Aline et Patrick le pervers : « ma défloraison annale » Mon histoire reelle
A l’époque j’avais un peu plus de 16 ans : « on » me disait jolie et « on » me prédisait un avenir de belle femme… je ne saisissais pas tout. Parmi mes loisirs, j’étais devenue une bonne joueuse et j’avais des cours de tennis tous les mercredis après-midi. C’était un ami, voisin et ami de mes parents qui m’y amenait, Patrick, un gars sympa, retraité et disponible qui devait avoir environ 60 ans car il était retraité de la SNCF.
Mes parents étaient très stricts -des profs !-, donc je devais avoir une tenue toujours irréprochable même pour le tennis : la jupette blanche et la culotte blanche de mise à l’époque. Oui, je précise une jupette plissée blanche et une culotte en coton blanche en été comme en hiver.
***
Un mercredi nous arrivons tous les deux au cours : porte close, rien d’ouvert, cours annulés.
Patrick me propose alors une promenade pour tuer le temps : il a été très gentil et nous parlions de tout et de rien, peu à peu il devenait mon confident il était gentil avec moi.
Puis nous avons connu la raison de l’annulation des cours : le prof de tennis s’était blessé et donc tous les cours de la fin de saison étaient annulés… comme j’avais un bon niveau en tennis cela agaça un peu mes parents et moi aussi d’ailleurs : « est-ce que j’allais être au niveau pour les tournois de fin de saison ? ». Patrick a proposé à mon père de s’occuper de moi en me faisant faire du physique de fond pour que je reste performante et en condition, et il rajouta « tout en me faisant découvrir la nature et la photo ». Mon père a dit oui et moi j’étais ravie car je le trouvais plutôt sympa Patrick.
J’étais encore jeune et j’étais loin de me douter qu’avec mes tenues choisies par maman et papa, qui décidaient de toutes mes tenues, je pouvais faire baver les vieux qui « tournaient » autour des terrains -ou ailleurs- et moi je savais encore moins que cela les excitait.
Patrick n’avait pas l’air vicieux, bien au contraire, il avait le profil du voisin bon ami de mes parents, il n’y avait rien à craindre et moi j’étais à l’aise et bien en sa compagnie. Nous allions donc régulièrement dans un parc (j’y faisais de l’entraînement « foncier », je courais, il me chronométrait) et nous parlions de tout et de rien après les séances. Il m’initiait à la découverte de la nature en forêt, à l’art de photographier des fleurs, des animaux. Je l’écoutais et j’aimais bien ces séquences post-sportives. Puis un jour il a commencé à me parler de sexualité, de sexe mais sans trop insister toutefois, plutôt sur le ton de blagues.
Il faut dire que pour ces exercices, ces séances d’entraînement, je portais souvent de petits shorts et des tee-shirts très moulants mais rien de plus… parfois même ma jupette plissée… sans penser à mal. Bon c’est vrai que je commençais à avoir les seins qui pointaient pas mal mais maman me disait que je n’avais pas encore l’âge de porter des soutiens-gorge. Là, j’étais moins d’accord, des copines de ma classe en portaient et même certaines avec de la dentelle, je les enviais. Patrick lui était toujours en survêtement –genre sportif- et je me suis rendu compte par la suite qu’il avait certaines fois la main dans le pantalon et non pas dans la poche.
Quand j’avais terminé avec une séance de course ou autre exercice (abdominaux…), nous nous arrêtions. Là, nous étions assis au pied d’un arbre, il me dit un jour : « tu sais Aline tu vas devenir bientôt une femme et tu seras belle comme ta maman… oui tu seras une belle femme… et je connais bien ta maman elle est très belle et ton père est très fier d’avoir une très belle fille comme toi »
Je pris ça pour un compliment pour moi et toute ma famille, je buvais ses paroles.
Au fil des jours, ces promenades se faisaient de plus en plus dans des endroits isolés, nous allions en forêt dans des clairières pour être tranquilles comme il disait. A la fin des séances de courses et autres exercices, il disposait une couverture au sol et nous prenions le soleil et un goûter, il me gâtait avec des confiseries… je n’avais aucune raison de m’inquiéter.
Patrick était très attentionné et je ne percevais rien d’interdit ou de sale dans ces situations.
Un jour j’ai dit à Patrick : « tu m avais demandé si je voulais apprendre les choses du sexe… j’ai réfléchi, oui je veux bien que tu m expliques… un peu… mais juste m’expliquer »
Lors de la balade suivante, il est venu avec des magasines érotiques, voire un peu porno mais très soft, nous avons regardé ensemble assis sur la couverture. J’étais étonnée : c’était la première fois que je voyais des sexes d’hommes et des gros [il avait dû choisir !]: « whaoou ! … mais cela doit faire mal ! c’est gros un sexe ! je ne pensais pas que c’était aussi gros » – dis-je car j’avais tout juste entre-aperçu le sexe de mon père à la douche ou aux toilettes, je n’en revenais pas- … « Patrick ! mon papa le sien il n’est pas comme sur les photos »
.. il se mit à rigoler : « Je sais, je sais, Aline, mais le sexe d’un homme il gonfle et grossit s’il voit de belles choses et si on le caresse… »
Il m’a laissée songeuse !
Puis ses magazines sont devenus progressivement plus porno et explicites et il me disait : « tu sais même ta maman elle fait ces choses là -comme ça [en me montrant des photos de fellation et même de sodomie…] et toi aussi un jour comme une grande fille tu le feras ».
J’étais étonnée, incrédule mais je commençais à être excitée par ces photos et après nos balades cela me travaillait la nuit et je me caressais la nuit jusqu’à me donner du plaisir, en imaginant plein de situations avec des sexes d’hommes.
Oui papa ne fermait pas toujours la porte de la salle de bain et nous avions aussi les toilettes dans la salle de bain et il m4est arriv2e d entrer et lui y était entrain d uriner et cela ne le choquait pas d’uriner devant sa fille… même que maman lui avait fait souvent la remarque.
Alors un jour, un peu impatiente, je pris les devants : « Patrick dis m’en plus, je veux tout savoir, tu sais, il m arrive de me caresser les nuits depuis que je vois tes photos ».
Avec le ton condescendant d’un adulte qui parle à un enfant mais aussi avec un petit sourire que je ne lui connaissais pas, il me répondit sur un ton douçoureux :
« Aline, c’est normal, c’est la nature derrière toutes les jeunes filles et les mamans il y a une femelle qui sommeille –comme chez les animaux-, il y a une petite cochonne qui dort et quand tu joues dans ton lit la nuit, c’est la cochonne qui se réveille »
Je restais muette… mais c’était vrai ce qu’il disait… j’avais des « rêves » éveillés de cochonne la nuit quand je revoyais les images de ces sexes d’hommes et quand j’imaginais des « situations »..
« Tu sais même ta maman est une cochonne, d’ailleurs pour avoir des enfants il faut bien que le papa mette la semence -comme sur les photos- au fond de la petite chatte de maman ».
Soudain je n’étais plus muette, il en avait trop dit ou pas assez, je voulais savoir :
« Patrick dis m’en plus… je veux tout savoir, tu sais il m’arrive de me caresser les nuits depuis que je vois tes photos »
Il eut à nouveau ce petit sourire –que je ne lui connaissais pas auparavant, le sourire de l’homme vainqueur de la femelle [ça je le sus plus tard]- et enchaîna le plus naturellement :
« C’est normal Aline, tu n’as pas à avoir honte ni peur de te caresser la nuit… toutes les femmes –et tous les hommes aussi- font ça »…
Comme je ne disais plus rien et je le regardais avec ms yeux écarquillés…
« Oui, ça s’appelle ‘se masturber’, les hommes, les femmes se masturbent… et toi tu es bientôt une femme… »
Alors, Patrick m’a dit brusquement : « Tu sais, tu ferais bien de te mettre a l’aise quand nous sommes ensemble, descends ton short, fais comme moi » et il descendit son pantalon sous mes yeux écarquillés, à la fois inquiets et émerveillés ! Enfin, je voyais un sexe d’homme en vrai, de près… et pas petit du tout ! Quelle tige épaisse avec des grosses couilles en-dessous ! Je suis restée à regarder sa queue bouche bée, comme un enfant devant une sucette.
Dans un état second, subjuguée par la vue de ce bel engin rien que pour moi seule dans ce sous-bois isolé, j’ai descendu mon short et ma culotte dans un seul mouvement, dévoilant ma chatte d’adolescente presque femme, aux jolies lèvres roses ornée d’une toison blondinette… en fait j’étais heureuse de pouvoir la mettre à l’air ma chatte, de la montrer à un homme (ça je me l’imaginais dans mes séances nocturnes mais sans savoir comment cela allait pouvoir se passer)… qu’allait-il dire ? J’avais « peur » du verdict de cet homme mûr qui me fascinait sans que je sache ni puisse l’avouer. Je n’étais pas amoureuse de Patrick, il était simplement mon confident, un « ami » de la famille… mais il était mon « mentor »… pour tout.
Alors Patrick m’a contemplée (je crois bien que je tremblais en attendant ses paroles) et a dit :
« Oui, voila Aline c’est bien ça ! Pas de cachoteries entre nous; le sexe ce n’est pas sale du tout, c’est naturel, on peut regarder ce n’est pas interdit ! Elle est belle ta petite chatte [tu sais qu’on appelle ça une chatte ?] elle est jolie à regarder »
J’eus un haut-le-corps, je tressaillis même (peut-être l’air plus frais sur ma chatte à nu) et je le regardais intensément… il contemplait ma chatte exposée impudiquement en silence. I esquissa même un mouvement vers moi puis se redressa comme s’il se ravisait.
Alors, je vis [je commençais à comprendre oui ce que voulait dire ‘bander’] sa verge se redresser d’elle-même vers le haut, sans qu’il la touche, tendue comme un pieu… elle avait l’air dure comme un os.
Pour ce jour-là (jour de la vraie découverte pour moi), nous en restâmes là, à ce stade… Evidemment les nuits qui suivirent, l’image de cette bite bandant seule devant ma chatte dénudée et offerte me hanta… je n’en parlais pas (surtout pas) à mes copines de classe [en fait, j’espérais secrètement être la première de ma classe… enfin, la première de ma classe à avoir vu d’aussi près une aussi belle bite tendue à la vue de ma chatte].
Aussi, à chacune de nos sorties suivantes, les séances « sportives » devenaient de plus en plus courtes car, tous les deux (pas pour –tout à fait- les mêmes raisons) il nous tardait de nous mettre nus l’un devant l’autre… sans nous toucher (certes…pour l’instant) sur la couverture à nous contempler et à regarder des magazines (qu’il choisissait de plus en plus hard … ce que j’aimais bien).
Après plusieurs « séances » d’exhibition réciproque –en tout bien tout honneur- Patrick peu à peu reprit son « cours », son discours sur la nature… humaine :
« Tu sais Aline, la nature a bien fait les choses ; elle a fait les femmes avec deux trous… bien élastiques et si elles ne veulent pas être enceintes ou si elles ont les règles [t’as eu tes règles toi ? –oui] les hommes peuvent quand même venir en elle mais par le petit trou, … au début cela peut être difficile mais après pour la fille elle peut aussi y trouver son plaisir ».
Je ne répondis rien sur l’instant mais ces paroles –ses paroles de ce Patrick ami et confident-me hantèrent quelques nuits durant. En fait, j’attendais la suite.
Alors lors de nos balades, nous continuions à nous mettre entièrement nus l’un face à l’autre, puis [est-ce-que c’est venu naturellement ou est-ce-que c’est lui qui m’a invité à le faire, je ne me souviens plus précisément ?] nous avons commencé à nous caresser l’un en face de l’autre. Evidemment, d’abord doucement et là je me suis rendue compte que j’aimais le voir se branler, voir sa tige grossir dans sa main quand il me contemplait de ce sourire si particulier qu’il était devenu mien, alors que s’en m’en rendre vraiment compte (au début) je me caressais de manière de plus en plus appuyée, de plus en plus frénétique et agitée.
Qui eut la première extase ? je crois bien que ce fut lui mais je n’en suis pas sûre car au fur et à mesure des séances, mes caresses sur -et maintenant dans- ma chatte devenaient de plus en plus appuyées, profondes, rapides et que je me trémoussais sous ses yeux, gardant les yeux mi-clos pour continuer à contempler sa bite en érection, qu’il astiquait [je ne connaissais pas encore ce terme] de plus en plus fort et de plus en plus vite. Alors que mes doigts enfournés dans ma chatte, excitant ce que je ne savais pas encore vraiment être mon clitoris –et ses pouvoirs de déclencheur de jouissance-, je mouillais beaucoup, sa bite se mit à cracher un liquide blanc et épais qui se répandit de manière un peu désordonnée sur le sol. Là, il se mit à grommeler des sons inaudibles mais je n’eus aucune peine à comprendre que c’était « ça » jouir pour un homme… car il se tétanisa un instant, fixant ma chatte détrempée avec des yeux exorbités, se tendit d’un coup et cracha ce sperme, dont il m’avait parlé et finit par…
« Je jouis Aline, ahhhhhh ! s jouir … t’as joui toi aussi ? »
Oui j’avais joui moi aussi car tout mon corps s’était cabré sous mes propres caresses, décuplées d’intensité par la vision de sa queue devenue énorme dans sa main avec ce gland rose foncé qui cracha son foutre [là aussi, je ne sus que plus tard qu’on disait ‘foutre’].
Il faut dire qu’il m’avait bien encouragée et me motivait en me disant souvent :
« C’est bien Aline… tu es une grande fille… comme ta ma maman… et ta maman fait aussi cela et je la connais bien »
Et moi, savoir que maman faisait pareil cela m’encourageait et m’excitait beaucoup.
Un jour il a ramené des préservatifs : il voulait m’apprendre à en voir un et il m’a demandé de lui mettre : « tu dois apprendre Aline, sinon tu risque de tomber enceinte tôt ou tard »
… alors je lui ai enfilé avec mes petites mains… cela m’excitait de toucher sa queue bien dure et tendue… c’était la première fois que je touchais une queue.
Elle me plaisait bien sa queue très large avec un gros gland et des grosses couilles pendantes, le tout était toujours totalement rasé de près, cela faisait une belle queue impressionnante.
« Voilà, Aline, maintenant tu sais enfiler un préservatif, une capote si tu préfères »
Ce jour-là, [peut-être était-ce le contact de mes mains sur sa bite ?], il se branla fort en contemplant ma chatte -mais aussi j’étais tout près de lui, nos cuisses se touchaient- quand soudain, il enleva le préservatif d’un geste vif, se branla fortement le gland et au moment de cracher il se mit à me « hurler » en me fixant d’un œil hagard :
« Tiens petite Aline c’est pour toi, je jouis pour toi » et son sperme épais tomba par terre.
A chaque séance donc, il se caressait devant moi ainsi que moi devant lui, jusqu’à en jouir tous les deux… mais surtout lui je pense. Ses giclées étaient énormes et j’aimais voir partir ces longues bordées de sperme qui s’écrasaient sur le sol à mes pieds. Puis il m’a demandé d’entretenir ma chatte, de la raser : « une jolie fille doit entretenir et prendre soin de sa chatte » et il me montra dans les magazines des chattes toutes lisses, et il ajouta : « ta maman aussi doit se raser sa chatte, il faut le faire Aline »
Avait-il vu la chatte de ma mère pour me dire ça ? Avait-il été l’amant de ma mère ? ces idées me travaillaient, -il avait fait tellement de rapprochements avec maman !- en fait oui j’ai su longtemps plus tard qu’il se faisait ma mère de temps à autre quand papa était au travail et en plus il devait bien la sodomiser (ça je le compris plus tard aussi).
Effectivement je mis à m’épiler la chatte (au début j’hésitais avec le rasoir) et je lui montrais fièrement mes lèvres rosées nues… alors, pour la première fois, ses doigts se posèrent sur mon sexe… évidemment, je le laissais faire (en fait j’en avais envie…depuis le temps) et ses caresses me firent tressaillir, ses doigts m’électrisaient et peu à peu, il s’empara de ma chatte dans tous ses recoins, puis à pleine main. Je me cambrais sous ses caresses, je me laissais faire et, lorsque, pratiquement en même temps, il saisit mon poignet et dirigea ma menotte sur sa tige, je me laissais guider avec bonne grâce. Il me fit entourer sa queue épaisse avec tous mes doigts fins déployés et, conservant la maîtrise de mon poignet, il accompagna ma première montée et descente sur sa colonne que je sentis vibrer et grossir dans ma main : je touchais enfin sa queue (en fait j’en avais rêvé) et je me pris à aimer ça… je le branlais. Nous étions là, Patrick me masturbait la chatte, ses doigts allant et venant sur mes lèvres, agaçant mon clitoris et doigtant ma fente pour me faire mouiller ; moi, la petite Aline *pas encore dix-sept ans- je branlais cette grosse tige d’un (ma foi) bel homme de 60 ans, à pleine main et j’aimais ça (si j’avais osé, j’en aurais fait baver mes copines d’envie… j’étais presque sûre (je voulais le croire) que c’était moi de toutes les filles de mon âge qui avait le plus d’expérience avec une bite d’homme grosse et épaisse -pas des petites queues de minets inexpérimentés).
Patrick un jour m’a dit : « tu sais Aline il faudrait te lancer… si tu veux nous pourrions essayer, tu sais je t’avais dit les femmes ont deux trous et celui de derrière c’est bien pour débuter et connaitre les joies du sexe et il n’y a aucun risque, tu ne veux pas que l’on essaye ma petite ? Personne ne le saura-nous garderons le secret toi et moi-, tu verras c’est bon, et toi tu deviendras une vraie femme »
Je ne sais pas trop pourquoi mais j’ai dit :
« Oui juste pour essayer mais si cela fait mal on arrêtera hein Patrick ? »
« Oui, oui, ne t’inquiète pas Aline… tu vas découvrir les joies du plaisir et du sexe ».
Alors, la fois suivante il avait apporté un lubrifiant, nous nous sommes bien caressés longuement et bien lubrifié nos sexes, j’adorais cette sensation d’être bien lisse, de sentir sa queue toute dure brillante, hummm ! j’ai adoré cette séance de lubrification.
Puis, d’u seul coup, le ton de Patrick est devenu plus autoritaire :
« Aline, installe-toi à quatre pattes sur la couverture et tu vas me présenter tes fesses bien tendues vers le haut, creuse tes reins, écarte bien tes genoux » … et il me montra une photo d’une femme se faisant sodomiser avec un grand sourire de jouissance
« Voilà, mets-toi comme elle ma belle ! »
J’étais jeune je voulais découvrir et sur les photos qu’il me montrait, je ne voyais que de beaux corps, de beaux sourires, je voyais des personnes heureuses (avec une bite entre les fesses) alors pourquoi pas moi ?
Il me lubrifia l’entrée de mes fesses, il se mit une bonne dose sur sa queue très dure et tendue et il me prit par les hanches (forcément je ne voyais pas tout, j’attendais l’assaut !) :
« Ne t’affole pas ma belle Aline je vais venir doucement, tu vas juste sentir s’enfoncer en toi comme un gros un suppositoire, ne t’inquiète pas, cela va te faire légèrement mal au début puis tu verras… tu sentiras ma chaleur en toi et tu prendras du plaisir ma belle, tu peux te laisser aller à crier ici personne ne t’entendra , tu vas bientôt devenir une vraie femme ma belle ne t’affole pas »
Je ne sais plus si ces paroles m’avaient rassurée ou si elles avaient accru mon inquiétude mais comme j’avais tant envie de ‘tout’ connaître et comme j’étais en position, je l’attendais.
Alors, tout est allé très vite : il a mis son gland contre ma rondelle et il a commencé à entrer, il me tenait pas les hanches fortement et fermement, je ne pouvais plus lui échapper :
« Oui Aline, là, doucement, tu vois cela entre doucement »
puis il a commencé à me pénétrer et a pousser, là j’ai crié :
« ohhh ! Patrick doucement je te sens ! mais tu es gros, tu vas me faire mal ! ahh ! »
Pour toute réponse, alors qu’il poussait de plus en plus fort :
« Aline, caresse ton clitoris ma belle tu sentiras moins le passage »
et son gros gland avait pénétré bien entier à l’entrée de ma rondelle
« ohhh Patrick tu commences à me faire mal »
Alors, je n’ai plus reconnu Patrick qui s’est déchaîné en moi :
« Bon allez ! assez joué maintenant ma petite Aline, là je vais t’enculer ! tu m’as assez excité ces derniers temps ; ton cul je vais le prendre à fond »
et il a commencé à s’activer en moi, il me labourait, moi je criais et plus je criais, plus il me pistonnait violemment presque (enfin, moi, je trouvais ça violent)
« Oui, allez ! oui crie ma belle, ta rondelle est au bout de la bite de Patrick ! oui ma belle tu es devenue une magnifique femme qui donne son cul comme ta maman… oui ta maman aime et donne son cul aussi comme une salope. Ohhhh ! Aline ! je suis dans ton cul petite salope»
il me prit sans retenue… me pilonnant avec force.
J’ai commencé à ne plus sentir vraiment sa tige dans mon cul, le fait de jouer avec le clitoris calmait mon cul et je commençais à être détendue à l’intérieur. Evidement, il a commencé à le remarquer :
« Alors ma belle Aline ? alors tu vois cela commence a être bon ! tu sens moins la douleur, tu es détendue, tu vas sentir le plaisir, cela rentre mieux pour Patrick… c’est bien ma petite, ouvre toi du cul, à partir d’aujourd’hui ma belle tu marcheras plus comme une petite fille mais comme une femme… tu onduleras du cul le restant de tes jours Patrick viens te prendre ta rondelle humm ! et tu aimes ça Aline … dis le que t’aimes ça »
« Ohh ouiiiiiiiiiiiiiiiii ! Patrick c’est fort ce que tu me fais, c’est bon hummm ! ohhh ! j’ai ma chatte qui ruisselle de cyprine, humm ! que c’est dur mais c’est bon ! »
« tu es comme ta maman… une belle cochonne bien enculée »
Il me lima pendant vingt bonnes minutes et il est même sorti complètement quatre ou cinq fois et il disait en plus : « Aline ton cul est sale, il y a de la merde il faut apprendre à le nettoyer avant de se donner à une sodomie… mais pour ta première c’est bien »
Je ne sentais plus rien, mon cul restait ouvert et lui il en ressortait de toute la longueur de sa queue pour y entrer d’un seul coup sans prévenir
« Ohhh ma belle tu as un cul à ne pas avoir d’enfant ! avec ton cul tu pourras donner du plaisir a beaucoup d’hommes ! t’as un cul fantastique ! »
Il était endurant la salaud, cela dura une éternité et il n’arrêtait pas de faire des commentaires gras et vicieux, il me traitait comme une chienne :
« Ma belle je vais venir dans ton cul, tu vas sentir ta première giclée de foutre dans ton cul hummm tu vas voir tu vas la sentir oui ! »
Il s’enfonça encore plus profond et là comme un loup, il s’est mis à hurler et à cracher son sperme au fond de moi, et il en avait à donner et il ajouta :
« Caresse mes couilles par en-dessous et je viendrais encore plus »
Obéissante, subjuguée, pilonnée, enculée à fond, dans un état second, j’ai pris ses grosses couilles que j’ai malaxées d’une main et je sentais chaque bordée d’éjaculation m’envahir dans mon boyau, hummm !
Enfin, sans prévenir il se retira d’un coup de mon cul, je restais cul ouvert devant lui :
« Wahouuu ! je te l’ai bien ouvert ton petit cul ! si tu te voyais ma pauvre Aline le sperme qui déborde de la merde et un filet de sang de ta perte de la rondelle »
Ce salaud ramassa ma culotte, s’essuya bien la queue,
« Regarde ça, tu m’as chié dessus, mais c’était bon … ton cul Aline »
puis avec la même culotte il m’essuya les fesses et le cul, j’avais honte, je sentais les mauvaises odeurs autour de moi.
Puis il prit la culotte et me la montra, presque comme un trophée :
« tu vois la cochonne que tu es comme ta maman, je vais la garder et si tu te plains ou tu raconte quelques chose a ton père ou ta mère, je leurs montrerais la culotte de leur petite sainte nitouche qui m’a demandé de l’enculer et je sortirais cette culotte, tu veux cela ? NON alors rhabille-toi ma belle et ne t’inquiète pas cela va te piquer ces deux prochains jours en marchant… après fini ! mais maintenant tu es une femme »
Il n’est plus jamais revenu me chercher pour les promenades il avait eu ce qu’il voulait : ma rondelle et quand je l’apercevais je baissais les yeux : oui j’étais une sale cochonne.
Pas un seul bisou, simplement deux claques sur mes fesses et il ajouta
« tu as un de ces culs ma belle tu iras loin avec et c’est l’un des meilleurs culs que j’ai dépucelé ma belle Aline »
***
Son seul but avait été de prendre mon cul vierge, pour le reste il s’en fichait ce vieux pervers, et avec ma mère il a dû faire de même… il disait que j’avais une très belle maman.
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