Quand Géraldine se réveilla, elle sentit qu’elle était assise, mais solidement sanglée, les poignets aux accoudoirs, ses chevilles aux pieds de la chaise et plusieurs sangles empêchaient tout mouvement du torse, son front était légèrement douloureux, ainsi ses lobes d’oreilles, elle y sentait des boucles d’oreilles qui pendaient, des clochettes, pensa-elle. Par contre ses seins, eux, étaient extrêmement douloureux et sensibles, et quand ses yeux s’ouvrirent, elle comprit pourquoi. Pendant son sommeil chacun de ses seins subissaient une perfusion, et ils avaient pris le volume d’une belle poitrine féminine. La pendule affichait 17h, depuis combien de temps était-elle comme cela. Des superbes ongles très longs rouge foncé ornaient maintenant le bout de ses doigts .Ses jambes étaient gainés de bas auto-fixant, à l’inclinaison de ses pieds ,elle sut qu’elle était chaussé de ses talons aiguilles de 12 cm ,surement cadenasser , elle entendit les talons ferrés des 2 femmes qui revenaient ,Sandra tenant sa cravache a la main, et Elsa portant une mallette.
« Ca y est, ma belle, tu est réveillé, comment trouve-tu tes seins , c’est une injection saline, tu subira ce traitement à chaque sortie en public ou quand on reçoit, en attendant ta définitive transformation, tu as un beau 95B, maintenant, et cela te donne un aperçu de ta future poitrine ,mais malheureusement cela ne dure que 7 a 8 heures. Nous allons pouvoir finir ta mise en beauté .La touche finale, tes piercings, et tu seras parfaite, mais tu as peut être faim et soif »dit Sandra, en lui retirant le gag-ball, pendant qu’Elsa débranchait les perfusions.
« Arrête, Sandra, s’il te plait »supplia Géraldine de sa voix aigue et désespérée. « FERME-LA!, sale petite trainée,c’est la dernière fois que tu me tutoie et la première règle d’une soumise, elle ne parle que si on l’y autorise, et quand tu t’adresse à moi dorénavant, C’est MAITRESSE, et baisse les yeux COMPRIS, esclave, et pour Elsa, c’est Maitresse Elsa « hurlât Sandra.
« oui, Maitresse » répondit Géraldine timidement.
« PLUS FORT !»hurlât-elle cinglant la cuisse de Géraldine avec sa cravache. «AAAAHHH,OUI,MAITRESSE »pleurnicha Géraldine, cette fois distinctement.
« Mange et boit, tu vas en avoir besoin, et maintenant que tu peux prendre tes hormones en cachets, double dose, comme promis »ordonna Maitresse Sandra.
« Oui, Maitresse »répondit la soumise.
Maitresse Elsa approcha une table à roulettes avec plusieurs gobelets, dont un avec sa semence, un blanc de poulet, et un yaourt, Maitresse Sandra donna à manger à son esclave par petits morceaux, puis le yaourt et les hormones, Géraldine suppliait du regard, mais Maitresse Sandra lui enfourna les cachets, et la fit boire de force.
« Et maintenant, le dessert, tu vas apprendre à avaler le bon jus comme une vraie salope, ma petite Géraldine chérie, AVALE !! »dit Sandra en prenant le gobelet des 4 semences récoltées. Mais, Géraldine garda la bouche fermée, le regard implorant, la cravache s’abattit sévèrement sur ses cuisses.
« OUVRE ET AVALE !! Esclave »ordonna Maitresse Sandra lui plaquant le gobelet aux lèvres, renversant la tête de la soumise en arrière en agrippant ses cheveux, Géraldine s’exécuta, avalant jusqu’à la dernière goutte de son sperme, les yeux en larmes, mais elle fut surprise d’en apprécié le gout.
« Crois-moi, petite chienne, tu apprécieras encore plus, quand ce sera le jus tout chaud des bites que tu suceras!!!» rigolât Maitresse Sandra à son oreille. un«Oui,Maitresse «sortit de la bouche de Géraldine, instinctivement, et elle en fut elle-même surprise.
Le repas finit, Maitresse Sandra détacha les chevilles de Géraldine et lui remontât les jambes en position pliées en les sanglant écartées ,dégageant ainsi l’anatomie de la soumise, puis elle resserra toutes les sangles, plaça un large collier de posture à Géraldine ,ce qui interdisait à la tête tout mouvement , elle sangla ce dernier au dossier de la chaise, plaça également une sangle sur son front et répétât l’opération, ainsi la tête de la soumise était totalement impossible à bouger ainsi que tout son corps.
Pendant ce temps, Maitresse Elsa avait amené la table à roulette, face à la soumise Géraldine, elle découvrit avec horreur les instruments de piercing, et elle compris ce qui l’attendait, elle enfila des gants.
« Non, s’il vous plait »gémit doucement Géraldine du bout des lèvres.
« Silence, chienne, ouvre la bouche »dit Maitresse Sandra, abatant sa cravache, plusieurs fois sur les cuisses de Géraldine.
« AIIIE,OUI,MAITRESSE »pleurnicha doucement la pauvre petite soumise, en ouvrant grand la bouche, Maitresse Elsa saisit la langue de Géraldine et avec deux baguettes japonaises l’emprisonna au niveau de son piercing, ainsi la langue était douloureusement étiré, l’empêchant de se rétracté dans sa bouche , et la soumise pouvait presque parler instantanément, Géraldine commença à baver. Maitresse Elsa lui remplaça son petit piercing de langue par un anneau. « Bon, ma belle, il ne faut surtout pas bouger, vu comment tu est sanglée, j’en doute, tu peux pleurer et hurler tant que tu veux. Nous avons au programme : un piercing nasal avec pose d’un petit anneau 2 cm de diamètre, tes piercings de couilles au nombre de deux avec pose de petits anneaux, tes piercings des tétons avec pose d’anneaux de 3,5 cm de diamètre, et ma petite touche perso, un piercing mouche strass au dessus de ta lèvre pour faire vraiment COQUINE !!! » dit Maitresse Elsa en souriant.
«Pi’ié, s’i vou plai, Mai’resse »essaya d’articulé Géraldine, bavant, les yeux embués de larmes. Maitresse Sandra la toisait d’un regard froid et impérieux en souriant.
Peu compatissante, Maitresse Elsa saisit un de ses tétons, hypersensible à cause des mauvais traitements subis au cours de la journée, par les pinces et l’injection saline, elle le désinfecta, et elle le transperça. un hurlement intense sorti des entrailles de la pauvre soumise Géraldine, de grosses larmes coulaient le long de ses joues , le téton transpercé fut affublé d’un bel anneau de muni d’une petite clochette ,elle réédita l’opération avec l’autre, les hurlements reprirent . Maitresse Elsa caressa délicatement les couilles de Géraldine ,les désinfecta et transperça d’abord la gauche fixant un petit anneau avec une petite chainette de 5 cm ,au bout pendait une clochette et répéta l’opération pour l’autre, et lui plaça ensuite un piercing anneau à l’entre-jambe ,puis vint la pose de l’anneau nasal ,et le piercing au dessus de la lèvre, la douleur fut moindre que les autres , puis Maitresse Elsa lui fixa le dernier piercing, Géraldine pleurait déjà toutes les larmes de son corps, bavant sur elle, à cause des baguettes qui lui emprisonnaient sa langue.
« Voila ma belle, c’est fini, qu’est ce que l’on dit, petite soumise »dit Maitresse Elsa en lui libérant sa langue.
« Merci Maitresse» dit la misérable soumise, des sanglots dans la voie.
Ensuite, Maitresse Elsa lui fit le contour des lévres et lui appliqua un rouge a lèvres. Puis elle fut détachée de sa chaise, épuisée, et déjà domptée par les supplices subis tout au long de la journée .Elle n’opposait plus qu’une molle résistance. Ses bras furent emprisonnés dans un armbinder , il fut relié à la courte chaine de ses chevilles entravées ,le large collier de posture avec sa laisse, un large ring-gag lui fut placé en bouche, elle eu l’impression que sa mâchoire se disloquait et il fut raccordé par des pressions au collier, sa langue fut sortie et une petite chaine munie d’une clochette raccordé à son anneau de langue, empêchant cette dernière de pouvoir se rétracté en bouche. Maitresse Sandra lui enserra la taille dans un corset serre-taille en vinyle noir très étroit en mesurant son tour de taille avant de le positionner, et en le serrant étroitement serré .Gémissante, Géraldine avait peine respirer.
« Je sais, ma belle, c’est serré, mais le port d’un corset est impératif pour une chienne soumise telle que toi. Actuellement, tu fais du 40, sans corset, et tu vois là, nous sommes descendus un 36, et nous allons descendre à un 34 avec le temps, cela te fais une taille de guêpe, en plus ton 95B, et ton cul bien arrondi, cela te fait des courbes magnifiques, d’ailleurs si on le dilatait ce petit cul de soumise, histoire de commencer à l’élargir !!!!» lui dit Maitresse Sandra.
« NANNNN, PI’IE, MAI’RESSE, PAS’A, PI’IE !!!« supplia Géraldine , quand elle vit le plug gonflable que tenais la main de Maitresse Elsa , elle se mis à se débattre dans ses entraves, tortillant son croupion, faisant tinter toutes ses clochettes , mais les deux femmes la plaquèrent sur la chaise et lui enfilèrent le plug bien graissé dans son fondement qui rentra facilement ,sa verge gonflât dans sa cage trop étroite, les pointes de discipline se plantant dans la chair tendre.
«Couine tant que tu veux, petite salope, tu vois, ton cul l’accueille comme une fleur, oh oui, bien sur, quand je le gonfle à fond, c’est inconfortable et peut-être douloureux, mais il faut bien que tu comprennes, que plus je dilate ton cul de future putain soumise, ainsi je pourrais te faire enculer par des grosses queues bien juteuses, tu aimes !!!!» ironisa Maitresse Sandra tout en actionnant la poire, gonflant le plug à fond. Puis elle vérifia la fixation en tirant dessus, il tenait bien, donc il était impossible de l’éjecter facilement, ou alors en tirant très fort.
» NANNNN, AAAHHHH, PI’IE, S’OP, IIIIIIHHHH «couina Géraldine, l’anus au bord de l’explosion, mais bizarrement elle ressentait du plaisir, avoir enfin son cul rempli et ainsi dilaté.
« Voila, ma jolie, tout est en place, après ses 7 heures de travail sur ta personne, tu dois être impatiente de voir le résultat. Crois-moi, tu ne vas pas être déçue, tu es délicieuse, tu fais très salope soumise .A partir de maintenant ta servitude sera en partie filmée et diffusée sur le net, que l’on sache bien se que tu es !!!!»dit Maitresse Sandra, le regard ravi du résultat en la redressant, tirant sa laisse sèchement, et l’entrainant à travers la maison pour la ramené face à la grande glace du salon, ou trônait maintenait un caméscope sur pied filmant sa soumission et Maitresse Elsa en tenait un en main.
« NANNNN, PI’IE,S’OP, NANNNN » pleurnicha Géraldine dans son bâillon, ses pieds lui faisait un de mal de chien et elle était gêné pour marcher, par le manque d’habitude de marcher en talons aiguilles et aussi par la chaine reliant ses chevilles. »Regarde toi !!! Regarde ce que tu es devenue »dit Maitresse Sandra, en la plaçant face à la grande glace du salon, tenant sa laisse, lui caressant son cul et ses cuisses, ses seins annelés, et ses couilles avec sa cravache. Le visage réjoui de la situation.
« NANNNN, NANNNN » gémit la soumise, secouant la tête, en se découvrant dans la glace, quelle vision, elle ne put contenir une érection douloureusement stoppé par sa cage à pointes .C’était lui, le minable Gerald, qui était devenu cette superbe créature, cette poupée, en si peu de temps. Déconcertée par la vision que lui donnait le miroir, mais elle était devenue ce qu’elle rêvait secrètement, UNE SOUMISE.
Effectivement, sa peau si laiteuse sans poils , son corset en vinyle noir lui faisait une taille de guêpe, faisant ressortir des seins maintenant annelés, gonflés par l’injection saline, surtout avec l’armbinder ,enfermant et étirant en arrière ses bras et ses mains manucurés, ses talons aiguilles de 12 cm ,cadenasser à ses chevilles entravées par une courte chaine ,allongeaient ses jambes gainés de bas, son collier de posture remontait un visage tellement modifié ,un visage maintenant hyper féminin au maquillage soutenu,sa bouche aux lèvres brillantes du même rouge foncé que ses ongles et aux contours dessinés était étrangement goulue autour de son ring-gag,bavant a cause de sa langue pendante avec sa clochette,son piercing diamant au-dessus de sa lèvre,ses yeux étaient maquillés,eye-liner waterproof(façon œil de biche),rehaussé par des faux cils permanents,ombre à paupières autocollantes foncées façon ‘smoky eyes’, s’estompant vers ses sourcils tatoués et finement dessinés. Son complément capillaire était totalement indécelable, c’était une longue queue de cheval blond platine sur le dessus de la tête, qui retombait sur ses épaules ,tenu par un gros nœud en vinyle noir ,avec une courte frange, laissant ses sourcils bien visibles .Ses oreilles avaient bien été percées ,comme elle s’en doutait ,de 5 trous chacune et de longues boucles strass ` SLUT ‘pendaient à présent en ornements à ses oreilles ainsi que des chainettes ,chacune terminé par une petite clochette identique à celles de ses anneaux de tétons ,que chaque mouvement faisait tinter. Mais surtout elle fut effarée par toutes les traces de sa définitive soumission ,dont elle avait pris enfin conscience .En plus de ses entraves ,au dessus de sa queue en cage, trônait un tatouage gothique en forme de ` S ’ pour Sandra , ses piercings ,celui de sa langue avec sa clochette pendante ,la faisant baver ,ses seins aux tétons annelés et son anneau nasal , sa queue en cage et ses couilles annelées et à clochettes,son plug gonflable qui lui dilatait l’anus, le câble de gonflage pendant entre ses cuisses ,et son cul rougi par les coups de cette cravache qui la caressait à présent ,tenue par sa Maitresse ,arme de caresse ou de punition. Une larme lui coula au coin de l’œil,de bonheur,surement,car sa queue, elle, ne trompait pas,une petite semence s’écoulant doucement de sa cage sur le sol.
« ANNNN, NANNNN » gémit doucement Géraldine, se tortillant doucement sous les caresses de la cravache de sa Maitresse, pendant que Maitresse Elsa filmait la scène .
« Alors !!!!Petite Géraldine ,qu’a tu as dire à ce superbe résultat ,tu vois ,ma belle, ça n’arrive pas qu’aux autres ,toi aussi maintenant, tu est une catin trans,MA SOUMISE ,MON ESCLAVE,MA POUPEE,et je vois que tu te plais énormément. Heureusement que j’étais là pour t’aider à sauter ce pas, maintenant ta nouvelle vie de chienne docile et soumise à commencé, tu vas découvrir le plaisir ou la souffrance suivant tes résultats, sucer, te faire défoncer le cul et être ma bonniche ,ainsi que subir mes différents petits jeux seront tes principales activités »dit Maitresse Sandra en souriant, en caressant les couilles ,jouant avec les anneaux et la cage de chasteté de la soumise de sa main manucurée.
» OOUUIIII, MAI’RESSE, ME’CI, MAITRESSE «dit Géraldine, d’une voix soumise et docile, ses yeux étaient remplis de larmes, mais dans son regard se mêlait bonheur, gratitude, mais aussi d’angoisse pour la suite de son dressage.
»Bien, je constate avec plaisir que tu deviens docile, on va pouvoir te travailler à fond, si nous commencions par ceci » dit Maitresse Sandra, le regard conquérant, en prenant un gode-ceinture d’environ 22cm par 5cm, tirant sur le plug gonflable, pendant que Maitresse Elsa en prenait un légèrement moins large.
« NANNNN, PI’IE, MAI’RESSE, PAS’A, PI’IE !!!« implorât Géraldine, tremblante d’énervement et de peur, en voyant l’énorme gode.
« FERME-LA !!!Chienne, je ne t’ai pas autorisé à parler »dit Maitresse Sandra, attrapant la laisse pendante, et abattant violement sa cravache sur ses fesses et ses cuisses, les fouettant à plusieurs reprises.
« NANNNN, A’ETE, PI’IE »hurla Géraldine essayant d’échapper aux coups en se tortillant dans ses entraves.
« Tu me tutoie encore, petite chienne, je vais t’en passer l’envie !!!!!Après cette punition, je ne pense pas que tu recommenceras »hurla Maitresse Sandra autoritaire, en tirant sur la laisse de la soumise.
« NAAAANN, PA’DON, MAI’RESSE, NANNNN» pleurnicha Géraldine dans son ring-ball, suppliant du regard, en comprenant son erreur de langage, mais trop tard.
Une corde fut attaché a l’anneau de son armbinder , ses jambes écartées par une barre ou la laisse fut attaché, puis Maitresse Sandra lui fixa des petites chainettes munis de petits poids à chaque anneau de téton, les étirant douloureusement .Ensuite ,elle passa la corde dans une poulie accroché à une poutre du plafond, hissa les bras pris dans l’armbinder,la soumise était ainsi attachée en mode strapaddo ,ce qui l’obligeait a être pliée ,le torse parallèle au sol, le cul offert à tout les sévices ,Maitresse Sandra plaça son caméscope sur un pied face à la soumise pour ne rien raté de son supplice pendant que l’autre caméscope filmait la punition en intégralité.
Maitresse Sandra et Maitresse Elsa tenaient respectivement une cravache et un martinet, et les coups se mirent à pleuvoir, sur son postérieur si délicatement positionné, arrachant des hurlements à peine étouffées par le bâillon à la pauvre Géraldine.
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