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La bourgeoise et le migrant (2)

La bourgeoise et le migrant (2)



L’amour avec Moussa, le migrant,
J’ai passé des journées terribles, minée par le remords d’avoir trompé mon mari Olivier, avec Moussa le Sénégalais migrant que nous avons pris en charge.
Mon corps de femme a été trop heureuse de notre fantastique journée de découverte réciproque, quelle explosion de nos sens quand cet homme grand, puissant, endurant, a pénétré au plus profond de mon vagin renaissant à l’amour. Jamais je n’avais eu d’orgasmes aussi violents, aussi soutenus sous la domination d’un mâle. Même dans les débuts du mariage, c’est dire!
Mais ma tête devenait folle, il fallait avouer cette faute à Olivier. Comment s’y prendre ?
J’ai pensé à mes expériences coquines passées. Une liaison lesbienne à 21 ans avec une dame de 30 ans. Ce fut intense, mais quand j’ai connu Olivier, mon mari, j’ai rompu sans remords. Il m’est souvenu qu’il ya 3 ans Olivier, voulant épicer notre routine, m’avait amenée dans un club libertin à Paris. J’ai été très (trop) vite « entreprise » . Nous avons échangé les danseurs avec un autre couple, l’homme s’est immédiatement collé contre moi, difficile de danser, je sentais sa verge tendue contre mon ventre, il m’a entrainée dans l’alcôve, enlevé la robe, son pantalon en bas des pieds la verge entre mes cuisses, il a éjaculé sur mon collant, son sperme gouttait le long de mes cuisses. Mon mari a amené un autre homme, qui m’a forcée pour une fellation. Pouah ! J’ai retiré ma bouche au moment critique, il était furieux, son liquide a arrosé la moquette de l’alcôve. L’essai s’est arrêté là pour cette soirée désagréable, mais chère pour les finances du ménage.
Il m’est venu à l’esprit de raconter la scène où tout a commencé avec Moussa ; mon être a reçu un choc en le voyant renifler ma culotte, mais Olivier peut-il comprendre mon « coup de chaleur » et tout ce qui s’en est suivi ? C’est glauque tout çà. J’étais pensive en achetant un lot de slips blancs pour mon amant. Car j’ai une envie folle de continuer la relation qui me donne tant de bonheur! Enfin !
Nous avons bâti un studio chambre d’amis attenant à la maison, c’est là que Moussa est logé, et où nous avons eu nos folles extases. J’en frémis lorsque je rentre aérer la pièce, je hume délicieusement ces effluves d’africain noir. La tête me tourne un peu, je prends mes seins… Depuis 2 jours, ces idées se bousculent et s’enchevêtrent. En fait je ne sais pas comment avouer à Olivier. Et cette puissante envie d’embrasser Moussa, si près de moi, à nous frôler si souvent !
Ce soir le ciel s’est subitement illuminé, j’ai beaucoup de chance.
A la fin du diner, Moussa se trouvant seul avec Olivier, il lui a fait part de notre situation! Comment a-t-il fait, lui qui cherche ses mots pour parler ? Mystère ! Et la merveille, c’est que mon mari, en quelque sorte, accepte la situation. Moussa avait bien senti, avec son instinct a****l, que mon mari se doutait qu’il s’était passé quelque chose entre nous deux. Il parait que je semble rajeunir…
L’amour (le sexe) est bien un magnifique régénérateur !
La discussion entre les deux hommes a été tendue, à la fin Olivier a fini par dire « il faut bien TOUT partager… », donc il continuera à prêter son fourgon pour le transport des repas des migrants au C.A.O.
L’ambiance de la soirée se prêtait à cette discussion, au cours du repas nous avons parlé des potins du quartier : La rumeur est que deux professeures bénévoles, récemment retraitées, donnent des cours de français, aux jeunes migrants, et les relations sont très poussées! Il faut dire que la tentation face à tous ces jeunes hommes est forte, et la chair est faible… Et puis elles n’ont que l’embarras du choix ! Une revanche si leur mariage n’a pas été le septième ciel espéré toute leur vie. Quelques cocus de plus dans notre petite banlieue, que diable ! Chacun son tour ! C’est ‘balance ton porc’ inversé. Pardonnez-moi, Je suis tellement heureuse que je dis des bêtises !
Maintenant les choses sérieuses ; je vais dormir avec Moussa cette nuit. Le rêve ! Je vais cueillir quelques fleurs dans le jardin pour agrémenter notre studio. En attendant, je range son linge. Et Moussa arrive ! Je suis folle, me jette sur lui et embrasse sa bouche avec toute ma fougue, j’ouvre sa chemise, caresse son torse. Mon Dieu ! Cette grande poitrine toute pour moi ! Je pleure de bonheur. Alors je déshabille mon amant, mon héros, je lui demande d’essayer les slips blancs achetés cet après-midi. Le slip kangourou est parfait, la bosse que font sa verge et ses couilles est énorme ! Nous n’essaierons pas le boxer, çà le serrerait trop. Que vois-je ? Mes mains ont provoqué son érection. Quelle fierté ! Olivier, mon mari était déjà bien doté par la nature, mais Moussa, c’est l’immensité africaine ! Je crois qu’au premier coup d’œil j’avais repéré ce grand jeune mâle costaud, mon instinct ne m’avait pas trompé. En tous points!
Et je recule un peu pour admirer mon Moussa en slip blanc moulant, qui tranche sur sa peau très noire. C’est mieux que son slip gris, informe, du premier jour. Quelle grosse bosse au bas du ventre ! Quel magnifique corps d’homme, viril ! Je ne me lasse pas de l’admirer.
Mon fils, qui fait du football, a dit souvent qu’à la douche collective, il voit que les noirs, contrairement à l’opinion populaire, n’ont pas tous des pénis surdimensionnés. Je lis çà dans les histoires (adorables) de xhamster (réalité augmentée par celles qui écrivent ?), mais j’aime… J’ai donc eu beaucoup de chance… ou beaucoup de flair, car j’ai toujours constaté qu’avec le gros calibre, c’est bien meilleur. Oh combien ! Je ne suis pas ivre, mais ce bonheur me laisse dans une petite folie. Allons ! Moussa est tout content dans son slip européen, son corps est nu, tout en lui me donne envie.

Après sa douche, je m’approche pour le féliciter de son courage. Il m’a sorti du pied une énorme épine ! Nos lèvres se joignent, nos langues se cherchent, je verse dans un monde irréel, à nouveau sa verge grossit contre mon ventre. Ah ! la magnifique sensation de provoquer le désir! Je deviens molle, je me laisse aller contre lui, son membre viril est dur, rigide, mon envie me chauffe. C’est ma main qui s’empare de sa queue, et la place à l’entrée de ma vulve ardente. Je crois défaillir pendant que ce gros bâton me pénètre lentement, lentement, me possède… je suis sa chose, comme s’est délicieux de s’abandonner, çà toucherait l’utérus ? Je sens des contractions de mon vagin c’est fantastique! Je suis sa femelle. Ah! Quel homme ! Quel amant ! Il est jeune !

Sans y réfléchir, j’ai couvert de baisers son immense torse, ses grosses lèvres, je suis enivrée de sexe. Ses grandes mains caressent mes seins, il me tête, grogne, sa voix est grave et profonde. J’adore! Je veux le garder en moi, mes mains sur ses fesses le retiennent contre mon bassin. Nous devons nous unir, devenir un seul être.
Il bouge, ses lents va-et-vient m’électrisent, j’ai retenu mes cris, une transe me fige, l’orgasme m’inonde ; mes larmes coulent…et Moussa est encore en moi, son bâton toujours raide. Il poursuit doucement son occupation de mon intimité. Je n’en peux plus, l’intensité du plaisir me fait voir un ciel illuminé d’étoiles aux couleurs vives, une secousse, et c’est l’orgasme, encore! J’ai probablement trempé toute la couche! Je ruisselle sur le gros vit de mon amant… Toujours en érection! Et nous repartons pour une nouvelle course folle, jusqu’à sa décharge dans mon vagin. Je suis aux anges, contente de son plaisir.

Etendue à coté de lui après la désunion, je nage dans cette sensation du bonheur, du moment parfait, mon corps est épuisé, apaisé. Je vais avoir le sommeil profond cette nuit.

Mais une pensée vient me tiller : Mes fils viennent à la maison ce W.E., il faudra les mettre au courant. La vie est compliquée…

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