Attention : Tout ceci n’est qu’un rêve. Pas besoin de venir dire « Pas autorisé dans la législation » ou autre ce n’est qu’un fantasme.
Je commence ma journée par me lever tôt à 5h du matin alors que c’est samedi zut.
J’ai une longue journée qui m’attend cela fait 3 jours que je la prépare.
J’ai été acheter un bel ensemble de lingerie noire, les derniers plugs que j’attendais sont arrivés hier au point relais je vais aller les chercher juste après.
Mon esthéticienne habituelle a fait un travail superbe, je suis lisse de partout même dans le creux de mes fesses.
Je commence par aller passer un petit temps aux toilettes car bien qu’aimant jouer avec des fesses un peu sales je ne veux pas que mes futurs amants se salissent de trop.
Je pose ensuite ma BB crème colorée sur le visage, un coup de mascara sur chaque oeil, un bon coup de rouge à lèvres bien sanglant (ça fera de jolies traces sur les queues).
Vite vite à l’habillage, en commençant par les bas, le porte-jarretelles à 8 attaches pour bien les maintenir, le string qui me rentre dans la raie, le soutien-gorge paddé pour faire semblant d’avoir un peu plus de poitrine.
Pour le bas une jupe très courte en cuir rouge couvrant juste au ras mes fesses et pour le haut un top noir bien échancré pour laisser apparaître mon soutien-gorge.
On pense bien sûr en les voyants sur la commode à la cage à clitto ainsi qu’au plug qui va rentrer au chaud en attendant les nouveaux et surtout les amants.
Regardons l’heure : 6h30, parfait pour aller récupérer les plugs au point relais.
Je sors ma voiture, j’écarte bien les cuisses pendant la conduite mais pas grand monde dehors pour regarder.
Tant pis, j’arrive, récupère le colis et rentre. Je déballe le carton et trouve les objets de mes rêves : des plugs roses de toutes les tailles pour compléter ma collection.
J’en installes un de suite et je prépare le lit pour la journée : une bâche en plastique en cas d’envie de douche dorée, des serviettes par dessus pour que ça soit plus moelleux, les menottes sont posées sur la commode tout comme le lubrifiant, la collection de sex-toys et les divers collants et bas qu’on va utiliser pour m’attacher/bâilloner/aveugler.
7h une sonnerie sur le portable, c’est l’interphone. Parfait le 1er arrive. J’en ai prévue 2 pour la journée et 1 pour la nuit. Ils sont tous d’accord pour rester le plus longtemps possibles et m’utiliser à plusieurs si l’envie leur prend.
Je descend au rez de chaussé lui ouvrir en ayant pris soin de retirer le haut et la jupe, tant pis si je croise des voisins (ou voisines) je les invites aussi.
On rentre dans l’appartement et lui propose de commencer. Il enlève ses chaussures, voit le lit et me pousse dessus. Je tombe sur le dos, les bras et cuisses écartées, il se saisit d’un collant et attache ensemble mes pieds. Il prend ensuite une poignée de bas, ouvre ma bouche et les fourre dedans, sécurisant le tout avec un collant.
Il me fait mettre à 4 pattes, les poignets près des chevilles et je sens mes mais être liées à mes pieds m’empêchant de bouger totalement.
Il tire sur mon string, me l’arrachant et je ne peux que produire un gémissement complètement étouffé par mon bâillon.
Je sens mon fondement se vider quand il retire le plug mais je sens juste après une sensation de chaleur, sa bite bien grosse me rentre et m’écarte, mon plug n’était pas assez gros pour bien me préparer mais j’adore ça quand ça force un peu.
Il me prend lentement, son gland frotte ma prostate à chaque passage, sa main caresse mes bourses tandis que mon clito pathétique se vide de sa semence sur la serviette sous moi.
Il me lime de cette manière pendant ce qui semble des heures pour moi mais au bout d’une trentaine de minutes il change de rythme pour jouir au fond de mes reins.
Il me rentre mon plug gonflable et appuie 10 fois sur la poire, le faisant bien grossir. Il att**** un collant, me bandant les yeux et faisant que les renforcements d’orteils soient bien sur mon nez.
Je l’entends se lever et fouiller quelque chose du côté des manteaux. Je sens le lit bouger lorsqu’il revient. Je sens soudain qu’il me retourne sur le dos, att**** mon clito encagé et insère du liquide dans mon urètre avec une seringue. Je sens ensuite un objet dur se frayer un passage sur 3 bons centimètres. Une sensation de chaleur se fait sentir et soudain une goutte brûlante se pose sur mon gland, il m’a enfoncée une bougie et la cire coule!
Je sens la jouissance venir encore une fois mais ne peux rien dire et mes demandes ne sont pas entendues.
Il att**** une cravache et se mets à me fouetter les bourses. Il retire la bougie et je sens mon jus sortir.
Il me dit : « Je veux que tu boives ma pisse et plein d’eau, je vais te plugger l’urètre pour t’empêcher de te soulager et que tu me supplies ».
Je fais signe de la tête que oui, il retire le bâillon, plante sa bite dans ma bouche et pisse. J’avale au plus vite tout en appréciant le goût et continue de sucer une fois qu’il a terminé pour le nettoyer. Il va chercher 2 bouteilles d’eau que je dois avaler cul sec. Je le sens saisir mon clito entre ses doigts, la seringue se pose à nouveau pour lubrifier mon urètre. Je sens un objet dur s’enfoncer dans mon sexe, ainsi qu’une chose recouvrant le gland de ma cage.
« Voilà petite salope tu ne peux plus pisser. »
« Merci Maître je suis heureuse »
« On verra ça d’ici 1h ou 2 hahaha »
Le 2ème comparse se fait connaître via l’interphone et le Maître décide de comment je vais descendre.
« Tu vas descendre à 4 pattes, les yeux bandés, un gode cravache entre les fesses et je vais te poser un ring-gag ».
« Très bien Maître j’y vais »
Je descend tant bien que mal jusqu’au rez-de-chaussé sans croiser de voisin et là, juste avant la porte d’entrée de l’immeuble, celle d’une voisine s’ouvre.
« Ah salope c’est encore toi qui fait du bruit je te l’ai déjà dis de ne pas me réveiller le samedi matin. Oh mais je vois que tu disposes d’une « queue » bien utile, je vais t’apprendre moi! »
Elle se saisie de la cravache et me fouette violemment les fesses.
« Aller maintenant lèche moi la chatte jusqu’à la jouissance et on sera quittes pour aujourd’hui. »
Je me dépêche de le faire pour ne pas que mon 2ème Maître attende de trop.
« Dis moi petite pute tu es libre quand? »
« Dès demain matin 7h Maîtresse »
« Parfait a demain matin alors »
Je fuis jusqu’à la porte d’entrée de l’immeuble, ramène le Maître jusqu’à l’appartement et me rallonge sur le lit.
Mon envie de faire pipi arrive. Zut mais je peux tenir, je ne veux pas commencer à supplier.
On m’allonge sur le dos, les pieds derrière la tête et les chevilles liées aux poignets.
On m’installe des bouchons d’oreilles et je sens une bite forcer ma bouche.
Sur le corps je sens des caresses, une vibration démarre au niveau de mes pieds puis remonte le long des cuisses pour s’arrêter quelques temps sur le plug anal, redémarrant pour atteindre le plug d’urètre.
Je suis excitée, je veux jouir, pisser mais tout m’en empêche.
Un premier liquide chaud envahi ma bouche, légèrement gluant, je l’avale goulûment puis un second plus liquide se fait sentir, chaud lui aussi mais plus âcre. J’avale tout, soumise jusqu’au bout des pieds.
On retire mon plug gonflable, je sens du lubrifiant puis un très gros plug force ma pastille anale.
Je reste comme ça pendant ce qui me semble des heures, occasionnellement je sens le plug s’enlever, un peu de lubrifiant et un plug plus gros qui rentre.
En vérité il n’est que midi, ces messieurs ont faim, ils commandent des pizzas et plutôt que payer le livreur, celui ci se sert en nature. Il retire mon plug et me prend rapidement (Speed Rabbit héhé). Il appelle son chef pour lui dire et celui là envoie ses livreurs un par un. Une fois qu’ils me sont tous passés dessus il vient et enfonce son poignet délicatement dans ma corolle. Après les plugs, les enculages et le sperme ça glisse plutôt bien mais en même temps ça me rappelle que ma vessie est pleine. Surtout qu’il la sent bien et qu’il s’amuse comme un fou à la tripoter me faisant hurler.
Je supplie comme jamais de pouvoir pisser, je promets d’être la plus salope possible pour eux s’ils me libèrent.
La main se retire, un plug se loge en moi, je le sens se gonfler. On att**** mon clito et je sens qu’on visse quelque chose sur le dispositif urétral. Je pousse, l’urine se libère, je me sens bien jusqu’à ce que …. mon anus se fasse envahir par quelque chose de chaud et liquide. Hein? Mais je pisse dans mon propre cul? Qu’est-ce que je vais subir ensuite?
Je finie de me vider, je sens qu’on installe un très large saladier sous mes fesses. On me décanule et je me libère les intestins. Ils me détachent totalement, me faisant asseoir au bord du lit et me tendant le saladier pour que je le boive entier.
« Vais-je à nouveau être empêchée de pisser après? »
Je prends une baffe pour avoir posée la question alors j’avale tout très vite.
Ils me demandent la clé de ma cage de chasteté, je leur donne sans poser de question.
Ils me libèrent le clito je ne comprend pas. L’un d’entre eux dit qu’il est tatoueur et qu’il va nous emmener car il veut me décorer.
Je les suis juste vêtue de mes bas, pj et soutien gorge. Je demande à pouvoir avoir les yeux bandés et ils me l’accordent.
Je passe le trajet allongée sur la banquette arrière, une jambe passée de l’autre côté d’un appuie-tête pour tout dévoiler.
Une fois arrivés, on descend dans un sous-sol lugubre sans insignes, comprenant qu’on est plutôt dans un salon un poil clandestin.
Je tremble de peur, ça n’était pas prévu et je suis dans l’inconnu. Une femme arrive, m’emmène gentiment dans une pièce.
Elle me permet d’examiner son corps, ses seins percés, sa langue coupées en 2.
Je m’intéresse à son entre-jambe, pensant y trouver une chatte, je reste très surprise d’y sentir un clito masculin.
Je m’agenouille et constate avec des yeux ronds que son gland est percé et accroché à son périnée.
Elle sourie de mon amusement puis constate mon excitation avec mon clito tout grand.
Elle m’installe avec douceur dans une table gynécologique, utilisant des liens doublés de velours pour me maintenir dessus.
Le Maître tatoueur s’approche, décroche mon soutien-gorge et commence à saisir son matériel pour percer mes mamelons. Je ne sens quasiment rien, tout est fait dans la douceur pour que ce moment reste une bonne expérience imprévue.
« Je connais ton envie ultime ma petite, veux tu qu’on la réalise maintenant en privilégiant ta sécurité et faire que tu le fasses toi-même? »
« Oh oui Maître s’il vous plaît retirez ces 2 boulettes qui me gênent »
La femme s’approche avec un elastrator, passe mes bourses à l’intérieur de l’élastique et me tend l’appareil.
« Maintenant tu dois lâcher l’élastique toi même, ainsi je ne pourrais pas être poursuivi »
Je lâche presque la tension centimètre par centimètre, enfin mon rêve va devenir réalité : je vais être castrée comme je l’ai toujours voulue.
« Voilà normalement cela met plusieurs semaines à se resserrer et les faire tomber, occasionnant plein de douleurs. Mais j’ai développé une méthode qui va les voir tomber dans 30min. Explique lui Sandra pendant que je vais chercher le matériel. »
« Nous allons ajouter d’autres bandes, une dizaine en tout, en les posant les unes sur les autres. Ensuite nous allons t’asperger les bourses d’eau froide, contractant ainsi les élastiques. Tu seras une superbe transgenre castrée 30 minutes après le départ. Mais c’est extrêmement douloureux je te préviens. Tu peux encore dire non avant qu’il revienne et je couperais l’élastique déjà présent. »
Je réfléchie vite : aurais-je un jour une autre occasion? Certainement pas. Alors que faire? Continuer? Même sous la douleur? Oui mille fois oui, les retirer ça va m’aider pour plein de choses. Plus besoin de cage, les hormones sont plus efficaces, les strings passeront plus facilement,…
« Sandra je veux continuer, je veux sentir mes couilles se séparer de mon corps »
« Parfait Il revient tu vas avoir la suite »
Je ne rate pas une miette, les 10 bandes sont posées, mais bâillonnée je n’ai pas produite un cri audible. L’eau froide ressert tout ça et je sens soudain quelque chose se décrocher.
« Voilà petite salope elles sont par terre, un petit point de suture pour que tu ais ça propre et on peut passer à la suite. Sandra à toi de t’en occuper. »
« Bien Maître. Alors petite je vais maintenant procéder à ta circoncision comme moi. On va utiliser les outils médicaux appropriés et comme je suis médecin pas de soucis tu peux me faire confiance ».
Elle att**** le prépuce, le maintient et hop je n’en ai plus.
Je réclame : « Et mon frein? »
Hop un coup de scalpel le coupe sans douleur.
« Merci Sandra »
« Je te laisse à nouveau entre les mains du Maître pour que ton clito soit attaché entre tes jambes. »
Je sens le Maître percer mon gland avec une aiguille, faisant un Prince Albert, posant un anneau et le scellant.
« Voilà impossible d’enlever ton PA salope on passe à ton périnée »
Il perce, passe un anneau, tire sur le PA pour qu’il passe dans l’anneau du périnée et le scelle à son tour.
Je suis horrifiée : je ne peux plus décrocher mon clito de mon périnée. Le rêve tourne au cauchemar et Sandra le voit bien.
Elle lui hurle dessus, étant trop choquée moi-même pour réagir.
Il s’excuse mais ne fait aucun mouvement pour retirer l’anneau c’est réellement définitif ou alors en coupant un bout de mon clito au passage.
Sandra le pousse hors de la pièce, me détache et me prend longuement dans ses bras. Elle me fait remonter à l’air libre et la nuit est tombée je pleure toujours.
Elle m’emmène dans son appartement au dessus et m’allonge sur son lit. Tant pis pour mon rencard de la nuit je ne suis pas en état. Le 1er était parti depuis bien longtemps et je refuse que le second revienne près de moi un jour.
Le lendemain matin ça va un peu mieux, mais j’ai toujours des accès de pleurs en voyant mon clito.
La voisine m’appelle mais Sandra répond et lui dis d’aller se faire foutre. Son Maître est monté plusieurs fois cette nuit pour se faire rembarrer aussi sec.
Je ne sais pas quoi faire… Sandra me propose de m’habiller et d’aller faire un tour ensembles. J’accepte, un peu de gaieté peut-être.
On fait les boutiques, vêtements, chaussures, lingerie, Sandra toujours prévenante empêche les vendeuses de rentrer dans les cabines et me fait des commentaires sympathiques.
On reprend la voiture direction chez moi et je l’invite à monter.
Je me sens bien auprès d’elle et qui sait peut-être que quelque chose de positif sera à tirer de cette journée?
N’oublions pas tout ceci n’est qu’un fantasme. Merci de l’avoir lu et au plaisir d’en repartager, un autre jour.
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