Deux jours passèrent depuis cette folle aventure dans les cabines de douches du camping avec cette Françoise, qui depuis, hante mes nuits.
Je n’avais qu’une envie, celle de la voir pour continuer la où l’on c’était arrêté. Malheureusement pour moi, à chaque fois que je passais devant son bungalow, celui-ci était désespérément vide. Mais cet après-midi là, je sentais que le sort était en faveur.
En effet, il pleuvait énormément depuis la veille et la météo annoncé que cela allait durer jusqu’à tard dans la soirée. Je me disais alors qu’il n’y avait rien à faire avec un temps pareil et que Françoise allait forcément rester au sec dans son bungalow.
Mais à peine j’allais franchir la porte de mon bungalow que ma mère m’arrêta, elle était au téléphone et m’indiqua que la personne au bout du fil souhaitait me parler. Et quelle ne fut pas la surprise de savoir que cette personne au bout du fil n’était autre qu’Ornella, la seule copine que j’avais eu à ce jour et qui avait décidé de faire une pause dans notre relation pour connaître d’autres personnes. Après plusieurs minutes de discussion, nous tombions tous deux d’accord pour qu’elle vienne au camping afin de passer la fin de mon séjour ensemble et surtout pour nous remettre ensemble.
Une fois cela fait, j’étais toujours déterminé à aller voir Françoise tout en me disant que de toute manière, n’étant pas encore de nouveau en couple avec Ornella, on ne pouvait pas dire que je la trompé. On se rassure comme on peut, j’en conviens.
Je me dirigeais donc vers le fameux bungalow numéro 22. Une fois devant, je tapa à la porte sans trop d’espoir. Et alors que j’allais me retourner pour partir, la porte s’ouvrit pour mon plus grand plaisir.
– Aaah mais en voilà une surprise ! Je suis bien heureuse que tu te sois enfin décidé à venir me voir !
– Je suis très heureux aussi de te revoir.
– Mais ne reste pas dehors avec un temps pareil !
Sans plus attendre, je rentrais dans sa caravane. Françoise me proposa alors à boire, j’acceptai avec plaisir un café qu’elle mit à préparer. Pendant ce temps, elle vint s’asseoir en face de moi, on discuta de tout et de rien avant qu’elle ne dû se lever pour m’apporter ce café. A son retour quelque chose semblait la gêner.
– Non mais je suis vraiment une très mauvaise hôte, je te fais toutes mes excuses.
– Mais pourquoi donc ?
– Je ne me suis même pas rendue compte qu’à cause de cette pluie tu étais trempé. Allez debout et suis moi. Tu risques de tomber malade si tu restes ainsi.
Je me leva sans trop me poser de question et la suivi vers sa salle de bain.
– Bon déshabille toi et donne moi tes vêtements. Pendant que tu fais ça, je vais te chercher des serviettes car je ne peux vraiment pas te laisser rentrer chez toi ainsi, je n’imagine même pas ce qu’en penseraient tes parents.
Alors qu’elle partie pour aller me chercher des serviettes, je dois bien avouer que la situation commençais à m’exciter un peu.
A son retour, j’étais en slip, elle commença alors à m’essuyer avec une serviette très douce tout en effleurant mon entre jambe à plusieurs reprise, ce qui provoqua immédiatement une belle érection qu’elle ne tarda pas à remarquer.
– Non mais que vois-je ? C’est le simple fait que je t’essuies qui provoque cela ?
– C’est fort possible, lui répondis-je en étant à la fois excité et gêné.
– Je ne peux pas te laisser ainsi, si d’autres personnes voit cette bosse, tu seras gêné voir même traumatisé. Bon, j’ai une solution qui devrais suffire pour régler ce genre de problème.
A peine sa phrase finie, elle baissa mon slip, j’étais maintenant nu devant elle, elle commença alors à me masturber mais à la différence de l’autre fois, je sentais qu’elle faisait en sorte que ça ne vienne pas tout de suite.
– Bon, avec cette technique, l’inconvénient est que tu vas peut être gémir alors il va falloir faire en sorte d’éviter cela pour ne pas se faire remarquer des autres.
Du coup, tout en continuant à me masturber, elle rapprocha ces lèvres des miennes pour m’embrasser. Ce doux baisé dura plusieurs minutes, ce qui provoqua une érection encore plus forte, ce qu’elle remarqua immédiatement.
– Je suis vraiment désolé, je pensais que cette technique suffirait mais elle a eu finalement l’effet inverse.
Je décida de rentrer dans son jeu.
– Mince, mais il faut vraiment que tu m’aides, je ne peux pas rester ainsi.
– Tu sais bien que tu peux me faire confiance, j’ai d’autres idées en tête pour remédier à ce problème. Vu que mes mains n’ont eu aucune efficacité, je vais essayer avec ma bouche.
Ces quelques mots me plaisait énormément car je dois bien avouer que dans les cabines de douche l’autre jour, j’espérais avoir une fellation de sa part.
Elle m’embrassa de nouveau pendant quelques petite seconde avant de se baisser vers mon sexe, elle commença par utiliser sa langue autour de mes testicules, ce qui me procura beaucoup de plaisir à mon grand étonnement.
Puis, elle commença tout doucement à remonter vers mon gland. Une fois arrivé à destination, je vis mon sexe disparaître totalement et je me surpris moi même en sentant mon sexe durcir encore plus, je ne pensais pas qu’il pouvait grossir encore. Pendant ce temps, Françoise s’amusait avec des jeux de langues, de lèvres, que ce soit sur mon gland ou sur la verge entière.
Cela dura quelques minutes ainsi, il faut dire que Françoise prenait soin de pratiquer une fellation toute en douceur.
Mais au bout d’un temps, elle changea totalement de style, elle n’utilisa que très peu sa langue, ce qui changea grandement de mon ex. En effet, elle frottait mon gland sur son palais, ou parfois sur l’intérieur de ses joues tout en me regardant droit dans les yeux.
Ce changement de stratégie eu pour conséquence que je sentais que j’allais venir, elle accéléra alors son rythme, je ne mis alors que quelques secondes pour tout lâcher ! Finalement, après un dernier va et vient profond dans sa bouche, elle abandonna mon sexe et je dois bien avouer que je n’avais jamais connu de telle fellation.
– Bon, voilà, je pense que ton problème est réglé.
Je n’avais même pas la force de répondre tant j’avais l’impression d’être dans un autre monde.
– Maintenant il va falloir qu’on reprenne une douche tous les deux.
Elle me pris alors la main pour me faire rentrer avec elle dans la cabine, elle pris le soin ensuite de me laver elle même. Puis, j’en fis autant.
Une fois que l’on c’était tous deux laver mutuellement, elle me plaqua contre la vitre de la cabine pour m’embrasser de nouveau pendant plusieurs minutes. Mais ce long baisé eu la conséquence de réveiller mon sexe qui durcit de nouveau, Françoise semblait ravie de voir cela.
– Non mais tu exagères !
Je rentrais de nouveau dans son jeu.
– Je suis désolé Françoise.
– Ne le sois pas voyons. Mais tu te rends comptes qu’après tout ce que j’ai fais pour toi, on est revenu à la case départ ?
– Tu as une autre solution car je ne peux pas risquer de sortir de ton bungalow comme ça.
– Je le sais bien, et ne t’en fais pas, j’ai une ultime solution même si je pensais qu’on n’aurait pas à en arriver là. Bon, va m’attendre dans ma chambre, j’en ai pour quelques instants.
Je sortis de la douche pour me diriger vers sa chambre, je m’installa assis sur son lit en attendant impatiemment l’arrivé de Françoise.
En l’attendant, je ne pouvais m’empêcher de masturber tant mon excitation était grande.
Puis enfin, cette courte attente qui m’avais paru interminable pris fin. Françoise arriva dans la chambre, elle y entra doucement, vêtue d’une nuisette noire quasi transparente. Elle avança vers moi, le regard fort et désireux.
– Avant de régler définitivement ton problème, il va falloir me mettre en condition.
Françoise s’allongea sur le lit en prenant soin d’écarter ses jambes, l’invitation était claire. Je crevais de désir, je commençais par de petit baisé sur ses cuisses tout en me rapprochant petit à petit de son trésor.
J’y étais enfin, je m’évertuais alors à aspirer délicatement son clitoris, le titillant, le faisant grossir. Mon seul objectif était de lui donner autant de plaisir qu’elle m’en a donné un peu plus tôt. Elle avait un goût exquis ! Mes coups de langues s’appuyaient de plus en plus sur son clitoris, je l’aspirais, puis je la pénétrais avec ma langue, je m’exécutais frénétiquement sur son sexe. De son coté, elle agrippait ma tête, la pressait entre ses cuisses, elle semblait aimer mon cunnilingus.
Elle finit par se rasseoir, signe qu’il est temps de changer de position, je me rapprocha de son visage pour l’embrasser puis elle retourna vers mon sexe pour le remettre dans sa bouche tout en prenant mes bourses dans une main. Elle aspirait le bout du gland et exécutait des allers retours avec son autre main.
Elle pressait mes bourses, serrait fortement mon sexe et aspirait vigoureusement mon gland. C’est tellement bon que mon sexe se durci encore un peu et mon plaisir se fit entendre. Sentant que je risquais de te pas tenir longtemps, elle arrêta sa fellation. Elle me donna un petit baisé avant de reprendre la parole.
– Je te veux en moi !
Suite à ces quelques mots magiques, elle me fit m’allonger sur le dos. Elle se mis entièrement nue et m’enfila un préservatif. Puis, elle enjamba mes cuisses et dirigea mon sexe vers son intimité. Je pu alors sentir la douce chaleur humide de son vagin qui entoura mon sexe. Arrivé à mi-longueur, Françoise se stoppa. Elle commença alors un lent aller retour sur moi.
J’avais l’impression qu’elle faisait une danse folle avec mon sexe. Ses cuisses venait heurter les miennes sous ses assauts frénétiques. Ce moment était tout simplement magique !
Mais elle finit par se retirer, sur le moment je ne comprenais pas pourquoi mais très vite, elle se plaça pour que je la prenne en levrette. Pour commencer, je recommença un cunnilingus pendant quelques instants avant d’avoir une idée.
Je décida d’utiliser mon index et mon pouce. Je me servais de mon pouce pour explorer cet autre orifice que je n’avais pas encore eu l’occasion d’explorer jusque là. Je sentais qu’elle aimait cela, je finit par me concentrer uniquement sur son petit trou mais mon sexe n’en pouvait plus, j’avais l’impression qu’il allait exploser.
J’arrêtai cela et l’espace d’un court instant, je ne faisais plus rien afin d’admirer ses magnifiques fesses qui s’offraient à moi. Puis, je posa mes mains sur ses hanches pour lui relever le bassin. Je positionna mon pénis à l’entrée de son petit trou et commença par le rentrée tout doucement pour pas qu’elle n’ait mal. Etant entièrement à l’intérieur, je commença quelques timides va et vient. Puis, me rendant compte qu’il n’y avait plus aucune résistance, j’accélérai mes va et vient petit à petit. Je n’arrivais pas y croire, j’étais entrain de pratiquer une sodomie sur une magnifique femme de 44 ans !
Malheureusement, il ne me fallu que de quelques petites minutes pour me décharger totalement. Une fois totalement vidé, on s’allongea tous deux à proximité l’un de l’autre. Elle chercha aussitôt ma bouche, qu’elle trouva, on s’embrassait avidement, plus férocement qu’auparavant avant de reprendre la parole.
– Ton séjour ici se termine quand ?
– Dans une semaine.
– Très bien, on va pouvoir continuer à s’amuser encore un peu dans ce cas.
– Il faudra qu’on fasse attention. Demain, mon ex vient passer cette dernière semaine avec moi, on compte se remettre ensemble.
– Je suis ravis pour vous deux mais pourquoi veux-tu que l’on fasse attention ?
– Il faudra lui cacher notre relation.
– Pourquoi lui cacher ? On peut s’amuser tous les trois, plus on est de fou plus rit.
Je finis par quitter ce merveilleux bungalow tout en réfléchissant à ces dernières paroles. Je me demandais si Ornella accepterai une telle proposition et également comment j’allais lui en parler. En tout cas une chose était certaine, je me devais d’être convainquant car il fallait qu’elle accepte ce plan à trois !
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J’espère que cette seconde partie vous a autant plu que la première. Pour la troisième partie, ayant un emploie du temps assez chargé durant les prochains jours, elle mettra un peu plus de temps à arriver.
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