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Mes voisines mère et fille

Mes voisines mère et fille



En couchant avec la femme qui vivait au-dessus de chez moi, j’était loin de savoir quelle surprise elle me réservait. Elle s’appelait Hélène. Elle avait trente-neuf ans, deux ans de moins que moi. Plutôt belle femme, elle vivait seule avec sa fille au deuxième étage de l’immeuble.
J’avais emménagé au premier à peine une semaine auparavant, lorsque Hélène est venue frapper à ma porte, un soir. Elle venait m’avertir qu’il y aurait probablement du bruit chez elle le lendemain, car sa fille allait fêter son bac avec des camarades. Je lui ai répondu que ça ne me dérangeait pas. Elle m’a remercié, puis elle s’est présentée. Ensuite, elle m’a demandé si j’étais bien installé. Je lui ai dit qu’il me restait encore des cartons à déballer et un peu de bricolage à faire, mais que j’en voyais le bout. Et, voyant qu’elle jetait des regards vers mon salon par-dessus mon épaule, je l’ai invitée à entrer. Ce fut aussi simple que ça.
Sa fille était sortie ce soir-là, et j’ai proposé un verre à Hélène. C’était un jeudi et je n’avais rien de prévu. Nous avons parlé de la vie, de choses très diverses et d’autres un peu plus intimes. L’envie de coucher avec cette femme m’a pris au moment du troisième verre. Elle venait de me dire qu’il lui arrivait d’avoir des aventures d’un soir. Ce à quoi j’ai répondu que ça m’arrivait aussi. Le long regard qu’on a échangé ensuite a fait le reste. Hélène a défait un bouton de sa chemisette, puis deux, puis trois, et, réalisant qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, j’ai quitté mon fauteuil pour m’approcher d’elle. Le temps qu’elle finisse de déboutonner, j’avais déjà plongé ma main dans son décolleté pour lui prendre un sein. Une minute plus tard, elle me suçait.
La suite fut assez classique et je ne vois pas trop l’intérêt de décrire en détail ce qu’on fit, sauf deux choses que j’appréciai particulièrement :
1. Hélène n’exigeait pas de préservatif ;
2. Se faire sucer les seins la mettait dans un état pas croyable.

Elle attendit d’entendre les pas de sa fille dans l’escalier pour se rhabiller. Et, juste avant de s’en aller, je fus très étonné qu’elle me propose de venir à la petite fête du lendemain soir. J’ai d’abord répondu que je ne connaîtrais personne et que je ne voulais pas déranger, mais elle insista en me disant qu’il n’y aurait pas beaucoup de monde et qu’elle serait la seule adulte. J’ai fini par répondre que je passerai boire un verre, puis elle est partie.

Le lendemain, j’ai croisé la fille dans les escaliers. Elle s’appelait Léa. La ressemblance avec sa mère n’était pas frappante. Elle était assez grande et très mince. Brune à cheveux longs et lisses. Elle avait beaucoup moins de formes que sa mère, mais il est fréquent que le corps d’une fille se transforme après sa majorité. Je l’ai félicité pour son diplôme et elle m’a confirmé que j’étais le bienvenu à sa petite fête. Je l’ai remerciée et elle a filé.
Je suis monté au deuxième étage sur le coup de 19h. Il y avait de la musique et des voix derrière la porte. C’est Hélène qui m’a ouvert. Il n’y avait effectivement pas grand-monde : Léa, deux autres filles et deux garçons de son âge qui venaient également de décrocher leur bac. J’ai salué tout le monde et remis une bouteille de mousseux à la jeune bachelière. Elle avait attaché ses cheveux et portait une chemisette blanche, très sobre, qui tombait sur un caleçon moulant noir. Elle était pieds nus et on sentait qu’elle avait déjà bu quelques verres. J’ai accepté un kir et me suis mis à discuter avec Hélène. Les jeunes étaient plutôt sympathiques et sociables. Le sentiment d’être un cheveu sur la soupe ne m’a pas effleuré l’esprit. Et pour être très honnête, dans un coin de tête, j’avais de nouveau envie de coucher avec Hélène. Seulement, je ne voyais pas comment cela pourrait se faire, étant donné que sa fille était chez elle cette fois-ci, et que je me voyais mal proposer à la mère de venir chez moi pendant cette soirée. La seule possibilité aurait été que les jeunes annoncent qu’ils allaient en boîte et qu’on se retrouve tous les deux, mais ce n’était visiblement pas au programme. Alors j’ai mis mon envie de côté et bu d’autres verres en papotant avec Hélène.
Dans ce contexte et en si petit comité, nous ne fîmes à aucun moment allusion à ce qui s’était passé la veille chez moi. Seuls quelques regards complices échangés me laissèrent penser qu’Hélène avait aimé ça et que l’envie de recommencer était partagée. Je me contentai de ça et la soirée s’écoula dans la meilleure des ambiances, jusqu’à ce qu’un des filles annonce qu’elle allait rentrer chez elle. Il devait être une heure du matin. Un garçon la suivit de près et une autre heure passa avant que l’autre fille et l’autre garçon, qui étaient en couple, quittent les lieux à leur tour. Nous avions tous beaucoup bu, mais je n’étais pas vraiment fatigué. Hélène non plus. Quant à Léa, elle ne se montra pas triste que la soirée touche à sa fin, puisque que ce n’était pas le cas. Elle dura encore, malgré qu’on se retrouve à trois.
Ma tête commençait à tourner sérieusement avec l’alcool et Léa tarda à montrer des signes de fatigue. En tout cas, c’est ce que je crus. A un moment donné, je la vis s’affaler dans le canapé, près de sa mère, et poser sa tête sur son épaule. Sa mère lui caressa les cheveux. J’étais assis en face du canapé, dans un fauteuil. Sur la table basse qui nous séparait, gisaient des bouteilles, des verres et quelques toasts dans des assiettes. Je voyais flou par moment, mais je me souviens d’un regard qu’Hélène m’adressa. Un regard qui dura, au cours duquel un geste étrange eut lieu sous mes yeux : Léa approcha une main de la poitrine de sa mère et se mit à lui caresser un sein, doucement, sans me regarder, contrairement à Hélène qui me fixait toujours en souriant très légèrement. La caresse se prolongea pendant une bonne minute, puis un autre geste survint, qui me sidéra : Léa défit un bouton de la chemise de sa mère, puis un deuxième. La mère la laissa faire, sans me quitter des yeux. Quand tous les boutons furent défaits, Léa écarta un pan de la chemise et approcha sa bouche d’un téton. Puis elle se mit à le sucer, tout en le malaxant. Je n’en revenais pas. Je ne bougeais pas. Hélène me regardait. Je lui avais fait la même chose la veille, chez moi, et elle s’était mise à gémir. Et c’est ce qu’elle fit de nouveau sans tarder : elle poussa un petit gémissement, puis un autre, plus long, et elle ferma les yeux au moment où sa fille changea de sein. Elle se mit à téter l’autre et changea de position dans le canapé : elle pivota et me tourna quasiment le dos. Mes yeux se posèrent alors sur son joli petit cul moulé par son caleçon noir. Et je ne comprenais toujours pas ce qui était en train de se passer sous mes yeux. J’avais les idées en vrac, mais je voyais clair néanmoins : cette femme de trente-neuf ans était en train de donner le sein à sa fille qui en avait dix-sept. Et je bandais. J’avais un verre dans les mains, mais je n’y avais pas touché depuis cinq minutes. J’étais incapable de faire un geste, encore moins de prononcer un mot. Je bandais et, de temps à autre, Hélène rouvrait les yeux pour me regarder, sans cesser de gémir, de plus en plus fort et longuement.
Et tout bascula d’un seul coup, à cause d’un autre geste : sans cesser de sucer le sein gauche de sa mère, Léa saisit l’élastique de son caleçon moulant et le fit glisser sur ses fesses, jusqu’à ce que son cul soit visible, et comme il faut : je voyais son anus et le départ de ses lèvres qui semblaient lisses. A aucun moment elle ne me regarda au cours du geste. Contrairement à Hélène qui finit par ouvrir la bouche pour me dire :
« Viens. »
Un seul mot. Un mot étourdissant. Il y en a de temps en temps des comme ça dans la vie. Ils sont rares et il faut sauter dessus, sinon, par la suite, on le regrette amèrement. Alors j’ai sauté dessus. J’ai quitté mon fauteuil et contourné la table basse en m’appliquant à ne pas tituber. Je me suis assis près de Léa et je lui ai caressé une fesse. Elle a à peine réagi. Elle suçait le sein de sa mère et savait très bien ce qui se passait. J’ai caressé l’autre fesse, assez délicatement, mais la tentation était trop forte et je savais très bien que la mère et la fille ne me foutraient pas dehors si j’allais plus loin. J’ai laissé glisser un doigt entre les fesses de la fille et j’ai touché son anus. Elle sursauta à peine, sans cesser de téter le sein de sa mère. Ensuite, j’ai poussé mon doigt jusqu’à la base de ses lèvres, et c’est là que la fille a décidé de mieux baisser son caleçon, jusqu’à mi-cuisses. Sa petite chatte était trempée. Je me suis penché et je l’ai léchée, toujours très délicatement, presque sensuellement. Je l’ai léchée assez longtemps, il me semble. Et je me souviens avoir défait ma ceinture, puis les boutons de mon jean pour libérer ma queue qui était raide comme un bout de bois. Je me suis masturbé, sans cesser de lécher la chatte de l’adolescente qui continuait de téter. La mère gémissait toujours. Et je m’étais tellement concentré sur la chatte de sa fille qu’un autre geste m’avait échappé : Léa avait glissé sa main gauche dans le caleçon moulant de sa mère et elle lui caressait la chatte. C’est en constatant ce geste que je me suis décidé à passer la vitesse supérieure : j’ai posé un genou sur le canapé et collé mon gland à la moule de Léa. Je l’ai frotté dessus pendant quelques secondes, puis je l’ai pénétrée, jusqu’au fond. La fille a alors poussé un « oh oui ! » et j’ai retiré ma queue avant de la renfoncer au maximum. Elle a dit « oh putain oui, allez-y… » et j’ai accéléré mes mouvements, tout en cramponnant le cul de la fille.
La suite est floue dans ma mémoire, mais je me souviens du moment où Léa a cessé de sucer et de masturber sa mère pour enlever complètement son caleçon. En revanche, je ne me rappelle pas l’avoir vu ôter sa chemise. Tout ce que je sais, c’est que je me suis retrouvé à prendre en levrette une adolescente à poil, sans préservatif. Mais la mère aussi s’était mise à poil, et je ne me souviens pas non plus l’avoir vue faire. Et peu importe. Léa avait de tout petits seins pointus, et le seul d’en tripoter un m’incita à me retirer d’elle pour éviter d’éjaculer trop vite. La fille profita de cette trêve pour se mettre à lécher la chatte de sa mère qui avait les cuisses écartées au bord du canapé.
Je me souviens d’autres extraits de cette nuit-là, notamment du moment où j’ai pénétré la mère, tandis que la fille avait enjambé son visage pour poser sa chatte sur sa bouche et son menton. Et là encore, j’ai dû me retirer pour reporter le moment d’en finir.
Je me souviens du moment où elles se sont mises en 69 sur la moquette du salon. La mère dessous, la fille dessus. La fille que j’ai de nouveau prise en levrette, pendant que la mère me léchait les couilles.
Je me souviens de la mère qui s’absente pour aller aux toilettes, et de la fille qui se décide enfin à me regarder pour me dire :
« Embrassez-moi sur la bouche. »
Puis, toujours en l’absence de la mère, la douce voix de l’adolescente qui me dit à l’oreille :
« Vous reviendrez me faire l’amour ? Avec ou sans ma mère, comme vous voulez. Je vous aime bien. Je peux aussi venir chez vous, c’est comme vous préférez. »
A sa sortie des toilettes, je me souviens que la mère est allée dans la salle de bains. J’étais assis dans le canapé avec Léa empalée sur ma queue, de dos. J’avais les yeux rivés à ses fesses que je tenais tout en la pénétrant. Je lui ai répondu que j’étais d’accord pour qu’elle vienne chez moi, quand elle le voulait, puis elle m’a dit :
« Chouette ! Et je pourrais rester dormir avec vous ? »
La mère faisait couler de l’eau du robinet dans la cuisine, et c’est sans doute ce bruit de liquide qui me poussa à répondre à Léa :
« Soulève tes fesses, ma belle, je vais éjaculer. »
Elle s’est soulevée, suffisamment pour que je me retire, et la première giclée de sperme a percuté son anus. Elle s’est mise à couler et la deuxième a fini sur mon ventre. J’ai pris ma queue entre mes doigts et la troisième giclée m’a tiré un râle de plaisir. Ce fut une petite goutte, je me souviens, qui perla sur la fente de mon gland et y resta cramponnée, jusqu’à ce que Léa vienne la cueillir avec sa langue, en me regardant dans les yeux.
Puis elle m’a dit :
« Il est salé. J’aime bien les spermes salés. »
Ensuite, elle est montée à califourchon sur moi et m’a enlacé. Sa moule était toujours trempée, je la sentais contre ma queue qui avait débandé.
Et la mère a fait sa réapparition, un verre d’eau à la main. Elle souriait.
Elle m’a dit :
« Tu restes dormir avec nous ? »
Il y a des mots comme ça dans la vie. Ils sont rares et il faut sauter dessus, sinon, par la suite, on le regrette amèrement.

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