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Nos vacances au Portugal 1

Nos vacances au Portugal 1



Depuis quelques années ma femme et moi partons en vacances l’été au Portugal. C’est un pays que nous aimons bien, pour son caractère accueillant, sa simplicité… Cette année pour la première fois nous sommes partis en camion aménagé que j’ai équipé sommairement : Un grand lit, une douche et des caissons de rangement. Nous avons 50 ans passés et nos enfants ne nous suivent plus en vacances, nous redécouvrons les joies de retrouver notre intimité première…De plus le fait d’avoir un véhicule aménagé démultiplie d’autant un certain sentiment de liberté…
Une de nos étapes nous a conduits dans une ville du sud du Portugal : Alvor. Nous apprécions particulièrement cette ville pour ses plages de sable fin ses falaises ocres sa vie nocturne vivante et animé ou l’on se sent vite grisé…
Un soir, je propose à ma femme de laisser le véhicule sur le terrain de stationnement situé non loin du centre-ville et de se mettre à la recherche d’un de ces petits restaurants de bord de mer ou l’on est tout de suite transporté par les odeurs de poissons qui grillent à la braise. Avant cela, nous nous arrêtons à un petit bar sympa style reggae dont la spécialité est la caipirigna (cocktail à base d’alcool de canne à sucre venu du Brésil). Nous en buvons une puis deux… l’ambiance, la musique, la foule qui entre et sort de ce bar nous grise rapidement… Il est temps d’aller manger car notre estomac vide encaisse mal l’alcool que nous absorbons et cela nous monte rapidement à la tête…
Nous voici donc assis au restaurant, non loin du port, plusieurs couples avec ou sans enfants ont déjà commencé leur repas. Un serveur vient prendre notre commande sardines frites salade pour tous les deux. Avant que le serveur ne reparte je lui demande de nous servir un litre de vinho verde bien frais (c’est un vin blanc pétillant qui s’accorde très bien avec les poissons). Le serveur me redemande confirmation « 1 litre ? » ma femme me regarde avec un sourire qui en disait long sur l’état dans lequel on serait si on buvait tout… oui, oui, mais bien frais ! Nous sommes à présent au milieu du repas, les caipirigna et le vinho verde ont largement débridées nos pensées et toutes nos discutions n’ont maintenant qu’un seul centre d’intérêt : « le sexe ». Je lui demande si elle mouille, elle me dit « je crois… » Pour en avoir le cœur net je lui demande d’aller aux toilettes et d’aller enlever sa culotte… Elle me regarde à peine surprise par ma demande fait semblant de refuser une première fois mais comme j’insiste, elle ne tarde pas à s’exécuter, elle se lève et reviens quelques minutes plus tard, s’assoie en face de moi et me dit toute fière mais un peu gêné : «c’est fait et j’en ai profité pour faire pipi ! » Je lui dis « à présent je veux vérifier, donne-moi la preuve que tu l’as enlevée », elle regarde à droite puis à gauche si personne ne regarde et me tant rapidement sa main… Je la saisie et récupère le string quelle portait quelques instant auparavant. Elle me dit : « je me sens gêné sans culotte, je n’ai pas l’habitude surtout que là je suis en jupe assez courte en plus… » Je la rassure en lui disant que je suis le seul à le savoir qu’elle ne porte pas de culotte. Elle serre ses jambes pour éviter que des gens qui entrent n’aperçoivent ses parties intimes…Son string est encore humide et chaud, cela me plait de le constater.
Nous avons à présent fini notre bouteille, il ne me reste plus qu’à payer l’addition en allant jusqu’au comptoir. Je me lève fixe droitement le caissier en tentant d’aller droit et de me rappeler du code de la carte bleue. Après quelques hésitations un éclair de lucidité nous permet de sortir sans encombre dans les rues animées de la ville. Tout au long des rues, nous nous tenons serrés l’un contre l’autre complices de notre soirée passée et à venir… Je pose ma main sur ses fesses et le tissus de sa jupe ne laisse pas de trace d’un quelconque sous vêtement. Sa jupe est bien au-dessus de la mi-cuisse, et moule parfaitement ses fesses rebondies. Je sens tous ses pas très mesuré pour éviter de dévoiler son sexe et ses fesses. Mon sexe est en érection depuis ce moment où elle a accepté d’aller enlever son string. Je marche en bermuda, heureusement que ma chemise d’été recouvre la partie haute de celui-ci et dissimule ainsi mon excitation.
Nous sommes à présent revenu à notre camion aménagé, nous sommes loin des autres camping caristes, nous allons pouvoir nous laisser aller…A peine rentré, nous nous jetons l’un sur l’autre, elle s’empare de mon sexe turgescent et me dit « je n’ai pas pris mon dessert ce soir » et de sa bouche goulue elle avale mon gland humide et dur en ne cessant de faire des allées et venues de plus en plus rapides… Je lui demande de se mettre en position 69 pour que moi aussi je puisse lui prodiguer toute mon attention. J’ai envie de boire son jus, son nectar, je suis complétement enivré par son odeur surtout que dans notre excitation nous n’avons même pas pris le temps de faire un brin de toilette intime… Ça ne fait rien, j’aime quand il reste encore des odeurs surtout quelle était allée aux toilettes plusieurs fois pour uriner ; je suis encore plus excité, je bande à mort prêt à exploser. Il est maintenant grand temps que je la pénètre car si elle continue à me sucer ainsi elle va se prendre une giclée dans la bouche et elle n’aime pas trop ça ! Dommage, moi c’est un de mes fantasmes…mais un jour je l’aurais ! Elle se relève, se penche en avant et me présente son cul, il est magnifique, le clair de lune entrant par l’espace d’une fenêtre me laisse entrevoir toute son intimité anale et sa chatte que j’ai pris soin de raser avant de partir de France. Elle s’est laissée convaincre que je la rase et aujourd’hui, elle ne peut plus s’empêcher d’apprécier ces sensations de peau contre peau, surtout quand je lui suce son clito, que j’introduis ma langue au plus profond de son intimité humide. Je m’introduis dans son vagin avec devant mes yeux le plus beau spectacle au monde : son cul bien cambré qu’elle écarte de ses deux mains en me disant : « bourre-moi la chatte » je sens à peine mon sexe entrer et sortir tellement elle mouille, c’est une véritable fontaine qui coule le long de ses cuisses, je ne peux m’empêcher de la faire se retourner et s’allonger pour qu’une dernière fois avant que je n’explose lui lécher sa mouille, la boire la dévorer. Elle se met sur le dos pour l’assaut final, toute mes sensations passent à présent par ce canal étroit que son nos deux sexes, mes fantasmes fonctionnent à plein régime : tout en lui faisant l’amour, je l’imagine recevoir mon sperme dans sa bouche… m’offrir son cul et accepter la sodomie… je l’imagine même, (chose que je ne lui ait jamais demandé, tellement je suis sûr qu’elle n’apprécierait pas ce genre de proposition) prendre le sexe d’un autre homme et le sucer pendant que moi je la burine à petit feu. Ces images m’excitent et procurent en moi un grand plaisir. L’alcool, le corps de ma femme ainsi abandonné, ses seins qu’elle tient à pleine main comme pour me les offrir encore plus à ma vue…mes images fantasmées me conduisent rapidement au 7ème ciel et dans un grand tremblement et abandon, plus rien n’existe l’espace d’une demi seconde, c’est l’éjaculation finale ! Mon liquide se repend dans son antre, je sent les parois de son sexe qui me retiennent comme pour en récupérer les dernières gouttes. Epuisé d’excitation je me renverse sur le côté et lui caresse le visage, a-t-elle aussi des fantasmes inavoués ?, des secrets bien gardés qu’elle n’ose partager ? Il reste tant encore à découvrir entre nous !

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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