Je n’aurais jamais cru pleurer un jour tellement les sensations étaient intenses, tellement l’orgasme était insupportable pour mon cerveau. Doc_clito m’a littéralement fait perdre la tête ce jour là. Ce n’était pas la première fois mais quelle inconscience j’ai eu lorsque je lui ai lancé le défi de me faire le meilleur cunnilingus que j’ai connu… Extrêmement joueur et doté d’un égo masculin évident, l’objectif de me faire jouir encore et encore jusqu’à ce que je demande grâce en multiples suppliques, était sa raison d’être pour ce rendez-vous.
Je ne le redirais jamais assez, un homme qui sait faire un cuni et surtout qui AIME le faire est une véritable bénédiction, un peu comme une femme pour la fellation. S’offrir uniquement au plaisir de l’autre, jouir de le voir sous votre contrôle, de le sentir au plus près de son intimité…
Il avait tout prévu, je le connais, il avait pensé chaque détails… C’est pour ça qu’il est arrivé avec une bouteille de vin, une dégustation qui allait devenir diablement intense au fil des minutes. Me bandant les yeux, assise sur mon canapé, les jambes relevées, un verre de vin à la main et lui à genoux devant moi, je n’ai malheureusement pas pu voir la scène mais tout était ressenti puissance 10 dans ma tête et mon corps. Pour pimenter le jeu, il lança ma séquence porno préférée, pour que j’entende une succession de gémissements qui ont le don de m’exciter. Le vicieux. Le pervers. Le diable était entre mes jambes dans le but de me faire exploser.
Sa langue… sa langue était délicieuse, se glissant doucement sur mon pubis, mon clito et mes lèvres intégralement douces, il pris une gorgée de vin frais pour m’aspirer le clito déjà rougissant d’envie. Quelle sensation fascinante que le contraste de ces deux températures mélangée à l’excitation de le savoir me dévorer… Il me dégusta pendant au moins 15 à 20 minutes, le temps me paraissait interminable et si exquis. Afin que je reste concentrée et d’avoir un pouvoir sur moi, il me lança le chantage suivant « si tu ne bois pas tout le vin que je verserais dans ton verre, j’arrête ». Cruelle dévotion que j’accorda à ce léger Bourgogne le ventre vide, gorgée par gorgée, me délectant, me cambrant sous la bouche avide, douce et mordante de mon amant si emprunt à me faire gémir.
Je ne comptais plus les variantes de sensations que j’éprouvais…Un frisson, une montée de chaleur, une intimité plus qu’humide, un clito gonflé, des lèvres offertes, des jambes reposées sur ses épaules, mes mains sur sa tête pour ressentir doublement chaque mouvement qu’il me procurait en plus de sa bouche sur ma chatte, de sa langue entre mes cuisses !
Petits coups de langue effrénés agissants comme un vibro… puis ralentir pour passer doucement sur le bord des lèvres… glisser sa langue lentement dans mon sexe, me dévorer… et finir par me mordiller le clito et le suçoter avec une gorgée de vin.
Ma tête était en feu, j’ai failli en lâcher mon verre plusieurs fois, et quand je sentis l’orgasme pointer son nez, je me mis à le supplier de ne surtout pas arrêter, des « oh oui… oh ouiii mon dieu que c’est bon… » avaient écho chaque couple de seconde. Entièrement cambrée, offrant ma chatte à cet ultime délice, c’est en tenant sa tête que j’explosais bruyamment sous sa langue. Une vague brûlante m’envahit, pleine de spasmes. Je ne verrais plus jamais le vin de la même façon 😉
Et puisque ça ne lui suffisait pas et que de me voir « pompette » avec 3 verres de vin dans mon estomac vide, sourire au lèvres, guillerette et comblée de plaisir, il décida de passer à la vitesse supérieure. Etre le roi, le dieu, le maître suprême de mon plaisir, oscarisé pour le meilleur cuni de mon monde… Il me fit finir mon verre puis m’attira donc dans la chambre. Me rebanda les yeux et m’attacha également les mains dans le dos puis m’allongea sur le dos. Prisonnière, ce n’était pas la première fois qu’il me voulait offerte, entièrement sous son pouvoir et j’avoue que ma confiance en cet amant est telle qu’il peut abuser de moi avec tout mon consentement.
Quelle folie de ma part, je ne savais pas ce qui m’attendait… Après un orgasme incroyable, dégoulinante de plaisir, il recommença de me lécher, de me bouffer le minou avec délectation… Mais cette fois ci, en plus des caresses de lèvres, de langue agile et de clito titillé, il mêla ce qui me rend totalement dingue : ses doigts. Un… puis deux… puis trois très vite, appuyant sur mon point G interne, et continuant le travail de sa bouche en même temps, le supplice était intense. Soutenu. Extrême.
Après quelques minutes à le supplier de toutes les façons de m’achever, d’arrêter, je jouissais dans un véritable cri dépassant l’entendement dans ma tête… Me mettant a frissonner, prise de spasmes puissants, perdant la tête, un cerveau décollé, les larmes coulant sur mon visage tellement la jouissance était insoutenable pour ma tête et mon corps peu habitué à autant de passion à la suite.
Je pourrais parier que si je n’ai pas éjaculé à proprement parlé, doc_clito m’a achevée dans des sensations indécentes !
Me voyant perdre toute raison sous la force de ces sensations, il me détacha rapidement, m’enleva mon bandeau et me pris dans ses bras, me laissant le temps de souffler, de respirer, de redescendre. Une attention toute particulière qui me donnait encore plus envie qu’il me pénètre, me tue sous ses coups. Que mon bourreau jouisse à son tour.
Ma vengeance devait être unilatérale, terrible, différente… Il aurait été trop facile de lui offrir mon intimité en refuge. Oeil pour oeil, langue pour langue, c’est donc à coup de fellation torride et de branlette espagnole que j’obtins ma vendetta. Mais ça, c’est une autre histoire 😉
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