Chapitre II – Pony-Girls et Gourde
Maintenant seule avec Géraldine, Maîtresse Xaviera revint vers son bureau et y prit une grosse paire de ciseaux.
“ – Lève toi et approche ! ”
Ordonna Maîtresse Xaviera, tout en tenant les ciseaux à la main.
Géraldine se leva du tabouret, dégageant au passage son petit trou obstrué par le gode qui continuait de vibrer et monter et descendre, et trottina jusqu’à la Directrice.
Maîtresse Xaviera s’empara de la robe de latex noir et la découpa complètement. Elle fit de même pour les brides cadenassées des hautes plates formes, faisant se déchausser Géraldine.
Elle lui retira ensuite les boucles d’oreilles et son collier de maintien, puis d’une main ferme, lui attrapa le menton, tandis que son autre main s’emparait du long complément capillaire qu’elle arracha sans ménagement, le jetant par terre.
“ – Tu n’auras plus besoin de cela pendant quelques jours, petite Géraldine! Tes anneaux suffisent à ta condition !Petite effrontée!
Tu as osé soutenir mon regard, tout à l’heure quand je t’ai fait vibrer ! ”
Dit Maîtresse Xaviera, en s’emparant de son tube de rouge à lèvres.
“ – Pardon…. Maîtresse. ”
Répondit timidement Géraldine, en baissant le regard sur ses pieds nus.
“ – Et insolente en plus, tu parles sans permission, petite Géraldine! Tu vas apprendre à te tenir”
Dit Maîtresse Xaviera, d’un air sévère, tout en traçant avec son rouge à lèvres noir, un
« GERALDINE, INSOLENT BITCH HAS EDUCATE « sur la petite poitrine naissante et blanche de la petite Géraldine.
Elle ouvrit ensuite un autre tiroir de son large bureau, pour y prendre 3 paires de menottes, un plug gonflable, que le petit trou de Géraldine connaissait déjà trop bien, ainsi qu’un bâillon gonflable.
Sans ménagement, elle s’empara des poignets déjà emprisonnés de Géraldine, et referma deux paires de menottes sur ses bras, en les plaçant bien serrées au-dessous et au-dessus des coudes, forçant ainsi les épaules de Géraldine en arrière, pour lui faire ressortir sa petite poitrine annelée et évocatrice de son statu.
Elle fixa la dernière paire de menottes à la place de celles des chevilles, dont elle trouvait la chaîne trop longue.
Elle inséra ensuite le matériel gonflable dans les orifices prévus, les gonflant allègrement .
Le bâillon fit vite ressembler les joues de la petite soumise à celles d’un hamster, tandis que sans aucune lubrification préalable, le gode gonflable pris lieu et place dans l’anus de Géraldine, fort heureusement encore largement ouvert de son assise sur le tabouret.
“ – MMMMMMMPPHHH !!! MMMMMMMPPHHH !!!”
Couina Géraldine, en se tortillant pour essayer échapper à la main « douce » qui poussait profondément le plug en elle, tandis que l’autre actionnait la poire de gonflage, et lui dilatait de nouveau son anus soumis.
Puis ce fut le tour de six pinces japonaises munies de gros grelots d’être fixées à chaque petit mamelon, à chaque petite couille congestionnée, ainsi qu’aux lobes d’oreilles de Géraldine, avant d’être reliées à une longue laisse.
La « douce » main prit la laisse en main et la tira d’un coup sec, refermant ainsi toutes les pinces à l’extrême.
“ – MMMMMMMPPHHH !!! AAARRRGHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”
Hurla la soumise, sous la douleur des morsures, tandis que son cri était largement étouffé par son bâillon gonflable.
Satisfaite, Maîtresse Xaviera lâcha la laisse et entra dans l’enclos de sa chatte rose, qui la regardait d’un air pressé, sachant que cette situation pour une nouvelle élève annonçait une promenade .
“ – Tu ne viens pas aujourd’hui, petite Kitty ! Je vais t’isoler un peu, le temps de faire visiter et de présenter Géraldine à toute l’école. ”
Dit Maîtresse Xaviera, s’emparant du masque associé à la cagoule.
“ – MMMMMMMPPHHH !!! Miaouuu… Mmmmpppphhhh… ”
Ronronna doucement la créature rose, secouant négativement la tête, dans un regard implorant, et interrogateur pour le refus de cette promenade.
“ – Je sais que tu aimerais venir avec nous, mais je préfère que tu te relaxes un peu pour ce soir.
Tu dois être en forme. J’ai oublié de te le dire, mais Maître Brent veut rejouer avec toi. ”
Dit Maîtresse Xaviera, un sourire et un regard ironique.
“ – MMMMMMMPPHHH !!! MEOOOOW !!! MMMMPPHHH !!! ”
Miaula la pauvre petite chatte, secouant la tête négativement, son regard devenant implorant, tout en se remplissant d’inquiétude, en comprenant que sa soirée n’allait pas être près de sa Maîtresse, mais entre les mains d’un Maître ignoble et pervers qui aimait joué avec elle, et lui faire découvrir a chaque fois de cruels sévices, qu’elle avait déjà subi plusieurs fois.
Mais sans égard pour sa petite chatte miaulante, Maîtresse Xaviera lui voila ses yeux remplis de désarroi avec le masque de latex, le fixant à la cagoule.
Elle actionna ensuite la télécommande des chastetés électriques, abandonnant ainsi sa petite chatte rose, dans ses miaulements de désarroi, de plaisirs et douleurs partagées.
“ – Elle ne l’aime pas, mais lui l’adore ! C’est un spécialiste en préparation de matériel.
Il prépare des jouets rien que pour elle !
Il faut dire que la dernière fois que je lui ai prêté…..Elle n’a pas pu s’asseoir pendant trois jours.”
Dit Maîtresse Xaviera, avec un petit rire ironique, en se retournant vers Géraldine, tandis que sa « douce » main reprenait la laisse et la tirait sèchement de nouveau, pour se diriger vers la porte et commencer ainsi la visite de l’école.
“ – MMMMMMMPPHHH !!! AAARRRGHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”
Gémit Géraldine sous la morsure des pinces, tout se mettant à suivre, Maîtresse Xaviera, en se maintenant à une bonne distance pour que la laisse reste relativement « détendue ».
Maîtresse Xaviera reprit le couloir par lequel Géraldine était arrivé, mais il regorgeait maintenant d’une certaine activité.
Tous les regards se portèrent sur Maîtresse Xaviera qui traînait la nouvelle soumise nue et chauve, annelée, explicitement marquée, entravée, bâillonnée et engodée, tandis que ses tubes de gonflage se balançaient à chacun de ses pas, dans un tintamarre de grelots.
Quand elles repassèrent devant la chambre « EPILATION« , le jeune homme hurlant de douleur ne ressemblait plus du tout à ce qu’il était au premier passage. Il était maintenant totalement imberbe des pieds à la tête, et les infirmières badigeonnaient maintenant son corps était écarlate avec un large pinceau qu’elles trempaient dans un gros bocal . Son visage à présent sans sourcils était décomposé par de douleur et de colère envers ses tortionnaires.
“ – Je vois que cela avance, voila qui va nous faire une très belle Sissy-Slut !
L’alcool est bien mieux crème relaxante, mettez-la ensuite en isolement de conditionnement total dans une spéciale jusqu’à demain matin ! Avec sonde et plug electrique, cela devrait la calmer !
Laissez la à jeun dés maintenant ! Elle passera au bloc à la première heure, je vais contacter le docteur Sergio !”
Dit Maîtresse Xaviera, en s’adressant aux trois infirmières qui en avait fini de l’épilation, jetant un regard sournois sur cette nouvelle « élève » inopinée, tout en tirant sur les pinces reliées à sa langue.
“ – Bien, Madame la directrice. ”
Répondirent les infirmières à l’unisson, en continuant leurs badigeons.
“ – NAAAAANNNN !’UI ETES ‘OUS ! AAARRRGHHH !!’ OUS A’EZ ‘AS ‘E D’OIT !!!!NANNNN !!! ”
Hurla la petite « voleuse » de douleur, sous la sévère traction sur sa langue, et à l’annonce de son avenir .
“ – LE DROIT, ICI C’EST MOI, PETITE VOLEUSE DE CULOTTES! ET JE SUIS CELLE QUI VA FAIRE DE TOI UNE SISSY SLUT SOUMISE !
ICI, TU VAS APPRENDRE A SUCER ET A ECARTER TON CUL POUR T’EMPALER SUR DES GODES ET DES BITES TOUTES PLUS GROSSES LES UNES QUE LES AUTRES , AVANT DE FINIR ENTRE LES MAINS D’UN DOMINANT QUI FERA CE QU’IL VEUT DE TOI !”
Gronda Maîtresse Xaviera, en tirant un peu plus sur les pinces de la langue pendante, plongeant son regard glacial dans les yeux plein de larmes de la petite « voleuse » .
“ – NANNNN !!! PI’IE !!! S’OP ,A’ETTEZ!!! S’I OU’ PLAI !!! ”
Implora en hurlant de plus belle la petite « voleuse », tandis que de grosses larmes se mettaient a couler sur ses joues.
“ – Et crois moi…J’y veillerai particulièrement !”
Dit Maîtresse Xaviera, avec un sourire pervers , tout en lâchant enfin les pinces, avant de tirer un nouveau coup sec sur la laisse, prête pour reprendre la visite, en commençant à expliquer ce qu’était une spéciale à Géraldine, laissant la pauvre petite « voleuse » pleurer sur ce nouveau statu irrémédiablement acquis.
“ – MMMMMMMPPHHH !!! AAARRRGHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”
Couina Géraldine, se pliant de douleur sous la traction de la laisse sur les pinces qui mordaient a nouveau la tendresse de sa chair, en se mettant à avancer, craignant que la laisse ne se tende encore plus, et pouvant ainsi écouter les instructifs propos de Maîtresse Xaviera.
Tout le monde connaissait la façon de la directrice présentait les nouvelles élèves, et tout en la saluant, chaque rencontre se moquait ouvertement de la nouvelle soumise humiliée.
Géraldine baisait les yeux, pleine de honte face à ces moqueries, tandis que Maîtresse Xaviera rendait chaque sourire à ses infirmières, et lançant des regards pervers aux Sissies qui les accompagnaient parfois.
Sur le carrelage glacé, Géraldine avait froid aux pieds, et son corps était parcouru de frissons, mélange de froid et de peur de ce qu’elle voyait au fur et à mesure de sa visite.
A la hauteur de la salle de « TRAITE », où maintenant tous les lits étaient occupés, ce qui ainsi, permettait un remplissage complet du gros bocal, une infirmière arriva face à Maîtresse Xaviera et Géraldine, en poussant une chaise percée à roulette, d’où pendait le cordon d’un plug gonflable, dépassant de l’anus dilaté de la soumise solidement entravée dessus .
Elle avait les bras repliés sur eux-même, enfermés dans une camisole de latex noir, mais qui laissait complètement dégagée une opulente poitrine aux tétons affublés d’anneaux de quatre bons centimètres de diamètre.
Elle avait des pansements sous les seins, et sa bouche était maintenue grande ouverte par un large ring-gag et un large masque assorti à sa camisole obstruait sa vue.
Son petit clito était emprisonné, non pas dans une cage, mais dans une minuscule boule de métal, où était enfermée également ses petits attributs.
“ – Revoilà donc la petite Mégane, je ne t’avais plus revue depuis ton arrivée !
L’opération du docteur Sergio est encore une réussite.
Ou l’emmener vous ?”
Dit Maîtresse Xaviera, en caressant la poitrine toute neuve, glissant un de ses longs ongles dans un des anneaux qui ornaient les petits tétons, hyper-sensibilisé par l’opération mammaire et les crèmes que les infirmières leurs appliquaient quotidiennement. Elle le tira doucement avec perversité.
“ -En salle de conditionnement, Madame la directrice. ”
Répondit l’infirmière, presque couverte par les gémissements de la Sissy, surprise par la tension inattendue sur son petit mamelon annelé.
“ – Parfait!J’espère que tu apprécies le nouveau confort, dont j’ai fait affublé ton petit clito bien trop excité ! Dites aux infirmières de la salle de brancher sa boule avec impulsion toutes les 30 secondes, cela lui provoquera quelques picotements ! ”
Dit ironiquement la voix de Maîtresse Xaviera, au creux de l’oreille de la soumise, d’une voix si douce, qu’elle en était que plus inquiétante, tout en regardant l’infirmière.
“ – MMMMMMMPPHHH !!! NAAAAANNNN !!!IIIIIIHHHH !!!!! S’I OU’ PLAI, ‘AS CA, MAI’RESSE !!!MMMMMMMPPHHH !!! ”
Supplia la petite soumise, en entendant l’avenir de son petit matériel enfermé dans la boule munie de clous, où une simple et minuscule érection était déjà une torture, tout en sentant que son petit mamelon était toujours la proie d’un « doux » étirement.
“ – Bien, Madame la directrice. ”
Répondit l’infirmière, en attendant de pouvoir prendre congé.
“ – Bientôt, ta cicatrisation sera finie, et je pourrais pleinement m’occuper de ton éducation, petite Mégane !”
Dit Maîtresse Xaviera, tout en lâchant le mamelon annelé, faisant descendre ensuite sa « douce »main sur la boule de métal, pour se mettre à la secouer violemment.
“ – MMMMMMMPPHHH !!! AAARRRGHHH !!! PI’IE MAI’RESSE !!! S’OP !!!MMMMMMMPPHHH !!! ”
Couina la petite Mégane, en se débattant inutilement dans ses solides entraves avec hystérie, sous la douleur provoquée par les nombreux clous qui ornaient l’intérieur de la boule, et qui labourait la tendre chair de son petit matériel inutile.
“ – Allez ! Avance, petite Géraldine ! Mégane sera sûrement une de tes compagnes de jeux !
Et à voir que ton insolence de ne pas savoir te contenir devant moi, tu subiras sûrement le même traitement ! ”
Dit Maîtresse Xaviera, lâchant enfin la pauvre petite Mégane, tout en regardant le petit clito de Géraldine comprimé comme jamais dans sa cage minuscule, malgré les pointes qui mordaient sa chair.
“ – Mmmpphh…‘Ui , Mai’resse !Pa’don, Mai’resse ! Mmmpphh… ”
Geignit doucement la petite Géraldine, en baissant le regard sur son petit clito, d’où s’écoulait un peu de précum, en priant intérieurement pour ne pas « le voir » un jour emprisonné ainsi dans une de ses boules.
Dans un soupir, Maîtresse Xaviera tira de nouveau sur la laisse, pour reprendre la visite, obliquant vers la cour intérieure, où la pluie venait de s’arrêter, laissant la place à un magnifique arc en ciel.
“ – MMMMMMMPPHHH !!! AAARRRGHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”
Gémit la promeneuse sous la nouvelle traction , qui faisait mordre de plus en plus les pinces sur ses petits tétons, ses couilles et ses lobes d’oreilles.
Une French Maid , légèrement plus grande que celle qui avait accueillit Maîtresse Sandra et Géraldine, se tenait devant une grande porte fenêtre.
Elle était habillée à l’identique, mais portait également de larges entraves de métal aux chevilles et aux poignets. Une courte chaîne, munie d’un énorme grelot, reliait les entraves de ses chevilles . Chacune d’elles étaient reliés également à celles des poignets et un large collier de maintien de métal lui calait la tête bien droite, lui empêchant ainsi tout mouvement de rotation.
C’était la tenue des soubrettes en formation.
Voyant arriver Maîtresse Xaviera qui traînait une soumise, elle se dirigea d’un pas encore inexpérimenté et chancelant vers la porte-fenêtre, pour ouvrir l’accès sur la cour intérieure.
Une fois dehors, Maîtresse Xaviera, alluma une longue cigarette, tandis que la soubrette de latex tendait ses mains gantées pour réceptionner la cendre, et ainsi éviter de salir le perron.
Maîtresse Xaviera resta un moment, avant de faire un signe de la main à la conductrice du sulky, qui immédiatement fit faire un demi tour à son attelage, en tirant sèchement les rennes des pouliches, pour les diriger vers le perron.
Maîtresse Xaviera descendit les cinq marches pour discuter avec la driveuse, et caresser un peu ses pouliches. Géraldine, dont les chevilles étaient entravées très courts par ses menottes, avait anticipé et s’était cette fois rapprochée de Maîtresse Xaviera, évitant ainsi une nouvelle tension sur sa laisse.
Elle sauta rapidement les marches à pieds joints à la suite de Maîtresse Xaviera, qui avait toujours sa cigarette à la main.
Mais de son coté, la French maid inexpérimentée eu un moment d’hésitation, et s’aventura à trop tardivement pour continuer d’être “ le cendrier ” de Maîtresse Xaviera, en essayant de ratt****r son retard sur la descente des marches. Mais à la troisième marche, son inexpérience des ballets boots et sa chaîne d’entrave de chevilles eurent raison de son équilibre.
Instinctivement, elle se rattrapa à Maîtresse Xaviera, tout en écrasant la cendre froide retenue dans ses mains sur son tailleur de latex.
“ – DE QUEL DROIT T’ACCROCHES TU A MOI !!! ESPÈCE DE GOURDE !!! ”
Hurla Maîtresse Xaviera en la repoussant, la faisant s’écraser sur le sol dans un gémissement étouffé par le large gag-ball qu’elle portait sous sa cagoule.
Aussitôt, la driveuse sauta du sulky et empoigna la chaîne des poignets de la petite soumise empotée,attendant les ordres de la directrice.
“ – Je m’en occuperai tout à l’heure ,Marina !Préparez-la au donjon !
Mais sache que pour la cendre sur mon tailleur, tu seras le cendrier de mon bureau à partir de demain matin!
Je comprends mieux pourquoi tu n’est toujours pas au stade “ confirmé ” , petite gourde! ”
Dit Maîtresse Xaviera, écrasant sa cigarette de son pied sur la French Maid étendue sur le sol
avant de la repousser de son haut talon.
“ – Bien, Madame la Directrice. Elle sera prête d’ici une heure. ”
Répondit Marina, la driveuse du sulky, entraînant à sa suite la pauvre maladroite gémissante sur son sort futur.
“ – Tu vois ce qui arrive aux maladroites et parfois aux insolentes.
Elles peuvent perdre le “ privilège ” de leur confort. ”
Dit Maîtresse Xaviera, en toisant Géraldine qui baissa les yeux, impressionnée devant tant d’autorité et de pouvoir.
Maîtresse Xaviera s’approcha du sulky et des deux “ pouliches ” à la robe encore dégoulinante de la pluie tombée
Géraldine n’avait encore jamais vu de tel. Les deux “ Pony-Tgirls ” étaient à l’identique, au niveau de la taille, de la stature, formant ainsi un binôme d’une réelle efficacité.
Une catsuit en latex couleur “ Appaloosa ”, noir et blanc pour l’une, fauve et blanc pour la deuxième pouliche. Elles étaient dotées de magnifiques poitrines qui gonflaient leur catsuits, où seuls par de petites ouvertures, pointaient leurs tétons annelés par de gros anneaux à grelot, identique à celui qu’elles portaient en anneau nasal, les trois se rejoignant par une fine chaînette argentée, purement décorative.
De larges corsets à anneaux munis également de nombreux grelots auxquels étaient reliés le sulky leurs cintraient étroitement la taille, mais bloquaient également leurs coudes qui étaient enserrés dans des entraves, les obligeant à garder les bras pliés. Leurs mains étaient emballés dans des moufles-sabot, qui rappelaient ceux dont elles étaient chaussées.
Leurs sabots, où le pied était cambré comme dans un talon aiguille, marquait encore plus le dessin de leur musculature, au niveau des mollets et des cuisses.
Un harnais spécial, muni d’oreilles de cheval, leur entravait la tête couverte d’une cagoule avec des crinières noires et feu respectivement, et maintenait un large mors, relié aux rênes qui leur obstruait la bouche.
Un large plug-queue assortit à leur crinière leur avait été enfoncé dans l’anus, et était solidement maintenu par une sangle invisible sous la catsuit. Qu’en à leurs petits clitos flasques, ils étaient étirés et percés d’un amphalang, qui bloquait une bague d’un diamètre minuscule, tandis que leurs prépuces étaient ornés d’un prince Albert muni d’un grelot .
Vu l’effort fourni depuis plus d’une heure sous la pluie battante, les deux « Pony-Tgirls » bavaient et soufflaient abondamment.
A cette vue, Géraldine fut autant abasourdi, que quand elle avait découvert la chatte domestique de Maîtresse Xaviera.
Son petit clito redevenu calme, se remit aussitôt en contact avec les pointes de sa cage.
Ayant déposée la maladroite French Maid au responsable du donjon, la driveuse était revenue s’entretenir avec Maîtresse Xaviera sur la qualité de ses pouliches, expliquant qu’elle allait les mettre sur un tapis de course double, au moins trois heures par jour pour bien synchroniser leur trot.
En même temps qu’elle parlait du fait qu’il faudrait envisager de trouver une troisième pouliche, et de la former en cas de blessure de l’une des “Ponys”. La driveuse jugeait en même temps la carrure de Géraldine.
“ – Cela pourrait être une option si nécessaire, Marina, mais je devrais pouvoir négocier son prêt.
Elle doit déjà passer par son opération mammaire et un dressage intensif ! ”
Dit Maîtresse Xaviera, en souriant au fait que le jaugeage de la driveuse sur Géraldine ne lui avait pas échappé, tandis que cette dernière commençait à grelotter sévèrement, à cause de la fraîcheur dû à la pluie tombée.
“ – Bien, Madame la Directrice. ”
Répondit Marina, comprenant qu’elle avait sûrement sous les yeux sa future « Pony » de remplacement.
“ – Je peux déjà tester sa reactivité, Marina ? ”
Dit Maîtresse Xaviera à la driveuse, en s’emparant de son fouet, et se retournant d’un coup, pour en cingler le corps nu et frissonnant de la petite Géraldine.
“ – MMMMMMMPPHHH !!! IIIIIIHHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”
Hurla la petite Géraldine, sous la surprise du fouet qui claqua sa cuisse.
Mais Maîtresse Xaviera recommença, commençant de faire danser la pauvre petite Géraldine sous les coups.
“ – MMMMMMMPPHHH !!! AAARRRGHHH !!! PI’IE, MAI’RESSE !!!AAARRRGHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”
Supplia la pauvre soumise, sous les coups de fouet et la douleur des morsures accentuées par la traction de sa laisse dû à sa danse
“ – Ça t’a réchauffé un peu, j’espère petite Géraldine, et qui sait …tu y goûteras peut-être! ”
Rigola doucement Maîtresse Xaviera, en cinglant une dernière fois les petites fesses nues de Géraldine, avant de rendre son fouet à Marina, qui contempla les longues traces zébrant maintenant le corps nu et frissonnant de la petite soumise.
“ – MMMMMMMPPHHH ….‘Ui , Mai’resse !’Me’ci, Mai’resse ! Mmmpphh… ”
Geignit doucement la pauvre petite Géraldine, rassurée de voir à nouveau le fouet dans la main de la driveuse, tout en repensant à la dernière phrase insinuative de Maîtresse Xaviera.
“ – Allons visiter le donjon, petite Géraldine ! Nous sommes attendus, je crois ! ”
Dit Maîtresse Xaviera, en tirant sèchement sur la laisse pour continuer la promenade, « invitant » ainsi la petite soumise zébrée à traverser la cour gravillonnée.
“ – MMMMMMMPPHHH !!! AAARRRGHHH !!!MMMMPPHHH !!! ”
Gémit la promeneuse sous le nouvel étirement de ses pinces martyres, tandis que les gravillons détrempés lui meurtrissaient les pieds, et finissait d’écailler le vernis de ses orteils.
“ – Avance plus vite, et tu passeras moins de temps sur les cailloux. ”
Plaisanta Maîtresse Xaviera, en accélérant légèrement le pas, ce qui étira par la même occasion la laisse des pinces qui n’en pouvait plus de se resserrer.
“ – MMMMMMMPPHHH !!!AAARRRGHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”
Se mit à geindre de plus belle Géraldine, obligée de « courir » malgré ses chevilles entravées par ses menottes pour ratt****r son retard.
“ – Je te rassure, on passera par l’intérieur pour le retour, que tu vois les ateliers de travail.
Il y a en a quatre. “Tenue et maintien”, ”Beauté”, “Service à la personne” et “Esprit d’ouverture”. Vous travaillez à cinq par atelier, toutes les tenues sont identiques, seul change les couleurs en fonction des ateliers.
Chaque jour est noté, et chaque note en dessous de seize est fortement sanctionnée… Par mes soins.
Et au cas où toutes les notes de l’atelier sont supérieures à seize,
la soumise la moins bien notée est celle qui est punie ! ”
Expliqua Maîtresse Xaviera, tout en se mettant à remarcher d’un pas plus tranquille, avant de s’arrêter devant une lourde porte en bois à doubles battants.
De chaque coté des montants de la porte, se trouvaient des plaques métalliques au-dessus des trous de regards des eaux usées, d’où dépassait de chacune d’elles, des boules de métal, deux grosses et quatre plus petites.
Deux soumises y résidaient complètement isolées, tandis que s’écoulait l’eau de pluie froide dans leurs trous, où Hugo les avait plongé nues et solidement entravées.
“ – Elles surveillent le donjon ….En silence! ”
Plaisanta Maîtresse Xaviera, en shootant plusieurs fois de sa plate-forme dans une des grosses boules de métal, tout en prenant un des petits mamelons enserrés de la petite Géraldine entre son pouce et l’index, et le serra légèrement en plus de la pince japonaise.
“ – MMMMMMMPPHHH !!!MMMMPPHHH !!! ”
Couina la pauvre soumise, sous les coups de pieds qui résonnaient dans son isolement de métal.
“ – MMMMMMMPPHHH !!! IIIIIIHHHH !!! MMMMPPHHH !!! ”
Pleurnicha en même temps Géraldine, en se pliant de douleur pour essayer d’échapper à l’emprise de la main machiavélique, sans y parvenir.
“ – Que tu comprennes bien, petite Géraldine, je ne suis pas là pour jouer avec toi, mais pour te former à l’excellence, pour que tu deviennes une soumise, attentive et disponible en permanence pour ton dominant.
La petite Géraldine a-t-elle bien enregistré le message ?”
Demanda Maîtresse Xaviera, tandis que son sourire ironique avait disparu pour laisser la place un visage sec et autoritaire, sans relâcher son emprise sur le petit téton malheureux, attendant patiemment une réponse.
“ – MMMMMMMPPHHH …‘Ui , Mai’resse !’Me’ci, Mai’resse ! Mmmpphh… ”
Couina la soumise meurtrie, acquiesçant la bonne réception et compréhension du message transmit, en baissant ses yeux larmoyants.
“ – Parfait ! Allons donc voir cette petite gourdasse à mater ! ”
Dit Maîtresse Xaviera , en relâchant le pauvre mamelon meurtri par la pince, poussant ensuite la porte du donjon, tout en tirant sèchement sur la laisse, avec un sourire sournois en entendant de nouveau le doux couinement de Géraldine.
La pièce était vaste, presque de la taille d’un terrain de tennis, avec cinq larges piliers de béton de chaque coté sur lesquels étaient accrochés de gros anneaux.
La maladroite à punir avait ses poignets menottés dans le dos par de larges entraves de cuir, et était à genoux devant deux hommes qui discutaient entre eux, ses ballets boots encore aux pieds.
Vu les lambeaux de latex qui jonchaient le sol devant la soumise, elle avait du être dépourvu de sa tenue en latex avec une certaine agressivité.
Son corps était d’une blancheur laiteuse, avec une jolie poitrine ronde aux tétons annelés. Son visage magnifiquement féminin était vierge de maquillage, et son crane n’était pas plus fourni en capillarité que celui de Géraldine.
“ – Bonjour Hugo !Mister Brent, je ne pensais pas vous voir si tôt !J’en connais une qui va être ravie! ”
Dit Maîtresse Xaviera en plaisantant, serrant au passage les mains des deux hommes.
“ – Comme tu aimes t’accrocher à moi, je vais t’accrocher un peu ! ”
Dit Maîtresse Xaviera, en tenant le menton de la soumise agenouillée, en plongeant son regard glacial dans des yeux déjà implorants.
“ – Pardon Maîtresse ! … Pitié ! ”
Pleurnicha la soumise, une larme coulant le long de sa joue, tandis que Maîtresse Xaviera lui lâchait le menton.
“ – Ça, il fallait y penser avant !
Hugo, suspendez la ! Avec un large ring-gag comme bâillon, et je veux ses jambes en grand écart…Et retirez lui ses ballets, elle n’en aura pas besoin pour sa Confortable nuit ! ”
Ordonna Maîtresse Xaviera, en giflant la maladroite pleurnicharde.
“ – Bien, Madame la Directrice. ”
Répondit Hugo, en s’emparant de la soumise en larmes, qui essaya en vain de lui résister, tandis qu’il lui engouffrait un large ring-gag écartelant sa bouche.
“ – Naaaaaannn !Mai’resse !S’i vou plaît !Pa’don, Mai’resse ! ”
Supplia la pauvre petite soumise, tout en commençant à baver à cause de son ring-gag, que Hugo était en train de lui serrer au maximum.
Il accrocha ensuite ses entraves de poignets à un palan, qu’il fit monter de façon à mettre la soumise sur l’extrémité de ses ballets boots, avant de les lui retirer, les posant avec soin le long d’un pilier, puis il lui fixa des entraves aux chevilles et fixa deux cordes, qu’il relia à deux piliers opposés.
La soumise se retrouva bien vite en position de grand écart.
Pendant ce temps d’installation, Maîtresse Xaviera entra en bonne discussion avec le fameux Brent. Géraldine entendait leur discussion, qui la faisait frémir, sur les jeux que Brent faisait avec Kitty.
Ils plaisantaient sur le fait que la petite chatte était très peu disposée à jouer avec lui.
Mais elle regardait également la mise en place de la soumise, dans un mélange de peur et de jalousie partagée. Son clito se remit à durcir contre les pointes de sa minuscule cage, quand Maîtresse Xaviera tira sur sa laisse, la tirant brutalement de sa contemplation pour lui montrer quelque chose, en lui faisant faire le tour de la pauvre maladroite suspendue.
“ – Tu vois, petite Géraldine, elle est maladroite, mais au moins, elle sait se contenir…
Ou peut être qu’elle ne sait plus ce que c’est, depuis longtemps !
Qui sait….Tu finiras peut-être comme cela, avec juste de petites gouttes inutiles !”
Dit Maîtresse Xaviera, en montrant un petit clito flasque équipé d’un système identique à celui qui équipait des pony-Tgirls.
En se mettant à le caresser de sa main manucurée, faisant gémir la soumise de peur, la faisant se tortiller dans sa suspension, sans que le petit clito n’ai aucune réaction, étant comme anesthésié, bien que l’humidité d’un précum perlait en une petite goutte.
Maîtresse Xaviera lâcha la laisse de la nouvelle élève, et se dirigea vers l’une des armoires qui renfermait le matériel du donjon.
Géraldine, quelque peu « rêveuse » sur une autre option que la petite boule à pointes, baissa les yeux sur son petit clito congestionné et sévèrement meurtri par les pointes de sa minuscule cage, qui perdait lui aussi du précum , mais dans un long filet.
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