yeux en amenant une main sur son pubis pour se masturber tandis que de l’autre elle se caressait les seins. Sa bouche s’ouvrit aussitôt et ses grands yeux en demie lune se refermèrent automatiquement.
Je stopper encore bien enfoncer en elle sentant le bout de ses doigts toucher ma bite. Moi faire deux choses en même temps…
-Oui !
-Paul sa va ?
La belle voix de Pierrette, légère, hautaine me fit salive… Lui parler avec ma bite dans sa nièce était très motivant.
-Ouiii… et vous ?
-Oufff… Lâcha Marie en se mordillant le coin de la bouche
-…otel est dans le noir, y plus de courant nulle part, des inondations, des arbres tomber, des routes coupées, l’enfer. J’espère que ta fourre d’aplomb ?
-Pardon !
-Ouuu… Marie grimpait tout seul a 7e ciel. Même pas besoin de petits becs sous les genoux. Décevant. Sa tête tournait de droite a gauche sur l’oreiller et elle rougissait à vu d’oeil jusqu’au épaule.
-…arie, ta fourre tu ? Sa y ferais du bien, si non saute-y dessus a n’en meure d’envie mon beau Paul. Profite ans. Est aussi gêner que toi !
Ma bite pulsa.
-Ok.
Le vagin de Marie se mit à se contracter autour de ma bitte. Ouf…
-…etite marche de demain tient toujours j’amènerais une amie si sa vous dérange pas ? Yé supposer faire beau !
Roulement de tonnerre.
-Quoi ? Fis-je en me bouchant l’autre oreille avec un doigt.
-La marche en pleine nature au chute demain Paul ! J’emmène ma copine ok ?
Une copine en balade nue fesses, Wow !
-Pas de problème !
Marie ferma soudainement les genoux très forts près de mon menton et sa fit… TOC ! On aurait dit un piège a ours qui se déclenche. Si j’avais eu la tête la, je serais mort. Puis elle cria de plaisir et gémit sans doute en plein orgasme. Ma bitte frémit de jalousie.
-Cé quoi ? Ma nièce va bien Paul ?
-Hum, eh oui, oui… Sa vas !
-Parfais, je vous laisse, amuser vous bien mais soyez prudents, si y as quec chose, appeler moi by !
-By !
Je jeter l’appareil sur le lit pendant que Marie s’agitait de plus en plus, une pure merveille. Elle remua tellement du bassin que mon pénis sortit su vagin, sans quitter son visage des yeux tellement je la trouvais belle dans cet état je reprit ma bite et pousser pour la remettre en elle mais…
-Outch ! Fit-elle en grimaçant le souffle court ouvrant soudainement les yeux. Paul, ces encore mon cul.
-Chit, désoler ! Fis-je en la replaçant au bon endroit, un petit peut plus haut et la pénétrant à nouveau.
-Seigneur Paul on dirait un ados, ou ta vraiment envie de me la mettre-la ? Hum, mon petit cochon !
Encore cet air et cette voix de petite nonote. Hum !
-Je m’excuse, ça ta pas empêcher d’en arriver à l’ultime conclusion j’espère ?
Gros sourire les yeux toujours fermer.
-L’ultime conclusion… Wais, mais cé pas grave, continue cé le fun… a bonne place hum !
Voulant aider, je rajouter en me remettant à l’ouvrage tout en commençant à trouver ses jambes lourde sur mes épaules.
-Peut être que des petits becs cé coudes ça t’aiderait ?
Gros fou rire.
Des branches fouettaient la roulotte.
-Paul… Tabarouette ! Dit telle en se lâchant le pubis et me regardant l’air décourager en se caressant les seins doucement. Dé petit bec cé coude… cé cuuute.
-Ah !
-Ça fait longtemps qu’un gars m’a pas fait rire comme toi. Ça fait du bien. Merci Paul. Fit-elle mielleuse en repliant les jambes pour poser ses pieds sur mon torse et commencer à me chatouiller les mamelons avec ses gros orteil. Mes mamelons l’obsédaient, pas de doute. Ma sa me distrayait un peut de ma mission.
-Pis cé le l’fun de baiser avec un gars qui se prend pas au sérieux ! Rajouta telle les yeux cochon.
-Of ! Fis-je modestement une main en l’air comme pour saluer un amérindien.
Gros craquement pas loin, un arbre tomba.
-Hiii ! Fit-elle. C’était pas loin ça !
Et la en entendit Homer Simpson crier. Marge, mes empreintes de fesses on disparue, Marge, mes empreintes de fesses on disparue, Marge, mes empreintes de fes…
-C’est le mien. Fis-je en fouillant dans les poches de mon pantalon sur le lit derrière moi pendant quelle riait comme une folle.
Une photo de Suzanne s’affichait.
-Ah, ces ma blonde.
Marie, me poussa avec ses pieds juste assez pour que ma bite sorte de son sexe, puis, elle se mit à quatre pattes cul vers moi reprit ma bite et ce la replaça dans le vagin. Je m’enfoncer encore en elle les yeux river sur son anus brun pale et son cul splendide de vedette en entendant…
-Paul… Paul… Tes la ?
-Ouiiiii… ! Fis-je en grimaçant car Marie se mit à se baiser lentement d‘avant en arrière, automatiquement je suivit le mouvement mon ventre heurtant ses fesses doucement. Les petites cerises sursautaient.
-Paul sa va ?
Je mit sur haut-parleur et poser mon téléphone dans le creux des reins de Marie qui me regarda intriguer. Comme sa je put lui agripper les hanches solidement pour mieux la baiser en jasant !
-Oui toi ?
-On a pu de courant, les routes sont bloquer, des ponts son disparue. Je vais être coincer ici au moins une semaine y paraît. Comment est ce que tu vas t’arranger ? Ta pas d’auto.
-Les voisines sont toujours la, t’inquiète pas.
Chaque fois que je frappais les fesses le téléphone tanguait et la, Suzanne du entendre le bruit de mon ventre heurtant Marie car elle demanda.
-Té entrain de faire ce que je pense Paul ?
-Oui !
-Je tombe mal désoler… Je peux savoir qui est la ?
-C’est Marie, mais ces confidentiel !
-Oh, çé sure ! Salut Mme Lemieux.
-Salut ! Fit Marie en pâmoison les yeux mi-clos mais tout sourire.
-Mon petit écureuil s’agite bien ? Demanda Suzanne.
Gros fou rire de Marie et de ma blonde.
-Oui ! Fini par dire Marie au bout d’un moment. Oui, pas mal. Et ben… vous êtes un drôle de couple tous les deux ! Et vous, y as un petit écureuil dans le coin ?
-Moi, avec la devanture que j’ai, y en as toujours plusieurs.
Encore des rires.
-Plusieurs, fit Marie, vous êtes chanceuse Suzanne moi j’en et qu’un, pis y et toute en sueur.
Encore des rires. Ah les filles.
-Bon, je vais vous laisser ? Fit Suzanne.
– Et ta soeur va bien ! Demandai-je.
Gros silence inquiétant tandis que je passais un pouce sur l’anus plisser de Marie Lemieux. Sa me fit frissonner.
-Suzanne tes la ?
-Ouais, ben… Oui, a vas bien… Eh… j’ai rencontrer Mike…
-Pardon…
-T’inquiète pas, je t’aime Paul. Amuse-toi bien. Si y as quec chose appelle moi ok ? Salut Marie !
-Salut !
-By !
-By !
Je fermer l’appareil et le jeter derrière moi. La tentation de m’en servir pour filmer le cul de Marie était trop grande.
-Ca vas, ta l’air bizarre Paul ? Me demanda telle les yeux vitreux tête tourner vers moi.
Ses seins étirer se balançait au même rythme que mes couilles.
-Wais ça vas bien, mais a la rencontrer son ex…
La je me mit à la besogner avec plus de force, ses fesses rebondissaient merveilleusement.
-Oh…
-Hum…
-Et ses mauvais ça ! Demanda telle en se mettant sur les coudes le front sur l’oreiller. Son cul sembla élargir, un cul tout blanc que j’admirais, que je pressais et que caressait en salivant tout en regardant ma bite luisante de déjection vaginale aller et venir en elle.
-D’habitude oui ! A part avec un moment, y se remet à boire et a baiser tout ce qui bouge malgré ces belles promesses et elle revient en petits morceaux.
-Pauvre toi, je vais te la faire oublier pour ce soir ! Dit-elle. Ouf… Oui… Ah oui…
Je m’acharner un long moment concentrer sur mon plaisir mais sans pouvoir décharger. On changea de position, elle se mit sur le dos, ramenant l’oreiller sous sa tête, jambes croiser sur mes reins et je mis remit. J’embrasser sa gorge tendre, ses joues, on se frencha longuement et enfin j’amener la pointe de ses seins a ma bouche lui arrachant de jolie plaintes tandis quelle me caressait les fesses. Mais rien a faire l’orgasme m’échappait et je fatiguais. Sa faisait déjà près d’une heure que je la besognais, a mon age ses pas si mal.
-Tu y arrive pas ? Me demanda telle quand je m’écrouler sur elle a bout de souffle et en sueur avec le cœur qui cognait.
-Non, désoler sa te prendrait un petit jeune.
-Ben non. Fit-elle rassurante en me tapant les fesses. Attend !
Elle me fit rouler sur le dos, ferma la veilleuse et s’agenouilla entre mes jambes écarter. Je la sentit avaler ma bitte et me faire une pipe baveuse en me masturbant comme ce matin avec ses tresses qui me chatouillait les cuisses.
Tout mon corps se raidit quand elle ne garda que mon gland entre ses lèvres et que elle me masturba plus vite.
Cette fois je jouis… Elle sursauta un peut et avala tout jusqu’a la dernière goutte avant de venir s’étendre contre moi.
-Merci ! Dis-je en haletant, soulagé.
-De rien, c’était le fun Paul.
On s’endormit avec la tempête qui faisait toujours rage…
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