en sortant du boulot, … une envie de baiser…
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Au sex-shop encore
J’avais entrevu un petit sex-shop discret dans une ruelle calme, j’eus envie de m’y risquer seule vers 17 h 30 en sortant du boulot car je me disais que je risquais moins de mauvaises rencontres à cette heure-là.
C’était donc un peu émue que j’entrais dans cet établissement « pour mâles en rut » en me demandant quel sort allait pouvoir m’être réservé.
Effectivement, je ne fus pas déçue d’entrée car mon entrée justement suscita un peu d’émoi et de surprise. Le tenancier me dévisagea longuement apparemment interloqué et deux clients s’arrêtèrent brutalement dans leur « fouinage » pour me reluquer de la tête aux pieds. Il faut vous dire que je m’étais tout particulièrement apprêtée pour cette visite, connaissant bien ce qui peut affoler les manants clients de ce genre d’établissement. Evidemment, j’étais en jupe, une petite jupe plissée à carreaux assez courte et virevoltante que je portais avec des bas dim-up beiges et une paire d’escarpins en cuir noir vernis, à talons hauts off-course, un chemisier blanc légèrement transparent qui laissait bien deviner mon soutien-gorge balconnet pigeonnant et qui permettait même de voir la naissance de mes globes blancs grâce au déboutonnage savant des premiers boutons. Par-dessus, j’avais enfilé une redingote noire dont les pans ouverts favorisaient les coups d’œil selon les avancées de ma démarche chaloupée sur mes escarpins, dont les talons claquèrent sur le carrelage dès mon entrée fracassante.
Je me mis à flâner dans les rayons un peu étroits, non sans oublier de laisser ma redingote s’entrouvrir sur ma jupe, elle-même fendue, pour dévoiler au hasard des mouvements mes cuisses, mes bas et mon porte-jarretelles, et sur mon soutien-gorge pigeonnant faisant bien saillir mes globes par-dessus la dentelle, quand je me penchais en avant, faisant mine d’être absorbée par des revues ou des pochettes de films. Tous les types se mirent à me zyeuter dans exception et lentement me cernaient… L’un d’eux un peu plus hardi commença la véritable approche et, comme je lui souriais tout en regardant une jaquette de film particulièrement imagée, il entama une pseudo-conversation de circonstance (à laquelle je répondis bien sûr, tout en lui exhibant mes seins et mes cuisses) et s’approcha de moi de plus en plus près.
« Il a l’air pas mal celui-là film ? » dit-il
Le titre était plus qu’évocateur : « La bourgeoise se tape huit salauds »
« Oui… en effet… » répondis-je faussement détachée, alors que j’étais surexcitée. On voyait sur cette jaquette plusieurs photos d’une femme plutôt BCBG entourée de huit bites, suçant l’une et masturbant les autres, se faisant prendre en sandwich, être aspergée.
Ce scenario pouvait s’appliquer à moi en ce lieu, le gars le savait et savait que je n’avais pas pris ce film par hasard.
Alors, comme je n’en disais pas plus tout en continuant de contempler cette jaquette, il me mit la main entre les cuisses, caressant brièvement mes bas sur mes cuisses et remonta jusqu’à ma chatte, déjà détrempée bien entendu. Je le laissai faire.
Dédouané et enhardi par mon absence de réticence, le gars insinua ses doigts dans ma chatte, écartant ma culotte et commença à me masturber devant l’air stupéfait mais réjoui des autres clients du sex-shop… qui se contentaient de mater et le laissaient faire les premiers ‘travaux’ avant de pouvoir participer.
De son autre pogne, il palucha mes seins et, surtout m’exposa aux autres types puis rajouta : « allez, balade-toi un peu, montre tes bas, ta culotte et tes seins aux autres »
Alors, comme il me le « conseillait », je commençais à déambuler dans les rayons en exhibant mes bas et ma chatte, à peine « couverte » par ma culotte transparente, mes seins au ras de la dentelle du soutien-gorge pigeonnant, les talons hauts de mes escarpins claquant sur le carrelage : tous les types bandaient et commençaient à se toucher la queue par-dessus leurs pantalons en me regardant intensément.
Quand j’eus fait ce petit tour, je revins vers le gars qui avait sorti sa bite de son pantalon et la faisait danser en ma direction : il avait un bel engin et je compris aussitôt qu’il voulait que je m’en occupe là et maintenant. D’abord je l’attrapais vigoureusement avec ma main et je lui secouais presque devant les yeux hagards des autres types envieux :
« non, non, plus doucement » dit-il.
Je compris et je passais immédiatement en mode « douceur », flattant les couilles d’une main, faisant glisser doucement l’autre le long de la tige dure, jusqu’à caresser le gland décalotté avec l’intérieur du pouce.
« Ouais, ça c’est bien ! vas-y, continue… puis tu vas me sucer un peu »
Alors qu’il me paluchait de partout, dégageant bien mes fesses, ma chatte, mes seins qu’il exhibait aux autres à l’affût, je le branlais délicatement mais fermement avec mes deux mains qui jouaient avec sa tige devenue de plus en plus grosse, tellement grosse que j’eus effectivement envie de la sucer.
Je m’accroupis dans l’allée, entre deux rayonnages de bouquins et de films de cul, et, sous les yeux des autres types affamés et du tenancier de la boutique, écartant mes cuisses, le cul sur mes talons, bas bien visibles, la pointe des seins débordant par-dessus le sous-tif, je me mis à emboucher le gland, que je suçotais d’abord, puis j’engloutis complètement la bite dure, la pompant avec application. Le gars empoigna ma tête à deux mains, les doigts fourrageant dans ma chevelure, et accompagna ce pompage pour le rendre plus violent et profond. Du coup, il m’avait entièrement recentrée sur sa queue, je ne pouvais plus me dégager mais il faisait tout de même un peu attention pour ne pas m’étouffer même si les « ordres » de rythme que m’imposaient ses mains étaient assez soutenus et m’oppressaient un peu, m’obligeant parfois à engloutir la tige sur toute sa longueur jusqu’à la limite de ma respiration. J’imaginais qu’il devait me montrer fièrement aux autres gars… j’entendis même des crépitements d’appareil photo (je sus après que c’était le tenancier qui se faisait une « galerie » de portraits de salopes –et j’en étais une à ce moment-là !).
Lorsque le gars relâcha sa pression et me laissa me dégager de cette pipe profonde, je me rendis compte que j’étais cernée par le groupe des autres clients, qui avaient tous sorti leur queue de leur futal et se branlaient à une dizaine de centimètres de ma tête. Toujours accroupie (en fait « on » m’empêcha de me relever), je compris vite que je devais sucer toutes ces bites qui tournoyaient comme des abeilles.
Alors, comme je sais le faire, je m’attelais à la tâche, empoignant deux bites et les branlant doucement, j’embouchais puis suçais une queue, puis pompais une autre et en branlait deux autres, ainsi de suite :
« Suce-nous tous, allez, vas-y »
« Ouais, ouais, branle nos queues ! c’est bon »
« Elle suce bien la chienne ! »
« Hmm, vas-y suce salope oui »
Et celui-là m’enfonça son gros dard jusqu’à la glotte menaçant de me faire vomir.
« Tu vas tous nous sucer salope, allez, à moi maintenant » disait celui là en tapotant ma joue avec son gland impatient et odorant.
Pendant un gros quart d’heure, je suçais et branlais toutes ces bites (il y en avait de nouvelles car de nouveaux clients arrivaient… probablement alertés) au vu et au su de l’appareil photo du tenancier du sex-shop qui immortalisait cette scène un peu hard… Un peu trop hard même car, à un moment, il s’approcha du groupe et fit comprendre qu’il valait mieux aller ailleurs.
On m’amena prestement dans une arrière-salle de projection de films, où tous les gars me suivirent et descendirent leur pantalon. On me jeta sur un siège (genre fauteuil de cinéma) et là je fus totalement envahie : les pognes des manants se ruèrent sur mes moi sous tous les angles, cul, chatte, seins, cuisses, bas… les queues que les gars branlaient reprirent leur farandole, venaient s’appuyer un peu partout, je me remis à en branler certaines, à en sucer d’autres (des mecs avaient enjambé les sièges et présentaient leur gland à ma bouche). Mes jambes furent soulevées, mes escarpins caressés, des queues se frottaient sur mes bas, d’autres venaient faire embrasser le téton de mes seins par leur méat entrouvert, cela commençait à puer la bite en rut. Soudain, une langue commença à me lécher l’entrecuisses et je fus encore plus soulevée et ouverte, mes escarpins furent juchés sur des épaules solides, des bouches se succédèrent sur mon sexe, embrassant ma toison, roulant une galoche à ma chatte, titillant mon clitoris devenu fou… je me raccrochais aux bites que je pouvais saisir. C’était la curée… et là encore le tenancier vint faire quelques clichés de cette scène démente :
« ça c’est de la partouze les mecs ! »
« ah ! ouais, elle est bonne cette salope »
« putain qu’elle est sexy avec ces bas et ces escarpins » (de temps en temps, je sentais que l’un me déchaussait et promenait sa bite contre la plante de mes pieds et qu’un autre devait se masturber avec l’escarpin… puis on me rechaussait)
« oauouh ! elle aime sucer la chienne! Elle aime les bites ! »
« allez, on va tous se la faire les mecs ! on va lui en donner de la queue ! »
« une bourgeoise avec des bas et des escarpins dans un sex-shop : elle est pas là pour rien ! c’est qu’elle est venue chercher de la bite ! on va lui en donner oui ! »
Et là, une tête qui venait de me brouter assidûment se retira de ma chatte, me laissant jambes écartées sur le siège, pieds et escarpins maintenus par deux gars, alors que j’avais une queue enfoncée dans la bouche qui m’empêchait de parler et de voir, et que deux autres tiges se faisaient branler par mes bras écartelés. Une grosse pine me chopa d’un seul coup (je ne peux pas dire un « coup sec » tellement j’étais mouillée) et s’enfonça au fond de ma chatte. Rapidement rappelé à l’ordre par les autres, le gars dut se retirer pour laisser la place pour me partager et un défilé commença. A tour de rôle, tous les types me prirent de face dans cette position. Comme le gars qui se faisait sucer s’était retiré pour prendre place dans la file d’attente, je pus voir les visages des mecs, certains très moches, des vieux, des hagards, des vicelards, des gros… qui me baisèrent fièrement à tour de rôle, passant et repassant, pilonnant ma chatte, me faisant sentir leur poids pour les plus gros, certains m’obligeant à une galoche langue dardée, que je ne pouvais éviter.
« Allez ! tournes toi, mets toi en levrette maintenant, salope, on va te choper par derrière »
« Ouais, tends un peu ton cul, tu vas les sentir passer nos bites »
Je n’eus pas le temps de souffler que l’on me retourna, me faisant prendre appui sur le dossier du fauteuil, mes pieds saisis par les escarpins et aux chevilles et écartés, mon cul attiré par deux pognes solides, ancrées sous mes jarretelles et une pine plutôt fine m’embrocha sans coup férir. Là, je compris que ce premier baiseur dans cette posture était un vieux car il tremblait en permanence, mieux ! il vibrait dans ma chatte en murmurant :
« que c’est bon ! oh ! qu’elle est bonne ! qu’elle est douce sa chatte ! ah ! »
Le groupe s’était éclaté : je perçus la file d’attente dans mon dos pour se succéder dans ma chatte avec des temps d’attente de glands tapotant mes fesses ou posés sur le haut de mon cul et de pognes accompagnant celui qui me baisait ; les autres étaient venus derrière les dossiers des fauteuils et me présentaient leurs bites à sucer et à branler pendant que je me faisais prendre, sur les côtés, les autres, attendant leur tour et/ou se reposant un peu, caressaient mes seins et mes cuisses sur mes bas, constamment choyés. J’avais en permanence une queue dans la chatte qui me pilonnait en levrette (souvent avec des commentaires élogieux sur mon cul ou la douceur de ma chatte), une bite –voire deux- en bouche, une autre dans chaque main et des pognes sur mes miches et un peu partout sur le reste de mon corps, le reste des queues dansant autour de moi, astiquées par les pognes.
Puis je me sentis attirée par le gars affalé sur le siège d’à côté, qui caressait ma miche. « On » -deux petits vieux attentionnés, qui me caressaient les bas, la poitrine, cherchaient à m’embrasser- m’aida à l’enjamber et on m’accompagna (je fus saisie par une demi-douzaine de pognes) pour que je vienne m’empaler sur sa tige épaisse tendue vers le ciel puis pour que je commence à monter et descendre, faisant coulisser la colonne dans ma chatte.
« Allez, enfile-toi sur sa bite, vas-y chevauche le » dit un des petits vieux surexcité.
Peu à peu, le gars m’attira à lui, me plaqua contre sa poitrine, mes genoux remontèrent, mes escarpins encadraient ses cuisses et mon cul s’écarta de plus en plus… des doigts lubrifièrent mon trou, le rendant béant et bientôt un gland se présenta à l’œillet.
« Ecarte bien ton beau cul, salope ! putain quel beau cul tu as ! » me chuchota à l’oreille un des vieux, tout en astiquant sa petite bite semi-bandée près de mon visage.
« Allez les gars, par les deux trous ! vas-y encule la ! »
Je sentis un dard s’approcher de mon œillet et commencer à forcer l’étroit passage. Je ne pus pas crier car une queue vint brutalement obstruer ma bouche alors que les deux queues commencèrent à me limer alternativement. Ce fut alors un défilé dans mon cul, en même temps que j’étais toujours baisée à la chatte (on me faisait régulièrement changer de fauteuil et donc m’empaler sur une bite nouvelle, dont le propriétaire s’empressait de ma caresser aux miches ou de m’embrasser goulûment là où il pouvait).
Je fus baisée, enculée, parfois un peu trop brutalement même, par tous les mecs… y compris par le tenancier du sex-shop (qui faisait toujours quelques clichés et… avait dû donner un tour de clef à la porte d’entrée !), avec toujours des bites à sucer ; quelques-unes à manipuler, des pognes baladeuses…
Ils étaient bien plus que huit –comme dans le film- mais plutôt une douzaine, cela me sembla interminable, les pines se succédaient dans mes deux trous à un rythme soutenu : je ne saurais dire combien de fois j’ai joui… mais je ne pus guère crier car j’avais le plus souvent une bite dans la bouche.
Alors un cérémonial final arriva presque spontanément : je me retrouvais alanguie sur un fauteuil, cherchant à reprendre mon souffle après ces assauts incessants, cuisses ouvertes, chatte défoncée écartelée, escarpins ballants et là, la bonne douzaine de queues m’entoura, formant un cercle délirant. Les types vinrent tous se branler au-dessus de moi en me complimentant et m’arroser de foutre à tour de rôle (et certains même deux fois) : les poils de ma chatte furent carrément tapissés, mes bas maculés, ma poitrine dégoulinait, mon visage copieusement arrosé… on me fit lécher et sucer des glands qui finissaient de dégorger, des gars s’essuyaient sur mes bas, je vis un des vieux me déchausser un pied et spermer dans l’escarpin puis qui me rechaussait (ça collait !). Tous beuglaient des insanités en jouissant sur moi ! Les deux autres petits vieux me firent me retourner et m’éjaculèrent sur le cul, en disant que c’était le plus beau cul qu’ils avaient baisé depuis des années et qu’ils n’avaient jamais autant joui ! Dans le fond, je les approuvais car je crois que je n’avais jamais autant joui moi aussi, de tous ces coups de treuil, ces bites sucées et branlées de la part d’inconnus qui disparurent en un clin d’œil, me laissant couverte de sperme de la tête aux pieds ! L’image n’est pas trop forte car j’avais du foutre vraiment partout : dans les cheveux, mes joues, mon front, mon cou et mes seins étaient tapissés, les poils de ma chatte étaient collés, mon nombril formait un petit lac, mes bas –qui avaient servi à essuyer le final de beaucoup de glands- étaient détrempés, mes escarpins en avaient autant à l’intérieur qu’à l’extérieur… sans compter ce que j’avais avalé !
Un des petits vieux –qui n’avait certainement pas dû avoir une belle femelle à sa disposition, même partagée, depuis des lustres- était resté près de moi, il me caressait avec douceur, m’embrassait en geignant, ne se lassant pas d’étaler le foutre sur ma poitrine, sa bite maintenant ramollie et ses couilles au contact de mes bas : « vous êtes si belle avec tout ce foutre, vous avez joui hein ? c’était bon ? que vous êtes belle ! ah ! que vous nous avez fait jouir ! ah ! oui ! que j’ai joui sur votre cul et sur vos bas ! je vous aime ! »
Le tenancier du sex-shop vint faire quelques clichés du tableau de chasse final, tout en déchargeant sur ma poitrine ses propres dernières gouttes de foutre :
« Alors, là ! c’est ce qu’on peut appeler une salope couverte de foutre ! Fabuleux ! mais que vous êtes belle comme ça, qu’est-ce que vous vous êtes fait arroser ! Y a la dose ! Faut dire que ce n’est pas tous les jours qu’il y a une belle femme comme vous qui vienne se faire prendre par les clients… vous pouvez revenir quand vous voulez !»
« Et moi, je serai votre guide » rajouta le petit vieux… « je vous protègerai, vous êtes si belle… faudrait pas qu’ils vous abiment… vous reviendrez ? »
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