Ce matin l’air est frais et présage que la journée va être ensoleillée. Katia et moi décidons d’aller à la foret pour faire notre footing. On s’habille pour courir et comme on se trouve plutôt sexy dans nos tenues de sport, on se fait un petit selfie avant de partir.
Pour nous échauffer, nous faisons une petite partie de basket et en profitons pour se « frotter ». C’est plutôt excitant. Mais nous sommes raisonnables et nous nous réservons pour faire notre footing.
Une foi bien chaudes, nous voilà parti pour un footing d’une petite heure, alterné par des exercices d’assouplissements.
Il y a très peu de monde à cette heure de la journée en semaine. Au détour d’un chemin, nous croisons un petit groupe d’hommes entrain de courir. A notre passage, ils nous sifflent. On rigole comme des gamines et on ne s’occupe pas d’eux et continuons notre footing. Mais quelques minutes plus tard, Nous entendons derrière nous des bruits de foulées. En se retournant, nous apercevons les hommes que nous avions croisé qui nous ratt****nt. Arrivé à notre hauteur, l’un d’eux nous dit :
« Alors les filles, c’est la fête au paradis ? »
On se regarde toute les deux en se demandant de quoi il veut parler. Mais il reprend :
« Ca va faire du lait caillé à balancer vos nibards comme ça ! »
Choquée de cette vulgarité, je lui réponds du tac au tac :
« Pauvre type ! Cassez-vous ! »
Quelle bêtise je venais de faire. Le salop prend mon short et le tire vers le bas me mettant les fesses à l’air.
Katia, en voulant m’aider se fait elle aussi baisser le short par un autre mec qui la pousse sur moi. Ils éclatent de rire de nous voir dans cette situation scabreuse. Nous voilà le cul à l’air devant ces inconnus. Nous remontons nos short furax et nous enfuyons pour rejoindre le plus rapidement possible notre voiture. Mais ils nous ratt****nt facilement et nous coincent en disant :
« Vous êtes bien roulées les salopes ! Vous devez être chaudes comme la braise. Vous n’avez pas peur de courir ici toutes seules ! »
Là c’est Katia qui réagis :
« Pauv’cons ! Foutez-nous la paix avec vos petites bites !! »
« Mais, c’est agressif ces petites choses ! Vous allez voir si on a des petites bites ! »
Je remarque les bosses qui déformes leurs shorts. Les lascars bandent déjà comme des ânes de nous voir à leurs merci. Katia bafouille :
« N’avancez pas ou j’vous en balace mon pied dans les couilles ! »
Les mecs s’énervent et j’essaye de calmer le jeu :
« Bon. Excusez-nous les gars. On a été un peu trop agressives. Laissez-nous rejoindre tranquillement la voiture et on est quitte ! »
Ils rigolent. Un black lance :
« Non ! Vous croyez vous en tirer comme ça ? On vous laisse partir si vous vous foutez à poil et que vous vous gouiniez devant nous ! »
Nous écarquillons les yeux en entendant cette demande incongrue. On se regarde et convenons qu’il va être difficile de ne pas obtempérer. Une foi nues, impatient, les mecs nous lancent :
« Gouinez-vous salopes ! »
Nous commençons à nous caresser timidement. L’humiliation que nous subissons, malgré nous nous excite et nos caresse se font plus précises.
« Elles aiment ça ! On dirait ces lécheuses de timbres ! »
« Mais voyons si elle sucent aussi bien qu’elles se bouffent la chatte ces putes ! »
Les mecs sortent leurs queues. Pendant qu’un d’entre eux nous immobilise, les autres se mettent à tour de rôle à nous fourrer la bouche. Rapidement, ils investissent nos vagins. Le mandrin du black s’active dans celui de Katia qui ne peux crier étouffée par la queue qui lui baise la bouche.
« Putain! Elle suces comme une vraie chienne ma pute ! »
De mon côté, je me fait aussi sérieusement secouer. Ma copine semble jeter aux orties ses dernières appréhensions et se laisse aller aux plaisirs d’être utilisée par ces joggers. Elle se fait enfiler par les trois trous et ses yeux révulsés reflète le plaisir qu’elle prend. Je profite d’un changement de queue dans ma bouche pour reprendre ma respiration.
C’est maintenant Katia qui prend les initiatives et s’empale sur le mât d’un des mecs. Les queues qui se succèdent dans nos chattes, nos culs et nos bouches. Le spectacle de cette orgie doit-être dantesque. Nos cris de plaisir résonnent dans la forêt. Ils sont tous montés comme des ânes et la situation déclenchent chez moi une sorte de frénésie. Katia ne sait plus où donner de la tête. Nous sommes leurs jouets, leurs sacs à foutre. Déjà les premier mecs se lâchent, nous remplissant de leurs douces crème séminales. Nous sommes passées de joggeuses sportives à poupées humaines juste là pour satisfaire le plaisir des mâles de passages. Ils ne sont plus des hommes mais de vraies bêtes fauves qui dévorent leur proie.
Le black sent sa jouissance monter. Il décide de juter dans ma bouche. Dans râle de bête, il éjacule au fond de ma gorge en m’ordonnant :
« Avale tout sale chienne ! »
Un autre prend immédiatement la place. Katia, elle aussi n’a même pas le temps de reprendre son souffle. Mais à notre grand désespoir, nos cris attirent d’autres gars. De nouvelles mains s’emparent de nos seins, de nos fesses. On se retrouve comme des pantins désarticulés à sucer et se faire défoncer par de nouvelles queues. Ils nous pénètrent ensemble, chattes, culs bouches. Katia et moi ne sommes plus que loques couvertes de sperme. On a servi de vide couilles à je ne sais combien de mecs. On s’est faites défoncées par tout les trous durant je ne sais combien de temps. Tous ces gars se sont bien vidés les couilles. Rassasiés, ils s’en vont et nous laissent entièrement nues et couvertes de sperme, hébétées. Nous mettons bien une dizaine de minutes avant de reprendre tant bien que mal nos esprits. Nos mâchoires sont endolorie , nos vagins irrités et nos trou du cul reste encore ouverts et dilatés. Nos jambes sont flageolantes et c’est dans le plus simple appareil que nous rejoignons la voiture avec du sperme qui coule de nos trous, le long de nos cuisses. Heureusement, nous ne rencontrons personne.
Arrivées à la maison, nous nous précipitons toutes les deux sous la douche et en regardant notre état, nous éclatons de rire. Je dis à Katia :
« C’est un footing qui vaut largement un marathon ! »
Pour nous détendre, nous nous caressons sous la douche.
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