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Déluge de Désirs

Déluge de Désirs



10 jours de pluie. Une pluie dense lourde et non interrompue. Le soleil ne semblait plus souhaiter percer les nuages de ses rayons chaleureux, plongeant la ville dans une ambiance de spleen permanente.
Bouches d’égout débordantes, crachant des flots incessants de liquides saumâtres.
Partout dans les rues des passants arboraient parapluies et autres imperméables. Ici des amoureux s’abritaient sous un pont, là un homme d’affaire courait pour ne pas être trempé jusqu’aux os.
Accoudée au rebord de la fenêtre de son salon, Nadège regardait la scène du haut de son appartement.
Elle arborait cette moue boudeuse si caractéristique, le spectacle du déluge la désolait.
Tout en entretenant machinalement l’effet de condensation que produisait sa respiration sur la ville, elle somnolait ; elle pensa tout haut
« – pfffffffff cette ville est devenue ennuyeuse, je ne m’y plaît plu. Il me faut un peu d’action”. Passant ses doigts fins dans ses longs cheveux châtains, elle se retourna vers le grand miroir argenté de l’entrée de son appartement.
Elle était habillée de façon très décontractée, un jean légèrement trop long lui tombait au dessous des pieds et un t-shirt un peu trop moulant, laissait apparaître ses tétons durcis par l’humidité et le léger froid ambiant.
L’intensité de son regard laissait deviner à l’observateur attentif, son caractère ouvert et curieux. Sa peau blanche et légèrement satinée, son corps svelte et musclé lui donnait une allure de femme fatale.
Pourtant, du haut de ses 25 ans, Nadège n’avait pas encore goûté tous les plaisirs de la vie et ne comptait pourtant pas se priver de le faire.
Décrochant son téléphone elle composa le numéro de ce gars qui devait la rappeler depuis deux semaines.
Une voix métallique, déclama d’un ton monocorde :
« – Bonjour je ne suis pas la pour le moment, mais laissez moi un message et je vous rappellerai … ou pas !”
« – Ah mais c’est pas vrai, quel naze ce type” dit Nadège.

Pour chasser ses idées noires elle décida de descendre au bar du dessous.
Elle enfila un long imperméable beige, le boutonna délicatement jusqu’en haut, attrapa un parapluie, claqua la porte, s’engouffra dans la cage d’escalier et descendit les marche quatre à quatre d’un pas léger et aérien.
Arrivée dehors elle constata que le temps ne s’était pas arrangé. Une pluie diluvienne s’abattait sur la rue, le bruit des gouttes sur les plateformes métalliques et les véhicules garés devant son immeuble était assourdissant.
Fort heureusement le bar était juste à côté.
C’était un pub assez sombre, la lumière n’était diffusée que par de petits spots placés près du bar, le reste de la salle était plongée dans une pénombre qui interdisait de voir les clients qui y était attablés.
Une musique légèrement jazzy sortait d’un système hi-fi dont les basses étaient particulièrement oppressantes. Soirée « Miles Davis” pouvait-on lire sur un panneau de plastique à moitié déchiré. Nadège s’y sentait bien, elle y descendait lorsqu’elle se sentait fatigué de son train-train quotidien de biologiste en chef chez Biogenim; fatiguée de travailler dans un univers froid de métal et de verre. « la routine ! » comme elle disait.
Bien qu’elle travaillait là-bas depuis quelques années seulement, elle avait déjà sous sa supervision 4 subordonnés, tous des hommes qui, à son grand étonnement, s’étaient révélés particulièrement peu intéressés par ses attributs, préférant manifestement les délices de l’analyse ADN à ceux des plaisirs sensuels.
Nadège aspirait pourtant à la découverte des plaisirs interdits.
Assise au bar, le regard rivé sur son verre, elle n’avait pas perçu l’homme au costume noir installé à quelques mètres d’elle dans un recoin sombre de la pièce.
« – Vous travaillez chez Biogenim Mademoiselle? N’est ce pas ?”. dit-il d’une voix faussement mielleuse. Surprise, Nadège tourna rapidement la tête.
L’homme qui venait de parler était difficilement distinguable, seule la faible lumière de la salle se reflétait sur le verre des ses fines lunettes rondes.
« – Pardon?” dit Nadège
L’homme se leva délicatement de son siège est s’approcha d’elle. Il était grand, brun, le visage légèrement émacié. Il devait avoir une quarantaine d’année, son regard était froid et inquisiteur. Il désigna d’un doigt le t-shirt de Nadège, celle-ci baissa la tête et aperçu son badge encore accrochée.
« – Ah oui, vous avez vu juste !” dit-t-elle avec sourire.

« -Je peux vous offrir un verre” dit l’homme
– bien sûr.”
D’un geste il commanda au barman.
« -Mon nom est Alan Letellier”
« -enchantée, Nadège” répondit-elle.
« – Vous venez souvent dans ce bar?, dit Alan
– Chaque fois que je m’ennuie dans mon appart et en ce moment je m’ennuie beaucoup trop
– Comment ça, une jolie fille comme vous ?
– Je rêve chaque soir d’aventure extraordinaire et chaque matin je me réveille pour aller travailler, je prends chaque jour le même chemin, vois chaque fois les mêmes types coincés au boulot.
– Vous recherchez une vie d’aventure? Une vie dans laquelle vous auriez l’impression de vivre pleinement la réalité du moment présent?
– Oui, c’est exactement ça. Je me sens vide et sans but en ce moment.
L’homme glissa sa longue main dans la poche intérieur de son costume trois pièces, Nadège remarqua à cet instant à quel point il était impeccablement habillé.
Il en sorti une carte métallique triangulaire.
 » – Si un jour vous souhaitez plus d’aventure dans votre vie, jolie jeune femme, brisez cette carte et vous découvrirez un océan de plaisir auquel vous n’avez encore jamais gouté.
Nadège tandis la main, et regarda attentivement la carte, celle-ci était recouverte de runes mystiques. Elle leva les yeux pour remercier l’homme, mais celui-ci avait déjà disparut.
« – Bizarre comme type, se dit-elle.
Mais Nadège était curieuse…
Elle rentra chez elle quelques minutes plus tard.
Le bruit de la pluie était toujours aussi assourdissant.
Elle posa ses clefs sur le vide poche machinalement, pose son imperméable sur le porte manteau, retira ses chaussure tout en ne quittant pas la carte de ses yeux.
Elle était fascinée par la texture de l’objet, elle s’interrogeait sur sa composition mais surtout, elle souhaitait savoir ce qui se passerait si elle décidait de briser la carte. Elle était démangée par la curiosité.
« – je verrai plus tard” se dit-elle pour se rassurer.
Elle se prépara alors à prendre une bonne douche chaude.

Elle pénétra dans sa salle de bain de marbre blanc. Appuya sur l’interrupteur. Une lumière blanche inonda instantanément la pièce, une lumière si puissante que l’on se serait cru en plein jour.
Elle retira doucement son t-shirt, laissant apparaitre ses magnifiques seins bien fermes.
S’admirant dans le miroir de la salle de bain, elle enleva son jean, ses chaussettes, puis son string noir.
Le contact du marbre froid sur sa peau la fit frissonner, elle pénétra rapidement dans sa cabine de douche ultra moderne, positionna le bouton du thermostat sur « très chaud” et commença à se détendre.
Elle repensait à l’homme du bar.
Ses pensées ne lui appartenaient déjà plus. Tout son corps tremblait de bien-être.
Elle commença à se caresser doucement les seins avec son gant de toilette, imaginant ses longues mains la savonnant.
Le désir montait rapidement en elle, elle fit descendre sa main vers son sexe parfaitement épilé, se caressant avec plus d’intensité.
Elle imaginait ce que cachait cette carte. Elle ne pouvait plus résister à la tentation de la briser pour le découvrir. Le plaisir était de plus en plus fort, elle avait maintenant deux doigts dans son vagin et entrepris de procéder à des vas et vient de plus en plus fort.
La chaleur lui faisait perdre la tête, elle crut même apercevoir Alan dans la vapeur de la salle de bain et ne pu alors retenir son orgasme.
Tout son corps tressaillait de plaisir, comme tétanisée.
Elle resta de longues minutes accroupies dans la baignoire, l’eau coulant sur son visage, sur ses longs cheveux, entre ses doigts.
La chaleur lui avait fait tourner la tête, Elle sorti de la baignoire, se sécha et sans prendre la peine de s’habiller s’écroula face contre le lit et ferma les yeux.
« – Il faut que je sache” se dit-elle
Elle se leva, attrapa la carte et la brisa d’un coup sec entre ses doigts.
Elle remarqua alors qu’un petit bout de papier était glissé à l’intérieur. Elle l’examina attentivement et constata qu’un numéro y était inscrit, un numéro de téléphone manifestement.
Elle composa le numéro sur son portable, une voix d’homme très distingué lui dit:
« – Bonjour mademoiselle, habillez vous, je serai la dans 10 minutes.”
Elle décida alors d’enfiler des bas transparents et son fameux ensemble de sous vêtements bleus, coordonnés avec porte-jarretelle.
Elle passa une jupe grise et un haut plus habillée.
Elle était prête, lorsqu’elle entendit sonner.

Elle se dirigea vers la porte avec appréhension. Par l’oeil de boeuf, elle aperçut un homme tout habillée de noir et ganté. Elle ouvrit la porte.
« Bonsoir” dit-elle d’un ton peu affirmé.
« Bonsoir mademoiselle, mon nom est Huttington, je serai votre chauffeur pour la soirée
-Mon chauffeur?”
– Oui, vous avez brisé la carte, je suis donc votre chauffeur pour la soirée, allons suivez moi.
La curiosité de Nadège n’ayant pas de limite, elle décida de suivre l’homme.
Au bas de l’immeuble, une magnifique limousine noire l’attendait.
Le chauffeur lui ouvrit la porte et elle y entra. Elle s’assit sur les gigantesques sièges en cuir; elle était seule.
La limousine démarra et se dirigea vers l’extérieur de la ville.
Il commençait à être tard, mais Nadège n’avait pas sommeil, elle était excitée par les découvertes de sa soirée.
Elle observa le paysage changer devant ses yeux, les immeubles laissèrent places à des maisons, les maisons à des plaines et les plaines aux forêts.
C’est au coeur de l’une de ces forêts que le véhicule roulait à présent, une lourde grille barrait la route.
Après quelques secondes la grille s’ouvrit et la limousine continua vers une immense allée de cyprès, tourna autour d’une fontaine magistrale représentant une Aphrodite dénudée, puis s’arrêta devant une demeure imposante.
La porte de la limousine s’ouvrit et le chauffeur aida Nadège à descendre.
Nadège gravit les marches du perron et frappa la lourde porte.
La porte s’ouvrit, l’intérieur de l’entrée était sombre, éclairée uniquement par de lourdes bougies rouges.
« – Il y a quelqu’un?” dit Nadège
Elle décida de faire quelques pas dans l’entrée, elle constata que de nombreux tableaux extrêmement étranges y étaient accrochés. Les tableaux évoquaient tour à tour les sept pêchés capitaux, l’enfer de Dante, la comedia del arte ou encore les écrits de Sade.
Au fond du vestibule se dressait un rideau rouge sang.
 » – je peux entrer?”
– Entre jeune enfant, dit l’écho d’une voix lointaine.
Nadège se retrouva alors dans une immense pièce circulaire de près de 100 mètres carrés. Cette pièce était surmontée d’un imposant dôme finement doré. Partout des statuts de nues rythmaient le passage vers le centre.

Ce centre comprenait plusieurs cercles concentriques de bougies rouges allumées, délivrant une odeur très caractéristique de cannelle et de pomme.
Au milieu du cercle de bougies quatre personnes se dressaient devant Nadège; elles étaient intégralement encapuchonnées et portaient des masques du carnaval de Venise dorés.
« Connais-tu le mot de passe ma chère, dit la voix de l’écho?”
– Le mot de passe? le mot de passe quoi? dit Nadège.
Trois des silhouettes s’approchèrent d’elle.
Le bruit d’une lourde porte se fit entendre au loin.
 » Mauvaise réponse, Puisque tu ne connais pas le mot de passe, tu vas devenir notre esclave” dit la même voix
« – Pardon, comment ça, jamais de la vie dégagez je rentre chez moi”
– déshabillez la. Ordonna la voix
Avant même qu’elle n’ait eu le temps de se retourner plusieurs mains l’agrippaient puis lui arrachèrent tous ces vêtements.
Nadège tentait désespérément d’échapper à leurs mains puissantes mais cela était impossible.
Elle se retrouva très vite entièrement nue devant les quatre personnes encapuchonnées.
 » -Mais lâchez moi, laissez moi partir!!!” hurla-t-elle
« – Attachez la !” dit l’homme du centre.
Très vite Nadège fut attachée aux chevilles et aux poignets par de lourdes menottes métalliques et d’imposants cadenas.
Les quatre hommes la poussèrent vers une pièce attenante sans ménagement. Nadège se débattait mais ne pouvait leur échapper.
« – Ne bouge pas, on va bien s’occuper de toi” dit l’un des hommes sournoisement.
La pièce était pratiquement intégralement plongée dans l’obscurité, tout juste était- elle éclairée par un cercle de ces mêmes grosses bougies rouges.
Les chaines serrées très fortement les poignets et les chevilles de Nadège, alors qu’elle constatait les dégâts sur sa peau blanche, un bandeau fut fermement placée au dessus de ses yeux.
Ses sens furent troublés. Les yeux bandés elle ne pouvait plus distinguer le sort qui allait lui être réservé. L’acoustique de la pièce renvoyait à ses oreilles les sons métalliques des chaines trainant sur le sol de marbre. Son odorat était troublé par la forte odeur émanant des bougies.
Tout à coup un bruit de machine lui parvint aux oreilles. Elle se sentit soulevée de terre au niveau des chaînes. Lorsque le bruit infernal cessa, elle était suspendue par les bras et les jambes depuis le

plafond. Tenue par d’énormes crochets de boucher qui avait été passés dans les maillons de ses chaînes.
Elle avait les jambes et les bras écartés. Entièrement ouverte à la vue de tous.
Elle ne pu dire si c’était le froid ou cette pensée, mais elle commença à frissonner.
Elle sentit alors des doigts puissants s’introduire dans son intimité. Elle poussa un cri de surprise.
Les doigts commencèrent à faire des vas et vient en elle. Une autre main lui écarta brutalement les fesses et elle sentit un liquide froid ce répandre entre ces dernières.
« – Alors petite intriguant, on s’invite à notre fête sans invitation? tu vas voir, tu vas le regretter” dit l’un des hommes.
Elle sentit alors qu’on la sodomisa brutalement avec un objet contendant. Elle laissa échapper un nouveau cri de surprise. Alors que les doigts continuer à la masturber, l’objet commença à vibrer fortement dans son anus. Elle serrée les poings.
Etrangement, elle ne pouvait retenir son excitation et son vagin commencer à gouter sur le sol.
 » Regarder grand Maitre, on dirait qu’elle aime ça” dit l’un d’eux à l’adresse de la plus grande silhouette
 » – Oui, continuez à bien vous occuper d’elle, on va la préparer avant le grand plongeon”.
Le supplice continua à lui être infligé pendant de longues minutes. Elle sentait déjà qu’elle était proche de l’orgasme lorsque le bruit de machinerie se fit à nouveau entendre.
Elle ressentait cette fois qu’elle descendait puis, tout à coup, elle sentit la chaleur d’un énorme sexe lui rentrer dans la bouche.
« – Oui vas y, tu vas tous nous sucer l’un après l’autre ma cochonne” dit l’une des voix.
Nadège ne pouvait résister, elle était complètement soumise à la volonté des hommes encapuchonnés. Elle commença donc à sucer tout ce qui se présenta à ses lèvres, pendant que l’objet dans son anus continuait de vibrer.
Elle sentait le goût de chacun des membres de cette assemblée mystique. Elle sentait leur excitation dans sa bouche, dans sa gorge.
Elle ne pouvait plus lutter, elle s’abandonna sous les vibrations intenses et ressenti alors un orgasme extrêmement puissant, presque irréel, elle sentait son esprit quitter son corps, dans une expérience très proche de la mort elle-même.
Nadège fut très vite réveillée par le bruit extrêmement désagréable d’un lourd objet trainé sur le sol. Tout à coup, elle sentit qu’elle était balancée d’avant en arrière. L’un des hommes lui installa quelque chose par dessus le nez. Elle sentait que ses narines étaient totalement bouchées.
 » Allez y, plongez la”

En un instant, elle comprit que le bruit devait être celui d’une baignoire en fonte, car elle fut plongée tête la première dans l’eau.
Elle était paniquée, elle essayait désespérément de sortir de l’eau mais des mains puissantes l’y retenaient.
Manifestement les hommes ne voulaient pas la noyer, mais seulement le lui faire croire. Elle était en effet très régulièrement sortie de l’eau pour respirer.
Toutefois, alors que ses jambes et ses fesses étaient sorties de la baignoire, elle sentit qu’un sexe en érection la pénétra sans sommation.
La simulation de noyade se poursuivait alors que les 4 protagonistes se relayaient à tour de rôle pour pénétrer Nadege.
 » Celle-ci est plus réceptive que l’autre grande Maître, j’ai la queue toute mouillée tellement elle aime ça”. dit une voix venant de derrière.
C’est à ce moment que le bandeau lui fut retiré.
Elle constata alors avec effroi qu’on lui avait attaché au nez et à la bouche une sorte de godemiché noire.
« -Puisque tu es la gagnante, tu vas nous aider à punir la perdante” dit l’homme qui semblait être le grand maître.
Viens avec nous.
L’assemblée se dirigea vers une autre pièce, similaire à la précédente. En son centre, Nadège découvrit qu’une immense cage abritait une autre femme.
Elle était totalement nue, à l’exception du capuchon qu’elle portait sur la tête.
Elle semblait sangloter.
Les quatre hommes ouvrirent la porte.
« – Vas y championne, défonce la cette pute” dit l’un des hommes avec concupiscence.
Nadège se sentit poussée vers la femme dans la cage. Son visage fut installé à hauteur du vagin de la prisonnière.
Elle fut contrainte de pénétrer l’intimité de cette femme avec le gode noir qui lui avait été attaché au visage; elle fut contrainte de la violer sous le regard hilare du groupe d’homme.
Tout à coup elle sentait que l’un des hommes avait décidé de la prendre en levrette pendant qu’elle s’occupait de la femme. Chacun d’entre eux se succéda dans son vagin qui commençait à être extrêmement bien lubrifié.
Parallèlement elle sentait que la femme dans la cage se débattait de moins en moins sous ses coups de nuque. Il lui semblait que les cris d’horreur s’étaient changés en cris de plaisir.
Alors que chacun des hommes se succèdait pour la prendre par derrière, Nadège eu une nouvel orgasme, elle sentait à ce moment la forte odeur du vagin de la prisonnière lui chatouiller les narines.

Les hommes masqués rirent lorsqu’ils éjaculèrent sur ses fesses, sur son dos, sur son visage. « – Bravo Nadège tu es la gagnante !!
– Mais enfin comment connaissez- vous mon nom ? s’enquit-elle, le visage encore tout empourpré.
Les quatre hommes retirèrent un à un leur masque. Nadège les regarda interloquée.
Les hommes en question se révélèrent en effet être ses subordonnés de chez Biogenim.
Surprise, Nadège ouvrit les yeux et se retrouva bien au chaud dans son lit.
– Un rêve, un simple rêve. Mais quel rêve, les draps sont bons à laver. dit-elle en elle-même.
Il faut absolument que je le raconte à Fabrice. Ça va trop lui plaire.”
Elle composa alors le numéro de celui qui était devenu le confident de ses fantasmes.
 » Allo? dit une voix grave à l’autre bout du fil.
Elle constata alors qu’elle tenait toujours la carte non brisée entre ses doigts.
A suivre…

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