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Ma tante de 45 ans est sublime (1)

Ma tante de 45 ans est sublime (1)



Chapitre 1

Bonjour,

Je m’appelle Jean.
Revenons en arrière dans l’espace temps.

En 1995, fort de mes 18 ans avec le bac en poche, j’échoue dans ma 1ère année de fac de lettres.

Ma mère me propose, étant donné mon échec, de partir une année complète en Angleterre, dans la boite de ma tante pour perfectionner mon anglais.

Ma tante Chantal, âgée de 45 ans avait épousé un british .

Elle travaillait dans une grosse boite et lui était en maladie pour des problèmes de coeur depuis une dizaine d’années.

Sur ce, ma mère prit les devants .

Elle appela ma tante (elles étaient très liées) qui lui suggéra qu’en juillet, la boite en question cherchait un stagiaire pour un an.

C’était au service commercial pour la liaison France – Angleterre dans leurs échanges commerciaux.

Un petit studio serait mis à disposition pour le dit stagiaire (moi !) au 18ème étage .

Je précise que les bureaux occupaient 6 niveaux dans cette tour au coeur de Londres.

Ma mère me fit les derniers préparatifs.
Je laissai mon jeune frère passer son brevet des collèges et remercia ma mère.
Mon père acquiesça d’un signe de la tête.

Ma tante m’avait toujours attiré.
Ma mère était sa soeur aînée.
Elle venait souvent nous voir en France.

Ca n’est que vers l’adolescence que ma tante commença à attirer mon attention.

Il est vrai qu’à 45 ans, du haut de son mètre 70 et avec ses 54 kg, elle était disons séduisante.
Sa poitrine était aux alentours d’un 85 b, c’est à dire des seins bien fermes en forme de poire.
Elle avait des jambes très fines et lorsqu’elle fut une fois en pantalon, je devinai de jolies fesses bien fermes.

Avec son maquillage léger, ses yeux bleus et ses lèvres si bien dessinées commencèrent à m’affoler intérieurement.

Elle restait la soeur de ma mère.

Ma tante Chantal m’accueillit à l’aéroport avec un large sourire et m’embrassa tendrement.

Elle avait un fils unique de 20 ans, parti en Australie finir ses études et compter même s’y installer.
Elle ne le voyait jamais à son grand regret.

Nous bavardâmes dans la voiture et le soir, elle m’invita à dîner chez mon oncle qui ne parlait pas un mot de français .

La conversation fut assez futile.

Donc repas terminé, elle me raccompagna le soir à la tour pour retrouver mon logement.

La soirée fut sympathique.
Je fis rire ma tante avec des histoires cocasses.

Je commençais le lundi dans mon open office avec les collègues (je devais traduire des modes d’emploi en …anglais).
Ambiance calme et studieuse.
Il y avait une pause entre 12h30 et 13h30.

Ma tante avait son bureau à elle, et je m’empressais de lui demander conseil pour des traductions, histoire d’être avec elle.

Une fois le déjeuner fini, nous prenions l’habitude de faire un tour au parc.
Très sensible, nous bavardions du boulot et ma tante me prenait par le bras.

un week-end, ma tante m’invita avec 2 amies à elle, pour faire une partie de golf.
force est d’avouer que je me débrouillai plutôt pas mal sous l’admiration de ma tante.

Nous étions au mois d’août, la température oscillait entre 22 et 24 degrés.

En revenant du golf, j’avais pris pour habitude de prendre une douche au retour chez elle.
Elle en prenait une également.

Inutile de préciser une fois ma douche terminée, que le fait d’entendre ma tante prendre la sienne me donnait des frissons.
Elle revenait comme d’habitude habillée, pas même un peignoir.

Chantal m’invita un soir à dîner au resto.
Son mari Andrew ne pouvait pas.
Toujours fatigué avec son coeur et son traitement …

Ce fut une soirée où nous parlâmes de moi.
Je lui parlais de mes copines (j’exagérais un peu ..) puis elle me parlât à son tour de son expérience de la vie.

Les hauts et les bas avec une pointe de mélancolie, lorsqu’elle me raconta qu’elle ne voyait pratiquement plus son fils.

Elle enchaîna pour me dire qu’elle était ravie que je sois là.
J’étais en quelque sorte son 2ème fils.
Nous étions très liées sur beaucoup de sujets.

Je lui parlai de mes projets futurs et j’insérai volontairement l’idée qu’un jour, je tomberai sur une femme qui lui ressemble.
Elle ne fut que ravie du compliment que je lui adressai.

Nous rentrâmes et nous nous vîmes le lendemain au bureau.

Dès que ma tante se déplaçait , je ne pouvais m’empêcher de la regarder, ses jambes parfaites, ses seins arrogants, ses pieds soignés et ses lèvres si bien dessinées.

Au fil du temps, je lui donnais mon linge sale et elle repassait mes chemises.

Un dimanche, au détour d’un partie de golf à laquelle je ne fus pas convié, elle me dit.

« Jean, je passerai t’amener tes chemises, tu seras chez toi vers 16h ? « .
Je répondis par l’affirmatif.

A 17h la sonnette retentit.
Ma tante entra avec mon sac de linge et chemises.
Je la remerciais en lui faisant une bise sur la joue et lui proposait de boire un verre.

Elle me dit qu’elle prendrait bien une douche chez elle et dans la foulée me fit la bise pour partir.

Il était 17h, c’était l’heure des embouteillages.

 » Tu vas mettre au moins 1 heure à rentrer …prends une douche ici, j’ai une serviette propre » lui dis-je.

Elle était un peu gênée, aussi je l’appelais Tatie dans ces cas là pour la décoincer.
 » Ok pour une douche et après je file , c’est sympa de ta part « .
J’entendis un filet d’eau , signe que ma tante avait terminé.

Elle sortit de la salle de bain, ayant enfilé mon peignoir.
Ses vêtements étaient suspendus pour mieux sécher, de la dite transpiration.

Elle était super sexy dans mon peignoir trop grand pour elle.
Cela lui donnait un air enfantin.

Elle me dit qu’elle trouvait ma compagnie rassurante et admirait ma façon d’être avec les collègues.

Je ne sais pas ce qui me prit, je m’approchai d’elle et l’embrassai dans le cou à sa grande surprise.
Elle en rougit un peu puis me fit un sourire rempli de tendresse.

Comme elle sentait bon, elle sentait la femme mûre, j’avais une envie folle de la sauter.

Elle se rhabilla ensuite puis me fit un baiser sur le bord des lèvres et s’éclipsa …

La semaine passa, à vrai dire assez quelconque.
Nous n’évoquâmes à aucun moment notre baiser du dimanche soir.

Les jours passèrent inexorablement mais je sentis, au fil de nos conversations une sorte de complicité naissante entre nous.
Peut-être n’était-ce qu’une illusion que je me fis sur le moment.
Nous parlâmes à chaque fois après la cantine, dans un très beau parc situé près du bureau.

Ma tante se laissant aller à me faire des confidences sur sa vie passée, ses désillusions, ses joies aussi.
Elle aimait mon « rôle » de confident voire de « conseiller » dans sa vie professionnelle.

J’avais un regard neuf sur son entreprise et je lui donnais mon avis sur ce qu’elle devait, faire face à son supérieur.
Plusieurs fois, elle me fit la remarque sur mon aplomb et ma force de discernement pour mon âge.
Je n’en fus que réjouis.

Vendredi

Ma tante m’annonça qu’Andrew allait être hospitalisé pour 4 semaines.
Mon oncle se rendit une semaine à l’hôpital, pour ensuite enchaîner 3 semaines en maison de repos.

Ma tante Chantal habitait en périphérie de Londres une coquette demeure avec un étage.
Elle adorait s’occuper de son jardin ainsi que de sa terrasse, bien fleurie.
Pour l’anecdote, elle avait disposé quatre transats pour un bain de soleil « au cas où ».
N’oublions pas que nous étions en Angleterre et quand le soleil se mettait à briller de mille feux, c’était la fête.

Dans la journée, ma tante assez anxieuse me raconta ses soirées certes ennuyeuses mais relâchée du fait d’être seule.
Il faut bien avouer qu’avec la maladie, Andrew était devenu quelque peu ennuyeux et replié sur lui-même.

Je lui proposai (enfin …) le vendredi soir de passer la voir, pour dîner une nouvelle fois, et la faire rire un peu .

J’arrivai à 19h, je trouvai facilement un parking à 50 mètres de chez elle …histoire de ne pas attirer le voisinage .
J’avais amener un bouteille de vin.

Je sonnai et Chantal m’accueillit en jupe, avec de jolies chaussures type escarpin, avec un chemisier si transparent qu’il me laissa deviner les bretelles de son soutien-gorge.

 » Que veux tu boire ? « .
 » Un gin tonic pour changer ma tante « .
Nous parlâmes longuement puis au 3ème verre, ma tante bredouillât pour me dire qu’elle se sentait légèrement pompette.
Nous échangeâmes quelques regards en silence.

Je mis la table et vins la voir dans la cuisine .
Sa fenêtre donnait directement sur la rue et la maison d’en face.

Elle terminait de rincer la casserole quand je vins me mettre derrière elle pour lui faire à nouveau un baiser dans le cou, en la prenant par la taille.

 » Ca n’est pas bien ce que tu fais Jean ».

N’écoutant rien, je soulevai sa jupe pour commencer à lui caresser ses cuisses.
Que sa peau était douce.
Puis elle se retourna et me regarda.
Elle me fit un sourire !
Le rêve à l’état brut.

J’approchai et lui fis un autre baiser dans le cou tout en lui caressant les jambes.

 » Il ne faut pas  » me dit-elle.
 » Et pourquoi pas ?  » lui dis-je dans un soupir.
 » Ne dis pas n’importe quoi … et puis je suis ta tante ! « .

Elle se retourna, ses yeux « brillaient » en me regardant.
Puis elle s’approcha et me fit un baiser à son tour dans le cou comme pour me consoler .

C’est pas pour dire mais cette situation commença à devenir fortement excitante.
Après ce bref moment, nous nous mîmes à table.

Je sentis ma tante embarrassée mais quelques sourires en coin m’incitèrent à aller plus loin.
Nous étions vendredi soir, donc pas de travail le lendemain.

A 22h, je lui dis exprès :  » Chantal, j’ai passé une soirée délicieuse mais je dois partir « .
 » Tu as un peu bu .. » me dit-elle.

A ma grande surprise, elle me dit que le lit de la chambre d’amis était prêt .

 » Tu peux dormir dans la chambre d’amis, comme ça je ne serai pas seule la nuit ..enfin si tu le veux bien ? « .
Tu parles que je voulais bien !
 » Oui , tu as raison Tatie , c’est plus prudent « .

Nous montâmes puis je la raccompagnai à sa chambre, elle m’embrassa sur la joue en me serrant fort.
Sans comprendre, je collai mes lèvres vers les siennes.

Durant un bref moment, elle me « donna » sa bouche puis j’en profitai pour y glisser ma langue.
Nos langues ne firent pas un slow langoureux.
Ce ne furent que quelques pas de danse entre elles.

Notre baiser dura moins d’une minute, mais durant ce temps, tout s’était arrêté.

Je soulevai en douceur sa jupe.
Ma tante se laissa faire, je lui caressai ses fesses à demi-nues, le rêve commençait …

Puis elle recula, visiblement gênée de s’être ainsi « donnée » à moi.

 » Jean, il ne faut pas faire ça « .
 » J’aime t’embrasser, c’est agréable avec toi non ? « .
 » Oui, c’est très agréable mais je crois que c’est tout pour ce soir … » me dit-elle en regagnant sa chambre.

Je décidai de regagner moi aussi ma chambre, un peu déçu mais content.
Toute la nuit, je fantasmai sur ma tante à quelques mètres de ma chambre, elle qui dormait paisiblement.

L’envie de la rejoindre me traversa l’esprit, j’avais une telle envie de la baiser.
Puis je m’endormis …

Samedi matin

Le lendemain, ma tante assez matinale, prenait son café ou du moins elle terminait son bol.
Cette fois, elle était en robe de chambre avec une nuisette blanche couleur crème.
Elle était ravissante ou plutôt super excitante.

 » Tu as bien dormi ..? ».
Elle était assise en face de moi en tailleur.
J’admirais ses jambes et ses pieds si fins, puis elle me tendit ma tasse.

 » Oui Tatie ! c’était bien hier soir ..?  » .
 » Exact, j’ai aimé notre conversation, tu étais proche de moi, cela faisait longtemps que je n’avais pas bavardé de cette manière ».

Puis en la regardant fixement, je m’approchai d’elle et lui déposai un baiser sur la lèvre .

 » C’est ma façon de te dire bonjour ! « .

Elle me regarda sans un mot et éclata de rire !
 » Mais ça devient une manie de vouloir m’embrasser « .
 » Oh , c’est juste pour te faire du bien « .
 » Oui ça me fait du bien mais pas plus ! « .

Ca cogitait sec dans ma petite tête.
En fait, ma tante était heureuse de m’avoir avec elle.

Je ne pus m’empêcher de penser au passé.

Dès mes 14 ans, ma tante m’avait toujours attiré.
Ma mère était sa soeur aînée.
La « petite soeur » était une belle femme.

J’ajouterai en toute objectivité qu’à 45 ans, mesurer 1m70 pour 54kg, ça vous donne un aperçu du corps qu’elle avait.
En pantalon, sa silhouette était fabuleuse, elle avait des hanches parfaites, un derrière affolant.
En jupe, je me pâmais devant la finesse de ses jambes aux pieds soignés.
Un régal ma tante …

Pas de cellulite pour son âge ou si peu qu’il eut fallu mettre son nez dessus (!).

Et puis, faut-il l’avouer ? … j’aimais beaucoup son style vestimentaire, légèrement sportif mais classique également.

Elle était pour moi la définition quasi parfaite de « la femme », celle que l’on a envie de prendre, de se savoir aimer d’elle.

J’en avais oublié qu’elle était la soeur de ma mère, même si force est de constater que cette situation inédite, voire interdite, attisait mon excitation.
Je bravais en quelque somme, un interdit de notre société : l’envie folle de baiser la soeur de ma propre mère.

Le terme que je vais employer ne me plaît guère, mais reflète exactement ma pensée : ma tante Chantal était « bonne » comme on dit de manière vulgaire.
Bonne le matin au réveil pour venir lui peloter ses seins si fermes en forme de poire.
Bonne à lécher son sexe sorti de l’encyclopédie universelle pour en être l’illustration parfaite.
Bonne à prendre à n’importe quelle heure …

J’avais eu le béguin pour elle, lorsqu’elle était venue seule nous voir à Paris.

Ma tante rendit visite à ma mère pour quelques jours.
Elle en profita en ce jour du mois de juillet pour prendre un bain de soleil dans le vaste jardin familial.
Nous étions seul, mes parents étant partis faire des courses pour le dîner du soir et mon petit frère s’amusant chez le copain du voisin.

Quel ne fut le regard tout admiratif que je posai sur ma tante, lorsqu’elle descendit en bikini bleu pâle.
Pour la première fois, je vis ma tante presque nue.
J’admirai sa démarche, son déhanchement subtile de sensualité.

Moi du haut de mes 14 ans, j’avais devant moi cette femme de 41 ans, dont le corps me fit déjà à cette époque l’effet d’un boomerang, comme une sorte de K.O. au premier ring !

J’ose ajouter qu’il me fut heureux pour moi d’être en pantalon sur le moment.

Elle s’allongea sur le transat et m’interpella pour lui mettre de la crème à bronzer.

L’impression m’était donnée d’être comme dans un film.

Je lui étalai cette crème sur son dos, puis sur ses jambes avec une extrême rigueur.
Ce fut un mélange de sentiments enfouis d’un plaisir fou et d’un plaisir interdit.
Le plaisir m’était donné de caresser pour la première fois de ma vie une femme, qui plus est, ma tante adorée.

C’est à cette occasion que je pus observer le fessier superbe de ma tante avec un dos « qui n’en finit pas » comme certains auraient dit.

Au bout d’un 1/2 heure, ma tante se retourna et était-ce pas fainéantise de sa part (?), elle me demanda de lui badigeonner le bas des jambes.

Je commençai ma tâche, appelons cela comme ça, quand j’arrivai à ses mollets.
Je me rappelle très bien des mots que ma tante prononça.

 » Jean, peux tu en mettre sur mes pieds, un coup de soleil est douloureux à cet endroit « .

Je m’exécutai sur le champ et ce fut le coup de coeur.

J’avoue avec humilité le ridicule de mon ressenti, mais les pieds de ma tante furent sur le moment, irrésistibles de beauté, de sensualité.
Je « flashai » littéralement sur leur beauté.

Je passai cette crème sur le dessus de ses pieds, aux ongles parfaitement coupés, avec un vernis rose, des orteils fins.
Mes gestes furent d’une tendresse infinie, je cajolai ses pieds comme un bien précieux.

Ma tante ne s’aperçut sans doute pas de l’effet que cela me procura …
Heureux hasard pour moi d’être en pantalon durant ce moment (!).

Revenons au présent.
Ma tante alla prendre une douche puis vers 9 heures, elle descendit.
 » Jean , tu restes avec moi pour le week-end ? j’aimerais tellement « .
 » Tatie, c’est une invitation qui ne se refuse pas ! « .
 » Bon je fais des courses et je rentre vers midi « .

Nous déjeunâmes sur la terrasse, le temps était superbe.

Le repas terminé, ma tante débarrassa et me proposa d’aller au golf.
Elle monta faire un brin de toilette.
Je fus surpris de la voir dans la même tenue.

 » Mais ma tante, tu n’es habillée ? « .
 » Non mon Cher ! , j’ai envie de regarder les autres jouer ! …nous irons prendre un pot au club « .

Evidemment, vu comment elle était habillée , elle ne pouvait point faire de golf, elle portait un petit tailleur bleu ciel.
Ses cheveux blonds mi-longs avec un maquillage qui mettait en valeur ses yeux, eurent raison de moi !

Mon sexe devint rigide à la moindre de ses phrases … sortant de sa bouche si sensuelle.

Sur ce, nous partîmes de bon chemin, nous bavardâmes sans évoquer ce qui s’était passé dans la matinée.
Je sentais ma tante comme soulagée, elle était fort décontractée avec moi.
Durant le trajet, je regardai sa cuisse à la peau si douce.
Elle me jeta un regard avec un petit sourire en coin, heureuse de m’avoir à ses cotés.

Arrivés devant le club, nous nous installâmes au bar du restaurant qui donnait sur la piscine, dans un cadre verdoyant.
Assis, je scrutai ma tante qui, comme à son habitude avait ses jambes en tailleur.
Je ne manquai pas d’observer ses longues jambes au mollets ravissants, sans oublier de détailler ses pieds, d’une finesse qui m’affolaient intérieurement.

 » A part de me détailler …Que bois-tu parce que je prends une tasse de thé ? « .
Je répondis mollement qu’un coca ferait l’affaire.

Puis notre discussion fut forte intéressante concernant sa vie de couple.
Elle m’expliqua sans retenue sa relation avec Andrew.
Une relation plate qui me fit penser à un étang un soir de novembre …sans vagues, terne donc plat.

Ma déduction fut simple, les rapports entre elle et Andrey furent quasi inexistants depuis quelques années.

Ma tante me fit une confidence.
 » Tu sais hier comme ce matin, je dois t’avouer que c’était merveilleux pour moi, cela faisait des années que … ».
Elle ne finit pas sa phrase, le serveur vint nous amener l’addition.

Avait-elle évoqué notre baiser ?
Chantal paya et se leva.
Il fut 15 heures et nous répartîmes sans échanger un mot.

Au retour, je ne pus m’empêcher de regarder le profil de son visage, un nez parfait, un menton de même, puis forcément … son chemisier légèrement entrouvert.
Pas de décolleté plongeant, ce n’était pas son genre.

Mais ce fut suffisant pour faire travailler mon imagination.
Malgré ses confidences « avortées », je sentis à ce moment précis que quelque chose se passait entre nous.
Ma tante se mit plus à l’aise mais resta sur ses gardes,.

Nous rentrâmes chez elle.
Arrivés, je suggérai que le temps était superbe.
L’envie de revoir ma tante en bikini germa dans ma tête.

 » Quel soleil, c’est un vrai temps pour bronzer ! « , j’amorçais l’idée de la voir sur un transat.
 » Oui mais une averse est vite arrivée … « .

Je pris un transat, enlevai mon tee-shirt et me mis en caleçon.

 » Tu portes des caleçons ? « .
 » Oui Tatie , je préfère « .
 » Oooh , arrête de m’appeler Tatie, appelle moi Chantal ! « .
 » Euh oui Chantal , ça me fait drôle « .
 » Tu n’es plus un gamin ! et puis tu me donnes une idée, moi aussi je vais faire bronzette … ».

Ah cette fois ci, je me suis dit  » mon Jean, c’est une belle après-midi « .
Mon coeur s’arrêta de battre.
Ma tante arriva en bikini …

Tout se mélangea dans ma tête.
Les souvenirs de juillet, cette crème, son corps.
J’eus l’impression qu’elle était encore plus belle qu’il y a 4 ans.

 » Tu es ravissante en maillot de bain « .
 » Tu parles à mon âge ! je fais ce que je peux « .
 » Eh ben … Je ne serai pas ton neveu , tu me donnerai des idées ! « .
 » Ah ton âge, ce sont les jeunes filles qui t’intéressent .. « .
 » Tu rigoles, t’es super bien foutue pour ton âge « .

Je vis à son regard malicieux, que j’avais touché au but.
Ma tante me regarda.
 » C’est vrai que tu es beau garçon « .
 » J’ai bien envie de prendre soin de toi « .
 » Mais j’y compte bien mon neveu chéri  » dit-elle en souriant.

Je savais que ma tante, aimait me montrer qu’elle pouvait encore me plaire, mais elle n’était pas du genre a prendre l’initiative.

Une fois allongée, je ne pus que contempler son corps.
Ma tante était parfaite, ventre plat, longues jambes et ses pieds …
J’avais à mes cotés « la femme » de tous mes fantasmes réunis, j’ajouterai à ce tableau idyllique que nous étions tous seuls, ma tante et moi.

 » Jean, il faudrait que tu penses à ta tante ! je vais prendre des coups de soleil « .
 » J’arrive Tatie « .
 » Chantal, appelle moi Chantal « .

Je commençai à étaler cette fameuse crème sur le dos de ma tante, qui avait prit soin d’ôter le haut de son bikini.
Ce que je fis n’était point « un étalage » de crème, mais un pur massage.
Je remontai vers ses frêles épaules pour redescendre dans le bas de son dos.

 » C’est très agréable ce que tu me fais « .

Agréable certes (!), mais ce que je fis me procura des sensations vertigineuses.
Je continuai par les jambes en instant à l’intérieur des cuisses, pour finir sur la paume des pieds.
Mon massage, enfin ma façon d’étaler la crème, se termina par un baiser dans le cou de ma tante.

 » Ho la la ! tu me donnes des frissons … ».
 » Tu en veux encore ? « .
 » Ah oui « .
 » Alors retourne toi Chantal « .
 » Oui mais tu vas voir mes seins « .
 » Je reste ton neveu qui met de la crème à sa tante ! « .

Ma tante prit un air gêné.
Elle avait un petit coté  » allumeuse » et je savais que je lui plaisais intérieurement.

Elle se retourna et quel ne fut pas ma surprise quand je vis les seins de ma tante, dressés comme des obus, les tétons « bien enflés ».
L’effet de mes caresses avait fait son oeuvre.

Elle se cambra en arrière pour être plus à l’aise, mais durant ce geste, j’avais pu admirer le buste de ma tante.
Oh la vache, comme elle était bien foutue.

 » Par où veux tu que je commence ? « .

Ma tante esquissa un sourire, elle ferma les yeux comme pour mieux profiter de mes caresses.
Un filet de crème se déversa sur la poitrine de ma tante pour finir au crépuscule de son intimité.

 » Ouh comme c’est frais ! « .
 » Attends , mes mains vont te réchauffer Chantal « .
 » Oui réchauffe moi vite  »

Je démarrai par le bas ventre.
Je vis ma tante à cet instant creuser son bassin, une façon de se montrer plus désirable face à son neveu.
Car je n’étais point dupe, je savais pertinemment que ma tante faisait tout pour me plaire.

Aussi, je remontai le long de son ventre pour « atterrir » près de sa poitrine.
Mes mains étalaient cette crème de part et d’autre de ses seins, en évitant adroitement de les toucher.
Je vis à cet instant que ma tante respirait profondément.

 » Tu me caresses comme une princesse ! « .
 » Tu as un corps de princesse ma tante .. ».

Puis je lui déposai un baisser près de son sein.
Elle ne dit mot.
Mon massage se poursuivit sur ses jambes merveilleuses de finesse.
Sans avoir l’âme d’un détective, je m’aperçus qu’aucun poil pubien ne dépassait de son bikini.

Je m’affairai sur ses jambes puis je remontai vers le haut en effleurant cette fois un de ses tétons.
Un frémissement se fit entendre.

Mes mains désormais caressaient ma tante de bas en haut, avec un massage « appuyé » sur sa poitrine.
La crème avait disparu et de mes propres mains, j’étais au contact de la peau douce de ma tante, si douce de celle de sa poitrine.

Les seins de ma tante étaient en « alerte » à chaque passage de mes doigts qui, au passage, s’attardaient volontairement sur ses tétons s’amplifiant de plus en plus.

 » Tu te débrouilles comme un chef « .

En effet, « le chef » en question n’avait qu’une envie, « goûter » sa préparation.

N’y tenant plus, je saisissais un de ses seins, je collais mes lèvres contre son téton bien généreux.
Ma langue se promena habilement autour de son auréole, tout en pressant avec délicatesse ce sein offert par ma tante.
La main de Chantal vint me caresser la nuque, comme un encouragement à continuer.

 » Tu aimes ? « .
 » J’adore ce que tu fais Jean « .

Sans empressement, je parcourus de l’autre main le ventre doux de ma tante, pour glisser vers son intimité.
Son maillot empêchant tout geste inutile, je considérai qu’il serait plus « efficace » de m’occuper de ses fesses bien fermes.

Ma tante comprit assez vite la situation, repliant ses jambes, soulevant son bassin pour retirer ce maillot incongru.
Inutile de préciser dans quel état je me trouvai.

Chantal écarta les jambes, ainsi je pus observer son sexe parfaitement épilé, une pure merveille.
Je ne pris pas le temps d’opérer une balade vers son intimité.

Mon visage se plaça à la hauteur du sien et sentant mon souffle, ma tante ouvrit les yeux.
Cette fois, c’est elle qui m’offrit ses lèvres.
Des lèvres pulpeuses, sensuelles.
Des lèvres qui vous interpellent, qui appellent au désir.

Nos langues firent connaissance d’une manière remarquable, la découverte prit le chemin d’un slow tant attendu.

 » C’est un délice de t’embrasser  » lui dis-je dans un souffle.
 » Je ne sais pas ce qui me prend … « .
 » Laisse toi aller ma Tatie ».

Sur ces paroles, ma tante me fit un sourire.
J’avais encore le goût de sa salive délicieuse en bouche.

Puis elle se leva à mon grand étonnement.
Nos transats étant côte à côte, et vint s’asseoir sur mes genoux en m’enlaçant tendrement.

Mon coeur battait la chamade.

Elle m’embrassa à son tour mais cette fois , ce fut un long baiser et je glissai ma langue dans sa bouche si sensuelle.
Ma tante était sur mes genoux et je sentais la peau de ses cuisses contre les miennes.

Je continuais mon mouvement sur ses hanches mais cette fois avec mes deux mains.
Petit à petit, je glissais à l’intérieur de ses cuisses pour lui caresser son ventre et remonter vers sa poitrine.
Elle ne disait mot.

Elle se laissait faire et je sentais sa poitrine si ferme déjà se durcir au moment même où j’effleurais ses tétons.
Son souffle s’était accéléré et je continuais avec de longues caresses partant de sa plus fine intimité en passant par son ventre doux jusqu’à sa poitrine.

Nous échangeâmes un regard complice rempli de désir.

Le soleil avait pris soin de la débarrasser de son maquillage , ce qui rendait le dessin de ses lèvres encore plus désirable.
Elle me regardait en souriant et passa sa main dans mes cheveux.

Je ne pus m’empêcher de lui dire, que je me sentais bien en ce moment , mes bras entourant sa taille désormais.

Sans broncher, je déposais à nouveau un baiser langoureux sur sa bouche avec ses lèvres légèrement pulpeuses et ô combien excitantes.

Ma tante était nue sur mes genoux, je pouvais allègrement lui caresser ses pieds bien soignés, me promener le long de ses mollets puis continuer à l’intérieur de ses cuisses.

Je vis ma tante les yeux fermés, la bouche entre-ouverte.

Dieu que cette image était affolante.

Je collai mes lèvres aux siennes tandis qu’elle me caressa à son tour dans la nuque.
Nos langues s’offrirent l’une à l’autre.
Je sentis son souffle haletant.

 » Oh Jean…que faisons nous  » s’interrogea-t-elle.
 » Je te donne du plaisir « .
 » On ne devrait pas faire ça  » dit-elle en insistant.
 » Laisse toi faire ma Tatie à moi « .

Avec ces derniers mots, ma tante se relâcha.

Nous reprîmes nos baisers passionnés, la langue de ma tante étant « apprivoisée » par la mienne.

Tandis que nous nous embrassâmes d’une manière quelque peu farouche, ma main gauche se dirigea ostensiblement vers l’intérieur de sa cuisse.
Je remontai invariablement vers son intimité.

Une caresse furtive avec la paume de ma main glissa tout le long de son sexe, effleurant ses lèvres intimes à la douceur infinie.
Bien entendu, je sentis que ce geste faisait son effet.

Ma belle partenaire venait d’osciller son bassin, signe qu’elle approuvait mon geste.

Je ne répétais pas ce geste.
Je voulais la faire jouir différemment.

Je voulais lui faire découvrir du haut de mes 18 ans, comment j’allais emmener au nirvana cette femme affichant 45 printemps, au corps superbe qui était ma tante !

La faire voyager dans un autre monde, le mien.

Qu’elle devienne ma maîtresse, ma femme, ma moitié comme diraient certains ou carrément qu’elle se fonde en moi.

Je la voulais pour moi, qu’elle devienne mon jardin secret, une sorte de jardin que l’on ouvre que la nuit .
Je pourrais lui dire des mots d’amour , des mots venus d’ailleurs, des mots qu’on ne dit que la nuit.
Que je sois à elle , qu’elle parcourt les vitrines de ma nuit et que je lui dise « achète moi je ne vaux rien … puisque l’amour n’a pas de prix » .

Au regard du ressenti concernant son sexe, elle était visiblement ouverte à toute proposition.

Je fis une sorte de pause tout en lui caressant ses douces épaules.
Elle se laissa faire par ce geste de possession.

J’intervins à ce moment, sentant qu’il fallut prendre une décision.

 » Et si nous allions dans ta chambre ? « .
 » Jean , tu crois que c’est raisonnable ? « .
 » Allez Tatie ! Je te connais et je sais que tu en as envie depuis un bout de temps « .
 » Oui mais si ta mère l’apprenait ? « .
 » Elle est en France , nous sommes ici « .
 » On est en train de faire une bêtise « .
 » Eh bien continuons ma belle Tatie ! « 

J’avais touché au but !
Je m’approchai de ma tante entièrement nue et lui tendis la main.

A propos de tension, mon sexe était au maximum.

Ma tante marqua un temps d’hésitation, puis me saisit ma main tendue.

Le fait de me prendre la main fut pour moi, comme une sorte de soulagement, une satisfaction.

Ma tante m’accordait ce que je cherchais depuis mon adolescence, je réalisais mon rêve.

J’allais coucher avec ma tante, cette femme de 45 ans, belle comme une fleur et délaissée par son mari depuis des années.

Nous montâmes les escaliers, elle devant moi.
Je pus admirer le déhanchement superbe de son joli derrière.

Sa chambre était vaste avec les volets ouverts par ce jour de juillet.

Nous nous dirigeâmes vers le lit.
Une fois arrivés, ma tante se mit en face de moi, les yeux brillants.
Ma tante posa sur moi un regard d’une rare intensité, regard mêlé de honte et d’un plaisir évident.

Chantal était entièrement nue en face de moi, elle me dévisageait.

Je la contemplais béa d’admiration devant son corps harmonieux.

Elle en avait 45, je lui en donnais 30 tant le temps n’avait pas de prise sur elle.
C’était comme un cadeau du ciel de la voir me regarder ainsi.

Elle se figea, la tête haute, le buste en avant, comme une petite guerrière prête à en découdre avec l’amour.

Je la saisis, la coller toute entière contre moi pour sentir ses parfums, son odeur à elle.

Je ne pus m’empêcher de lui glisser un baiser dans le cou, tout en organisant une balade avec mes mains, pour saisir sa poitrine et descendre le long de son ventre.

J’effleurais une fois de plus son intimité légèrement humide, résultant du début de nos ébats sur la terrasse.

Je pétrifiais ses fesses bien fermes et commençais à lui caresser son entre-jambe.

Chantal fit un petit pas de côté pour se décaler, me montrant ainsi qu’elle aimait mes caresses, à cet endroit magique.

Je n’en pouvais plus et ma tante se laissait faire, posant ma tête sur son épaule, moi, écoutant son souffle s’accélérait.

 » Chantal, viens t’allonger sur le lit « .

Quelque peu surprise ou du moins le fit-elle pour se montrer indignée d’une telle situation, elle me répondit d’une voix douce.

 » Tu te rends compte de ce que tu me demandes ? « .

Je ne répondis pas et la pris par la main pour l’accompagner à s’allonger sur les draps défaits.

Une fois ma tante allongée, je m’étais mis sur les genoux à même le sol.
J’étais en quelque sorte à sa hauteur, à côté du lit.

Une fois de plus, sans trop lui montrer, même si mes yeux me trahissaient, je restais contemplatif devant son corps.

Son ventre était parfaitement plat.
Je regardais la beauté de ses jambes, ainsi que ses pieds dont les ongles recouverts d’un vernis rose, me procuraient une terrible excitation.

Ses seins à la vue de leurs tétons, me signifiaient qu’ils n’auraient rien contre un peu de chaleur.

Dire qu’elle avait 45 ans avec un corps aussi parfait …

 » Ecarte un peu tes jambes Chantal « .

Tout en les levant, elle ne put s’empêcher de me dire quelques mots, pour mieux se rassurer.

 » Toi …tu exagères ! « .
 » Tu sais Chantal, tu es belle tout simplement « .

Ce compliment enchanta ma tante.
A la lecture de son visage, je devinai ainsi la puissance de mes mots face à cette femme si sensuelle.

 » Bon comme tu insistes … ».

Sur ces belles paroles, ma tante me regarda avec un sourire rempli de désir, de curiosité, ce qui attisa mon imagination.

Malgré mon âge, je voulais être doux et délicat et terriblement lent pour faire naître en elle un désir irrépressible .
Chantal était désormais en travers du lit, moi accroupi son sexe en face de moi.

Du bout des doigts, j’entrai en contact avec la peau de sa cuisse.
Comme au ralenti, ma main glissa pour arriver entre ses jambes.
Délicatement je caressai son sexe très bien épilé, j’effleurai ses lèvres.

Son sexe était une merveille.
Les mots me manquent pour décrire ce que j’avais sous les yeux, c’était paradisiaque.

Sa peau était lisse, ses lèvres légèrement roses s’étaient entre-ouvertes, comme les pétales d’une fleur, comme une tulipe qui s’épanouit.

J’étais en extase devant le sexe de ma tante.

 » Chantal, je veux te goûter à fond « .

Ma tante soupira, se passa la main dans les cheveux ce qui la rendit de par ce geste très sexy, puis elle se décontracta.

 » Dans ce cas , déguste moi à ta guise mon cher neveu « .

Aussi, je déposai quelques baisers le long de ses cuisses.
Avec ma langue, j’entrepris savamment un léchage du sexe de ma tante, tout le long de ses grandes et petites lèvres.

Mon travail délicat commença à trouver une forme de récompense.
Le goût parfumé de son sexe avait changé.

Ma tante caressa mes cheveux et tendit son sexe vers moi pour mieux l’att****r, le saisir, le posséder comme je la possédais.

Son goût fut désormais diffèrent.
Plus j’apprivoisais son sexe et plus j’en appréciais la saveur.

Chantal était sur le point de jouir, de longs soupirs s’entendaient dans la chambre.

Toujours accroupis, j’atteignis tel un coup de grâce avec ma bouche toute entière, le point culminant de l’anatomie de son sexe, point avec lequel je me plaisais à « papillonner » tout autour.

Tout autour, ma langue déposa ma salive chaude, pour ensuite revenir, tel un guerrier sans armure.

Tout en délicatesse, je dorlotai ce point si précieux.

 » Ne t’arrête pas mon chéri … » .

Elle avait les jambes en l’air totalement écartées, sans pudeur.

Je restai à un endroit, pour ensuite, mieux disparaître et me positionner avec ma langue.
Durant un long moment, j’aspirai littéralement toutes les lèvres de ma tante chérie.

Je pénétrai avec ma langue dans son orifice, ce qui lui procura un premier spasme.

Chantal avait fermé les yeux, sa respiration était profonde.

Puis je descendis au delà de son intimité.

J’étais entre ses jolies fesses pour toujours mieux la posséder, lui léchant son anus, tout en remontant pour y introduire ma langue dans son vagin, ivre de bonheur.

Ma tante ondulait de tout son corps, elle creusait son ventre comme pour mieux reprendre sa respiration, ce qui la rendait encore plus désirable.

N’y pouvant plus et ayant introduit l’un de mes doigts dans son intimité, devenue ma propriété, l’agilité dont je fis preuve, accoucha d’un cri étouffé de ma tante qui me serra fort le poignet, comme pour ne pas me perdre.

Ma tante jouissait à tout rompre.

 » Maintenant que tu as commencé, ne t’arrête plus … Vas jusqu’au bout mon chéri « .

Je continuais à lui donner du plaisir en lui léchant ses lèvres, le pourtour de son point lumineux, et avalant la précieuse liqueur qui s’écoulait, qui se répandait sur ma bouche.
C’était trop, je n’en pouvais plus.

Chantal me regardait et attendait.
Elle se remit au milieu du lit puis écarta ses jambes comme une invitation à la pénétrer de plus belle.

J’étais en face, mon sexe tendu et je la regardais.
 » Chantal , comme j’ai envie de toi « .
 » Viens en moi, viens pénétrer ta tante qui te plaît tant ! « .

J’approchai mon sexe de sa fente prête à me recevoir, et avec mon gland, je commençai à parcourir ses longues lèvres ouvertes.
Elle m’était promise ma tante et Chantal n’avait qu’une hâte, que je vienne en elle.

Je ne m’attardai point et commençai lentement à la pénétrer, tout en la regardant fixement dans les yeux.

 » Viens en moi mon neveu, viens mon Jean « .
 » Tu aimes ce moment ? « .
 » Pénètre moi …je n’en peux plus « .

C’était comme un rêve d’entendre ces mots sortir de la bouche de ma tante.
Elle était allongée, les jambes écartées, prête à se faire pénétrer par son neveu.
Ca n’était plus de l’excitation ou du plaisir.
C’était au delà.

Mon fantasme absolu se réalisait.

J’allais rentrer ma verge dans le vagin de ma tante, moi son neveu de 18 ans, pénétrant ma tante si belle de 45 ans.

Je rentrais en elle, sa chaleur envahit mon membre de tout mon corps.
Je « glissais » dans son intimité avec lenteur et à son regard, je sentais qu’elle partageait le même plaisir de notre union.

 » Comme c’est bon de te sentir en moi, que tu es gros ! « .
 » Donne toi à moi ma chérie … ».
 » Ouiiii … » gémit-elle.

Puis la nature prit le dessus avec des mouvements toujours plus profonds, plus secs, plus excitants en somme.
Nous ne changeâmes pas de position.

Pendant que je pénétrais ma Chantal, nous échangions des baisers passionnés.
Nos lèvres étaient littéralement collées jusqu’au moment où, ma part de plaisir atteignant son apogée, ma tante me planta ses ongles dans le dos.
Elle poussa un hurlement synonyme d’un plaisir brut, sans retenu.

 » Tu me fais jouir … « .
 » Oui ma belle Chantal !! « .

Mes coups de rein à répétition dans le corps de ma tante me faisaient perdre la tête !

 » Je jouis en toi , dans toi, dans tes profondeurs … » lui dis-je.
 » Oui …comme je te sens fort, à l’intérieur de moi ! « .
 » Je brûle en toi , je me consume en toi … ».

Un long râle de ma tante accompagna ses dernières paroles tandis que je me « déversais » en elle, je me répandais dans l’orifice si précieux de ma tante.
Elle me serrait à en étouffer.

Etait-elle au nirvâna ? j’eus la faiblesse de le croire, mais je peux le dire en toute modestie, elle aimait bigrement ma présence en elle …
Je restais immobile , à l’intérieur de ma chérie.

Mon sexe encore rigide rentrait et sortait de son antre comme il l’entendait.
Ma tante se laissait faire et me faisait des baisers dans le cou en me caressant les fesses.

Je possédais enfin ma tante.
Je rentrais en elle, je sortais d’elle comme bon me semblait.
Elle était à moi malgré notre différence d’âge.
Elle était ma complice, « la poule de ce dieu » qui faisait nos nuits … je l’aime.

Sa chatte n’arrêtait plus de se rouvrir suite aux « vagues » de mon bassin.
La marée devint basse …
Elle avait jouit profondément.

 » Alors toi ! …je ne pensais pas … ».
 » c’était purement génial ma tante ».
 » Pfff…génial ? Tu veux dire fantastique ! ».

Comme une récompense, elle vint se coucher sur moi à fin de nos exploits.

Cela me permit de la caresser longuement de long de son dos, sans oublier sa paire de fesses qui me faisait naître des idées …
Exténué, je me mis à ses cotés, elle coucha sa tête sur mon torse et me serra la main comme un symbole de notre union.

C’était charmant.

Nous restâmes environ 1 heure allongés, en échangeant de longs baisers .
La journée ne faisait que commencer …

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