Cette histoire s’est passée il y a quelques années. J’habitais à Rabat et revenais d’une soirée entre amis. À quatre heures du matin, il n’y avait pas grand monde au quartier Agdal.
Je suivais une Clio depuis un moment. Arrivé à un feu tricolore, cette voiture passe à l’orange, moi je m’arrête et la regarde s’éloigner. Au loin, la Clio fait une puis deux embardées et s’immobilise au bord de l’avenue.
Le feu passe au vert et lentement, je me rapproche de cette voiture d’où s’était extraite une grande fille habillée d’un tailleur dont la veste arrivait au niveau du bas de la mini jupe et des escarpins dont les talons me paraissaient très haut.
Arrivé à sa hauteur, elle se précipite vers moi : «Excusez-moi, je viens de crever et je ne sais pas changer ma roue. Pouvez-vous m’aider ?».
Elle était ravissante, cheveux longs ondulés, les yeux bleus et sa veste laissait deviner une belle poitrine. Comment lui dire non, impossible !
Me voilà à quatre heures du matin en train de changer une roue. La vue du bas n’était pas désagréable : une belle paire de jambes fines qui n’en finissaient plus.
Les mains pleines de cambouis, la roue est changée.
«Oh ! Vous vous êtes sali pour m’aider, je n’habite pas très loin d’ici. Pour vous remercier, je vous offre un verre et vous pourrez vous laver les mains, vous acceptez ?».
« Volontiers, mais je ne voudrais pas vous déranger, il est tôt»
« Ne vous inquiétez pas, si ça ne me faisait pas plaisir, je ne vous l’aurai pas proposé.».
Elle remonte dans sa voiture et je la suis. Deux pâtes de maison plus loin, elle me montre une place de stationnement libre et me fait signe de me garer.
Elle ouvre le siège passager et me dit : « Montez, j’ai un garage en sous-sol, on montera par l’ascenseur, ça m’évitera de venir vous chercher dehors ».
En effet, nous descendons au sous-sol et rentre sa Clio dans un box et nous remontons chez elle par l’ascenseur.
J’ai tout le loisir de l’observer : elle est grande, les traits fins, beaucoup de goût, des bijoux raffinés. Nous échangeons quelques banalités et nous faisons connaissance.
Elle ouvre son appartement, une musique douce et une odeur d’encens m’accueillent, c’est relaxant.
Elle m’accompagne à la salle de bain et me dit qu’elle va préparer un verre :
« Je me fais tous les soirs un cocktail en rentrant, je suis barmaid, ça vous tente ?»
«Oui, volontiers»
Lorsque je reviens dans le salon, elle m’attend assise sur le canapé, deux grands verres remplis sur la table basse m’indiquent que je dois m’asseoir à côté d’elle, ce n’est pas pour me déplaire.
Je ne sais pas si c’est le cocktail mais nous sympathisons vite et au bout d’une heure, nous avions l’impression d’être de vieux amis.
Voyant l’heure passer, je lui signale que je vais la laisser se reposer car elle travaille le lendemain.
A mon grand étonnement, elle me dit: «Reste. Tu ne veux pas passer la nuit ici ? Je n’ai pas envie de rester seule et je te trouve très gentil. Je te dois une récompense pour tout à l’heure».
Non, je ne rêve pas, cette belle fille me propose de passer la nuit avec elle, ça ne se refuse pas !
En guise de réponse, je l’enlace et l’embrasse. Torride ce baiser, je n’avais jamais embrassé une fille avec cette fougue ! Elle m’entraîne vers sa chambre, en chemin nous nous déshabillons.
J’arrive nu sur le lit, elle a conservé son string noir, nous nous caressons, elle s’empare de mon zob et l’avale. Humm, quelle fellation, j’ai rencontré une experte, quel pied ! Je caresse ses seins, beaux et fermes elle réagit aux pincements sur les bouts. Ce ne sont que caresses, baisers passionnés. Elle me met un préservatif et me guide vers ses fesses, écarte son string et s’empale sur moi. Je la sodomise, oui je ne rêve pas, elle se sodomise sur moi, quelle fille, quel tempérament !
Nous jouissons ensemble, elle se blottit dans mes bras pour récupérer. Au bout de quelques minutes, elle me dit: «As-tu aimé ? Il faut que je t’avoue quelque chose, je suis une transsexuelle».
En le disant, elle ôte son string et apparaît une belle queue en semi-érection. Quelle surprise, je reste sans voix et elle continue : «Ça te dirais d’essayer de me sucer ? Je vais t’apprendre, je t’aime beaucoup et je voudrais que tu me donnes du plaisir».
Je ne sais que répondre, pas encore remis de ma stupéfaction, je me retrouve en train de caresser et lécher son zob. Elle me guide de la voix, m’explique, j’y prends goût de sentir sa virilité se dresser dans ma bouche.
Elle jouit, j’avale son sperme, c’est drôle, je n’en avais jamais goûté, j’aime ça !
Elle n’a pas cessé de me caresser, son zob est tendu, il est plus long et plus large que le mien.
Elle me couche sur le dos, m’embrasse à pleine bouche, son sperme se mélange à nos salives. Je sens sa main me caresser l’œillet brun et me passer comme une pommade.
«Ne t’inquiète pas, c’est une pommade qui va te préparer, tu n’auras pas mal.»
Elle enfile un préservatif, me remonte les jambes sur les épaules, m’embrasse et je sens son sexe appuyer sur mon anus qui s’écarte et laisse entrer cette colonne de chair centimètres par centimètres. Je suis troublé, je n’ai pas mal, elle m’embrasse toujours. Ça y est, je sens ses bourses contre mes fesses, je me suis fait sodomiser ! Avec douceur, elle fait des va-et-vient successifs, je sens monter le plaisir en moi, oui j’aime ça ! Nous jouissons ensemble après un long coït et nous nous écroulons enlacés ensemble. Nous nous endormons…je me réveille et vois cette belle fille nue à mes côtes. Ça y est, je me souviens, j’écarte le drap et redécouvre son zob au repos, je n’ai pas rêvé !
Nous sommes restés ensemble pendant six mois puis elle est partie sur Casa, je ne l’ai jamais revue.
Ajouter un commentaire