Sur un site de rencontres coquines, je fais la connaissance d’une jeune femme s’annonçant comme étant transsexuelle et se nommant Alice. Je voyais certaines de ses photos et je me trouvais attiré par ses charmes. Nous discutons un peu puis je l’invite à venir boire un verre chez moi en soirée. Le soir venu, je l’entends sonner à la porte d’entrée de mon immeuble et je descends pour lui ouvrir. Sur le coup, je suis resté époustouflé devant elle. Elle était de type polynésien, presque aussi grande que moi sur ses talons, des cheveux noirs et des yeux bruns. Pour l’occasion, elle portait une jupe bleu clair avec un chemisier blanc dont quelques boutons du haut étaient détachés, juste assez pour stimuler l’imagination et la curiosité, d’autant plus qu’elle m’avait avoué sur internet faire du 100D. Nous nous faisons la bise et je la laisse passer devant en lui indiquant de monter jusqu’au premier étage. Dans les escaliers, j’ai eu l’opportunité de voir sous sa jupe et d’apercevoir son string blanc. Je la fais ensuite rentrer dans mon appartement puis je lui propose de s’installer sur le canapé. Avant de m’installer à côté d’elle, je lui demande si elle veut boire quelque chose. Nous prenons tous les deux une bière chacun puis je m’assoie à côté d’elle. Nous commençons à discuter un peu, puis sa transsexualité arrive rapidement dans la conversation. Elle m’explique qu’elle est ainsi naturellement, sans opération, et qu’elle le vivait bien. Elle m’explique aussi qu’à son travail seul son patron est au courant pour ce qu’elle a entre les jambes. Je lui demande alors comment l’a-t-il appris et elle me répond que c’est parce que ce dernier lui avait fait des avances.
Elle commence à me raconter en détail qu’un soir après la fermeture, elle s’est retrouvée seule avec lui et que ce dernier avait commencé par venir derrière elle, à descendre sa tête au niveau de la sienne, puis à lui poser les mains sur les épaules. Il a ensuite entrepris de lui faire un massage et qu’elle se laissait aller et qu’elle se détendait peu à peu. Au bout d’un moment, son patron a commencé à descendre petit à petit ses mains vers l’avant de ses épaules, puis vers le haut de son buste jusqu’à la naissance de ses seins. Ne voyant aucune réticence de la part d’Alice, son patron commença à lui défaire son chemisier pour y faire entrer ses mains. Lorsqu’il lui prit les seins entre son chemisier et son soutien-gorge, Alice se mit à respirer de plus en plus fort. Il lui malaxait ses charmes mammaires de plus en plus forts et cela lui fit durcir les tétons. Il entreprit alors de lui titiller ceux-ci sous son dernier vêtement. Elle ne pouvait plus retenir ses gémissements tellement le plaisir l’envahissait. Tout d’un coup, son patron lui fit tourner son fauteuil de façon qu’elle soit face à lui et il lui déboutonna le reste de son chemisier, puis il lui enleva son soutien-gorge pour profiter au mieux de ses deux globes. Elle se trouvait maintenant torse nu devant son patron qui en profita pour ouvrir son pantalon et ainsi laisser sortir son sexe en érection. Alice lui prit ce dernier dans sa main et commença à le masturber pendant que celui-ci lui caressait à nouveau les seins et les tétons. Elle le prit ensuite en bouche et lui prodigua une fellation qui lui plut beaucoup au vu des gémissements qu’il faisait à chaque coup de langue sur son gland. Le patron d’Alice entreprit alors de lui rendre la pareille et lui releva la jupe mais, lorsqu’il vit que cette dernière avait un pénis entre les jambes elle aussi, il s’arrêta net, se rhabilla et repartit. Par la suite, il se comporta avec Alice comme si tout cela ne s’était jamais passé.
Pendant qu’Alice me racontait son histoire, je me suis rapproché d’elle et je commençais à lui caresser les cheveux d’une main et la cuisse de l’autre. Dans la position où j’étais, je pouvais voir qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Je plongeais mon regard dans son décolleté pour détailler ses seins jusqu’à apercevoir le début de ses aréoles brunes ainsi que ses tétons qui pointaient sous l’excitation de son récit. J’étais à quelques centimètres d’elle et j’ai eu la soudaine envie de l’embrasser dans le cou. Sous mes baisers, Alice se mit à gémir, ce qui m’encouragea à continuer en remontant jusqu’à son oreille que je me mis à mordiller puis je suis redescendu dans son cou. Je sentais sa main se poser sur ma jambe et remonter doucement jusqu’à mon entrejambe. De sa main libre, Alice déboutonna son chemisier puis ouvrit ce dernier pour me permettre d’admirer la vue. Ma main qui était sur sa cuisse remonta rapidement vers le sein le plus loin de moi pour le caresser tandis ma bouche descendait vers l’autre et se mit à l’embrasser, le lécher, le sucer. Ses tétons déjà durs ne tardèrent pas à devenir très sensibles et, à chaque fois que je les touchais, cela lui arrachait un gémissement de plaisir. De l’endroit où je me trouvais sur elle, je pus apercevoir sur sa jupe une petite bosse se former. Pendant ce temps, elle avait réussi à ouvrir mon pantalon et atteindre mon sexe déjà bien dur par l’excitation. Ce dernier fut rapidement libéré de ses entraves textiles et je ne tardais pas à me retrouver nu debout devant ma partenaire. Elle se mit alors à genoux devant et me fit une fellation tellement divine que rares étaient les fois où j’en avais eu des équivalentes. Cela se sentait qu’elle comment titiller mon gland, lécher ma hampe et même gober mes testicules. J’en profitais pour lui faire tomber son chemisier et la mettre ainsi poitrine nue devant moi. Alice profita même de cette semi-nudité pour me faire une cravate du notaire. Je n’allais pas tarder à jouir et je lui en fis part. Sa réaction fut alors de reprendre mon pénis en bouche et d’en avaler le plus possible. Cette dernière action me fit craquer et je lâchais tout mon sperme au fond de sa gorge dans des râles de plaisir. Elle avalait tout au fur et à mesure et elle libéra enfin de son emprise buccale mon membre viril complètement propre de tout mon jus.
Alice s’est alors relevée pour m’embrasser à pleine bouche et je pus sentir ses gros seins qui s’écrasaient contre mon torse ainsi que son sexe en érection contre le mien encore dur. Mes mains s’enroulèrent autour d’elle et je me mis à lui caresser le dos. Lorsque je fus arrivé dans le bas de celui-ci, j’ai entrepris de lui baisser sa jupe pour ne lui laisser plus que son string. Je me suis ensuite mis à genoux devant elle tout en l’embrassant sur tout le devant de son corps. Mes mains avaient attrapé son dernier vêtement sur les côtés et enlevèrent ce dernier une fois que mon visage se fut trouvé au niveau de son intimité. Je pris tout mon temps pour admirer son sexe, un pénis déjà en érection, complètement épilé, plus petit que le mien mais tout aussi épais. Il était facile de voir qu’elle avait été circoncise et les veines sur sa hampe ressortaient très distinctement. Ses testicules semblaient très grosses proportionnellement à son engin alors qu’elles étaient de la même taille que les miennes. J’ai commencé par prendre son sexe dans ma main et de le caresser doucement au début puis de plus en plus vite selon les gémissements d’Alice. Ensuite, j’ai approché ma bouche de son pénis pour l’embrasser. Contrairement aux précédents membres masculins que j’avais déjà eu l’occasion de sucer, celui-ci dégageait une odeur moins forte et plus agréable et la texture sur ma langue me rappelait un peu plus celle d’un clitoris. Par la suite, j’ai été de plus en plus insistant sur mes baisers, insérant légèrement son sexe entre lèvres d’abord pour enfin le prendre complètement en bouche. Je n’eus aucune difficulté à le gober entièrement et je me mis à la sucer tout en l’entendant gémir sous mes caresses buccales. De la vue que j’avais, je la voyais se caresser un sein et se lécher le téton tout en me caressant les cheveux de l’arrière de la tête pour me donner le rythme qu’elle désirait. Tout en lui suçant le pénis, je lui caressais les testicules d’une main et je taquinais l’entrée de son anus de l’autre. Il ne fallut pas longtemps à ce dernier pour laisser rentrer mon index, suivi de mon majeur, tous deux jusqu’à leur limite.
Au moment où je voulais essayer de lui insérer un troisième doigt, Alice me fit arrêter, s’asseyant sur le bord du canapé et se pencha en arrière tout en soulevant ses jambes. L’invitation ne pouvait pas être plus explicite et, après avoir enfilé un préservatif, je présentais mon pénis à l’entrée de son anus pour la sodomiser. J’avais cru que le début aurait été laborieux mais, tout au contraire, je suis rentré en elle presque en entier dès la première poussée. Je l’entendais gémir de plaisir à chacun de mes mouvements et je sentais bien de mon côté que je la remplissais suffisamment à son goût. Mes mouvements de va et vient se firent doucement au début pour accélérer progressivement afin de finir par la sodomiser sauvagement et ainsi la faire crier de bonheur sans discontinuer. Nos ébats continuèrent ainsi pendant plusieurs minutes jusqu’à ce que nous décidions de changer de position. Elle se mit à quatre pattes sur le sol et je me suis positionné derrière elle pour la prendre en levrette. Une fois rentré en elle de nouveau, elle se releva pour me faciliter la pénétration de son fondement ainsi que l’accès à ses seins. Je lui palpais ces derniers avec vigueur puis j’ai eu la soudaine envie de lui prendre son sexe en main. J’ai donc descendu ma main droite le long de son corps puis j’ai empoigné son membre viril tout en continuant à lui palper le sein qui se trouvait dans ma main gauche et en lui rentrant mon pénis dans son anus. Elle eut alors pour réaction de pencher sa tête en arrière tout en gémissant son plaisir pour mieux apprécier le traitement que je lui prodiguais. Au bout de quelques minutes ainsi, Alice m’annonce entre deux gémissements qu’elle sent son plaisir monter et bientôt atteindre le point de non-retour. J’entreprends alors d’accélérer la cadence de mes mouvements et elle ne s’est pas fait attendre pour jouir de longs jets de sperme tandis que je sentais son anus se resserrer autour de mon sexe, ce qui me fit jouir à mon tour en elle.
Je me suis retiré d’elle et, pendant que j’enlevais mon préservatif, Alice finissait de se nettoyer les restes de sperme sur son sexe. Elle se retourna ensuite vers moi et me nettoya mon sexe avec sa bouche sans que je n’ai eu l’occasion de dire quoi que ce soit. Cela me provoqua une nouvelle érection qui ne laissa pas Alice indifférente et elle me fit une très bonne fellation qui me fit jouir à nouveau mais cette fois dans sa bouche. Nous nous sommes ensuite rhabillés puis elle est rentrée chez elle.
Peu de temps après, j’ai rencontré une jeune femme avec qui je suis resté plusieurs années. Pour fêter justement notre première année ensemble, nous sommes allés au restaurant et je suis alors resté bloqué lorsque j’ai reconnu l’hôtesse d’accueil et barmaid qui n’était autre qu’Alice. Je me reprends rapidement et je me dis qu’elle ne se souvient peut-être plus de moi car cela remontait à un peu plus d’un an. Nous sommes installés près de l’entrée, ou plutôt de manière à être visible de l’entrée. Nous mangeons tranquillement, ma copine et moi, puis peu avant le dessert, je décide d’aller aux toilettes. Ne connaissant pas les lieux, je me dirige vers Alice en lui demandant où se trouvaient les commodités. Elle me décide alors de me guider et je rentre en me pensant seul.
Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’Alice entra en même temps que moi. Elle s’est ensuite rapprochée de moi tout en me regardant droit dans les yeux avec un regard coquin puis elle m’a dit que depuis que je suis rentré dans le restaurant, ça lui a fait remonter tout le plaisir qu’elle avait eu la dernière fois que l’on s’était vu. Tout en me disant cela, je sens sa main se coller contre mon pantalon au niveau de mon entrejambe, ce qui me fit bander presque instantanément. Sentant la réaction de mon sexe dans sa main, elle commença à me caresser à travers mes vêtements. Je ne pouvais nier que le désir montait en moi à ce moment-là et je me suis décidé à la laisser faire. A partir de ce moment, elle ouvrit mon pantalon et me le descendit jusqu’aux chevilles, bientôt suivi par mon boxer et laissant ainsi à découvert mon sexe qui était bien dur. Voyant ce dernier au niveau de ses lèvres, elle ne tarda pas à le prendre en bouche et à me faire une fellation très sauvage. Ce fut tellement bon que je ne mis pas longtemps à jouir dans sa bouche. Elle avala alors la totalité de mon sperme et me nettoya mon engin avec sa langue. Me laissant ainsi, elle retourna à son travail. Je me suis rhabillé et je suis parti des toilettes pour rejoindre ma copine en oubliant complètement la raison première de mon voyage aux toilettes.
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